Au Royaume de nos âmes
Ash of Mine
Disclaimer : Aux dernières nouvelles, JKR roule toujours sur l'or, pas moi… c'est vraiment pas juste.
Warnings du chapitre : Plus d'explications, un petit saut dans le temps et Dursley the Return (rien de méchant…sérieux... allez, rangez les trucs un peu pointus... pleaaaze ?... NAnnnhhh... XD).
Remerciements à Sly. Cassie, Jully Reed, nyo, Egwene Al' Vere, lunathelunatique, Dia, zaika, Moira Serpy-Griffy, bibou, shiina, mara, Vol de Mort et Picadilly pour leurs messages pleins d'encouragement et leurs avis ! Merci également aux autres lecteurs qui ont pris le temps de lire l'histoire jusqu'ici.
NdA : La fin du chapitre précédent ('Mais il n'avait pas compris ce que voulait dire Harry par là ou il aurait étouffé d'indignation sur le coup…') qui a pu en troubler plus d'un s'éclaire dès le début de ce chapitre… juste une idée de plus pour ennuyer Voldie que je voulais à tout prix intégrer ! XD
Onto the chapter, now… Enjoy !
CHAPITRE IV
Premiers Pas
La migraine ne le quittait plus.
C'était du moins l'impression qu'il avait depuis qu'il avait décidé de ne pas mener à bout son petit coup d'état et prendre possession du corps du sale morveux sur le champ…
Il en venait presque à reconsidérer la question. Sérieusement.
… pourquoi y'a un serpent sur la poignée de vot' chambre ? … pourquoi z'êtes tout blanc, M'sieur Tom ? … les vampires, ça existent ? …
Les questions n'en finissaient plus.
… z'êtes un vampire, M'sieur Tom ? … pourquoi z'avez les yeux rouges ?… z'avez mal à la tête, M'sieur Tom ? …
Et ça ne faisait que deux heures que le calvaire durait… Même pour un Dark Lord en panne de magie, c'était cruel.
Et dire que le morveux était censé être un gosse silencieux, timoré, en mal d'affection et qui oserait à peine le regarder droit dans les yeux… Du tout. Le sale gosse en concevait même une fascination morbide. La joie de pouvoir enfin s'exprimer sans contrainte et sans risque de se faire gronder à tout moment avaient dû subitement lui monter à la tête et délier sa langue en mal d'exercice.
Et Voldemort devait subir tout cela.
M'sieur Tom ? Z'êtes censé me répondre. Le morveux osait en plus le réprimander en faisant la moue.
Je ne suis censé rien faire du tout.
Mais si !
Non.
Mais vous êtes mon ami imaginaire !
Et la migraine revenait de plein fouet.
Au début, le morveux n'avait pas du tout accepté sa réponse évidente ('Magique') à sa première question. Il s'était alors permis de faire ce que les enfants de son âge faisaient de mieux.
Bouder.
En jetant des regards noirs à son aîné par dessus son verre de lait. L'effet aurait pu être impressionnant pour un gosse de son âge si on ignorait la petite moustache blanche qui ornait le dessus de sa petite lèvre supérieure.
Et le T-shirt trop grand dans lequel il nageait.
Et ses long cheveux en désordre dont les mèches pointaient dans tous les sens.
Bref. Si on ignorait de qui il s'agissait.
Et Voldemort n'avait pas de temps à perdre dans une joute visuelle avec un gamin haut comme trois pommes. Attendant que l'autre sorte enfin de son silence et lui pose enfin des questions pertinentes, le Mage Noir s'était contentait de l'ignorer – ce qui irritait d'ailleurs encore plus son petit interlocuteur… pas qu'il le faisait exprès, bien sûr – et s'atteler à une rapide mise au point mentale de la situation.
Il était, il n'y avait plus aucun doute possible, dans la tête de Potter Junior, élu d'une certaine prophétie qui le concernait par ailleurs.
Prophétie qu'il avait lui-même déclenchée sans le faire exprès, semble-t-il…
Pour le monde sorcier, il avait disparu depuis au moins deux ans. Quoique… le gosse semblait avoir un QI un peu plus élevé que celui d'une moule qui avait refusé de s'ouvrir… au moins trois ans donc. Il en connaissait qui avaient dû fêter l'événement en grandes pompes… Oh, son retour n'en serait que plus délicieux.
Il avait réussi à prendre contrôle du corps du morveux lorsque celui-ci s'était évanoui.
Mais pas avant.
Même s'il était évident que le gosse était dans un mauvais état à ce moment-là, il n'avait pas réussi à prendre le dessus tant que l'enfant tenait encore les rênes. Le gosse restait donc l'hôte principal du corps même s'il le partageait désormais avec un sorcier plus âgé et plus puissant. Illogique. Magique. Qu'importe. Sans doute le corps obéissait-il plus naturellement à l'âme qui lui était destinée.
A moins que le morveux accepte de lui céder le contrôle de son corps volontairement, et là…
Mais dans l'état actuel des choses, ses réserves de magie étaient risibles. Juste un peu de pouvoir concentré dans une main et 'blam !' Il s'était évanoui, par Mordred ! Salazar devait se retournait dans sa tombe en voyant son héritier réduit à cet état là…
Il allait aller bien loin comme ça. Pas de monde sorcier à l'horizon pour l'instant donc.
Et même si la perspective de posséder un corps était jouissive à son goût, un corps avec si peu de magie ne lui servirait à rien. Et pas question de jouer les gosses moldus pour une famille pareille. Que le gosse s'en charge.
Mais si l'autre saleté s'avisait à s'approcher un peu trop près d'eux…
Et la lettre d'invitation pour Poudlard qui n'arriverait sans doute pas avant quelques longues années…
Gamin, tu connais Albus Dumbledore ? Voldemort brisa soudain le silence pour être certain.
Seul un regard interrogatif lui répondit. Le gosse n'avait vraiment aucune idée…
Restait plus qu'à attendre et planifier le temps que le vent tourne à nouveau en sa faveur dans ce cas.
Cela l'étonnerait d'ailleurs fortement si le Vieux Fou n'avait pas mis au point un système pour surveiller le morveux… alors autant patienter et attaquer quand tout le monde s'y attendrait le monde. Il était temps qu'il redevienne le bon petit Serpentard qu'il était avant que les événements ne l'aient obligé à agir de façon trop irréfléchie…
Et s'il était trop risqué pour lui de s'en prendre directement au gamin, rien ne l'empêchait d'en faire un allié… Il était sûr que le vieux Dumby apprécierait l'ironie de la situation.
Et le Vieux Fou n'était certainement pas là pour l'en empêcher…
Haussant ses sourcils d'un air provocateur, Voldemort attendait que l'enfant se décide enfin à faire le premier pas vers lui. Le plus important.
Entouré par des gens qui ne cachaient guère leur aversion pour lui, l'enfant était destiné à se tourner vers la première personne qui le verrait, lui. Quelqu'un qui lui prouverait qu'il existe en lui accordant un peu d'attention.
C'était comme ça que fonctionnait l'esprit d'un enfant oublié.
Il le savait.
Mieux que quiconque même.
Après tout, il avait été à sa place.
Mais il n'avait cependant pas considéré la possibilité que l'enfant ne l'eût pas cru lorsqu'il lui avait assuré l'existence de la magie.
On ne questionne pas la parole d'un Dark Lord, après tout.
Mais le morveux ne semblait pas être au courant de cette règle. Sale gosse.
Et l'enfant osait penser que, comme ils étaient dans sa tête, M'sieur Tom n'était rien d'autre que la création de son esprit.
Un ami imaginaire pour un enfant oublié de tous.
Oh, joie.
M'sieur Tom ?
Voldemort rouvrit doucement les yeux lorsque la petite voix hésitante se fit entendre et les reporta sur l'enfant qui s'était enfin calmé après s'être rendu compte qu'en effet M'sieur Tom n'allait répondre à aucune de ses questions et, au contraire, comptait bien prendre un malin plaisir à ignorer son interrogatoire mal mené.
Est-ce que… est-ce que tout est vraiment possible ici ?
Ah. Enfin une question qui méritait réflexion. L'enfant avait-il enfin compris ? Pas trop tôt. Faisant mine de réfléchir sans toutefois le quitter de son regard calculateur, il répondit finalement.
C'est très probable. Il faudrait cependant en tester les limites. Tu as dû remarquer des choses qui apparaissent un peu partout, n'est-ce pas ?
Un hochement affirmatif hésitant après un discret coup d'œil vers la bibliothèque. Ah, le silence…
Nous sommes dans un monde qui est… 'vivant', je crois que le terme est approprié. Il continue à 'grandir' et 'évoluer' au fur et à mesure que nous restons ici.
Avisant le regard perdu de l'enfant, Voldemort tenta de préciser.
Lorsque tu es arrivé ici la première fois, les pièces étaient pratiquement vides mais depuis, il y a de plus en plus d'objets, de meubles… tout ce qui peut rendre la vie plus facile, en somme. Ou refléter la personnalité des habitants de ces lieux. Imagine cette situation comme s'il s'agissait d'un simple déménagement. Plus nous restons ici, plus le milieu d'adapte à notre présence.
On est en train de faire de cet endroit un 'chez nous', petit.
Un peu simpliste comme explication, mais cela devrait suffire pour le gamin. Et en voyant la tête du morveux se relever tout à coup à ces derniers mots, Voldemort sut qu'il avait choisi les bons termes. Gagné.
'Chez nous' ?
Oui. Tu as ta chambre, Voldemort désigna la porte blanche à sa gauche, et j'ai la mienne, continua-t-il en montrant la porte avec la poignée en forme de serpent à sa droite. J'imagine que nous sommes dans la 'salle commune', un petit salon que nous partageons tous les deux.
L'enfant baissa alors ses yeux vers ses petites mains qui trituraient inconsciemment un bout de son T-shirt, ses longues mèches de cheveux noirs tombant de façon à cacher son visage.
Mais Voldemort put tout de même distinguer le léger sourire qui ornait doucement les lèvres de l'enfant. Lord Voldemort : 1 . Dumby : 0.
Oh.
Relevant alors la tête, Harry regarda son aîné d'un air hésitant puis, adoptant un air déterminé, ferma ses yeux de concentration.
Voldemort se raidit subitement, sentant aussitôt les changements qui s'opéraient un peu trop près de son corps à son goût. Mais il se força à rester tranquille, à ne pas quitter l'autre du regard, luttant contre l'instinct qui lui dictait d'attaquer l'enfant qui osait lui… jeter un sort en quelque sorte. Même s'il se doutait bien que l'enfant n'allait pas lui faire de mal, cela le rendait tout de même mal à l'aise…Il ignorait vraiment ce que l'enfant avait en tête…
Harry ouvrit enfin ses grands yeux verts et lui adressa un petit sourire timide en rougissant.
Ca vous va mieux que la robe noire, M'sieur Tom. Et c'est comme vos yeux.
Baissant enfin ses yeux, Voldemort constata qu'il ne portait plus sa robe de sorcier mais une paire de jean et un simple pull-over.
Couleur rubis.
Exactement comme ses yeux, en effet.
Mais il aurait préféré avoir du vert tout de même.
'La li.. licorne est une race de… de che-val blanc ma… magique portant une lon-gue corne en spi… spi-ra-le au mi-li-eu du front. Elle… elle est souvent en or.'
'C'est un sym-bole de gran-de pu-re-té. Elle ne se laisse donc ap… approcher que par des jeunes filles pures et vierges.'
'Sa… sa corne possède certaines pro-pri-é-tés magiques comme d'a… d'ani… d'a…'
'd'anihiler'.
'D'a-ni-hi-ler les poisons… On… on pense mê-me que son sang permet-trait de pro-lon-ger la vie mais… mais en mau… mau-dis-sant… ceux qui ont o-sé en ob-te-nir de force…'
Ca veut dire quoi 'mau-dis-sant', M'sieur Tom ?
Maudire quelqu'un, c'est lui vouloir du mal. Tu peux lui jeter une malédiction, par exemple. Mais c'est surtout le vouer au malheur, appeler la colère d'une entité supérieure sur lui.
D'accord.
Continue.
Au… au Mo-yen-Âge, la licorne était parfois re-pré-sen-tée sous la forme d'une chèvre a-yant aussi une corne au mi-li-eu du front…
Ces cré-a-tures ma-gi-ques sont sous la pro… protect-ti-on du Mi-nis-tè-re de la Ma… Magie.
Relevant enfin ses yeux du livre qu'il était en train d'étudier, Voldemort consentit à exprimer tout haut ce que l'enfant attendait en le regardant les yeux verts brillants.
Tu fais des progrès.
Et un grand sourire éclaira le visage de l'enfant.
Harry Potter venait de commencer le primaire, sa tante ayant été obligée de l'y inscrire lorsque la voisine, Mrs Figg s'était étonnée qu'Harry, à son âge, n'était encore jamais allé à l'école. Pétunia pouvait s'en sortir pour la maternelle mais pas cette fois-ci. Elle devait donc inscrire son neveu dans la même école primaire que son fils pour ne pas risquer que ses voisins ne parlent d'elle au sujet de lui.
Mais rien d'autre.
L'enfant devrait se débrouiller par lui-même avec ses devoirs. Pas question qu'elle l'aide en plus à faire ses calculs ou la lecture. Son Dudley méritait toute son attention.
L' « incident » qui avait eu lieu il y a de cela deux ans avait changé la dynamique qui régissait la vie au 4, Privet Drive.
Dudley était désormais au courant de l'existence de son cousin.
Du petit garçon dans le placard sous l'escalier.
Et il devenait donc de plus en plus difficile d'ignorer… l'Autre.
Vernon, restait donc de plus en plus longtemps au travail. Fuyant la présence de l'être anormal.
Pétunia, en revanche, le gardait étroitement sous sa surveillance depuis son 'mystérieux' évanouissement. Elle gardait le souvenir de yeux rubis… et elle devait à tout prix empêcher le monstre de s'en prendre à nouveau à son fils.
Par conséquent, Harry voyait sa dose de 'travail' doublée maintenant qu'il n'avait plus à se cacher pendant la journée.
Plus de libertés hors de son placard mais plus de corvées. Il devait désormais rester après les repas pour faire la vaisselle sous la surveillance étroite de sa tante et, lorsque Dudley jouait avec son meilleur ami Piers à la maison, Harry devait rester dehors arracher les mauvaises herbes du jardin pendant que sa tante espionnait les voisins par la fenêtre.
Mais son regard revenait irrémédiablement vers lui. Toujours.
Même pour un Dark Lord endurci, c'était presque inquiétant.
Presque. Ce n'était qu'une moldue, après tout. Une misérable vermine, certes, mais une moldue tout de même.
Pas étonnant alors que Voldemort ne prenne pas possession du corps de l'enfant de temps en temps si c'était pour trimmer pour des… moldus.
Et question fuite, ce n'était même plus une possibilité.
A quatre pattes dans le jardin pendant qu'Harry s'attelait à sa tâche quotidienne, il avait pu sentir que le 4, Privet Drive était entouré d'une barrière magique. Créée par de la Magie du Sang. Ancrée sur le lien que partageait Harry avec Pétunia.
Et sans le consentement de cette dernière, Harry ne pouvait pas faire deux pas en dehors de la barrière sans que le Vieux Fou ne soit immédiatement mis au courant.
Ce cher Dumby gardait donc bien toujours un œil sur son Arme…
Et cette Mrs Figg… elle s'intéressait trop au gamin pour que cela soit innocent… Harry par-ci, Harry par-là… Pour quelqu'un qui ne s'intéressait qu'aux chats, il faut avouer que c'était étrange.
Et Voldemort le saurait si le gosse ressemblait de près ou de loin à un chaton.
Le Mage Noir étudiait donc en attendant. Et depuis peu, en faisant la lecture au morveux en même temps. C'était pas l'autre vermine qui allait s'en charger… Pas qu'il s'inquiétait pour lui bien sûr.
Mais il devait cohabiter avec lui. Et s'il pouvait éviter que l'autre finisse ignare, ce ne serait qu'un point de plus en sa faveur.
Et mine de rien, s'il pouvait avoir un peu de conversations intelligentes plus tard, ce serait bien aussi…
Alors il aidait le morveux. Ca faisait passer le temps. Et le gosse lui revaudrait ça plus tard.
Serpentard un jour, Serpentard toujours.
Bien sûr.
Les deux occupants du petit domaine spirituel s'étaient très vite rendu compte de la vitesse à laquelle apparaissaient les livres et les nouvelles étagères le long des murs du salon. Aujourd'hui, après deux ans, le rythme d'apparition avait ralenti.
Et les quatre murs du salon étaient désormais tapissés de livres à la grande joie du petit garçon qui était bien déterminé à apprendre à lire au plus vite.
Mais pour Voldemort, ce n'était pas comme s'il ignorait le contenu de ces livres… Après tout, il s'agissait de ses connaissances qui tapissaient ces murs. La grande majorité du moins. Très grande majorité. Le gamin n'avait que sept ans de vie dans son compteur alors que lui en avait bien plus d'un demi-siècle derrière lui.
Les livres étaient l'équivalent d'archives de leur vie et de leurs connaissances combinées.
Et lorsqu'il s'était aperçu du contenu de certains de ces livres, il avait fait en sorte de placer ceux qui abordaient les sujets les plus délicats et compromettants hors de la portée du gosse qui ne s'était encore rendu compte de rien, ayant jeté tout son dévolu sur les livres traitant d'histoire et de créatures magiques. Ceux qui avaient des jolies images colorées. Ceux qu'il pouvait atteindre de par sa petite taille, en somme. Une mine d'informations tout de même. Informations diverses et variées, vraies et récoltes de longues années de travaux et d'expériences. Aussi réel que lui donc.
Mais le gosse continuait étrangement à le considérer comme son ami imaginaire envers et contre tout.
Dénégation quand tu nous tiens… quitte à être borné, autant l'être jusqu'au bout n'est-ce pas ? Sale rejeton de Gryffondors.
D'un côté, cela ne pouvait que jouer en la faveur du Mage Noir. L'enfant était définitivement plus à l'aise en sa présence. Mais lorsque la vérité éclaterait… malgré tous ses pouvoirs de déduction, il ne pouvait vraiment pas prédire comment l'enfant allait réagir…
Mais tout de même, s'entendre dire qu'un demi-siècle de connaissances n'était que le fruit de l'imagination développée d'un morveux de sept ans, cinq à l'époque… c'était brutal.
Et cruel, aussi.
Heureusement que le gosse ne pouvait pas changer le contenu de ces livres comme il le faisait avec les vêtements… ça lui ferait quand même un peu mal de perdre toutes ces connaissances écrites comme ça.
En tout cas, il n'allait pas s'abaissait à supplier le gosse de croire en la magie. C'était indigne de lui. Il avait nié être un simple fragment imaginaire la première fois, c'était suffisant. Et généreux de sa part. Pas question d'en faire plus. Au gosse de se rendre compte de la vérité par lui-même désormais.
Alors il attendait. Tirant à profit ce temps de repos imposé. Repos que le gosse prenait un malin plaisir à gâcher d'ailleurs.
Et même s'il était censé être son ami imaginaire selon l'enfant, rien, absolument rien, ne l'obligeait à faire ce que le morveux attendait de lui.
On n'a pas toujours tout dans la vie après tout.
M'sieur Tom ? Y'a des photos de licornes ?
Cherche. C'est pas les livres qui manquent.
Et Harry bouda dans son coin.
Et tranquillement, Voldemort continuait ses plans de conquête du monde.
6 juin 2006
Oo6o6o6oO
Chapitre tranquille mais qui développe un peu plus la dynamique entre nos deux amis. Je les aime bien tels qu'il sont là, même si je doute que ce bon vieux Voldie ait autant de patience que ça en temps normal… lol.
Et c'est marrant d'écrire leurs premières intéractions XD... Mais bon, ça fait quand même 3 chapitres que ça dure, alors peut-être qu'on va changer un peu de ton au prochain chapitre... ;D
Je veux un Harry comme ça.
Je veux un Voldie comme ça.
Pétunia me fait peur.
Vernon me fait rire.
Vous pouvez continuer à me donner vos avis quant au couple principal de cette fic, la partie romance n'arrivera pas avant quelque temps encore.
Une opinion quant à la future maison d'Harry à Poudlard ?
…
Poufsouffle, ça vous dit ? XD
…
Des impressions sur ce chapitre ? Des idées pour la suite ?
Laissez une review, ça fait toujours plaisir même si ce n'est qu'un mot!
A la prochaine !
Ash.
