Chapitre3
Lily s'était changée et était rentrait dans la demeure de son père avec Maurice. Lorsqu'ils étaient arrivés Elisa et Aurora sautèrent au coup de Maurice et remercièrent Lily qui leur raconta sa petite discussion avec le prince.
"Vous avez parlé au prince." S'exclama Aurora.
"je ne lui parlais pas je le grondais." Corrigea Lily. "Je n'en reviens pas de lui avoir donné le nom de ma mère."
La comtesse et ses filles rentrèrent mais à peine quelque minute après leur arrivé on sonna à la porte.
"Votre altesse que puis je faire pour vous ?" Demanda la comtesse.
"Je vous ai emprunté un de vos étalons ce matin je crains d'ailleurs avoir fait peur à votre domestique." Lui répondit le prince.
"Ah elle est muette." Répondit la comtesse précipitamment.
"Elle a pourtant parlé avec une grande vigueur."
"Ca lui arrive parfois."
Le prince s'apprêtait à repartir lorsque.
"Pétunia votre broche est… éblouissante."
"Cette vielle chose vous êtes trop bon mon seigneur."
Il parti alors. La comtesse entra alors dans la demeure et interpella Lily.
"Lily n'avez vous pas quelque chose à me dire ?" demanda t elle.
"Heu… je…" derrière la comtesse Marie faisait le symbole d'un cheval qui galope.
"Le prince est venu nous emprunter un cheval." Dit elle alors.
"Ce qui explique pourquoi il est venu nous le rendre tout à l'heure. Il dit que vous avez parlé avec vigueur qu'avez vous dit ?"
"Je…Je l'ai traité de voleur…" dit sombrement Lily. "Je… ne l'avais pas reconnut." Se justifia t elle.
"Hé bien vous passerez un moi sans une gouttes d'eau chaude et vous vous passerez de dîner ce soir est-ce claire ?"
"Oui mère."
"A quoi sert que tu prenne des douches puisque tu fais tout pour ressembler à une souillon Cendrions ?" demande méchamment Pétunia.
"Pétunia !" Gronda en souriant sa mère. "Maintenant disparaissez Lily je ne veux plus vous revoir avant demain !"
Lily partie alors se coucher.
Le lendemain le prince, qui n'avait cessé de penser à la comtesse Rose de l'Ancrai, était aller voir un des grands inventeur de l'époque pour qu'il lui porte conseil : Remus de Vinci.
"Mais si l'on rencontre l'âme sœur et que par malheur celle ci nous soit enlevée mais que nous rencontrons une nouvelle âme sœur était ce la première ou la deuxième qui nous était destinée ? Et si la première n'était pas morte aurions nous jamais rencontré la deuxième ? Ou alors c'était la deuxième qui nous était destiné ?" (NDLR: la phrase hyper filosophique lol) demanda James.
"A l'amour il n'y a de réponse il faut laissé le temps couler." Lui répondit Remus de Vinci en mettant à ses pieds des sortes de petits bateaux pour flotter sur l'eau.
Lily, elle, était partie tôt le matin pour ramasser des truffes mais arrivée au lac elle décida de se baigner. Elle nageait sur le dos lorsque.
"Attention il va sans doute pleuvoir." Lui dit Remus de Vinci qui marchait sur l'eau.
Lily surprise cria et fit tomber Remus. Ils arrivèrent alors sur la rive où se trouvait James.
"Comtesse ? Que faite vous ici sans vos domestique ?" Demanda t il en souriant contant de l'avoir revu.
"Je leur ai donné un jour de repos." Improvisa Lily.
"Un jour de repos ?" Répéta James.
"Vous n'êtes pas lassé d'être toujours servi ?" demanda Lily
"Non les domestiques sont nés pour nous servir."
"Quoi ! N'importe quoi ! Aucun être humain n'est né pour en servir un autre !"
"Pourquoi faite vous toujours ça ?" demanda le prince.
"Toujours quoi ?"
"Contredire tout ce que l'on vous dit ? Ca doit être fatiguant à la longue."
"C'est seulement ce que vous dîtes qui me fait vous contredire."
"Lily !" S'écria alors une voie.
"Oh je suis désolé il faut que je rentre, je ne me suis absentée que trop longtemps." Dit Lily en commençant à partir.
"Attendez !" S'exclama le prince. "Quand pourrais je vous revoir ?"
"Oh je ne sais pas mon seigneur… je…" commença Lily.
"Appelez moi James."
"Je doit partir."
Lily disparue alors dans la forêt et rentra chez elle.
James lui rentra au palais ou il parla de la comtesse Rose de l'Ancrai à la reine sa mère.
"La comtesse Rose de l'Ancrai tu dit ?" demanda la reine.
"Elle logerait chez une de ses cousines."
"Non je suis désolé James je ne connais pas. Bon dépêche toi de te préparer pour le jeu de paume."
"Mais il faut que…"
"Non James ! Tu l'as déjà reporté ce match". Gronda sa mère. "Va te préparer."
Il parti donc se préparer.
