cette fic n'est pas de moi mais de kits. Il est du point de vue de Pan.
Chapitre 1 : Une petite vie bien tranquille
Je m'appelle Pan, je suis la fille aînée de San Gohan. J'ai maintenant 17 ans. Mon père est mort dans des conditions étranges : la nuit où on avait ramené Miiky, mon petit frère, à la maison, cinq jours après sa naissance, quelqu'un est entré dans la chambre de mes parents et a tué mon père à coup de couteaux! Ma mère n'a rien vu, ni rien entendu… Mais cette fois, on sait qui a fait ça ! Il doit encore rester des fantômes des Tam ! Ils étaient sans doute venus se venger de mon père, mais aussi de mon oncle, San Goten, et de Trunks. Oui, ils sont morts tous les trois… Tués de la même façon… Maintenant, je m'entraîne avec Végéta et mon grand père qui ont pu être ressuscité grâce à Dendé ! Grâce à Dendé ? En fait, je sais pas… Ils ne me l'ont pas dit, alors je suppose que c'est grâce à lui, vu que c'est lui le dieu de la terre… Enfin, quoi qu'il en soit, ils sont là et bien vivants !
« Grande sœur, tu viens ? Sinon, Végéta va nous gronder ! » lâcha une petit voix. C'est la voix de mon frère, Miiky, il ressemble terriblement à notre père, il a six ans, il a les cheveux noirs épais et longs retenus par une queue exactement comme mon père à son âge ! Ils se ressemblent vraiment très forts ! Surtout avec cette tenue à cheval entre le mauve et le bleu marine que lui avait donné Piccolo.
Nous sortîmes de la Capsule Corporation. C'est là nous vivons, tous ensemble ! Moi; Bra; Végéta; mon grand-père, San Goku ; Miiky; mon cousin, Yann; Zarina, la fille de Trunks; Tracy; ma mère; ma tante Mady; Bulma et ma grand-mère, Chichi.
Zarina a les cheveux châtain, très court en bataille au dessus de sa tête, elle ressemble à un garçon à son allure et à son comportement, mais c'est bien une fille.
« Ah ! Vous voilà ! » lâcha-t-elle désagréable, les bras croisés. « On commençait à désespérer, vous êtes pire que des limaces ! »
« La ferme Zarina ! » dis-je, dégoûtée par le ton qu'elle avait prit.
« Heu… Ouais ! » fit enfin Miiky après hésitation en accrochant ma jambe.
« Ah, toi ! La petite mauviette, tu l'as ferme ! Tu sais même pas voler ! T'arriveras jamais au niveau de ton père ! »
« Et toi ? Tu crois franchement que tu arriveras à atteindre le niveau de ton père ? Parce que, lui, il avait de la sagesse et de la gentillesse ! »
« Pu ! Je m'en fous de mon père ! S'il était si fort et si intelligent que ça, il aurait pas du mourir ! ». Sur ce, elle s'en alla. Elle est vraiment insolente ! Elle est pire que Végéta ! Je ne sais pas si c'est dans sa nature ou bien alors si elle imite son grand-père pour lui plaire, mais c'est insupportable ! J'alla le voir.
« Tu devrais un peu mieux éduquer ta petit fille ! Elle a encore dit à Miiky qu'il n'arriverait jamais à rien ! » lui dis-je sévèrement. Il me regarda, puis regarda Miiky, je sentis ce qu'il pensait, il pensait qu'elle n'avait pas tout à fait tord !
« Non, Végéta ! Il a de très grandes capacités ! Il suffit juste de les faire sortir ! » m'énervais-je.
« Mais, je n'ai rien dis… » répliqua calmement Végéta.
« Non, mais tu le pensais ! »
« En fait… Vous ne serez ni l'un ni l'autre aussi forts et puissants que vos paternels ! Pour la simple et bonne raison que vous ne pouvez pas vous transformer en super saiyen ! Vous n'avez pas assez de sang saiyen en vous, pour ça ! »
« On sait ! Mais c'est pas une raison ! »
C'était dépriment ! Personne ne me comprenait ! Bra, qui ne se battait pas, semblait se ficher complètement de la situation ! Elle passait ses journées au téléphone avec principalement des garçons ! Bra et moi sommes amies mais pas comme l'étaient son frère et mon oncle ! Non, nous on n'essayait pas de se copier l'une l'autre !
Maintenant, on pouvait le dire ! On avait un rythme de vie ! Et une nouvelle fois les fantômes des Tam prenaient leur temps ! Notre rythme était le suivant : on se levait à six heures et demi pour l'entraînement du matin qui durait une heure. On prenait ensuite un bon petit déjeuner avant d'aller à l'école. Dés qu'on rentre, on a un grand entraînement jusqu'à six heures. Après, nous faisons nos devoirs, puis nous mangeons et enfin, le soir, on peut vaquer à nos loisirs et à la détente !
Nous étions tous réunis dans le jardin, tous les combattants ! Les trois petits en ligne, Goku et Végéta en face et moi sur le côté. Les petits étaient en tailleur et regardaient leurs maîtres attentivement.
« Alors voilà… » commença mon grand-père. « Aujourd'hui, on a décidé, Végéta et moi, avec l'approbation de Pan de vous apprendre la danse de la fusion ! »
Yann, Miiky et Zarina se regardèrent sans vraiment comprendre.
« La fusion, c'est un être qui est composé de deux autres êtres différents, pour devenir plus fort ! » expliqua Végéta voyant que les enfants n'avaient pas compris.
« Ah… » firent les plus petits.
« On va vous faire une petite démonstration ! » enchaîna Goku, gaiement.
« Non ! Ca, jamais ! Jamais plus, Goku ! » cracha Végéta, fermement. Ils se regardèrent un moment. « Heu… Non! Je voulais dire Kakarotto ! »
« Non! Non, trop tard! Tu m'as appelé Goku ! » se réjouit Kakarotto. « Youpi ! » continua-t-il en se sautant les bras en l'air. Il se mit à courir comme un dingue en hurlant. « Chichi, Bulma, Mady, Videl, Tracy, Bra ! C'est un miracle, Végéta m'a appelé Goku ! »
L'autre Saiyen, les bras croisés, haussa les sourcils.
« Quel idiot ! » lâcha Zarina en jouant avec une brindille dans la terre. « Je vous plains d'avoir un grand-père pareil ! » fit-elle ensuite à moi, à mon frère et à mon cousin.
« Zarina, tais-toi ! Tu parles trop ! Tu uses ta salive pour rien ! » fit Végéta, calmement.
« Si ma mère dit vrai, mon papa et mon parrain et donc ton père, Zarina, fusionnaient… » dit Yann.
« C'est exact, Yann, ta mère n'a rien inventé ! Mais ils faisaient une bien meilleure fusion que Kakarotto et moi… » répondit son maître en se défilant par la même occasion pour ne pas qu'un des petits insiste pour avoir une démonstration.
« Et comment on fait pour fusionner ? » demanda Miiky.
« En faisant une danse ridicule ou en mettant des boucles d'oreilles immondes ! » répondit le prince des saiyens.
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Dans la maison, tout le monde avait ses tâches à faire. Chichi s'occupait de la cuisine. Bulma, Mady et Tracy de la finance et Videl, des enfants. Le soir et le matin, tout le monde mangeaient de bon cœur !
Le lendemain matin, tout le monde s'apprêtait à partir. Les enfants, moi et Bra prirent nos sacs et passèrent chacun devant ma grand-mère qui nous donnait notre déjeuner, aujourd'hui comme dessert, un cake au chocolat ! Nous prîmes chacun un sac en papier.
« Zarina, viens un peu ici, ma chérie… » appela Tracy.
« Maman, ne m'appelle pas 'ma chérie' ! » râla sa fille en s'approchant. Sa mère se mit à lui frotter la joue du pouce.
« T'es toute sale ! » chuchota-t-elle. Zarina se dégagea en grognant et s'en alla.
« Viens ici ! » ordonna Bulma à sa petite fille. Elle s'arrêta et se retourna.
« Grand-mère, je… » fit-elle.
« Viens ! Ta mère t'autorise peut-être à faire n'importe quoi car c'est une petite gentille toute douce, mais pas moi ! J'ai réussi à dresser Végéta, le prince des saiyen, le plus fier et le plus orgueilleux… ». Son compagnon cracha son café en entendant sa femme et Goku éclata de rire
« La ferme ! » fit Végéta
« Alors une petite gamine insolente comme toi, essayant de l'imiter, j'y arriverais tout aussi bien ! » termina la grand mère de Zarina fermement.
« Bra, tu te dépêches de finir de te peinturlurer, on va être en retard ! » fis-je en voyant Bra se maquiller sans se presser.
« Ouais, ouais… » répondit-elle.
« Elle me fait penser à Tamarra… » soupira Mady à Tracy qui se mit à rire.
Enfin, tout le monde partit pour la journée… Comme vous pouvez le constatez, tout se déroulait comme une petite vie comme toutes les autres… J'espère tellement que ça continue… Le soir, ma mère aidait mon frère pour ses devoirs :
« La… Nou… Nou…v… Nouvelle… » commença-t-il.
« Oui, nouvelle, c'est bien, continue… » encouragea Videl.
« Voi… Voiture… En… e… »
« Entr… »
« Entre, dans le… Gara… Ge… ! » acheva Miiky. (super phrase très recherchée !…)
« Bravo ! » félicita ma mère en frottant l'épaule de son fils.
Je trouvais Yann très calme et rêveur, comme ce matin d'ailleurs. J'alla le voir. Je m'assis à califourchon sur une chaise à côté de lui.
« Eh bien, cousin, qu'est-ce qui t'arrive ? » demandais-je, amicalement.
« J'ai encore fait ce rêve… »
répondit-il, avec une lueur de peur dans les yeux. Il m'avait
déjà raconté qu'il faisait un rêve, ou
plutôt un cauchemar, il me racontait qu'il était
devant des barreaux de bois, sûrement qu'il rêvait
qu'il était bébé, il ne bougeait pas, il
faisait noir, et soudain, il entendait des pleurs, des pleurs d'une
voix mature, d'une voix d'homme…
« Non… Non !
Pourquoi ? Pourquoi… POURQUOI ? Pourquoi, maintenant… »
pleurait-t-il. Soudain, Yann entendit un mouvement de fracas, puis
une main et un bras vinrent agripper son landau et la voix
continua.
« Pardon… Yann… Pardonne-moi… Mais je n'saurais pas… Je me… Je me suis fais avoir… Pardon… Yann… Pardonne-moi… » gémit-il difficilement avant de s'effondrer pour ne plus remuer après… C'est à chaque fois à ce moment que mon cousin se réveille.
« Allez, t'en fais pas ! Tu vas bien finir par trouver la signification de ce rêve ! » le rassurais-je, en lui frottant le dos de ma main. Yann, lui, on ne sait jamais ce qu'il pense ou ce qu'il ressent, on ne saurait jamais dire s'il est triste ou gaie… Sauf quand il fait ce rêve, on peut voir qu'il a peur…
