Vocabulaire xReader
(t/p): Ton prénom.
(c/y):Couleurs yeux.
(c/c):Couleurs cheveux.
Fraise
PDV Sukuna
Il était déjà 23 heures quand je décidais enfin de me pointer à l'adresse que mon idiot de jumeau m'avait donné. Je gare ma moto et retire mon casque afin de profiter de la vue. La monstrueuse baraque de deux étages avait de quoi accueillir bon nombre de personne. Même si j'étais encore dehors, je pouvais sans problèmes entendre les basses des enceintes. L'ambiance était clairement à la fête.
Encore les fesses sur mon bolide, j'hésite un instant avant descendre. Ça faisait combien de temps, que je n'avais pas mit les pieds dans une fête ? Cinq ans ?
Sur l'un des balcons, j'aperçois des meufs fumer et boire, elles rigolent et s'amusent entre elles. J'en vois une me faire signe et m'envoyer un baisé au loin. Je me mordille la lèvre et finis par sortir le pack de bière que j'avais rangé dans la sacoche de ma moto. Je vérifie que mon jean cache bien mes chevilles puis me dirige vers la maison.
Je n'allais pas sonné, mais je regarde sur la porte un écrito qui précisait justement de ne pas le faire… alors je sonne quand même. Et rentre.
Là, nombre d'étudiants, dansaient, riait, discutaient, chantaient ou bien se galôchaient. Je trouve une place sur un porte manteau et dépose ma veste en cuir noir. Ensuite je cherche le buffet, dépose mon pack et me sers une bière.
Dans cette ville, il y a deux grande écoles, une de commerce et une autre d'art. J'identifie les étudiants au tours de moi et associe avec facilité une personne avec une filière. C'était simple, ceux qui étaient en chemisette et beaucoup trop propre sur eux même étaient en école de commerce et ceux qui ce tenaient en tenue colorée et décontractée en école Art. Complètement cliché mais vrai. J'ai l'habitude mais j'étais l'intrus, car je n'étais ni coloré ni en chemise mais bel et bien en jean déchiré et débardeurs noir.
Maintenant ne connaissant personne dans cette fichu fête, je pars à la recherche de Yuji, mon stupide frère. Après avoir ignoré bon nombre de belle chaudasses, je finis par le trouver avec une bière à la main et les jambes dans la piscine un bras posé sur les épaules d'une meuf et elle sur sa hanche.
De loin, elle avait l'air incroyablement mignonne, elle avait les cheveux de couleur (c/c), elle portait une jupette à fleur, un débardeur et gesticulaient ses jambes dans l'eau. Bref, tout à fait mon genre…
Ils avaient l'air de bien s'amuser et de commencer à sympathiser. Avant, il y avait bien quelque chose que j'appréciais quand je sortais avec mon frère… c'était de réduire ses chances de sortir avec une fille de zéro. Surtout quand la meuf en question pouvait potentiellement m'intéresser.
Je contourne alors la piscine, dévisageant toujours mon frère et la fille. Ils riaient de bon cœurs tendis que Yuji lui montra quelqu'un du doigt. Je regarde dans la direction, et remarque un mec torse poil et musclé tel un catcheur hurler à plein poumon des conneries.
-...me fait pas rire Yuji !
-Pas faux ! Et lui là bas ?!
J'arrive derrière mon frère et lui claque les joues : Je suis là !
Yuji ce tourna vers moi souriant jusqu'aux oreilles : Sukuna ! Moi qui pensait que tu n'allais pas pouvoir venir!
-Vu que je suis un garçon extrêmement sage, j'ai eu le droit à une permission !
-Tu ne ferais pas un peu d'ironie ?
-Non ? Tu crois ? Souriais-je.
Il sourit tristement, alors pour changer de sujet je tourne les yeux vers la fille qui ce tenais toujours à la hanche de Yuji.
-Tu me présentes ? Demandais-je curieux.
-Ah oui bien sûr ! Voici (T/P), c'est ma copine !
Non, c'est pas possible... ils sortent ensembles ?! Depuis quand mon frère à une meuf ?! Depuis quand il a autant de succès avec les filles ?!
Silencieusement, (T/P) sortit ses jambes de la piscine, elle ce leva et on se fit la bise. J'avais la rage mais fis mine de rien.
-Depuis combien de temps ?!
Yuji ce leva aussi, dévisageant (T/P), celle-ci compta sur ses doigts, et sourit jusqu'aux oreilles : ça fait un peu près trois ans ! On c'est rencontré en école d'Art.
Je crache ma gorgée de bière dans la piscine. Bordel, il n'avait pas le droit d'avoir une relation aussi sérieuse avec une meuf comme ça ?!
Le sourire de (T/P) était aussi éblouissant que le soleil !
(T/P) continua à toujours me sourire aussi sincèrement et ses yeux (c/y) m'identifiait, je ne sais pas si ça me plaisait ou me mettait mal à l'aise qu'une femme puisse me dévisager comme ça… genre sans mettre aucun filtre. Du coup, même si il s'avèrent que soit la copine de mon frère… je l'imite et remarque que sous son débardeur ses tétons pointes, elle n'a pas de soutiens gorge ?!
Puis soudainement, elle s'avança un peu plus prêt de moi, toucha mon visage, mon cou puis elle descendit sur mon débardeur -moulant- et dessina mes pectoraux.
-Wahou… Vous avez beau être jumeaux, vous ne vous ressemblez pas du tout !
Je rougis sous la surprise, c'était quoi le problème de cette meuf ? Pourquoi elle me tripotait devant son mec ?! Je dévisage mon frère, il finissait sa bière en levant les yeux vers le ciel.
-Yuji m'a tellement parler de toi ! J'avais hâte de te rencontrer !
Ah bon, il lui a parlé de moi ? En bien j'espère ?! Qu'est-ce qu'il lui a dit ?!
Alors que je pensais qu'elle n'allait jamais s'arrêter et qu'elle descendait jusqu'à mon bas ventre. Soudainement, elle s'arrêta :
-Oh c'est pas possible ?! C'est ma musique ! Je m'en vais sur la piste de danse les garçons ! A plus !
La musique en question était un truc ringard des années 70, et on ne pouvait pas vraiment dire que c'était de la musique pour danser.
Yuji, me donna un coup coude : Fait gaffe ton aubergine pousse un peu trop vite !
Je grogne et cache tant bien que mal la bosse sous mon pantalon. Je voulais essayer de penser à une grand-mère en maillot de bain mais il était vraiment difficile de me sortir les tétons pointues et les douces mains de (T/P).
-T'es vraiment pas sortable… Soupira Yuji.
-Ait un peu de pitié pour ton frère ! Je te signal que je n'ai pas baisé depuis cinq ans.
Après que mon érection ce soit calmé, on rentra dans la maison et nous nous dirigeons vers le buffet afin de nous servir de nouveau. Au loin, je regarde (T/P), toujours pieds nues elle dansais dans un rythme irréguliers, beaucoup d'autres hommes la mataient sans pourtant osé s'approcher d'elle... cette meuf était vraiment canon.
-Dit moi Yuji… (T/P) et toi vous êtes en relation libre ?
-Hein ?
-Votre relation… vous vous êtes dit que vous pouvez aller baiser avec qui vous voulez ?
-Évidement, que l'on baise avec qui on veut ! Enfin/
-Attends… t'es sérieux ?! Tu sors avec cette meuf super canon depuis trois ans, vous baisez ensemble et vous baisez aussi avec qui vous voulez ?!
Yuji avala de travers, alors qu'il tousse, je me moque de lui tout en lui donnant des petites tapes dans le dos. Des larmes douloureuses coulent tendis qu'il essayait de me répondre.
-Putain tu n'as rien compris !
Amusé et curieux, je croise des bras attendant de plus ample explication.
-T'es dégueux, sérieusement (T/P) c'est la sœur que je n'ai jamais eu ! Et je ne suis pas pour l'inceste !
-Qu'est-ce que tu me racontes ?! Vous vous tripotez comme si vous étiez en couples ! Et ose me dire qu'elle ne t'as jamais fait les yeux doux ?
-Ah, c'est vrai… t'es pas au courant toi.
-Hein ?
On regarda (T/P), celle-ci dansait toujours aussi follement. Un homme de grande taille avait finit par là rejoindre. Il là fit danser, la faisant alors tournoyer, sa jupe monta légèrement et je pu apercevoir un magnifique morceau de dentelle. A lui aussi elle lui souriait franchement, cet homme étrange portait des lunettes de soleils… Des lunettes de soleils en pleine nuit ? Complètement débile.
-Tu vois ce grand type aux cheveux blanc.
-Hum ?
-C'est le propriétaire de la maison et notre prof d'art dramatique.
-Et bhin… depuis quand ça paye aussi bien prof ? Et alors ?
-Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai gravis sa montagne.
Surpris, je crache ma gorgée de bière, tout en continuant à écouter mon frère.
-Et tu vois le garçon blasé aux cheveux en pétard ? C'est mon ex.
-Bref… t'es pédé.
-Tu as tout compris, cependant je préfère que l'on me caractérise de « Gay » ou d'« Homo ».
Je soupire, sans vraiment enregistré ce qu'il venait de me dire, j'en avais raté des choses en cinq ans.
Je regarde la foule qui était autours de la piste de danse, les mecs qui comme moi mataient (T/P), n'étaient que les étudiants en commerces. Au contraires ceux en arts, avaient l'air de bien ce foutre de notre gueules. Yuji posa une mains sur mon épaule :
-T'es intéressée par (T/P) ?
-Ouais...elle est carrément bon-belle.
-C'est moi ou tu allais dire « bonne » ? Grogna Yuji.
-Hein ? Non, j'ai dit belle.
Oui, j'allais dire bonne.
Yuji me dévisagea perplexe, il n'aime pas que je parle de cette manière des filles. C'est vrai, je suis quelqu'un qui a tendance à ne pas avoir les meilleurs élégances avec les femmes… et alors ? Mon frère soupira abandonnant le mot sur lequel j'ai fourché.
-Vu que je suis le meilleur des frères du monde, je vais t'éviter un quiproquo gênant et au pire une semaine de torture.
Je le dévisage sans comprendre ce qu'il voulait me dire par là.
-Laisse tomber cette fille. Aucun mec n'est aller au-delà...
Yuji ne pu terminé sa phrase, la chanson des années 70 laissais place à quelque chose de plus actuel. (T/P) vint nous retrouver, toujours avec autant de joie sur son visage. Elle prend un jus de fruit et c'est bras dessus bras dessous qu'elle nous attrapa.
-J'adore Queen ! Sourit-elle d'aise.
-Y a mieux pour dansé. Dit Yuji.
Elle posa sa tête sur l'épaule de mon frère: Peut-être… Mais au moins je suis heureuse que je ne sois pas la seule à apprécier de pouvoir dansé sur ça ! Monsieur Gojo est vraiment un prof génial !
Je reste silencieux, dévisageant (T/P) qui sirotait doucement son jus de fruit en regardant la foule, qui pour la plupart était complètement torché. Maintenant que je savais que j'avais le champs libre pour draguer (T/P), je ne savais pas vraiment comment m'y prendre.
-Tu sais quoi (T/P) ? Demanda Yuji.
-Hum ?
-Sukuna, il a cru que j'étais amoureux de toi.
Elle ricana gentiment et me dévisagea : Je ne crois pas que Yuji apprécie les fraises.
(T/P) aurait pu dire « les femmes », « les filles », « les meufs »,« les Chattes » ou « les Vagins » mais non elle a choisis « Fraise », c'était adorable.
-Oui...je viens tout juste d'apprendre qu'il est plutôt aubergine. Souriais-je.
Elle ricana et ses yeux vinrent une nouvelle fois ce promener sur moi. Elle n'était aucunement discrète. Peut-être qu'elle aussi elle était attirée par moi ? Ce sera peut-être plus facile que je le pensais.
-Aller viens Yuji ! On va danser !
Yuji n'eut le temps de répondre quoi ce soit qu'il fut entraîner par son prof d'art dramatique. (T/P) et moi, nous nous retrouvons seuls, sans réel sujet de discutions. Après un blanc, elle vint caresser mes biceps finissant par brisé la glace :
-Tu as des tatouages sur les bras… et j'en vois dépasser de ta nuque.
-Oui.
-Tu en as d'autre ?
-Oui, dans le dos et sur le torse.
Une nouvelle fois, sans aucun filtre, comme si elle était hypnotisé, elle toucha mes pectoraux et descendis. Je finis par lui prendre ses deux mains, franchement cette fille avait l'air d'être quelqu'un de géniale et de spéciale mais se soir… j'étais trop en manque :
-Tu veux les voir d'un peu plus près?
-ça ne te dérange pas ? Demanda t-elle surprise.
-Bien sûr que non ! M'exclamai -je.
Là, tout ce passa très vite, elle partit chercher ses chaussures et on récupéra nos vestes. Je fus amusé de voir que nos cuirs étaient assortis. On sortit de la maison et elle me demanda :
-Elle est où ta voiture ?
-Je n'ai pas de voiture. Je suis en moto.
-Wahouuu ! J'ai toujours rêvé de monter sur une moto !
Je m'amuse en la regardant, excité et émerveiller, elle scruta ma moto dans les moindre détails. Je finis par lui donner le casque que je réserve pour le passager. Et elle s'assit derrière moi en s'accrochant fort à ma taille. Elle me donna son adresse et nous roulons jusqu'à chez elle. Pendant le trajet, grâce au vent qui relevait sa jupe je pu parfois voir la belle culotte en dentelle. Je pouvais déjà bien apprécier l'apéritif.
Enfin arrivé,nous montons les escaliers de l'immeuble et entrons enfin dans une petite chambre d'étudiant. A peine que l'on entra que l'odeur de la peinture, surpris mon nez, plusieurs toiles ce disputaient la place avec les pinceaux et autres pots de peintures. Elle avança dans le petit studio et ce dirigea dans la salle de bain :
-Tu peux commencer à te déshabiller, j'arrive dans quelques minutes.
-Toi au moins tu es directe.
Alors qu'elle était dans la salle de bain elle me répondit : Heureusement sinon ça prendrait des heures !
Je retire mes vêtements et m'allonge sur son lit une place. Lui aussi il sentait fort la peinture acrylique. Cependant son oreiller avait la douce odeur d'un shampoing à la fraise.
Elle ressortit de la salle de bain, habiller d'un short et d'un top. Pourquoi elle était en pyjama ? Elle ce dirigea vers moi, me dévisageant avec toujours autant d'intérêt. Elle dessina les tatouages qui ce trouvais sur mon torse puis elle prit mon visage entre ses mains et plongea ses magnifiques yeux (c/y) dans les miens. Elle ce mordilla la lèvre inférieur et souffla doucement dans mon oreille :
-Sukuna ?
-Oui ? Gémissais-je.
-Je veux tout savoir de toi. Je veux connaître chaque parcelles de ton corps. Je veux apprendre ta parfaite musculature. Je veux connaître les moindres secrets de ton être. Connaître t'es habitudes, t'es réflexes jusqu'à t'es tic…
Je n'ai jamais eu ce genre de déclaration avant un premier rapport sexuels. C'était à la fois excitant et très artistique.
-Est-ce que tu es d'accords ? Me laisses tu la permissions de te croquer?
Whaou… jamais une fille n'avais été aussi entreprenante avec moi. D'habitude c'était plutôt moi qui disait ce genre de chose. C'est moi qui me mettait sur elles et les dévoraient toutes cru.
-Avec plaisirs~.
Son souffle chaud s'en alla de mon cou et elle posa ses mains à différents endroits de mon corps afin de me faire changer de position. Elle stoppa un instant son geste quand elle vit l'imposant bracelet à ma cheville mais elle reprit très vite ce qu'elle faisait. Je lui demande quand même :
-ça ne te dérange pas ?
-Un peu, mais ne t'inquiète pas je vais me débrouiller.
Sa réponse était étrange, mais je ne lui dis rien de plus et continua à l'observer. Le sourire au lèvres, son regard ce déposa sur mon membre en érection. Ensuite elle s'éloigna et s'assit sur un tabouret, un carnet et un crayon dans la main elle sourit :
-Parfait ! Maintenant tu ne bouges plus !
Hein ?
