Vocabulaire x Reader:

(t/p): Ton prénom

(c/y): Couleurs yeux

(c/c): couleurs cheveux


En cours, j'écoutais avec ennuis notre professeur, nous étions en train de travailler les parties du corps humain. Ce sujet était ancré dans ma tête depuis plusieurs années et je connaissais chaque os et chaque muscle que pouvait avoir un homme ou une femme.

Et puis j'avais la tête ailleurs, le corps de Sukuna m'avait complètement envoûté. Ses os qui craquaient, ses muscles qui se contractaient, sa pomme d'Adam qui montait ou descendait, sa mâchoire, ses clavicules, son cou, son trapèze, ses omoplates, son dos, son torse, ses côtes, son bassin, ses hanches, ses jambes, ses bras, ses pieds, ses mains… tout était parfait comme son pénis dur ou bien au repos.

Jamais je n'avais éprouvé tant de fascination pour un modèle ou même un être humain.

-Mademoiselle (T/N), Pouvez vous répétez ce que je viens de dire à l'instant ?

Je grimace malgré moi : Euh...non, pardon.

-Je disais que...(blah blah blah…) Si mon cours ne vous intéresse pas, vous pouvez sortir d'ici. Je ne vous en empêcherais pas.

Je reste silencieuse, son cours ne m'intéressait pas mais je devais malgré tout rester ici, si je voulais que l'on me note présente au cours.

Yuji qui était à côté de moi me sourit malicieusement : Laisse moi deviner...tu pensais à Sukuna ?

Je ne sais pas pourquoi mais je rougis gênée: Oui.

-Je ne t'ai jamais vu dans un état pareil pour un modèle, voir qui ce soit. Il se passe quoi ?

-Je ne sais pas moi même, tu sais quoi ? J'ai mal au ventre tellement je suis impatiente de revoir son corps parfait !

Une légère grimace ce dessina sur sa bouche et il pouffa doucement. Il coucha sa tête sur son bureau et me regarda le sourire au lèvre : Je suis heureux que tu puisses enfin ressentir ce genre de chose, raconte ?

-Bah...ça fait déjà quatre jours que l'on ne s'est pas vue. Je m'endors en pensant à lui, je me réveille en pensant à lui et je mange en pensant à lui ! Ça devient une obsession ! Il faut absolument que je le revoie !

-Oh~… Tu me raconteras comment c'est passé votre ranc… sortie au bar ? Se soir, il me semble ?

-Comment tu es au courant ?!

-ça c'est un secret ! Ricana t-il.

Je reste silencieuse puis Yuji reprit :

-Prend de quoi le croquer, peut-être que vous n'allez pas que boire un verre.

Je souris à l'idée de pouvoir redessiné Sukuna. Quand le cours ce termina Yuji me prit à part, il sortit son portefeuille de sa poche et me tendit un carré plastifié. En relief, à l'intérieur du plastique il y avait un cercle, on pouvait voir aussi d'écrit « goût fraise, maxi plaisir, taille L».

-Tiens, je pense que ça doit être la bonne taille...on ne sait jamais.

-C'est quoi ? Un bonbon ?

Il posa ses mains sur mes épaules, déversant de nombreuses larmes de crocodiles: Écoute (T/P), tu es comme ma sœur ! Tu m'as aidé à accepter mon homosexualité alors à présent c'est à moi de t'aider !

-De m'aider ? A quoi ?

-Ma pauvre ! Je ne sais pas si j'ai envie que tu restes aussi naïve et aussi pure qu'un ange ou que le désir et la perversité te fasse pousser des cornes et une queue de succube.

Il déposa le morceau de plastique dans ma main: C'est une capote fais en bon usage !

La sonnerie retentit, je ne compris rien à son charabia et je n'ai eu le temps de lui demander quoi ce soit qu'il c'était déjà enfuit en courant.

Depuis quand je suis un Ange ? Pourquoi je me transformerais en succube ?C'est quoi une capote et ça sers à quoi ?

L'après midi ce termina lentement et je pris le bus pour rentrer. Quand j'arrivai chez moi, en sueur je m'en vais prendre une douche, je cherche pendant trente minutes une tenue et finis par remettre le short que je portais et un t-shirt colorée des plus basique. J'essaye de me maquiller et le résultat est une catastrophe… Pourquoi j'ai essayer ? Je n'en ais aucune idée.

L'heure tourne et Sukuna devrait arriver d'une minute à l'autre. Je me démaquille et rempli mon tote bag de mon matos habituel. L'interphone sonne et je me précipite vers le combine :

-Oui ?

-Salut l'artiste, t'es prête ? Je t'attend en bas !

-J'arrive tout de suite !

Je mets ma veste en cuir, mes baskets et descend l'escalier en trombe. Arrivé en bas, son casque entre les mains, assis sur sa moto Sukuna avait l'air d'être surprit en me voyant. Il sourit malicieusement : Wahou, C'était rapide ! Je te manquais à se point là~ ?

Essoufflé par mon sprint, je m'avance un peu plus doucement vers lui et sourit : Voyons tu devrais savoir que l'on ne fait pas attendre un Apollon !

-Oulaa~ fait attention je vais commencer à y prendre goût ! Et mes chevilles gonfles très vites !

J'enfile le casque, m'assoit sur la moto et enroule mes bras autour de Sukuna. Comme la dernière fois, même en le serrant fort, je ne pouvais pas trouver ses pectoraux ou ses abdominaux derrière sa veste en cuir. C'était affreusement frustrant.

On arriva dans le centre ville et à un feu rouge Sukuna me demanda :

-Hum...ça fait longtemps que je ne suis pas venu en ville. Tu connais une bonne adresse ?

-Oui, bien sûr ! Alors…

Je lui indique le chemin et nous arrivons dans un bar à l'ambiance rock'n'roll. Vu qu'il faisait beaucoup trop chaud dehors nous décidons de nous installer à l'intérieur, près d'une fenêtre.

En attendant qu'un serveur vienne prendre notre commende, je regarde à travers la vitre. J'appréciais ce bar, ainsi que l'ambiance alors j'y allais souvent. Et donc en réfléchissant bien ce n'était peux être pas une si bonne idée de venir ici. Vu le nombre de fois où j'ai fais découvrir ce lieu à des modèles, la dernière des choses que je voudrais qu'il arrive c'est d'en croiser un.

-ça ne va pas (T/P)? Me demanda Sukuna alors que je devais grimacer.

Je pense à autre chose et lui souris : Tu veux voir les croquis que j'ai fais la dernière fois ?

-Euh… on n'est pas vraiment au bon endroit pour…

Je lui donne mon carnet et voilà que ses joues s'empourpre : C'est… étrange de se voir… de cette manière.

-Tu veux dire que tu ne t'ai jamais vue nu ? Souriais-je.

-Bien sûr que si ! Mais savoir que...enfin qu'une aussi belle meufemme m'ait dessiner les couilles est assez…

Il s'arrêta de parler, certainement par ce que le serveur venait d'arrivé. Je commende un Mojito et lui une bière.

-Yuji m'a dit que tu évitais l'alcool. Je pensais que tu prendrais un jus comme à la fête.

-Ah ? Il t'as dit ça ? Je suppose que oui, c'est pour que je sois sobre quand je croque mes modèles.

Sukuna s'amusa de ma réponse : Je crois comprendre en effet.

Nos commendes arrivèrent et je lève mon verre : Peut-on trinquer à ma magnifique Muse ?

Sukuna regarda une nouvelle fois mon carnet de croquis puis sourit : Je te laisse mon corps entre t'es mains… J'ai hâte d'être ton modèle !

On trinqua, mon ventre ne me faisait plus mal mais dans ma culotte je ressentais d'étrange mais d'agréable pulsation, ça me chatouillait presque. J'étais vraiment heureuse et excitée de savoir que j'allais pouvoir dessiner ce corps magnifique.

Tendis que je dévisageais Sukuna regarder avec intérêt mes différents croquis, une personne déposa ses mains sur notre table. Je le connaissais mais n'avais aucune envie de lui parler.

-(T/P) je/

-S'il te plais va t'en… Je n'ai pas envie de te parler. Le coupais-je.

Il frappa du poing sur la table et Sukuna ce redressa sur son siège regardant calmement la scène. L'homme jeta un œil au carnet de croquis et explosa :

-Non, j'y crois pas ?! Tu as dessiné ce type ?!

-Oui et alors ?

-Non ce que je veux dire… c'est que tu es aller à l'étape suivante !

Je ne comprend pas ce qu'il voulait dire par là. Alors je me répète :

-Bon je t'ai dit quoi là dernière fois que l'on c'est vue ?! J'appréciais pouvoir te croquer mais ça s'arrête là !Je ne veux plus avoir affaire à toi et je ne veux pas d'un modèle qui a ce genre de comportement déplacer envers moi !

-Ah ! Parce que tu crois quoi ? Que ce type pose pour toi seulement pour te faire plaisir ? Non, il est comme tout les autres… tout ce qu'il veut c'est ta cha/

Là, Sukuna prit mon ancien modèle par le col de son t-shirt et leva le poing s'apprêtant à frapper. Mais il resta immobile, tremblant et serrant les dents: Écoute elle t'a demander de la laisser tranquille ! Alors tu dégages !

L'homme hocha positivement de la tête et s'en alla en courant, Sukuna lui cria avant qu'il ne sorte du bar: Si je te vois encore traîner autour d'elle… je te bute !

Il s'affala sur son siège, sous la frustration il prit une bonne gorgé de bière. Quand à moi je soupire soulagée :

-Merci.

-Pfff… si je n'avais pas ce fichu bracelet à la cheville je lui aurais fichu une belle droite ! C'était quoi son problème ? Grogna Sukuna.

-Bah… il l'a mauvaise car je l'ai viré de mon appartement alors qu'il était encore à poil.

Il ricana doucement : Et… quoi d'autre ?

Je bois une gorgée de mon Mojito : Il a voulu me sauter dessus.

Sukuna resta silencieux puis nos ventres ce mirent à gargouiller. Il était l'heure de ce trouver un casse croûte. Il proposa que l'on aille prendre des pizzas à emporter puis que l'on rentre manger le tout chez lui. J'accepte et c'est avec nos deux pizza que l'on arriva chez lui.

Alors qu'il rangeait sa moto dans le garage, moi c'est la bouche grande ouverte que j'observe le devant de sa maison. Le genre de maison qui fait luxueuse mais pas trop et tellement carré qu'un géant pourrait s'amuser à prendre la maison du voisin pour en crée un troisième et quatrième étages !

Je ne pensais pas que c'était avec son salaire de garagiste qu'il pouvait ce payer un tel luxe et Yuji ne m'avait jamais parler d'une telle maison !

Voyant que j'étais dans la lune, il me prit les pizzas des mains et je le suivis à l'intérieur. L'ambiance de la maison ne correspondait pas au look ni au caractère de Sukuna. L'Intérieur était aussi propre et bien présenté que les maisons dans les magasines de décorations ou les émissions de télé. Il sourit en commençant à découper les pizzas:

-Tu dois te dire que c'est vraiment moche chez moi? Hein ?

-J'avouerais que ça manque de… personnalité. Ricanai-je.

-Bah à vrai dire ce n'est pas vraiment chez moi.

Je le dévisage surprise, il me pointa un coin dans le plafond, une caméra clignote. C'est vrai que je m'étais posé la question. Qu'est-ce qu'il avait fait pour avoir un bracelet à la cheville et donc maintenant pourquoi il a des caméra dans sa maison ? J'étais curieuse mais pas au point de lui posé cette question. Du moins pas maintenant.

-Et du coup ce n'est pas trop gênant ?

-C'est sûr que si j'ai envie de m'envoyer en l'air avec une meuf...heurm… femme j'éviterais de le faire ici…

Je grimace, je n'aime pas vraiment le vocabulaire qu'il emploi parfois, mais bon il a l'air de ce corriger. Après tout on ne se connaît que depuis quelques jours, je ne vais pas l'embêter avec ça.

-Et tu n'as pas eu de problème la dernière fois, quand tu es resté dormir chez moi ?

-Justement si… normalement j'aurais dû rentré donc j'ai eu un avertissement. Grimaçât-il.

-Dans ce cas on viendra ici pour que je te dessine. Souriais-je.

-Je t'ai dis que je/

-Ne t'inquiète pas on va bien trouver un endroit où il ne verront pas tes parties génitales.

Après qu'il ait finit de couper les pizzas on s'installa dans le canapé et on mit un film. Je l'avais déjà vue mais ce n'était pas grave. Après quinze minutes on entendit de nombreux « clac » et trois « Bip » retentissant.

-C'était quoi ça ?! Demandais-je surprise.

-Mince déjà ? La maison vient de ce verrouiller. On ne peut plus sortir d'ici avant demain. Ça ne te dérange pas de rester dormir ?

-Bah… j'ai pas de pyjama ni de vêtement propre mais je vais faire sans.

-Si ce n'ait que ça, je peux toujours te prêter un t-shirt. Pour le reste…

Il suspendu sa phrase sans jamais la terminée, reposant ses yeux sur l'écran de télé.

Je ne me souvenais plus que dans ce film il y avait autant de scènes érotiques. Ce héro et cette femme dénudée remplissaient mon cerveau d'inspiration. Je me mordille la lèvre imaginant peut-être Sukuna dans l'une de ces positions avec un modèle féminin. Un instant je ferme les yeux, prenant une forte inspiration. On ne peut pas dire que j'étais très à l'aise ou plutôt quelque chose n'allait pas.

Depuis que Sukuna c'était rapprocher de moi et que son bras était partit derrière le dossier du canapé. De nouveau entre mes cuisses l'étrange sensation de chatouillement revint. Mon short me serre les fesses, je tire alors dessus avec le plus de discrétion possible. Cependant je sens le regard de Sukuna ce poser sur moi, ses yeux persans me toisaient et sa respiration ce faisait extrêmement forte. Il avait l'air presque essoufflé. J'avais envie et je n'allais plus me retenir.

Je pris la télécommande et éteignit la télévision, je prend le visage de Sukuna entre mes mains son souffle était étouffant : Laisse moi te croquer, te détailler et t'ancrer…

Ses yeux perçant et plein de malices me faisait un instant penser qu'il avait cru que j'allais lui demander autre chose mais il se mordilla la lèvre : Tu me promets un massage ?

-Bien sûr… bel Apollon. Lui souriais-je

Dans le salon, on trouva un endroit à l'abri des caméras et Sukuna ce déshabilla. Là, je pu revoir l'entièreté de son corps parfait. Ce qui était divin avec lui c'était le calme qu'il inspirait. Ce modèle ne parlait pas, il ne cherchait pas à converser. Tout ce passait dans le regards, à chaque fois que je relevais la tête de mon cahier, tout de suite les yeux de Sukuna m'attiraient dans un tourbillon et j'avais presque la sensation d'avoir l'impossibilité de m'échapper.

Après quelques poses il finit par gémir de douleurs. Je compris qu'il était temps de s'arrêter. Mais même si je referme mon cahier, je continue à observer la divinité qui remettait seulement son caleçon. Sa mâchoire s'ouvra en grand lâchant un bâillement, il s'étira et ses muscles ce tendirent et ce détendirent.

Sukuna s'avança vers moi et prit mon carnet, il regarda ce que j'avais dessiné et ancré, souriant de satisfaction. Il me prit par le menton, me toisant de son regard percant et ce mordillant les lèvres : Pourquoi t'aime tant me dessiner nu ?

Je réfléchis quelque instants, regardant et identifiant de nouveau tout son corps et tous ses muscles. Malgré le fait qu'il avait son caleçon j'imagine sans difficultés ce qu'il y a en dessous. Je suis des yeux ses tatouages magnifiquement bien placé et je finis par sourire jusqu'aux oreilles: -Tout simplement parce que tu rentres dans mes critères de l'homme au physique parfait.

-Wahou…

Sans dire un mot de plus il partit prendre une douche. Alors que la sensation en bas avait disparu, là je me sentais étrangement humide. Je n'avais pourtant pas mais règles et je n'avais pas fait pipi dans ma culotte, alors qu'est ce que c'était ?

Pendant ce temps je fis le tour de la maison. Je reste au rez de chaussé, regardant les pièces environnante, la cuisine relier au salon était tout ce qu'il y avait de plus banale. Du moins comme dans les magasines d'achat d'électroménager.

Je vais dans le garage et identifie les machines de musculations qu'il utilise. Je ne connais rien en machine de sport mais je comprend maintenant pourquoi son corps était si parfait. Je regarde un instant sa moto, souris de toutes mes dents en m'essayant dessus. Je m'imagine sans me lasser dépasser des voitures sur une route en ligne droite.

Après ce moment de pur folie, cette fois-ci je monte à l'étage, j'entends dans la première pièce l'eau de la douche qui coule, donc n'entre évidement pas dans la salle de bain.

Puis je me dirige dans la dernière pièce. Dans la chambre toujours aussi vide de décorations, il y avait un lit deux place, une penderie et une table de nuit. Je vois un cadre dessus, je reconnais Yuji souriant jusqu'aux oreilles en faisant le V de victoire et Sukuna blasé qui fait un doigt d'honneur. Ils étaient jeunes, très certainement en fin de collège. Je souris tendrement, ils étaient vraiment mignons :

-J'étais un vrai p'tit con à cette époque !

Je sursaute, Sukuna était vraiment rapide pour prendre sa douche ! Une serviette au tour des hanches, il s'avança et prit le cadre de mes mains, une virgule ce dessina sur sa joue :

-Quoi que je le sois toujours un peu...

Il me dévisagea comme pour me demander si c'était le cas. Je lui souris en levant légèrement les mains: Je ne peux pas te contredire, après tout je te connais que depuis quelque jours.

Il fit une moue faussement déçu : Moi qui pensais que tu prendrais mon parti et que tu allais me dire quelque chose de gentil ? Mon cœur viens de ce brisé en mille morceaux…

Je rigole doucement tendis que je sors de la chambre pour aller moi aussi sous la douche.

Dans la salle de bain, je retire enfin mes vêtements et remarque avec horreur que ma culotte est belle et bien trempée d'un liquide blanc que je ne connais absolument pas.

Je rince ma culotte dans le lavabo priant pour que celle-ci sèche vite sur le radiateur, qui je précise n'est même pas allumé. Évidement, il fait déjà cruellement chaud pourquoi chauffer la maison ?! Et bien pour sécher la culotte de (T/P) !

L'eau tiède sur ma peau est agréable et l'odeur du gel douche pour homme aussi. Cette odeur, fortement masculine me fit immédiatement repenser au corps de Sukuna. Je l'imagine lui aussi ce laver, les goûtes couler le long de ses tatouages, la mousse qui glisse le long de ses épaules, ses bras qui essuie doucement sa peau.

Ses mains touchants ma poitrine humide…heum ! Je mets l'eau froide au maximum et sors de la douche le plus vite possible. Les joues rouge je me regarde dans la glace sans vraiment comprendre ce qu'il venait de ce passer. Je venais de penser à quoi ? Pourquoi je me suis vue nue sous la douche avec Sukuna ?

Je secoue la tête afin de sortir ces idées étranges de ma tête puis je me sèche. Mais gros problème, pas de pyjama et ma culotte est encore humide. Bon c'était simple, il suffisait de crier à l'aide...humiliant mais facile. Je cris, aucune réponse, je hurle aucune réponse.

Désespoir, je finis par sortir de la salle de bain avec la serviette au tour de moi. J'entre dans la chambre et sur le lit Sukuna dormait en caleçon comme une marmotte.

Qu'est ce que je faisais ? Je me voyais mal fouiller dans sa penderie mais en même temps ça me faisais de la peine de le réveiller. Il était vraiment mignon comme ça. Je réfléchis quelques instants puis me rappelle aussi d'une chose très importante... et pour ma culotte je fais quoi ?!

Pas le temps, Sukuna lève la tête sortant de sa micro sieste, il me regarde de haut en bas le sourire jusqu'aux oreilles :

-T'es plutôt mignonne comme ça.

-Tu me prêtes un t-shirt ? S'il te plaît.

Il me dévisagea encore quelque instants puis il s'approcha de sa penderie. Il sortit un t-shirt et vint vers moi.

-Lève les bras.

Pas le temps de répondre Sukuna s'occupa de le faire pour moi, il m'enfila le t-shirt laissant en même temps la serviette tomber. Je suis heureuse de savoir que le t-shirt était assez grand pour cacher mes fesses et mes parties génitales mais si je levais les bras c'était finit. J'aurais pu lui dire que je n'avais pas de culotte mais j'avais trop honte. Vraiment trop honte.

Il prit mon menton entre ses doigts et se mordilla la lèvre inférieur : Pourquoi t'es toute rouge ?

Je rougis encore plus à cause de cette question. Pourquoi la vois et les gestes de cet homme me mettait dans cet état là ?

Une nouvelle fois, en bas, ça s'agita de plus belle, cette fois-ci l'envie irréfutable de me frotter n'importe où me démangeais. Enfin n'importe où... n'importe où sur le corps de Sukuna.

Il sourit amusé : On dirait une petite fraise~.

Cette fois-ci c'était trop, il fallait vraiment que je remette ma culotte tempi si elle était mouillée il fallait absolument que je porte un tissu pour calmer la tension qui se trouvais en bas. J'allais retourner dans la salle de bain mais Sukuna m'attrapa le poignet :

-Et mon massage ?

Vous y croyez, cet imbécile m'avait sortit les yeux doux. En tout cas, je ne pu rien faire à par céder et accepter. Il s'allongea sur le ventre, je me pose à côté de lui et commence à le masser. Alors que je touchais son dos parfait, mes cuisses tremblotaient et je n'étais pas à l'aise pour faire ce massage. Il glissa l'une de ses mains entre mes jambes et caressa l'une d'elle du doigt.

-Pourquoi tu trembles comme ça ?

-Je ne sais pas… Gémissais-je.

Il me sourit malicieusement : Assis toi sur mon dos, tu auras un meilleurs équilibre.

-Je/

-Fais ce que je te dis, tu commences à me faire mal sinon…Me coupa t-il.

Je me pince les lèvres, j'essaye de plier le t-shirt afin qu'il soit bien entre mes cuisses et finit par m'asseoir sur ses reins :

-Que/ ?

Morte de honte, je lui enfouis la tête dans le coussin et cris : Tais toi, tais toi, tais toi, tais toi, tais toi ! Je t'en supplie ne me pose aucune question !

Je retire mes mains de sa tête, il serra la couette et tourna légèrement la tête regardant alors vers la table de nuit. Restant silencieux, je soupire soulagée et commence le massage.

PDV Sukuna :

Depuis quelques minutes (T/P) ce comportait de façon étrange, elle avait l'air plus distante et moins à l'aise. Quand enfin elle commença mon massage, je ressentis de la raideur, elle n'osait pas faire le moindre geste. Je regarde ses cuisses dénudées, elles tremblotaient, je glisse ma main entre ses jambes et en caresse une doucement :

-Pourquoi tu trembles comme ça ?

Je regarde son visage rougit, difficilement elle gémit : Je ne sais pas...

J'avais envie de plus de contacte et (T/P) était actuellement brûlante. Je ne sais pas si c'était d'excitation ou à cause de la chaleur étouffante dû à la saison. Je me permis de lui sourire avec envie : Assis toi sur mon dos, tu auras un meilleurs équilibre.

-Je/

-Fais ce que je te dis tu commences à me faire mal sinon… Là coupais-je.

En vérité, elle ne me faisait pas mal du tout mais j'avais vraiment envi qu'elle monte sur moi afin que je puisse sentir la chaleurs de ses cuisses et le tissu de sa culotte sur mon dos.

Et donc elle ce pinça les lèvres, elle plia étrangement son t-shirt entre ses cuisses puis finit par s'asseoir sur mes reins. Soudainement, je ressentis quelque chose d'agréablement chaud et humide.

-Que/ ?

Je n'eus le temps de faire ou dire quoi ce soit que (T/P) m'enfouis la tête dans le coussin en criant: -Tais toi, tais toi, tais toi, tais toi, tais toi ! Je t'en supplie ne me pose aucune questions !

Quand elle retira ses mains de ma tête, je serra la couette aussi fort que je le puisse entre mes mains afin de me contenir. Je tourne la tête vers la table de nuit, regardant la photo de Yuji et moi quand nous étions au collège. Il fallait impérativement que je pense à autre chose que ce qu'il était en train de ce passer.

Non mais plus sérieusement, j'étais raisonnable je ne demandais que sa culotte sur mon dos mais là, je ne sais même plus si je suis au paradis ou en enfer ! Je me répète mais j'ai actuellement sur le dos la chatte de la meuf que j'essaye de serrer !

Malheureusement, je dois être putain de patient afin de pouvoir ne serais se que penser imaginer l'embrasser ! Même si d'après Yuji j'ai toutes mes chances, il suffit d'un seul faut pas et elle me jette à la corbeille ! Bordel ça fait cinq putains d'année que j'ai pas baisé !

NON MAIS PUTAIN ! J'AI SA PUTAIN DE CHATTE SUR LE DOS ?! ET ELLE EST HUMIDE EN PLUS ! POURQUOI ?! QU'EST-CE QUE J'AI FAIT POUR MÉRITER UNE TORTURE PAREILLE ?!

Oui, je peux tenir la pose quelques heures à poil, supporter un massage sur le dos AVEC petite culotte mais ça… est ce que c'est possible de pouvoir y survivre ?! Si ça ne tenais qu'à moi je serais déjà entrain de la baiser ! C'est inhumain une chose pareille!

Alors que je surchauffe, je sens la main de (T/P) me caresser le visage. Je la dévisage elle avait l'air inquiète. Alors je lui demande :

-Est-ce que ça va ?

-Et toi ? Je te masse depuis tout à l'heure mais t'es tellement contracter que ça ne marche pas.

Tu m'étonnes, j'aurais tellement besoin de me vider les couilles dans sa bouche ou dans sa chatte. Elle descendit de mon dos, sortant maladroitement du lit, je pu agréablement apercevoir ses lèvres gonflée. Je devais vraiment attendre l'étape de la couleurs ? Je devais vraiment attendre ça pour pouvoir avoir accès à ce fruit magnifiquement juteux?!

Les mains tirant fortement sur son t-shirt, (T/P) sortit de la pièce et revint après une petite minute. Tout de suite, elle avait l'air plus à l'aise, tout le contraire de moi qui avait mon érection complètement serrer entre le matelas et mon corps.

Elle s'allongea à mes côtés, déposant son souffle aussi près qu'elle le pouvait, me dévisageant avec ses magnifiques yeux (c/y). Je le sentais qu'il n'y avait aucun sous entendu derrière ses gestes. Comment quelqu'un pouvait être aussi naïve et pure ? Cette femme qui c'était allonger auprès de moi n'avait même pas l'air de ce rendre compte à côté de qu'elle bête affamé elle avait affaire. Avoir une telle personne entre ses griffes était à la fois frustrant et excitant.

-Sukuna ?

Voyant de belle rougeur sur ses joues, j'essaye de penser à une grand-mère en maillot de bain deux pièces : -Hum ?

-Je suis désolé de n'avoir rien dit… j'avais trop honte. J'ai trop honte...

Je souris et me mordille la lèvre malgré moi : Ce n'est pas grave… c'était plutôt agréable.

Elle s'empourpre de plus belle : Tu parles tu étais aussi raide qu'un piquet.

-Ouais c'est vrai...

Cette fois-ci il va falloir que je retire le maillot de la grand-mère… Burk.

Le sourire au lèvres (T/P) ferma doucement les yeux, son souffle devint doux et réguliers. Elle c'était endormie. Je relève l'une de ses mèches rebelles, caresse sa joue et effleure ses lèvres. Comment il était possible de s'endormir auprès d'un carnivore impatient de dévorer sa proie ? Je ne pensais pas qu'il était possible d'être encore aussi naïve à cet âge là.

En attendant l'heure du repas, je m'autorise à lui volé un baisé et je suis soulagé qu'elle ne se réveille pas. Je me redresse et regarde ses jambes nues, je glisse ma main sur sa cuisse, jusqu'à ses fesses, je relève doucement le t-shirt et pause pleinement ma main sur ses fesses. Je glisse mes phalanges sous le tissu dentelée et légèrement humide.

Qu'est-ce qu'il c'est passé ? Pourquoi sa culotte est trempée ?!

Je m'aventure encore un peu sous le t-shirt puis m'arrête juste avant d'arriver à sa poitrine. Sa peau magnifiquement douce et ses gestes interdit étaient grisant… j'avais envie de plus, bien plus. Hélas, je m'en vais une nouvelle fois dans la salle de bain afin de soulagé cette érection bien trop gênante.