Vocabulaire x Reader:
(t/p): Ton prénom
(c/y): Couleurs yeux
(c/c): couleurs cheveux
Devant le BlackCocktails Club, j'attendais nerveusement, il était minuit moins dix et je voyais le regard de certains hommes ce poser sur moi. Alors que j'attendais Sukuna, je vérifie que j'avais bien ma bombe à poivre dans mon sac à main et soupira de soulagement.
Après quelques minutes je reconnais enfin le son de sa moto vibrer dans mes oreilles. Je le vois ce garer sur le parking et je commence donc à faire la queue. Il me rejoint et alors que je pensais qu'il allait me faire la bise au contraire il me grignota un morceau de lobe. Je gémis tant cette sensation était agréable. Ignorant le gémissement plus qu'évidant Sukuna sourit :
-J'ai failli ne pas te reconnaître au loin ! Tu étais tellement tendus que j'ai cru que tu étais un poteau !
Je rougis, alors sourire carnassier et rempli de malice il leva les mains faisant danser ses phalanges : Oh une belle fraise~ ! Je crois que je vais en grignoter un autre morceau !
-Non ! Ricanai-je. Alors que je faisais mine de m'enfuir.
Il m'attrapa dans ses bras et me mordilla doucement la nuque. Moi qui pensais que je serais gêner de me retrouver avec lui, tout compte fait tout avait l'air de ce passer comme d'habitude. On finit par rentrer dans la boite de nuit et la musique nous ambiança déjà. Je prend la main de Sukuna et l'emmène de suite sur la piste de danse. Difficilement, on se glissa entre les nombreux autres corps qui ce déhanchaient. Mais on finit tout de même par ce trouver une petite place, dansant alors coller l'un en face de l'autre. Dans notre monde, dans notre danse, nous nous occupons que du son et du rythme s'amusant et sans penser non plus au fait que l'on pouvait danser comme des pieds.
Au bout d'un certain temps, je sentis un peu plus de monde sur la piste. Les mains de Sukuna se posèrent fermement sur mes hanches et il commença même à me rapprocher un peu plus de lui. Je rougis, alors que je m'imaginais déjà me coller contre son torse.
Cependant derrière moi je sentis une présence gênante. Je dévisage Sukuna, il regardait la personne qui était derrière moi. Et je ne pu dire quoi ce soit que l'on échangea nos place et qu'il bouscula la personne qui commençais à me coller avec insistance.
-Dégage de là ! Grogna t-il.
Je jette un regard vers l'homme qui valsa maladroitement manquant même de tomber sur le sol. Il partit comme il était venu cherchant une nouvelle et pauvre proie.
Je soupire rassurer, mais au final cet ivrogne avait casser l'ambiance. On décida de quitter la piste de danse pour aller ce rafraîchir un coup. Comme pour éviter de me perdre dans la foule Sukuna me prit fermement par la main. Quand enfin on arriva à destination on s'assit et il me demanda :
-Qu'est ce que tu veux boire ?
Je réfléchis un instant et répond : Un sex on the Beach ?
Il posa son menton entre ses doigts : Hum... c'est pas impossible mais je ne sais pas si je pourrais attendre jusqu'à la plage !
Je rougis, en ébullition j'avais extrêmement chaud et la sensation qui me chatouille si souvent en bas revint. Je prend une grande un inspiration et finis par rire à sa blague et il passa commende.
Je n'étais pas encore fatiguée de danser malgré tout cette petite pause me faisait du bien. Sa bière à la main et moi mon cocktail, on se dévisagea buvant l'un l'autre nos boissons.
-Je peux goûté ? Me demanda t-il alors qu'il avait déjà posé ses lèvres sur la paille de ma boisson.
-Je t'en pris...
Je lui pris sa bière des mains et bu une gorgée du liquide amer. Je grimace légèrement, je préférais vraiment les cocktails ! Je lui redonne sa bière et lui lâcha ma paille. Il sourit et essuya de son pouce de la mousse qui était rester au dessus de mes lèvres. Il lécha ce qu'il venait de récupérer et je rougis à son regard pervers.
-Tu es vraiment craquante Petite Fraise.
Je ne sais pas si je pouvais être encore plus rouge que je ne l'était déjà mais je me sentais de plus en plus brulante: Arrête de m'appeler comme ça !
-Non ça te vas parfaitement bien ! A moins qu'un jours tu arrêtes de rougir !
Je finis ma boissons avant Sukuna, je sors du bar et il me retint par le poignet : Tu vas où ?
-Je voulais me faire discrète mais bon… je reviens je vais aux toilettes, j'en ai pour deux minutes.
Avec méfiance, il me regarda m'en aller. Je file aux cabinets, heureuse de voir que pour l'instant tout était propre ! Il n'y a pas grand monde mis à part deux filles qui ce redonne un coup de maquillage. Je regarde si il reste du PQ dans les toilettes puis m'assois enfin. Je soupire d'aise, la soirée ce passait bien et j'avais l'impression de n'avoir jamais été aussi proche de Sukuna. Que ce soit physiquement ou verbalement.
Je me lave les mains et sors des toilettes mais à peine le temps de regarder si Sukuna était au bar que quelqu'un me prit par le bras. Je reconnais vaguement sa silhouette, sans pour autant réussir à mettre un nom dessus.
Je lui cris : Lâche moi !
Il ne me lâcha pas et alors que j'essayais de crier à l'aide, mes cris étaient étouffer par le son des basses. Je lui griffe le poignet et il me gifla ,son visage était déformée par la colère. Je sors ma bombe à poivre mais il me tordit le poignet avant que je ne puisse lui faire quoi ce soit. L'inconnu jeta mon sac à main dans un coin et me traîna derrière lui. Il me fit sortir de la boite de nuit et là, un groupe d'hommes avaient l'air de nous attendre. Il me jeta vers l'avant, m'agenouillant au sol :
-Là voilà enfin~ !
-Depuis le temps que l'on attendait ça…
Je dévisage les hommes, terrorisée, j'en reconnais certains, c'était d'anciens modèles. Peut-être tous même... ils devaient bien êtres huit.
-Qu'est ce que vous me voulez ?
Ils ce moquèrent de moi.
-T'es sérieuse ? Je te signale que tu nous as toujours pas payer !
-Je ne comprend pas bien… Je ne vous dois rien !
L'un d'eux me pris par le menton : Une semaine de croquis… ce n'est pas gratuit.
Je reste silencieuse et les larmes viennent alors que je vois l'homme baisser sa braguette.
-Tu vas avaler notre semence puis on va passer chacun dans ta petite chatte de vierge !
Derrière nous, la porte de la boite de nuit claqua, Sukuna avait ma bombe à poivre dans la main et mon sac à main.
-Bordel c'est qui cet enfoiré ?!
-Laisse… on va le laisser profité et il ne dira rien.
Sukuna resta d'abord incroyablement calme, il sortit mon téléphone de mon sac et s'approcha. Une fois, qu'il était à côté de moi il me donna mon téléphone et avec la bombe aveugla l'homme qui était le plus proche de moi :
-Appelle les flics (T/P) !
Je m'exécute, tout en regardant l'horrible scène, Sukuna ce battait contre les huit hommes. Aucune peur, aucune douleurs seulement de la rage et du sang. Ses poings et son visage étaient recouvert de la couleurs hémoglobine. Je ne savais pas si c'était son sang ou celui de ses victimes. Mais en tout cas, je fus rassurer de voir que mon Apollon était le dernier debout. Il vint vers moi s'agenouilla et me prit dans ses bras.
-Je suis désolé, petite fraise… je n'aurais jamais dû te laisser seule.
-Ce n'est pas de ta faute...
J'approfondis l'étreinte en entendant les sirènes de police et d'ambulances.
Sur une chaise j'étais assise entre un homme inconscient menotter et un autre qui vomissait ses tripes dans une bassine. Dans le commissariat j'entendais certaines personnes hurler et d'autre pleurer. Je sers la veste en cuir de Sukuna fort contre moi, m'imprégnant de son odeur. Je ne savais pas quoi faire à pars attendre et il était déjà quatre heures du matin.
Je regarde en face de moi, la femme à l'accueil mâchait énergiquement un chewing-gum. Elle tapotait sur son clavier, sa nonchalance envers les bruits au alentours était impressionnante. J'avais envie de me lever pour lui hurler dessus mais la dernière fois que quelqu'un l'avait fait, elle c'était retrouver menotter. J'aperçois un homme aller vers l'accueil, il discuta avec la femme puis elle me pointa du doigt. Le policier s'avança vers moi :
-Bonjours… vous êtes ?
-(T/P) (T/N), est ce que…
-Je suis l'inspecteur Barnaby. Votre petit ami est en garde à vue.
Je rougis au « petit ami » : Je… je ne comprend pas, il m'a/
-Suivez moi, nous allons nous installer autre part pour discuter de cela.
On entra dans un bureau, il s'assit derrière et commença à taper sur son clavier. Puis il croisa ses bras attendant :
-Racontez moi tout dans les moindres détails, pas de filtres, aucune pudeur je veux la vérité. Nous avons la version de Sukuna après en nous voulons la votre.
-Sukuna et moi étions partit au BlackCoktail Club… c'était pour… notre premier rancard.(…) Ils voulaient me le faire payer alors dehors l'un d'eux m'a dit « Tu vas avaler notre semence puis on va passer chacun dans ta petite chatte de vierge ! ». Juste quand il avait baissé sa braguette, Sukuna arriva et m'ordonna de vous appelez.
-Ah ? C'est lui qui vous à demandez de nous appeler ?
-Oui.
-Vous avez une idée de pourquoi ?
-Non ? C'est important ?
-Et bien… Il a un bracelet électronique à la cheville. Donc il est évidant que si il commet le moindre délit il retourne en prison. Sachant qu'il a quand même tabasser huit hommes.
-Mais...mais il m'a sauvé ! Vous voulez renvoyez mon sauveur en prison ?!
-Cependant… ça peut le sauver. Vue qu'il a prit l'initiative de vous demandez de nous appeler… on verra en fonction de la déposition des victimes.
Je saute de ma chaise : Des victimes ?! Mais vous vous foutez de ma gueule ?! Ces types on tenté de me violer ! C'est moi la victime ici ! Et parce que mon sauveur est un ex détenu, qui n'a fait que de me protéger et de ce défendre ! C'est lui qui va tout prendre ?!
-Calmez-vous mademoiselle !
-Comment voulez-vous que je me calme ?!
L'inspecteur sortit un bocal de sucette : Tenez, d'habitude je réserve ça pour les gosses.
J'en prend une rouge et suce la sucrerie en silence. L'homme tapota sur son clavier puis imprima ce qu'il avait écrit. Il m'accompagna en dehors du bureau puis m'escorta vers le sous sol.
-Vous m'emmenez où ?
-Je vous emmène voir votre petit ami.
Nous passons devant de nombreuses geôles, plusieurs hommes me sifflèrent vulgairement en rajoutant des « poulette », « petite pute » , « chérie ». Je les ignore et arrive enfin devant les barreaux qui emprisonnaient Sukuna. Il c'était allonger regardant le mur :
-Sukuna ! Je suis là !
L'Apollon vint vite vers moi, il prit doucement mon visage en passant ses mains à travers les barreaux. Je souris tristement en voyant qu'il avait un bel hématome sur la joue. Alors a la place je caresse son cou.
-(T/P) j'ai eu si peur tu n'as rien ?
-Non, grâce à toi.
-Dites, vous ne pouvez pas nous laissez un peu d'intimité ? Grogna Sukuna en fusillant l'inspecteur du regard.
Il soupira : Je reviens dans cinq minutes.
-Sukuna… je suis désolé.
-Pourquoi ?
-Je...tu vas retourner en prison à cause de moi.
-T'en fais pas. Je reviendrais…
Je reste silencieuse, je ne voulais pas qu'il parte. Il caressa mes cheveux et huma mon parfum. On se dévisagea, ses yeux de fauve étaient d'une attirance incroyable et mes yeux humide certainement très repoussant. Néanmoins, je colle mon visage au plus prêt des barreaux et tire le débardeur encore ensanglanté de Sukuna vers moi. Nos nez coller l'un à l'autre, nos souffles ce mélangeant, on ferma tout deux les yeux et on s'embrassa. D'abord, chastement puis très vite je laissai le loisir à Sukuna de diriger la danse.
A cet instant, même si les barreaux de la geôle nous séparait bel et bien nous étions au plus près. Car oui je le sentais et il le sentait j'en voulais plus. Je gémis discrètement alors que l'une de ses mains glissait sous mon haut prenant et massant ma poitrine. Une autre vint sous ma jupe, là relevant légèrement ses douces caresses étaient vraiment agréable. Je reste focalisé sur cet instant, que nous nous efforçons de garder le plus long possible.
Hélas toute bonne chose à une fin : Mademoiselle (T/N) C'est terminé !
Avant même que je m'en aille, Sukuna attrapa ma main :
-Hey… je t'aime petite fraise.
-Moi aussi je t'aime mon Héro.
On s'embrassa une dernière fois, avant que l'inspecteur vienne me chercher par lui même.
Sept hommes avait porter plaintes contre Sukuna, donnant chacun une version différente des faits et le huitième avait avouer, sans porter plainte. Grace à cela, Sukuna à eu le droit à une peine plus légère. Il devait rester enfermer chez lui. Déjà qu'il avait un bracelet électronique maintenant il ne pouvait même plus sortir. Mais bon c'était toujours mieux que si il retournait en prison.
Ça faisait maintenant trois jours qu'il était rentré chez lui. Je l'avais appelé, lui prévenant que je venait avec de quoi le distraire. Le pauvre avait déjà finit tout ses DVD et ses livres n'étaient pas très intéressant non plus. J'avais prit aussi une petite valise et mon matériel à dessin mais ça je ne lui avait pas dit… je voulais lui faire la surprise. Je pense que ça va lui faire plaisir que je vienne dormir quelque jours ici.
Je frappe à la porte et il ne mit pas longtemps pour m'ouvrir.
-Wahou ! C'est quoi toutes ses affaires ? Tu déménages ?
Je grattouille timidement ma joue en voyant le torse nu de Sukuna. Ça n'avait pas changé, il était toujours aussi parfait ! Il sourit en prenant ma valise ainsi que le sac rempli de livres et de DVD. Il déposa le tout au pied de l'escalier puis revint vers moi.
Sans que je ne me rende compte de quoi ce soit, il me dévorait déjà les lèvres. Ça faisait longtemps que j'attendais de pouvoir de nouveau poser mes lèvres sur celle de mon Héro. Quand le moment arriva où nous manquions d'air, il se mordilla la lèvre regardant mon visage rougit :
-Est-ce que c'est bon ? Je peux enfin te cueillir petite fraise?
Je glisse mes mains sur ses épaules, caresse ses biceps et dessine ses tatouage sur son torse. Je me pince les lèvres et rougis de plus belle en prenant les mains de Sukuna pour les déposer sur ma poitrine. De suite il l'a malaxa doucement, l'une d'elle se glissa sous ma jupe voir sous ma culotte. L'Apollon m'embrassa le cou, la mâchoire et fit danser nos langues. Je gémis quand il pinça doucement mon téton à travers mes vêtements. Là, il me prit par les fesses et je m'attrapa à son cou, nous montons les escaliers, nous traversons le couloirs puis il me déposa sur le lit. Ensuite il le poussa dans un coin.
-Qu'est ce que tu fais ?
-Je n'ai pas envi que ces gros pervers te vois nue.
Je ricane et ouvre grand les bras, invitant Sukuna à s'allonger. Le regard malicieux, il ce jeta sur moi. Tendis que nous, nous embrassons, ses mains glissèrent sous mon débardeur, il m'aida à le retirer puis il sourit. En caressant à peine mon téton à travers le tissus dentelé, il réussit à me faire gémir. Il se lécha les lèvres : Sympa ton soutiens gorge~.
Je rougis pour seule réponse puis il continua : Je vais me faire un plaisirs de te le retirer.
Il m'embrassa et avec des mains expertes, il d'éclipsa la lingerie. Au dessus de moi il contempla mes seins nus puis il descendit doucement vers ma poitrine et suçota mon téton, malaxant l'autre. Je gémis de plaisir à ses sensations nouvelles, ses mains et sa bouche sur mon corps me faisait bouillir.
Sukuna utilisa sa dernière main de libre pour retirer ma jupe. Une fois fait, il retira ses mains de mon corps, défit la boucle de sa ceinture et déboutonna son jean. Il retira le vêtement et c'est à présent en caleçon qu'il se faufila entre mes jambes. Tendis qu'il frottait son membre déjà dur contre ma culotte, cette fois-ci tout en pinçant mes tétons, il revient vers mon visage, embrassant d'abord mon front, mes joues puis enfin il mordilla et lécha mon lobe d'oreille. C'était enivrant comment de si petits morceaux de chairs pouvaient me faire autant gémir ?
Au bout d'un certain temps Sukuna décida de toujours continuer à m'embrasser mais il descendit tout le long de mon corps... ma poitrine, mon buste, mon ventre jusqu'à l'endroit qu'il désirait certainement depuis un bon bout de temps.
-Hum~ très jolie culotte !
Je rougis et m'accroche doucement à ses cheveux alors qu'il me lécha à travers la lingerie. Là, je sentais le fruit de ses envies commencer à doucement enfler. Je gémis quand sa langue habile chatouilla mon clitoris.
Quand ma culotte fut entièrement humidifié par sa langue comme par mon excitation. Sukuna retira doucement la dentelle, je le regarde lui aussi retirer son bas. Ce n'était pas la même chose de voir Sukuna poser nu et de le voir nu. Maintenant il était actif, son pénis en érection n'était pas que la pour faire joli mais pour bel et bien me donner du plaisir… et peut-être même de la douleurs.
Il se mordit la lèvre, me dévisageant avec envie et perversité. Il s'appuie devant l'entrée et fait glisser sa verge tout le long de mon appareil génitale. Il fait quelques allers retours puis gémissant d'impatience :
-Mon frère ne t'aurait pas donner quelque chose par hasard ?
Je tourne la tête sur le côté sans vraiment comprendre.
-La capote.
Je me souviens des cours d'éducations sexuels que Nobara m'avait donner, elle m'avait bien expliquer à quoi servait ce truc. C'était la chose indispensable pour faire ce que nous nous apprêtions à faire. Je trouve le fameux petit morceau de plastique et le donne à Sukuna il identifia l'objet :
-Hum… ça devrait le faire !
D'une manière très séduisante, il déchira l'emballage avec les dents*, il récupéra le petit objet en latex et le porta autour de sa verge. Voyant que j'identifiais tous ses gestes, c'est avec un sourire remplie de malice qu'il me proposa :
-Tu veux goûter ?
-Je/
-Juste pour que tu me dises si ça à bien le goût de fraise~.
Je ne sais pas pourquoi mais à se moment là, le visage de Nobara suçant sa glace de manière très provocatrice me reviens en tête.
Alors curieuse je me redresse, du doigts je touche délicatement le gland et Sukuna gémit. Je souris et prend son membre en bouche. Je lèche et suce le morceau de latex qui avait en effet un très léger goût de fraise mais rien d'exceptionnel. Je me retire et grimace de déception :
-Bof…
-J'avoue on ne ressent rien avec ce truc… C'est pour ça que…
Sukuna ne termina pas sa phrase et s'allongea sur moi. On s'embrassa et délicatement je sentis un doigt pénétré mon vagin, il en rajouta un deuxième et un troisième. Tout cela en faisant des va et viens me faisant gémir de plaisir. Après m'avoir préparé, il lécha sensuellement la main avec laquelle il c'était amusé.
-Bon c'est maintenant que les choses sérieuses commence ! Bon app'!
Sukuna écarte doucement mes cuisses tremblotantes puis commence à tapoter l'entré de mon intimité. Je sers les draps du lit et gémis douloureusement en sentent son membre forcer puis finir par passer. Regardant le plafond et m'arrachant cri et larmes, il continuait toujours à rentré au plus profond de moi.
Sukuna c'était arrêter, se mordillant doucement les lèvres, il me regardait avec appétit. Il essuya mes larmes douloureuses et m'embrassa amoureusement. Alors qu'il commençait ses vas et viens je m'accroche à son cou. Il y alla d'abords doucement mais très vite il prit un rythme excessivement rapide en me donnant des coups de reins puissants. Au début, il n'y avait que la douleur de présente puis après plusieurs dizaines de coups de butoirs un cri aigu sortit de ma bouche. Les yeux grand ouvert par la surprise, je vois Sukuna sourire malicieusement :
-Agréable, n'est ce pas ?
Je hoche positivement et entoure mes jambes autour de ses reins. Sukuna m'immobilisa sur le lit serrant mes poignets et léchant mon cou tout en ce délectant de mes gémissement tantôt de douleurs, tantôt de plaisir. Je surchauffe, j'en veux plus alors je dis même des choses que je ne pensais jamais demander :
-Je t'en supplie… croque moi...
-Je ne suis pas très doué pour dessiner. Soupira t-il.
-C'est pas…
La malice revient sur son visage : Mais je suis un vrai cannibale !
Là, sans même que je comprenne quoi ce soit, je me retrouvais à quatre patte sur le lit. Sukuna ce positionna derrière et rentra de nouveau en moi mais avec beaucoup moins de délicatesse. J'avais du mal à tenir sur mes bras et ses violents coups de reins me firent crier son nom.
Il déposa sa tête dans mon épaule, et je sentis ses dents me mordiller, j'en profite pour tenter de lui caresser les cheveux.
Bientôt mon esprit devient flou, mon corps ce rempli de frissons, mes bras me lâchèrent et je gémis sans relâche. Sukuna finit dans un râle et il resta encore quelques instants en moi puis ce retira et enleva le préservatif. Il fit un nœud et le jeta quelque pars.
En sueur, mon héro s'allonge auprès de moi alors que je ne me suis toujours pas remise de cet acte orgasmique. Il me prit dans ses bras, caressant doucement ma tête et bécotant ma joue.
Après plusieurs minutes de caresses où Sukuna avait finit par s'allonger sur moi, sa tête entre mes seins, tel un félin il les pelotait doucement. Moi qui lui caressait ses cheveux rempli d'épis, je finis par sortir :
-Tu n'es pas aller un peu fort ? C'était ma première fois toute même.
Son visage était« presque » désolé : Bof… et encore je me suis retenu… et puis moi ça fait quand même cinq ans que j'attends de pouvoir me vider en toi ! Donc ai aussi un peu de pitié pour moi !
Je lève les yeux aux ciel, j'attends alors depuis bien plus longtemps que lui ou plutôt mon corps.
-Et donc qu'est ce qui c'est passer pour que tu ais dû attendre autant de temps ?
Il grimaça : C'est donc aujourd'hui que l'on aborde le sujet ?
Je hoche positivement de la tête.
Il soupira: Dans ce cas, après on ce fait un second round.
Je prend son visage entre mes mains et l'embrasse : Tout ce que tu voudras mon Héro!
-Me dit pas ça~ tu ne sais pas de quoi je suis encore capable ! Sourit il malicieusement.
Je me love contre lui, attendant qu'il me raconte pourquoi il avait fait cinq ans prison.
-En fait, c'est une histoire assez courte...je me suis fait prendre à dealer de la coke.
-Hein ?! C'est tout ?
-Bah c'est déjà pas mal non ?
-Non... mais…. je veux plus de détails ! Tu crois que tu vas l'avoir comment ton seconds round sinon ?
Il grimaça: Y a rien d'autre à dire je te jure. J'étais juste au mauvais endroit au mauvais moment…
-Pfff… moi qui me faisait des films je suis grave déçu.
Sukuna ricana : Ah~ ça t'aurais plus que je sois le roi des voleurs ? Ou un charismatique chef de gang ? Ou peut-être un stalker ? Ah non je sais, un tueur en série!
-Pfff… N'importe quoi…cependant je ne sais pas pourquoi mais je te vois bien dans le rôle de tueur en série. Souriais-je.
-Tu sais comment je m'occupe de mes victimes ?
-Non ? Ricanai-je.
-En les dévorants toute cru !
Sukuna me prit dans ses bras et commença à me mordiller un peu partout où il le pouvait. Joue, lèvres, mâchoire, cou, épaule et enfin l'oreille. Je gémis de plaisir et il s'en alla reprendre mes lèvres afin de commencer un baisé sauvage. Quand l'air nous manqua, je le dévisage avec désir :
-Je t'aime mon Héro.
En bas, je sentis doucement son membre durcir, il caressa mon visage et on s'embrassa amoureusement: Moi aussi je t'aime ma Princesse.
Après avoir entamer de belle et d'excitantes préliminaires c'est avec horreur que l'on ce rend compte que nous n'avions en fait qu'un seul et unique préservatif. Alors que moi je riais aux éclats Sukuna lui était clairement en colère me demandant d'aller très vite chercher de nouvelles capotes. Hélas pour lui, je ne savais pas du tout où aller pour en acheter et j'avais aussi beaucoup trop honte pour le demander à un vendeur. Donc c'est avec évidence que j'appelle Yuji à la rescousses.
-Pfff...Sérieusement c'est trop con. Grogna Sukuna.
Boudant, ses bras s'enroulaient autour de moi en me serrant doucement contre son torse. Malgré la chaleur étouffante de l'été, je souris d'aise à se contacte brûlant.
-On a toute la vie devant nous.
Je relève la tête vers Sukuna et il me sourit silencieusement. On s'embrassa amoureusement attendant avec impatience Yuji ou plutôt la boite de préservatif qu'il allait nous rapporter.
C'est ainsi que (T/P) et Sukuna vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants… ou pas. Mais ils vécurent heureux !
Fin.
*Ne jamais déchiré l'emballage du préservatif pendant l'acte cela peux abimé la capote.*
N.A: Je tiens à précisé qu'une première relation sexuelle ne doit pas ce faire dans la douleurs si c'est fait avec la bonne personne. Je ne dis pas que Sukuna baise comme un pied mais il n'est pas à l'écoute de (t/p) et devrais être plus patient. Mais bon c'est comme ça qu'on aime notre Sukuna, brutal, avec un soupçon de tendresse!
