Auteur : Kagami-Black
Titre : La dernière d'une grande lignée : épisode 1
Disclamer : Aucun des personnages ne m'appartient mis à part Abygaëlle et Yahome !
Aby : A notre grand malheur !
Kagami : Quoi ? Comment ça ?
Aby : Eh bien oui c'est un grand malheur que de t'appartenir comme personnage
Kagami : T'ai méchanteuh ! Tu vas voirs je vais ta faire souffir ! NA !
Aby : on verras, on verras.
Genre : Romance X Aventure
Couple : AbygaëlleXYahome / KuramaXHieï (et autre peut-être)
Note de l'auteur : C'est ma première fanfiction alors dites- moi ce que vous en penser ! Je vais essayer de mettre un chapitre par semaine mais, même si c'est les vacances je n'ai pas beaucoup de temps.
Chapitre 1 : Retrouvaille X départ X rencontre
Il était tard et la lune abhorrait une couleur rouge. Ma douleur saillait bien avec cette couleur. Pour l'instant je ressemblais plus à une âme en peine qu'à autre chose !
Cette nuit fut la plus horrible que j'eus à passer. Tout avait commencé à l'heure du dîner. Mère déposait les plats sur la table ; père, lui, était toujours aussi glouton et s'impatientait à commencer. On frappa à la porte et père alla ouvrir, pestant contre les gens qui arrivaient à l'heure du dîner ! La porte grinça lorsqu'il ouvrit puis…plus rien. Sentant le danger Mère m'ordonna de me cacher, se que je fis aussitôt ! Je courus jusqu'à la trappe secrète menant aux souterrain y entrai puis restai en haut de manière à ce que j'entende tous ce qui se passait.
« Bonjours, Madame, dit une voix d'homme avec courtoisie
- Qui…qui êtes vous ? Que voulez-vous ?
- Moi ? oh… mais je suis le future fiancé de votre fille, je veux ta fille ! je devinais un rictus sur sa figure, il s'amusait pleinement de la situation apparemment.
- Jamais ! Jamais vous ne l'aurez ! mère avait peur sa voix la trahissait
-C'est ce qu'on verra ! Yahome ! Tu m'entends je le sais ! Et écoute bien ! Tu as deux semaines, deux semaines, et pas un jour de plus, pour te rendre au Japon à la résidence des Matsuki, où alors tu auras la mort de ta chère mère sur la conscience ! »
Puis ce fut tout. J'entendis la porte d'entré se refermer et puis se fut tout. Sans aucun bruit je sortis de ma cachette et ne sus quoi faire. Soudain un souvenir me revînt ! Un souvenir lointain, enfoui en moi.
Lorsque j'étais petite je m'étais perdu en forêt. Ce jour là mère avait eu si peur qu'elle avait été à deux doigts de faire une dépression nerveuse. Puis, lorsque j'étais été retrouvé elle ma murmuré : « Pequenita, tu m'as fait si peur ! Je pensais que l'on t'avait enlevé ! Ecoute bien, si un jour tu as un gros problème et que moi et ton père nous ne sommes pas en mesure de t'aider, va au Japon et retrouve ton « vrai » père ! Tu m'as entendu ? Ton véritable père dans le monde des démons »
Maintenant, j'avais trouvé une idée, j'avais peut-être trouvé quelqu'un pour m'aider ! Je m'étais empressé d'aller prendre quelque affaire dans une petite valise et de l'argent dans la chambre de mes parents à l'étage. Après avoir fini je descendis dans le hall. Devant la porte se trouvait un corps, je m'avançais, la tête était coupé, je m'avançais encore et reconnu les habits, c'était ceux… c'était ceux de père ! Prise de spasme et de sanglot je fermai les yeux et enjambai le corps en courant. Je ne m'arrêtais pas de courir jusqu'à l'aéroport.
Mon avion décollait dans quelque heures je me mis donc devant une fenêtre pour regarder cette si belle lune. Il faisait chaud, très chaud pour un été. J'allai donc me rafraîchir dans les toilettes.
Lorsque je relevai la tête, le miroir me renvoya l'image d'une jeune fille de 17 ans tourmenté par la peur. Mes yeux étaient maintenant vert car j'avais trouvé une « force » en moi pour changer leur couleurs d'origines. Normalement ils sont dorés. Mes cheveux noirs encadraient parfaitement, quant à eux, mon visage. Je portais une mini-jupe plissée noire, un débardeur rouge foncé et des bottines en cuir. On aurait pu me croire sortie de discothèque !
J'entendis une voix faire un appel pour l'avion en route vers le Japon. Je sortis et me présentai. Après une vérification de mon identité, je montais enfin dans l'avion et me retrouvai assise entre le hublot et un vieillard pervers qui n'arrêtais pas de regarder mes jambes avant qu'il ne s'endorme, en temps normal je lui aurais dit de regarder ailleurs mais je n'avais plus de force pour le lui dire. Tant de chose c'était passé!
Enfin je fus arrivé, le vol avait été long et assez difficile d'ailleurs il faisait nuit ici alors que chez moi le soleil c'était déjà levé. Je ne savait pas où aller, j'avais prévus de me chercher une chambre d'hôtel mais il faisait si noir qu'on ne voyait presque rien ! Je me décidais enfin à avancer, je trouverais bien quelque chose. Je tournais à une rue, avançais à l'aveuglette, et sursautais à chaque bruit. Le temps et le silence devenait lourd, je devinais une Boîte de nuit à l'angle d'une rue mais préférais ne pas m'y aventurer. Un gros nœud me nouais les entrailles tant j'avais peur.
Soudain j'entendis un bruit derrière moi, je m'arrêtais, tendu, tenant la valise à deux mains devant moi. Je risquais alors de me retourner malgré ma raideur. Il y avait deux hommes d'une vingtaine d'année tout au plus, l'un deux tenait une bouteille à la main. Je les vis s'avancer mais ne pouvait plus bouger tellement j'avais peur, mes membres ne faisait plus aucun mouvement et mon battait si fort que je crus qu'il allait sortir de sa cage thoracique.
Les deux hommes étaient maintenant en face de moi, la valise m'échappa et produit sourd. Ils ricanèrent et l'un d'entre eux me chuchota à l'oreille : « Alors gamine ? On a peur ? »
Je me mis à trembler et ils ricanèrent de plus belle. L'homme qui m'avait chuchoté ces mots me poussa soudainement contre le mur à ma droite,son visage était si près du mien que je pouvais sentir son halène alcoolisé.
Cela me dégoûtait tant que j'eus de la peine à me retenir de vomir. Le deuxième homme eu un grognement rode et le premier eu un sourire goguenard. La poigne du premier se raffermi sur mes poignets au dessus de ma tête tendis que je commençais à me débattre.
Le deuxième arriva alors à ma hauteur et tandis que le premier s'écartait il me dit : « Ne t'inquiète pas tu n'auras pas mal, promis, juré » Il commençât à passer sa main sous mon débardeur tandis que l'autre caressait mes cheveux.
J'eus peur comme jamais encore et ferma les yeux. Soudain la poigne à mes poignets et les mains me caressant disparurent. J'ouvris subitement les yeux pour voir mes deux assaillant évanouis à mes pieds. Relevant la tête mes yeux croisèrent ceux de ma ''sauveuse,.
Elle devait avoir le même age que moi, légèrement plus grande, ses cheveux étaient beaucoup plus longs et d'un noir plus sombre, plus profond et plus mystérieux que le mien. Ses yeux étaient tout aussi noirs mais pailleté de pépites d'ors et elle portait en ensemble en cuir moulant.
« Alors, qu'est-ce que tu as à me dévisager comme ça ? sa voix froide me fis descendre sur terre.
- Euh.. rien, dis-je en rougissant pour m'être faite avoir
- Bon, je peux savoir ce que tu fiche ici ? Tous le monde sait qu'il n'y a que des délinquant ici !
- Je me suis perdu, je viens d'Italie, je ne suis pas d'ici.
- Ohhh…voyez-vous ça ! Tu parle pourtant parfaitement le japonais et l'Italie c'est très loin, dit-elle en soulevant un sourcil, sceptique.
- C'est ma mère qui m'a appris, répondis-je en baissant les yeux.
- Ah oui, c'est vrai ça d'ailleurs où sont tes parents que je te ramène chez toi ! »
En repensant à mes parents je ne pus m'empêcher de verser des larmes.
« Et voilà qu'elle ce met a pleurer, jura ma ''sauveuse, entre ses dents, tu ne sais pas te tenir en public ou quoi ! »
C'en fut trop, après ces quelques paroles je m'évanouie dans les ténèbres.
Voilà ! Premier chapitre fini ! Dites moi ce que vous en pensez
C'était très bien ? bien ? nul ? très nul ?
Yahome : Pourquoi c'est moi qui as tout pris ?
Kagami : Ben pour l'histoire il fallait bien un début…
Aby : Yahome a failli se faire violer ? Tu as osé faire ça ?
Kagami : Mais tu es intervenu à tant !
Aby : Oui encore heureux ! je t'aurais tué sinon !
Yahome : Na ! Aby elle me protège !
Kagami : euh… on peut pas tuer un auteur…
Aby : Mais on peut te faire souffrir !
Kagami : Bon et bien je vais arrêter là !Ciao tout le monde !
