Chapitre 6 :
Harry se leva tôt pour courir à la salle de bain. Il vomi de la bile comme d'habitude. Le seul problème fut la présence de sang avec. Mais Harry ne s'en inquiéta pas outre mesure. Il se sentait mal ces temps-ci et il n'avait pas le temps de s'inquiéter, aujourd'hui. Il allait être en retard.
Comme tous les mardis, depuis maintenant 10 ans, il avait entraînement, pour rester le meilleur selon le chef, pour rester sous sa cape selon Harry. Il avait d'abord cours avec le Chef pour une séance de combat à main nue. Le Chef allait être encore plus dure ! Il déteste les retards ! Harry revêtit son survêtement. Celui-ci était noir et plutôt serré, comme son équipement en fait. Il sortit en vitesse et courut le reste du trajet, parce que de un, il n'aimait vraiment pas son survêt et de deux mieux faut essayer de rattraper le temps perdu. Il arriva devant un donjon que le Chef louait pour une durée de deux heures généralement. Il n'hésita pas à rentrer malgré sa punition certaine ! Dés qu'il mit un pied sur le tatami, il se reçut un violent coup de pied dans l'estomac
« Tu es en retard ! Tu sais que j'ai horreur des retards ! »
Harry préféra se taire plutôt que de se recevoir encore un coup. Il se mit à genou pour reprendre sa respiration. Le Chef en profita pour lui mettre un pied sur la tête du jeune homme et l'obligea à se prosterner devant lui. Harry serra les dents et supporta comme d'habitude de se faire rabaisser plus bas que terre.
« C'est bien Harry, je t'excuse encore une fois. Debout ! » dit le Chef, d'un ton consentant
Le jeune homme n'eut même pas le temps de se relever qu'il du bloquer un coup de poing. L'homme eut une moue déçue. Il aurait bien voulu qu'Harry se prenne le coup. Il était bien plus grandet bien plus fort qu'Harry. Cependant il attirait peu à cause de son visage blafard et couvert de cicatrice. Ses yeux étaient bleus mais le blanc de l'œil était rouge à cause d'une violente explosion quand il était encore dans le service. Il se dégagea vivement pour enchaîner avec un coup de pied rotatif qui atteint Harry à la tête. Le jeune homme valsa, sonné.
« Harry, Harry, tu me déçois. » dit-il d'une douce voix, pareille à celle d'un père, attristé.
Pourtant ses yeux brillaient d'amusement. Harry se releva et essuya un filet de sang qui coulait de sa tempe. Il se mit directement en position d'attente. Cela fit sourire le Chef qui réattaqua. Cette fois-ci, Harry contra la série avec une facilité quelque peu déconcertante.
Le Chef félicita Vernon dans son fort intérieur. C'était une belle ordure qui avait mérité sa mort, cependant il avait laissé un bel héritage derrière lui. C'est bien dommage qu'il soit déjà brisé ! Il émit un soupir et secoua la tête. Harry, voyant que l'attention du chef était ailleurs, attaqua. Le Chef n'eut pas le temps de contrer. Rapidement, il fut submergé et Harry le mit à terre, une main proche de sa jugulaire. Oui, c'est bien dommage !
« J'ai gagné ! » dit Harry en tendant une main pour aider le chef
Mais celui-ci en profita pour mettre le jeune homme à terre. Harry ferma les yeux sous le choc. Il les rouvrit à la sensation de quelque chose de froid et de piquant sur sa gorge. Devant lui, un homme beaucoup plus immense que lui, maintenait un poignard sur sa gorge.
« J'ai gagné ! » dit cet homme noir, avec un sourire carnassier
Harry légèrement inquiet, n'osa pas bouger. Le Chef, avec le même sourire, le regarda.
« Tu me déçois ! Toujours vérifié avant de crier victoire ! Tu le sais, je te le dis à chaque fois ! M'écouteras-tu un jour, Harry ? » dit-il, avant de faire un signe à la base qui menaçait le jeune homme.
L'homme recula, laissant Harry se relever. Cependant il resta sur ses gardes. Il était rare de voir une tierce personne participer à cet entraînement.
« Je te présente Amos. Un nouveau dans l'équipe. Il participera à ton entraînement et t'assistera sur quelques unes de tes missions. D'ailleurs, tu en as une, mercredi ! »
Harry hocha la tête. La présence de cet homme ne l'enthousiasmait pas mais il ne pouvait rien faire. Un ordre du chef, même déguisé, n'est pas refusable. De plus, il se sentait nauséeux et très fatigué
« Bon, cet entraînement est terminé pour le moment. Hermione t'attends pour le moment à la base. Elle va te briefé pour demain et t'entraîner avec Dean et Seamus. »
« D'accord. Est-ce qu'Amos vient avec moi ? »
« Non, pas pour cette mission. Trop inexpérimenté ! » dit le Chef en sortant avec Amos.
Harry sortit et retourna à l'école. Normalement Sirius devrait avoir terminé avec les dernières années et pourrait le conduire au dock. Hermione l'attendait déjà avec les deux garçons. Ceux-ci avaient un grand sourire. Harry se mit à penser qu'il y allait avoir quelque chose de malveillant dans l'air.
« Bon, Harry. J'espère que tu as mangé sinon, il y a de quoi, là. Je t'explique d'abord puis on met tout au point. »
Harry hocha et prit un sandwich avant de s'asseoir devant ses trois amis.
« Tu devrais assassiner le professeur Dumbledore, le prix Nobel. Attention, tu n'auras pas le choix pour les armes. C'est avec ce poison que tu devras le tuer. »
Elle montra une petite fiole avec un liquide légèrement verdâtre.
« Il devient incolore dans n'importe quel liquide. Tu devras te débrouiller pour te retrouver en cuisine et verser le poison. C'est clair ? »
« Oui ! Tu as déjà le plan du lieu d'action ? »
« Oui, tiens ! Tu l'étudieras plus tard. Maintenant, on a un exercice pour toi. Tadam ! » dit Dean en s'écartant.
Derrière lui, il y avait une gigantesque toile d'araignées assez complexe.
« Chaque fils est attaché à une clochette. Le but est que tu traverses sans toucher les fils. »
« Clair et simples ! Mais quel en est l'intérêt ? »
« L'agilité ? Regarde, à ce niveau-là, c'est bourré d'infrarouge. »
« Pourquoi ne les coupe-t-on pas ? » demanda Harry.
« Il y a trois gardes en permanence autour de lui et dans cet hôtel, l'un d'eux est toujours au moniteur. Couper l'alarme reviendrait à sonner l'alerte, donc… »
« Je dois me débrouiller ! » termina Harry.
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Quand Harry eut fini cet entraînement, il était heureux malgré sa fatigue et ses membres ankylosés. Il dormira bien ce soir. Il alla s'écrouler dans un coin et commença à étudier le plan avec minutie.
« Harry, comme je suppose que tu ne fais rien ce soir, t'es invité à boire un verre avec nous. Il y aura Seam' et moi, ainsi que des anciens amis de fac. »
« Je suppose que je n'ai pas le choix, n'est-ce pas ! »
« Tu supposes bien, mon chou. De toute façon, on doit aller chercher un ami à ton école. »
Harry regarda Hermione, stupéfait. Seamus arriva, vêtu d'une chemise blanche froissée et d'un jean noir.
« Alors, prêt ? Mm Harry, il va valoir changer de vêtements, pas que ceux-là soient moche mais bon, c'est pas ça ! » dit Seam' en agrippant Harry par le coude.
« Mais, mais… » »T'as pas le choix, Harry » interrompis Hermione en montant dans une petite voiture.
« Au fait, tes anciens amis, ils s'appellent comment ? » demanda Harry
« Alors, il y a les jumeaux, Fred et Georges Weasley… »
« Ils sont de la famille de Ronald Weasley ? » interrompit vivement Harry.
« Oui, mais ils sont opposé de Ron, t'en fais pas ! Le dernier, c'est Draco Black, c'est lui qu'on va cherché à ton école. »
« Bizarre, ce nom me dit quelque chose mais je me rappelle plus pourquoi ! » dit Harry pour lui-même.
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Arrivé à l'école, les deux garçons laissèrent Hermione, seule à la voiture et allèrent à l'appartement d'Harry. La jeune fille les regarda s'éloigner, elle fut légèrement surpris de voir Harry ainsi. Il avait en forme, enfin si on peut dire comme ça. Elle soupira, elle allait encore une fois passer son secret sous silence.
Seamus entra le premier dans la chambre d'Harry.
« Wouah, c'est… »
« Vide ? Plutôt oui ! Mais bon, ce n'est pas grave ! » dit Harry en haussant les épaules.
Il tira une malle de dessous de son lit et l'ouvrit. Seamus soupira en voyant l'amas de tissus gris qui occupait cette malle. Il envoya un Harry dépité à la douche et entreprit la fouille de la malle. Il dénicha un débardeur noir, une chemise rouge et un pantalon en cuir noir un peu froissé mais bon, cela fera style. Il y rajouta un de ses colliers, une simple chaîne terminée d'une clé. Enfin, ce n'était pas vraiment un pendentif mais ça en jetait pas mal.
Quand Harry sortit de sa douche, il était seul. Il soupira en voyant les vêtements.
« Tu es superbe ! Mais tu as mal mis le collier ! »
« Je suis mal à l'aise, je crois que je vais rester ici ! »
« Pas question ! Allez, Harry, fais un effort, s'il te plait, pour moi ! »
Harry secoua la tête et sourit à son ami. Le sourire était maigre et piteux mais bien là. Ils sortirent rejoindre Hermione.
« Waouh ! Harry, tu es magnifique ! » dit Hermione
Harry maugréa quelque chose entre ces dents, mais Hermione ne l'écouta pas.
« Tiens, le voilà. Tu vas le chercher Harry ? »
Celui-ci se retourna et sa mâchoire se décrocha. Bizarrement, une onde de plaisir lui enserra le cœur. Il en oublia l'ami d'Hermione. Le blond, devant la sortie, eut un geste amical pour Ron et ses amis mais seul Blaise répondu. Harry qui s'était rapproché eut un petit rire.
« Bienvenu au club, tu leur a fait quoi ? »
Il le vit se retourner et maudit Seam' pour le choix de ses vêtements. Il n'aimait pas attirer l'attention.
« Tiens, tu me reparles ? Je ne te soûle plus ? » dit Draco sèchement
« De quoi tu parles ? Du français ? » demanda Harry perplexe.
« Non, de ma grand-mère en sous-vêtements ! »
Le ton ironique du blond l'interloqua, pourtant il n'en avait pas après lui ! Il a de la chance qu'Harry soit dans un bon jour !
« Oh, c'est bon, tu te calmes ok ! Je râlais sur Pansy quand Môssieur pique sa petite crise de nerf ! » se défendis Harry.
Il vit le blond essayer de répondre quand une furie brune, du doux nom d'Hermione, se mit entre eux deux.
« Salut vous deux, je vois que vous vous connaissez déjà, bien, on y va ? »dit Hermione en jouant le jeu
Draco ne devait pas savoir qu'Harry avait passé la journée avec Hermione.
« Tu le connais ! » s'exclamèrent les deux garçons en même temps.
Discrètement Harry braqua son regard sur Draco qui fit de même.
« Bien sûr ! Harry est comme mon petit frère et Dray est mon meilleur ami. On y va, Seam' nous attend à la voiture. »
Ils hochèrent la tête.
« Tu connais Seamus aussi ? » demandèrent-ils simultanément.
Harry ne comprenait plus rien. Pourquoi Hermione ne réagissait pas comme dans la voiture ? Ou elle est vraiment une bonne comédienne. Comment elle et Seamus avaient-ils pu connaître Draco ?
« Wouah, comme le monde est petit. Vous ne trouvez pas ? » s'extasia Hermione en montant au volant d'une petite voiture.
« Salut les gars, alors vous montez ? » dit Seam' par la fenêtre
Harry grommela en montant dans la voiture. Il aurait préféré un monde plus grand. Au moins, il n'aurait pas rencontré le blond et il serait en train de dormir maintenant !
La voiture démarra et Harry prit dans ses pensées. Bizarrement il se sentait bien, fatigué mais heureux.
« Fred et Georges ont pu se libérer ? »
« Oui, ils nous attendent au café 'au petit bonheur'. »
« L'habituel quoi ! Sinon … »
Harry s'endormit.
Il était sur une plage. Le soleil le réchauffait agréablement et une personne lui caressait les cheveux. Il était si bien, ça lui changeait de ses cauchemars habituels. Il se tourna légèrement pour voir la personne. Celle-ci le secoua un peu. Il maugréa un peu puis se réveilla en sursaut.
La personne avait le même visage que… non, impossible ! Il était confus et perturbé par ce rêve.
« On est arrivé, tu viens ? » dit le blond en sortant de la voiture.
Harry sortit de la voiture et agrippa le bras d'Hermione. Il l'emmena à l'écart.
« Hermione, tu sais qui c'est ? » dit-il en désignant Draco.
« Ben oui, c'est Draco Black, un ami de longues dates. Pourquoi ? » demanda-t-elle perplexe.
« Pour rien sauf que ton Draco Black est mon Draco Malfoy ! » dit l'air de rien Harry.
« Quoi ? Mais…mais…on est dans la merde ! » soupira Hermione.
« On fait quoi maintenant ? Le Chef m'a défendu de l'approcher. »
« Et tu as obéi ? Toi, le petit rebelle ! »
« Euh, pas vraiment. Je ne sais pas mais quelque chose chez lui m'attire. »
« Mm, je vois » dit-elle avec un sourire égnimatique « On continue à faire semblant, sinon, il supecteras quelque chose. »
« Oui, je comprends. Il ne comprendrait pas. Bon, allons-y ! »
Ils rejoignirent les deux garçons.
« Ah, enfin ! Qu'est-ce qui s'est passé ? 'Ry s'est rendormi ? » dit Seam' pour rigoler.
« Non, je t'expliquerais plus tard. Bon, on y va ? » dit Hermione
Et sans les attendre, elle traversa sans regarder. Heureusement pour elle, il y avait personne. Elle entra en trombe dans le café. Les deux garçons Seam' et Draco secouèrent la tête amusé, avant de la suivre. Harry les suivit de loin. Il était mal à l'aise, mis à l'écart. Il le fut encore plus entrant dans le café. A cause de l'entrée d'Hermione, tout le monde les regardait. Il détestait ça.
Le pire fut quand les jumeaux fondèrent sur lui comme des requins.
« Oh, qu'il est mignon ! » dit l'un des roux.
Harry regarda vers ses soi-disants amis pour les voir rire avec Draco.
« Comment tu t'appelles, bel inconnu ? »demanda l'autre roux
« Harry ! Et je ne suis pas beau ! »
« Comme je les aimes ! Une beauté qui s'ignore ! »dit le second roux
« Oui mais il est venu avec un petit dragon ! » répondit le premier.
Les deux garçons se retournèrent vers Harry, qui ne comprenait pas où ils voulaient en venir.
« Quoi. Qu'est-ce que j'ai ? » dit Harry, légèrement effrayé
Il n'aimait pas le regard du second roux, celui avec la tâche de rousseur sous l'œil gauche.
« Serais-tu libre ou avec le petit dragon ! » demanda-t-il
« Euh… Avec le petit dragon ! » se dépêcha de répondre Harry.
« Oh ! Pas juste ! C'est lui qui a les plus beaux lots ! » rouspéta celui à la tâche de rousseur.
Ils se détournèrent d'Harry pour aller rejoindre le reste du groupe.
« Dis Dray, tu ne nous avais pas dit que tu avais un copain ! » dit Georges ou Fred, il ne savait jamais.
« Un copain ? »Dit-il étonné
« Ouaip un copain, tu sais, celui que l'on embrasse plus ou moins tendrement… Que l'on aime quoi ! » dit l'autre rouquin en s'asseyant à ses côtés.
« Non, je n'ai pas de copain ! Qui vous a dit cette connerie ? » demanda-t-il
« Oh, Dray chéri, je sais que tu ne voulais pas que je le dise en public mais je ne penserais pas que… Que tu renierais notre amour ! » dit Harry d'une voix fluette, le visage caché dans les mains.
« Mais…Mais…je… »
Le coup de l'amant éploré et vexé marchait à tous les coups.
« Dray, tu devrais avoir honte ! Faire du mal à une si belle créature ! »
Et toc !
« Mais non, je ne suis pas avec lui ! Je le connais à peine. » pesta le blond.
C'est ça ! Allez, on rajoute une couche. Harry adora l'embarrasser ainsi.
« Snif, Dray, mamour arrêtes ! Tu me fais mal ! Comment peux tu me faire ça, moi qui mourrais pour toi ! » dit Harry d'un ton larmoyant.
« Mais…Mais »
Oh la tête ! Mémorable ! Les yeux écarquillés, la bouche ouverte dans essai de se justifier le faisait ressembler à un poisson. Il n'en pouvait plus…Harry ne pu se contrôler plus et éclata de rire. Une première pour lui depuis… Il fut rapidement suivit par Hermione et Seamus, les jumeaux, eux ne comprirent pas très bien.
« Désolé mais je n'ai pu résister ! Tu devrais voir ta tête. Eh, les jumeaux ! Je ne suis pas avec Draco ! » dit Harry avec un sourire moqueur.
« Gniark, gniark « fit Draco à la manière d'un enfant.
« Draco ! Quand grandiras-tu ? » soupira Hermione
Le reste fut un peu flou pour Harry. Sûrement à cause de l'alcool ! Il se souvient d'un restaurant japonais qui avait un excellent saké. Il en a abusé un peu, beaucoup.
Enfin, il avait bu seulement une bière et deux sakés, avant qu'Hermione ne décide que ce soit suffisants. Harry se sentait pourtant bien, il avait chaud et était euphorique. A côté de lui, le blondinet avait l'air comme lui.
Hermione due même les aider à monter dans la voiture. Draco s'y endormit très rapidement tout comme Harry. Celui-ci se coucha sur le blond et le serra dans ses bras, tel un nounours. Draco, dans son sommeil, entoura la taille d'Harry de son bras gauche.
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Voilà le chapitre six, fraîchement révisé. Je m'excuse du retard et je vous soumets à un choix. Je compte bientôt mettre une histoire en route mais le problème c'est que j'ai deux idées alors je voulais avoir votre avis sur la question :
Le restaurant de la seconde chance : Mon histoire se passe en Nouvelle-Orléans, un peu à l'extérieur de la ville dans une charmante petite bourgade. C'est là que viennent la plupart des amours.
Mon histoire se passe dans un restaurant un peu spéciale que mes parents James et Lily Potter m'ont légué à leur mort, j'avais alors dix-huit ans. Je revois encore le sourire enjoué de ma mère avant qu'elle ne parte avec père pour le centre ville ou ils voulaient ouvrir un nouveau restaurant. Ils ne sont jamais revenus. Je ne sais pas vraiment ce qui c'est passé. Ils ont tout simplement disparu, me laissant comme seul propriétaire du restaurant. Qui sais peut-être sont-ils en vie mais je ne préfère pas y croire parce qu'alors, pourquoi m'avoir abandonné ? Maintenant je le gère seul avec Thomas, un grand type d'une vingtaine d'année. C'est lui qui m'a fait connaître l'amour, pas l'amour parental, l'amour physique, celui qui vient du cœur mais cela n'a pas duré. On le savait deux les deux. J'était trop jeune et lui aimait déjà une autre personne donc on est rester très bons amis. On a créé un restaurant où des jeunes de 18 à 25 ans pourraient se reprendre. Des cas difficiles mais, ce restau leur apporte une chance réelle pour s'en sortir. Ils ont sept à avoir pris leur destin en main dans ce petit coin de paradis. Il y a Kathy, Nico, Samuel, Axel (c'est le diminutif d'Alexandra), Fred, Cha (Charlotte), Erwin et Mike (se dit Mickey). Ils sont géniaux surtout avec le petit Nathan, un gosse des rues que l'ont a recueillit.
Tout n'est qu'apparence : Voilà douze ans qu'Harry et Ginny avaient disparu. Une fuite d'amoureux selon le gouvernement et l'ordre. Apparemment un projet de longue date selon les lettres du survivant. Ils étaient partit après le bal des septièmes années. Harry avait eu ses Aspics et il fêta ça avec sa fiancée. Le monde magique avait des avis très partagés sur cette fuite. Les plus romantiques trouvaient cela adorable, les plus lâches trouvaient cela honteux. Qui allait les sauver maintenant ? Il ne manquerait plus que Dumbledore meure et c'en était fini d'eux.
A ce moment, Albus fessait les cent pas dans son bureau. Toujours le même problème mais là, il devais en plus trouver une infirmière pour l'école. Pomfresh avait été réquisitionnée par Sainte Mangouste. Voldemort avait encore frappé. Il faut bien rattraper le temps perdu. Il avait laissé un répit de cinq ans au monde magique puis avait réattaquer en force. Bizarrement il n'attaqua pas le ministère, Sainte Mangouste ou encore Poudlard, mais des petits villages de sorciers. A chaque fois, il n'y avait aucun survivant. Albus ne savait plus où et quand il allait attaquer car ses espions avaient été découverts. Le directeur eu un frisson en se souvenant de l'état abominable de Severus et de Draco à leur retour. Ils venaient à peine de sortir de l'hôpital.