Auteur : Yami Flo
Genre : Angst, Mystery, Drama lors de futurs chapitres, quelques traits d'humour de la part des personnages.
Disclaimer : Nous connaissons tous le créateur de Naruto, et nous savons que ce n'est pas moi….Naruto & co est la propriété de Masashi Kishimoto. Seule la présente histoire est mienne.
Merci à Taïsha pour prendre le temps de corriger cette histoire !
Sang
-Jun ?
Des murmures, des cris. Il ne les entend pas. Il ne sent même pas les deux mains posées sur ses épaules, qui le soutiennent à demi. Il sent à peine qu'on le tire vers une chaise, il sent à peine la main qui se pose sur front et qui vérifie sa température.
-Il n'est pas fiévreux, indique la personne qui le touche à une autre.
-Ca fait déjà une galère de moins. Mince, il est lourd, ce type !
Une main s'agite devant ses yeux. C'est à peine s'il les cligne.
-Hey, Uchiha, réponds !
-Mince, il est sourd, ou quoi ?
-Vos gueules ! Il est sous le choc !
Une voix connue, aux intonations féminines. Deux petits éventails de métal sont dégainés. Une autre, agressive, moqueuse. Elle parle…de lui ? Il ne sait même plus. Il ne veut pas savoir. Il voit seulement le rouge. Le reste est sans importance. Même la voix qui murmure à son oreille est obsolète.
-Je vois pas pourquoi. Après tout, c'est presque rien ce qu'il a fait à Shingo.
-Ouais, c'est ça, c'est ça…La vache, j'ai jamais vu quelqu'un d'aussi pâle !
Quelqu'un lui passe un linge humide sur le front. Un bref éclair blond traverse son champ de vision. Mais il n'y prend pas garde.
-Qu'est-ce qui se passe, ici ?
-Konohamaru-sensei ! C'est Jun !
Jun avait les yeux fixes. Sans bouger, il regardait son adversaire étendu au sol, un liquide pourpre s'écoulant de son nez, et tâchant par quelques gouttes le sol.
Extrait du Journal d'Uchiha Jun.
22 Mai 1XXX
Je…j'ai honte de moi. Et j'ai peur.
Les autres me disent que, comme je suis un Uchiha, je ne devrais pas me laisser aller à la peur, et développer mes capacités. Pourtant, cela ne change rien aux faits.
J'ai failli m'évanouir en classe…
Tout avait bien commencé. Nous pratiquions un peu de tai-jutsu, et nous devions former des paires afin de nous mettre en situation de combat. Manque de chance, c'est Shingo qui fut désigné comme mon partenaire. Je n'aime pas ce garçon. Il use de sa force pour terroriser les plus petits. Il passe également beaucoup de temps à rabaisser les autres. Ses remarques m'ont laissé de glace, jusqu'à présent, mais…
Il n'avait pas le droit. Il n'avait pas le droit d'insulter mon père ! Je me suis jeté sur lui.
Et puis…
Rouge. Partout. Je ne comprenais pas ce que c'était. Et puis, j'ai réalisé… A quel point c'était chaud. Et un mot s'est imposé dans mon esprit : Sang. C'est du sang qui couvrait mes doigts. C'est du sang qui coulait de la bouche et du nez de mon adversaire.
Et le monde s'est mis à tourner. J'avais mal au cœur. Sugi et Satoru ont du me supporter jusqu'à mon siège. Kami-Sama, Nozomi, de tous les gens, m'a dit que j'étais véritablement livide et m'a humecté les tempes avec un mouchoir humide. Konohamaru-sensei a fait appeler un autre professeur pour me ramener à la maison. Il a du me porter sur une bonne distance car mes jambes ne me soutenaient plus. Je me suis senti…humilié. Mais aussi très reconnaissant envers mes camarades. Sugi est même venu me voir après les cours. Il n'a pas pu rester longtemps, bien sûr, mon instructeur y a veillé, mais…
Cela m'a fait chaud au cœur. Sugi, avec son sourire chaleureux et doux, qui était prêt à m'écouter…Il aurait été si simple de me confier à lui. Mais je n'ai pas pu. Je ne peux pas lui en parler. Je n'en ai jamais parlé aux adultes, alors, pourquoi à lui ?
C'est drôle comme le sang me fait toujours de l'effet. Son odeur, sa texture sous mes doigts,…Je pensais pourtant y être habitué. Je peux voir mon sang, mais je ne peux pas voir celui des autres.
C'est comme autrefois. Comme le jour où j'ai perdu mon trésor, et mon cœur. Tout ce rouge…Partout, la couleur du sang. Tout se fond dans la couleur, le monde n'existe plus. Et je ne peux que trembler en attendant de mourir…
Pourquoi ?
Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à surmonter ma peur ?
Son visage me hante la nuit, couvert de sang comme celui de mon…camarade tout à l'heure.
Je crois qu'une autre nuit sans sommeil m'attend.
Mon instructeur particulier a laissé tomber l'entraînement d'aujourd'hui. Il prétend qu'il vaut mieux que je récupère un peu…
L'examen est pour dans deux jours. Et je ne sais toujours pas si j'ai envie de le passer. Mais qui sait, peut-être que le malaise d'aujourd'hui pourra me servir d'excuse et me permettra de l'éviter…
…
Papa, qu'aurais-tu fais, si tu avais été à ma place ?
Extrait du Journal de Uzumaki Nozomi.
22 Mai 1XXX
Alors là, pardon de dire ça, mais : bravo Jun !
Grâce à toi, Konohamaru-sensei ne nous a pas fait une seule remarque de la journée, même quand j'ai « accidentellement » renversé mon encrier sur la tête de Kinoko – elle l'avait mérité ! Elle n'avait pas à insulter mes frères et ma mère ! Mon père, ils peuvent dire ce qu'ils veulent, mais le reste de la famille, il est hors de question que je laisse passer ! – et il ne nous a pas fait de sermon quant au fait que nous devions impérativement réviser à fond pour notre examen.
Mais d'un autre côté, il m'a fait peur, le Jun. Je vous jure, pâle comme un mort, il était ! Et ses yeux…agrandis par l'horreur, fixant un point invisible. Il avait le parfum caractéristique de la peur animale autour de lui. C'est dingue ce que la vue du sang lui fait comme effet…
Qu'est-ce que ça doit être quand Mamie Tsunade lui fait des prises de sang, alors ?
N'empêche, si Sugi ne l'avait pas rattrapé, et si Satoru n'était pas venu lui filer un coup de main, il aurait fini par terre. Je passe sous silence les commentaires de la classe. Ils n'étaient guère flatteurs…
Ils m'ont énervée à tous se montrer aussi mesquins. Alors, bon, j'ai un peu perdu mon calme. Non, je vais être franche, j'ai piqué une crise ! J'ai carrément sorti les éventails ! Autant dire que quand Maman demandera des explications, je risque gros. Très gros ! Elle qui m'interdit formellement de m'en servir…Faudra alors qu'on m'explique pourquoi elle m'a appris à les utiliser. C'est comme le père de Sugi avec ces techniques qui ne doivent servir qu'à protéger des personnes chères…
Quel est l'intérêt d'être fort si on ne se sert même pas de toute sa puissance ?
Je suis tout de même fière de moi. Je n'ai pas laissé le contrôle au renard. Seigneur, je l'ai senti si proche…prêt à me sauter à la gorge au moindre faux pas ! Je ne sais pas comment Oncle Gaara fait pour endurer cela. Et encore, j'ai de la chance : Paraît que Shuukaku est encore plus agressif.
Mais quand même…
J'ai encore eu une réaction bizarre devant le sang. J'aurais voulu…en voir plus. Egorgé mes camarades de classe m'a soudainement parut très attrayant.
Soif de sang, vous connaissez ?
C'est pire encore quand il y a une voix nasillarde qui vous hurle dans les oreilles. Façon de parler, s'entend. Merci beaucoup, Kogane.
Saleté de renard.
Je l'entends de plus en plus en ce moment et je sais très bien pourquoi. D'accord, je suis fière d'avoir du sang de yohko, et ça m'a sauvé la vie plus d'une fois, mais il y a des jours où je maudis cet héritage paternel. Encore que, paternel…Certaines personnes dont je tairais les noms doutent de mes origines.
Bon sang, quand se mettront-ils en tête que je ne suis pas la fille du Kyûbi ?
Je suis Uzumaki Nozomi, fille d'Uzumaki Naruto, le Rokudaime de Konoha, et de son épouse Temari, nièce de Gaara du Désert, le Kazekage de Suna, et genin en devenir ! Je ne suis pas un démon ! Enfin, pas totalement…
Dire qu'à côté de ça, mes frères sont parfaitement normaux. Enfin, normaux, mais sacrément allumés, chacun à leur manière.
Parfois, je me demande pourquoi le village m'a laissé vivre en s'apercevant que j'étais plus une kitsune qu'une humaine. Bon, Mamie était encore Hokage, et elle m'aimait bien, et puis Papa était déjà raide dingue de son petit bout de choux de fille, et Maman aussi. Je doute qu'à l'époque, on s'en soit vraiment préoccupé. Je suis pratiquement certaine que j'aurais eu droit au lynchage par une foule en colère si je n'avais pas été leur fille. Mais avec Oncle Gaara comme Kazekage, hein…Mouais, j'ai été laissé en vie sur des bases purement politiques, en quelque sorte.
Le Kyûbi ne serait pas dans le corps de mon père, je vous jure que je lui botterais les fesses…
…
Oubliez ce que j'ai dit.
C'est moi qui aurais les fesses bottées à la fin, y a pas photo. Pourquoi je n'arrive pas à devenir plus forte ?
…
P.S : Je maîtrise de mieux en mieux le gen-jutsu pour dissimuler mes oreilles et mes queues ! D'ici peu, je pourrais enfin le maintenir par moi-même pendant quelques heures d'affilées ! Bon, d'accord, c'est pas un grand progrès, mais c'est déjà pas mal…
Extrait du Journal de Rock Sugi.
22 Mai 1XXX
La journée s'est montrée…palpitante ? Je ne sais pas s'il s'agit du meilleur adjectif pour décrire la situation, mais je m'en contenterais, faute de mieux.
Jun a fait une crise en plein milieu de la classe après avoir blessé Shingo. Non que je regrette les blessures de ce type, il l'a cherché. Mais je m'inquiète de plus en plus de l'état psychologique du jeune Uchiha. Maman m'avait prévenu que cela pouvait arriver n'importe quand. Je ne lui serais jamais assez reconnaissant pour ses précieux conseils si cela devait se passer et qu'elle n'était pas joignable.
J'ai demandé de l'aide à Satoru pour le faire asseoir, puis je me suis assuré qu'il n'avait pas de fièvre, et j'ai tenté de le calmer en lui parlant. Sans grand effet, je dois dire. Je doute même qu'il m'ait entendu. C'est inquiétant…
Konohamaru-sensei l'a fait raccompagner chez lui peu après. Inquiet, je suis passé le voir dès la fin des cours. Je crois d'ailleurs que plusieurs personnes me font la tête pour mon action. Les filles, surtout ; elles ne supportent pas que je traîne avec Jun ou Nozomi. Mais, je ne suis pas à leurs ordres. Pour qui se prennent-elles, pour m'ordonner mes fréquentations ? Enfin, n'épiloguons pas là-dessus, ce serait inutile…
Je n'ai pas pu rester très longtemps. J'ai été…plus ou moins poliment éconduit et jeté à la rue par l'espèce de cerbère qui garde mon camarade. Quelle brute…
Je comprends pourquoi Maman désapprouve tellement le Conseil. Jun devrait être avec nous, ou avec les Uzumaki, plutôt que seul dans un manoir immense qui n'a jamais été sa maison, qui n'est qu'un passé révolu auquel quelques nostalgiques s'accrochent bec et ongles.
Malheureusement, il n'est rien que nous puissions faire tant que la majorité ne sera pas de notre côté. Et, comme le dit Maman : « C'est pas gagné d'avance. »
J'ai beaucoup réfléchi à cet événement. D'après Maman et Tsunade-sama, Jun souffre d'un profond traumatisme lié à son enfance. Je ne sais pas si c'est vrai. Je n'ai jamais beaucoup entendu parler de lui avant son arrivée à l'école, un matin, lorsqu'il suivait Konohamaru-sensei dans les couloirs.
Pratiquement muet, tatoué au visage, les yeux trop fixes, douloureusement mince, des pansements sur les poignets, toujours vêtu en noir… Il faisait un peu peur, mais aussi, il faisait…pitié. Très vite, les autres enfants se sont mis à l'éviter. Sauf quelqu'un, mais ceux-là sont les cas spéciaux, comme moi, Nozomi, Satoru,…en bref, les enfants de ceux qui avaient intimement connu le père de Jun.
Pour en revenir à son prétendu traumatisme, je fais confiance au jugement de ma mère, même si cela me semble improbable. Mais je dois avouer que je suis assez désensibilisé à la vue du sang, de muscles déchirés ou de plaies ouvertes. Avoir une mère faisant partie de l'élite du corps médical de Konoha vous incite à vous y habituer, que vous le vouliez ou non.
…
Il faut que j'aille m'entraîner. Je te réécrirais plus tard, cher journal.
Extrait du Journal de Uzumaki Naruto, Rokudaime de Konoha.
22 Mai 1XXX
Qu'y a-t-il de plus pénible que de passer ses journées enfermé dans un bureau, à faire de la paperasserie ? Je vais vous le dire.
D'abord, recevoir une visite des vieux ploucs du Conseil, cherchant encore une fois à faire éliminer ou bannir ma fille chérie, sous prétexte qu'elle est trop dangereuse. Comme si j'allais les laisser faire, tiens ! Je me demande si le vieux Sandaime en supportait tout autant avec moi…
Ces vieux schnocks en ont profité pour me demander « poliment » comment allait la grossesse de Temari. Je déteste quand ils font ça, je sais qu'ils ont une idée derrière la tête. Certains n'ont toujours pas digéré que je sois devenu le nouvel Hokage. Tant pis pour vous, les gars, parce que la décision de Tsunade-bachan est irrévocable.
Le bouquet final pour moi, ce fut en rentrant à la maison, où m'attendait une Temari d'humeur massacrante, quelques dégâts sur les murs provoqués par Kaito, un Genki en manque de câlins, et un beau-frère en visite et peu ravi d'apprendre le nouvel état de sa grande sœur. Kankurô, vieux, je t'aime bien, mais tout seul, tu ne me fais vraiment plus peur. Gaara, par contre…
Nozomi m'a appris que Jun avait fait un malaise cet après-midi. Je comprends. Je ne sais pas ce que ce gosse a vécu avant de venir à Konoha, mais…je vois bien qu'il est entrain de mourir de l'intérieur.
Je le revois toujours, six ans plus tôt, couvert de sang, ses grands yeux tristes pleins de larmes…et réclamant qu'on le mette à mort…
Extrait du Journal de Nara Satoru.
22 Mai 1XXX
Encore une journée galère !
Le jeune Uchiha est devenu catatonique en classe. J'ai du aider Rock Sugi à le porter jusqu'à la chaise la plus proche. Il pèse son poids, mine de rien. Enfin, je dis ça, mais il est tout de même beaucoup plus léger que la plupart des enfants de notre âge. Beaucoup plus mince, aussi. Je me demande s'il mange correctement…
Encore que, à force de côtoyer Shigeru, ma vision personnelle d'une bonne alimentation a très bien pu être parasitée…
Rien d'anormal à la maison. Je veux dire, Papa passe toujours autant son temps à regarder les nuages, et Maman lui hurle toujours autant dessus en lui jetant des casseroles à la tête quand elle est vraiment de méchante humeur. Sakura-san m'a dit que leur relation avait toujours était comme ça, même quand ils étaient mômes. Maman hurle, cogne sur mon père, il se laisse plus ou moins faire, il se barre pendant quelques jours, dort sur le canapé quelques autres, et les deux se rabibochent tant bien que mal. Faudra qu'on m'explique comment je suis arrivé sur cette terre, alors…
Maman me fait peur. Elle insiste pour avoir un autre enfant. Je crois que la nouvelle grossesse de Temari-san l'a perturbée. Papa, de son côté, marmonne des propos incompréhensibles sur des missions à faire, urgentes parait-il. Ouais, c'est ça ! A d'autres, je le connais bien, le paternel. C'est un génie, d'accord, mais c'est aussi le dernier des fainéants. J'ai comme l'impression que l'idée de supporter Maman enceinte lui fait peur.
Remarquez, quand je vois l'état de Temari-san, je le comprends…
Bon, je te laisse, le journal. J'ai encore pas mal d'exercices à faire pour demain.
Et oui, c'est pas parce que je ne fous jamais rien en classe que je ne bosse pas à la maison. Enfin, j'aimerais, mais si je mettais l'idée en pratique, Maman me tuerait. Sans état d'âme. C'est une sorcière, c'est moi qui vous le dis ! Elle insiste sur le fait que je dois encore faire des progrès à l'école. M'est avis qu'elle et Sakura-san ont encore eu une petite dispute. Ca expliquerait pourquoi elle s'évertuait à martyriser un pauvre oreiller sans défense quand je suis rentré.
Mais de toute façon, j'ai pas envie de bousiller ma couverture de crétin finit.
Ce serait une nouvelle galère…
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Yep, c'est un nouveau chapitre. On ne pourra pas dire que mes updates sont rares en cette période. Mais je m'ennuie ! A part taper sur mon clavier, je n'ai rien à faire. Le pire, c'est qu'en plus je trouve mes textes complètements nuls en ce moment…
Déprime, quand tu nous tiens…
Bon, d'accord, certains d'entre vous se diront que cette histoire n'avance pas vite, mais je tiens d'abord à présenter la psychologie des personnages avant de vraiment entrer dans l'action et le vif du sujet. Question de principe.
Merci à tous ceux et celles qui m'ont envoyé des reviews, cela m'a fait très plaisir. A bientôt pour le prochain chapitre.
RAR :
Mahiro : Désolée ! Je n'avais pas fait attention ! Oui, je savais que le couple Naruto Temari surprendrai, mais je me suis dit qu'il était assez sympa à imaginer. Pour répondre à ta question, Genki est un gosse adorable mais qui a une fâcheuse tendance à imiter son frère aîné. Disons que cela varie selon son humeur. Pour ce qui est de l'équipe…eh, eh ! Réponse au prochain chapitre. Dans le Conseil, on trouve déjà le vieil Homura et maître Kohal (aperçus dans le volume 16). Sinon, imagines des vieillards issus de grandes familles de Konoha, genre celle des Hyuga…Oui, c'est pas la joie de les avoir en face de soi. Le vieux ninja n'a pas de nom, c'était juste un personnage comme ça, pour marquer l'événement et guider les réflexions dans les journaux des personnages.
Ewalin : Normalement, il ne devrait pas y avoir trop de spoilers, mais, sait-on jamais…Ca va dépendre de la direction que va prendre l'histoire, je pense…Merci beaucoup pour ta review !
Goudou : Merci pour les reviews. Et oui, tu avais bien deviné ; c'était Temari la femme de Naruto. N'hésites pas à poser des questions, je serais là pour y répondre, dans la mesure du possible.
