Greed et Roro : - Ouaiiiis !
Kimblee : - FAIS CHIER !
Ichihara : - Oh ça va Kimblee le prude.
Kimblee : - QUOI ?.!
L'auteur s'enfuit mais pense quand même à vous envoyer sa magnifique fic (Aha ...)
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Et oui, sortir avec Kimblee n'avait pas que des avantages (Note de l'auteur : Aha, y en a pas tout court ! Kimblee : - …), comme Greed put s'en rendre compte ce matin là en se reconstituant. Il gémit.
- Dès le matin, t'es dur !
- C'est le prix à payer pour m'avoir dominé malgré tes dires, répliqua l'écarlate en enfilant sa chemise.
Greed fit la moue.
- Il fallait bien qu'un de nous deux se dévoue. - Mais bien sûr…
Après s'être rhabillé, Kimblee se dirigea vers la sortie, tandis que Greed retournait tranquillement au fond de sa couette.
- Kimblee ?
- Quoi ?
L'alchimiste avait déjà la main sur la poignée.
- Reviens quand tu veux.
Kimblee haussa les épaules.
- Tu rêves.
Et il explosa la porte (Note de l'auteur : Tu connais pas le sens du verbe « ouvrir » ? Je vais encore avoir des frais à cause de tes conneries !). Greed éclata de rire.
- Oh mais tu reviendras, je peux te le garantir.
Kimblee le fusilla du regard avant de sortir, évitant de se brûler avec les débris encore fumant.
-… Je rêve ou je viens de voir l'autre taré d'alchimiste sortir de la chambre de monsieur Greed ? demanda une chimère à une autre - J'ai rien vu et je veux rien savoir, répliqua l'autre.
- Vous faites bien… les prévint Kimblee arrivé à leur niveau, un sourire peu engageant aux lèvres.
Heureusement que ses mains étaient dans ses poches. Les deux chimères sursautèrent, ils n'auraient jamais pensés que l'humain avait l'ouïe fine.
La journée fut plus calme que la précédente, surtout parce que Kimblee était sorti dehors pour une fois, au grand soulagement de tous qui organisèrent une petite fête. Greed émergea vers midi et chercha son amant d'une nuit dans le bar bondé et joyeux. Martel lui apprit – non sans satisfaction – que celui-ci était parti faire un tour.
- Ah.
Et Greed partit se chercher un verre avant de s'asseoir avec deux charmantes jeunes femmes.
Kimblee fut de retour en fin d'après midi, au grand dam des chimères qui espéraient ne plus le revoir (et si vous regardez bien au fond, vous apercevrez l'auteur qu'est pas contente non plus et Roro qui bondit de joie.). Il se prit un siège et commanda un verre, qui lui fut servi pronto, le barman n'ayant pas envie de servir de bombe comme ses huit prédécesseurs. Son regard se posa automatiquement sur le canapé ou était affalé Greed comme à son habitude, en très charmante compagnie. L'homonculus ne l'avait pas vu car il était de dos, mais il devinait les yeux or posé sur lui et ne put s'empêcher de sourire. Kimblee lui appartenait, même si celui-ci ne voulait pas l'admettre. Et si…
- Cynthia, ma chère, pourrais tu me masser les épaules ? Je ne sais pas ce que j'ai pu faire cette nuit, mais ça me fait un mal de chien !
Ladite Cynthia gloussa avant de commencer le traitement. Greed soupira d'aise. Kimblee serra un peu plus son verre.
- Tu aurais du faire masseuse, la félicita Greed en souriant.
Nouveau gloussement de Cynthia, nouveau soupir exaspéré de la part de Kimblee. L'homonculus savourait sa victoire. Il se tourna vers sa seconde compagne et lui murmura quelques mots à l'oreille. Celle-ci éclata de rire. Le verre de Kimblee explosa. Le barman lui en resservit un dans la seconde, mais Kimblee préféra sortir retrouver le grand air…
Le lendemain matin, alors que Kimblee sortait de sa chambre, il ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil dans celle de Greed toujours dépourvu de porte. L'homonculus n'était pas là, mais la femme prénommée Cynthia si…
Greed était assis dans la salle à manger face à un copieux petit déjeuner concocté par Roa. Il allait entamer son treizième pancake quand… BOUM.
- Je crois que ça provient de votre couloir, patron, l'informa Dolchatte qui venait d'arriver avec Martel.
Greed reposa son pancake avec un soupir et partit voir ce qu'il s'était passé. Il croisa Roro et Mat dans le couloir qui cherchaient désespérément la sortie et leur indiqua, puis se dirigea vers sa chambre. Il y eut un bruit de chute puis un hurlement de rage brisa les tympans de Roro et son amie.
Assis au bar, Kimblee sourit. La chimère assise à côté de lui déguerpit vite fait, alors que Greed entrait dans la pièce, la veste et surtout le col en fourrure tâchés de sang.
- Tu sais combien de temps ça va me prendre avant de réussir à faire partit toutes ces tâches ? demanda Greed sur un ton qui ne présageait rien de bon.
- La journée, répondit tranquillement Kimblee avant de ricaner. Maintenant tu m'excuses, mais cette explosion m'a donné envie d'un grand « feu d'artifice ». En disant cela, on ne sait pas pourquoi mais son regard se posa sur Mat et Roro. Greed secoua la tête.
- Oh mais ne crois pas t'en sortir comme ça, mon petit Kimblee. Tu vas m'aider à remettre ma chambre en ordre pour commencer.
Kimblee haussa un sourcil.
- Et pourquoi ?
- Parce que c'est toi qui a fait explosé cette pauvre femme, et que sa tête est toujours posée sur mon oreiller.
- Ce n'était qu'une traînée, elle l'a mérité, répliqua Kimblee en fronçant les sourcils.
Greed ne put s'empêcher de sourire.
- Jaloux ?
Kimblee poussa un soupir.
- Ne raconte pas n'importe quoi, l'hérisson.
- Je t'ai déjà dit de pas critiquer ma coiffure.
- Je n'aime juste pas qu'on touche à mes jouets.
Et là, il se détourna et se dirigea vers l'escalier qui menait dehors. Greed le rattrapa par le col de sa veste et le traîna à sa suite sans tenir compte de ses vociférations.
Une fois dans la chambre, Kimblee dut faire exploser la tête pour qu'il ne reste plus de « débris humain ». Ensuite, Greed lui fila une brosse à récurer et un seau. Kimblee se saisit de la brosse.
- C'est marrant, t'es coiffé pareil.
Sans tenir compte de la provocation, l'homonculus partit à la salle de bain pour tenter de « sauver » sa veste. Kimblee jeta la brosse dans le seau et s'assit sur le lit, n'ayant nullement l'intention de nettoyer ses méfaits. Et puis, ils étaient jolis comme ça les murs, en rouge…
Evidemment, Greed ne fut pas content de le voir flemmarder quand il revint, trois heures plus tard (et oui le sang c'est dur à enlever des fringues).
- Je vois… tu le prends comme ça…
- Je te l'ai dit, débile d'homonculus, je refuse de me laisser dominer.
- Ah oui ?
Kimblee se raidit imperceptiblement. Apparemment, il avait réussi à mettre Greed en colère. Ca n'arrivait pas souvent, et lorsque c'était le cas, il savait qu'il valait mieux se tenir à l'écart… Il plaça ses mains en position d' « explosage ». Greed fut sur lui une seconde après, le dominant de toute sa hauteur (même s'il paraît nain à côté d'Alphonse, il est grand notre homonculus favori .
- Dégage Greed, dit fermement Kimblee.
- Oh non, je ne crois pas que ça va être possible. Ton acte mérite une punition, tu ne crois pas ?
Malgré lui, Kimblee répondit au baiser de l'homonculus. Finalement, elle ne semblait pas si terrible cette punition. Même s'il doutait de jouer le rôle de dominant encore cette fois ci. Tant pis, il se rattraperait en l'explosant après.
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Ichihara : - Et encore un chapitre à la gloire du couple le plus psychopathe que la Terre n'aie jamais connu, j'ai nommé Greed et Kimblee.
Kimblee : - T'as des tendances suicidaires, c'est pas possible !
Greed : - Moi j'aime bien.
BOUM.
Roro : - vive le greedkimblee XD mwahahahhahaaaaaaaa c pas moiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Roro se fait courser par Kimblee.
Ed : - Mais c'est pas vrai, t'es atteinte ma pauvre !
Ichihara : - Fais gaffe à ce que tu dis, j'ai toujours le KimEd en réserve.
Ed : - NAAAAAAAAAAAAN !
Ichihara : - Nyéhé je suis diabolique.