Voilà la suite et fin de mon petit délire romantico guimauvo.
Je vous avais prévenues, lol!
Malgré cela, j'ai reçu des reviews qui s'inquiétaient... Donc j'en déduis que vous êtes toutes des Sirius? Damn! La suite va vous plaire alors!
Merci à alana chantelune pour son conseil. C'est vrai que je n'y avais pas pensé. Le terme de "mec" me semble un peu trop récent pour les maraudeurs (années 75-79).
Kuro-hagi, royale-de-luxe, Jenny, Zazo: ARRETEZ! ne me tapez pas, je vous le redonne tout de suite!
melba, Loulou2a: merci à vous.
A la mi-journée, Sirius n'avait pas retrouvé ses couleurs. Il avait déjà cassé trois plumes par nervosité. James le tira plus qu'il ne l'accompagna jusqu'au réfectoire pour manger. Il alla même jusqu'à le servir, mais Sirius ne fit que jouer avec sa fourchette.
Lily Evans arriva près d'eux :
- Pettigrew, Potter et Black, vous devez aller dans le bureau de Dumbledore cet après-midi, après les cours. Tous les trois…
Et elle ajouta, légèrement en colère :
- qu'est-ce que vous avez déjà fait ? avant de s'en aller en soupirant…
Elle ne vit pas l'effet qu'eut son intervention.
Sirius s'était lentement tourné vers James, le regard inquiet, la mâchoire serrée. Sa respiration s'était faite plus difficile. James lui murmura :
- viens, j'ai quelque chose pour toi…
Il emmena son ami dans le dortoir. Peter, qui n'avait pas fini son repas ne les avait pas suivi.
James fouilla dans sa malle et en sortit fièrement une petite fiole argentée. Il l'ouvrit et la tendit à Sirius :
- bois, ça va te faire du bien..
Dans la fiole, il y avait du purfeu. Un peu de couleur revint sur les joues de Sirius.
- Tu t'inquiètes trop… C'est simplement pour nous donner des nouvelles, et si ça se trouve en plus, ça ne concerne même pas Remus.
- Alors, là, je crois vraiment que t'en fais trop…Bien sûr que ça concerne Remus…continua Sirius, la voix amère, sinon on ne serait pas convoqué tous les trois…
- Oui, mais ça ne veut pas dire qu'il y a un problème.
- Bien sûr que non, ironisa Sirius, Dumbledore nous convoque uniquement pour nous dire qu'il va bien, qu'on ne doit pas s'inquiéter…
- Ben oui, et vu ton état, il n'a pas tort !
- Et bien oui, je m'inquiète pour Remus, la voix de Sirius s'était cassée, et ce n'est pas à toi de me le reprocher. Tu serais pareil s'il s'agissait de Lily…
James ne trouva rien à répondre. Ils avaient passé l'été ensemble, et il avait pu mesurer le sentiment qu'éprouvait Sirius pour Remus.
De toute façon, il était temps de retourner en cours.
Ils rejoignirent leurs camarades en cours d'histoire de la magie. Sirius avait du mal à se concentrer. James essaya au maximum de le distraire en lui passant des mots, mais Sirius arrivait à peine à sourire.
Les deux dernières heures de la journée étaient consacrées à la botanique, dans les serres. Sirius commença à trembler à la fin de la première heure. Et ça ne fit qu'empirer, à tel point que le professeur s'en aperçut et lui demanda si ça allait , mais il répondit que oui.
Le cours fini, James et Peter sortirent, mais Sirius eut du mal à se remettre debout et à les suivre. Quand il les rejoignit, il tremblait tellement fort, des gouttes de sueur coulant le long de son visage que James lui toucha le front :
- tu es brûlant… tu dois avoir beaucoup de fièvre pour être comme ça.
- Et Dumbledore nous attend…leur rappela Peter.
Sirius fit une grimace :
- je n'ai pas oublié !
- Mais tu ne vas pas y aller dans cet état, dit James. Tu vas d'abord aller à l'infirmerie.
- Pas question, rétorqua Sirius. Je peux y aller. Et je dois y aller, ajouta-t-il en attrapant James pas le bras. Celui-ci comprit ce qu'il voulait dire.
- OK…James savait que quand Sirius avait décidé quelque chose ça ne servait à rien d'essayer de le faire changer d'avis…Mais tu iras après…
- Je crois que je serai obligé, répondit Sirius, frissonnant.
Les trois amis se dirigèrent donc vers le bureau de Dumbledore. Mais le chemin était long des serres au bureau et Sirius peinait de plus en plus. La fièvre était forte au point de lui causer des maux de tête terribles. Et chacun de ses pas raisonnait dans son crâne. Il dût s'arrêter plusieurs fois pour s'appuyer contre un mur.
- tu devrais aller à l'infirmerie maintenant, dit Peter. Tu n'arriveras pas jusqu'au bureau…
- je veux y aller…
A ce moment, un groupe de filles passa près d'eux :
- vous ne devriez pas être dans le bureau de Dumbledore, demanda une voix bien connue des maraudeurs.
- Ça va, Evans, on y va… répondit James, juste aimable.
La dénommée Evans fut surprise, non de la réponse mais du ton, inhabituellement agressif à son égard de la part de James. Elle s'arrêta à leur niveau et vit Sirius :
- Mais il est malade ! dit-elle. Qu'est-ce qu'il a ?
- de la fièvre, répondit James.
- Je vois bien…railla la jeune fille. Il faut qu'il aille à l'infirmerie.
- Mais on doit d'abord aller voir Dumbledore.
- Pas lui, je l'emmène.
- Non, je vais d'abord voir Dumbledore, répondit Sirius, la voix plus faible que ce qu'il aurait voulu.
- Hors de question, reprit Lily Evans, en élevant la voix.
A ce moment là, le professeur McGonagall passait près d'eux et s'arrêta, alertée par le ton de la discussion :
- Et bien, y aurait-il un problème ?
- Black est malade et ne veut pas aller à l'infirmerie, expliqua Lily.
- Mais le professeur Dumbledore nous a convoqué dans son bureau, expliqua James.
Le professeur examina Sirius :
- Melle Evans a raison, vous devez immédiatement aller à l'infirmerie. Le professeur Dumbledore comprendra parfaitement votre absence. Le ton du professeur ne tolérait pas de discussion.
Sirius avait fermé les yeux. Il avait trop mal à la tête, trop froid, et trop chaud pour protester encore. Lily le prit par le bras tandis que Peter commençait à poursuivre son chemin. Le professeur continua sa route.
James posa sa main sur l'épaule de Sirius :
- je te raconterai, mais ne t'inquiètes pas…ne t'inquiètes pas…Il appuya ces derniers mots.
Il regarda Lily qui vit que James était vraiment inquiet pour son ami et elle le rassura, gentiment :
- Madame Pomfresh va bien s'en occuper.
Il sourit puis rejoignit Peter.
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James et Peter s'installèrent sur des fauteuils face au bureau de Dumbledore. Celui-ci posa la plume qu'il tenait et les regarda par dessus ses lunettes :
- Sirius Black ? demanda-t-il
- Il est malade et Lily Evans l'a emmené à l'infirmerie, répondit James.
- J'espère que ce n'est rien…Vous devez vous douter que je vous ai fait venir pour vous parler de Remus.
James pensa à Sirius. Celui-ci avait raison.
- Vous savez qu'il passait ses vacances en Ecosse, n'est-ce pas ?
Les deux garçons acquiescèrent. James commença à redouter la suite.
- Alors il faut que vous sachiez que l'endroit où il était a été la cible des mangemorts… Mais je veux vous rassurer tout de suite : Remus ne fait pas partie des victimes.
James eut un soupir de soulagement.
- en revanche, poursuivit Dumbledore, deux membres de sa famille ont été tués. Un cousin et une de ses tantes. Ce qui explique son absence. L'enterrement était aujourd'hui. Remus nous rejoindra dès demain, en cours de journée. Je tenais à vous le dire avant que vous ne soyez inquiets. Il les regarda attentivement puis conclut : Vous pouvez rejoindre votre chambre.
Et Dumbledore les congédia d'un petit mouvement de la main.
Peter et James se levèrent et se dirigèrent vers la sortie. Peter sortit mais James se retourna et revint vers le bureau.
Dumbledore releva la tête et le regarda par dessus ses lunettes :
- Monsieur Potter ?
- Sirius était très inquiet pour Remus, puis-je aller lui faire part ce que vous venez de nous dire ?
Dumbledore sourit. Il connaissait Madame Pomfresh et son habitude d'interdire les visites à « ses » malades.
- Je doute que Mme Pomfresh vous laisse le voir, même avec mon autorisation. Je passerai le lui dire dès que j'aurais du temps, promit-il.
- Merci monsieur. James fut soulagé. Il sortit à son tour.
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Malheureusement, lorsque Dumbledore passa à l'infirmerie, Sirius dormait et Mme Pomfresh, tout Dumbledore qu'il était, lui interdit de le réveiller. Il promit de repasser le lendemain.
Sirius passa une très mauvaise nuit. La fièvre finit par tomber grâce à une potion de Madame Pomfresh. Mais il fit des cauchemars sans arrêt. Toute la nuit, il n'avait cessé de s'agiter. Au petit matin, Madame Pomfresh lui donna une autre potion qui le plongea dans un sommeil sans rêves, mais réparateur.
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Quand Peter et James sortirent de leurs cours pour aller déjeuner, ils eurent la bonne surprise de retrouver Remus dans la salle commune. Ils le serrèrent dans leur bras, autant pour marquer leur joie de le retrouver que la compassion qu'ils éprouvaient pour lui après les évènements. Remus les remercia avant de remarquer :
- Sirius n'est pas avec vous ?
James pâlit et Peter répondit :
- il est à l'infirmerie, il est malade.
- Ah oui ? Qu'est-ce qu'il a ?
- Il a du attraper froid , continua Peter.
Et ils s'apprêtèrent à sortir de la salle commune pour aller déjeuner. Laissant passer Peter devant, James retint Remus par le bras :
- en fait, je crois que Sirius s'est inquiété pour toi. Beaucoup inquiété pour toi… insista James avec gravité.
Remus le regarda, soudainement pâle. Mais James se détourna pour rattraper Peter.
Remus les regarda sans se décider à les suivre. Il hésitait. Il voulait voir Sirius. Lui était sûr de ses sentiments : il aimait Sirius. Et plus que comme un ami, ou un frère. Et depuis longtemps…
L'attitude de Sirius en fin d'année l'avait laissé espéré que peut-être… Même si celui-ci avait dit que c'était pour rire, il avait semblé à Remus que derrière il y avait autre chose. Peut-être parce qu'il le désirait si fort…
James l'avait rendu nerveux. Nerveux parce que ce n'était pas dans les habitudes de Sirius d'être malade, et pourquoi « inquiété pour toi » ? Peut-être que effectivement, Sirius avait un petit sentiment pour lui ? Peut-être en avait-il parlé à James ? Non, Remus, ne rêve pas, se dit-il…
Mais il avait envie de voir Sirius. Très envie de le revoir. Deux mois, c'était long…Et Remus avait souffert ses derniers jours. Il se décida à aller à l'infirmerie. Madame Pomfresh avait toujours été gentille avec lui. Sa lycanthropie l'avait rendu dépendant de ses bons soins et elle l'avait toujours soigné avec bienveillance, développant même une certaine affection pour lui.
Elle l'accueillit avec plaisir.
- Bonjour Remus. Je suppose que tu viens voir ton ami le jeune Black ?
- si vous m'autorisez…
- malheureusement, je crois qu'il dort encore… Il a passé une très mauvaise nuit.
Remus se sentit mal à ces mots. Il aimait Sirius, profondément et tellement fort…
Mme Pomfresh se dirigea vers le lit de Sirius, suivie de Remus. Elle s'assura qu'il dormait toujours et se tourna vers Remus :
- comme je le disais, il dort encore. Mais je pense que dès qu'il sera réveillé, il pourra rejoindre le dortoir…Il n'a rien du tout. Il avait juste besoin de repos…
Et en disant cela, elle retourna vers la porte. Remus s'attarda un instant devant le garçon endormi. Le visage de Sirius était grave, Remus l'avait rarement vu aussi sérieux.
- Il vaut mieux le laisser se reposer, le rappela Mme Pomfresh.
Remus acquiesça et sortit en la remerciant.
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Il était plus de deux heures lorsque Sirius s'éveilla enfin. Sa première pensée fut pour Remus et son inquiétude reparut.
Mme Pomfresh arriva, avec un plateau :
- vous devez avoir faim… lui dit-elle tout en lui posant le plateau sur la table de chevet.
Il sourit faiblement. Elle vit son regard triste et ajouta :
- en voilà une tête ! Est-ce que si je vous dis que vous avez eu de la visite, ça ira mieux ? Et elle poursuivit sans attendre de réponse :
le professeur Dumbledore est venu, il ne devrait pas tarder à revenir d'ailleurs… Et Remus Lupin est venu aussi…
Sirius la regarda, surpris.
- cela vous étonne ? Pourtant, vous n'avez pas cesser de le réclamer.. Son monologue fut interrompu par l'arrivée de Dumbledore, ce qui ne laissa pas le temps à Sirius d'assimiler ce qu'il venait d'entendre.
- Et bien, ça a l'air d'aller mieux… Mmmm, des muffins à la myrtilles…Puis-je ?
Sirius acquiesça, incapable de parler, encore sous le choc de savoir que Remus était à Poudlard.. .
Dumbledore en prit un et le dégusta avec de petits « mmm » connaisseurs. Enfin, il dit :
- je venais vous donner des nouvelles de Remus Lupin, mais je sais qu'il est venu vous voir, alors, ce n'est plus la peine que je vous explique… En fait, reprit-il en rattrapant une miette de gâteau tombée sur sa robe…et il raconta à Sirius ce qu'il avait dit à ses amis la veille.
Enfin, il quitta l'infirmerie avec un :
- j'adore les myrtilles…
Sirius respira. Il se sentait bizarre. Pas encore détendu mais déjà mieux. Remus était là, à Poudlard. Il s'était fait des histoires pour (presque) rien. Trop inquiété, et James marquait un point. Il aurait du plus l'écouter. Maintenant, il n'avait plus qu'une envie, c'était de voir Remus. Le serrer dans ses bras, l'embrasser…
Il dût rester au lit encore, Madame Pomfresh lui ayant dit que s'il ne se reposait pas, il ne retournerait pas avec ses amis. Enfin un peu avant cinq heures elle le laissa rejoindre sa chambre. Il y arriva avant que les gryffondors ne terminent leurs cours.
Dans le dortoir, il vit que les affaires de Remus étaient à leur place. Il en éprouva un vif soulagement. Il s'assit sur son lit, attendant fébrilement que ses amis arrivent. Il n'eut pas à attendre très longtemps.
Peter arriva le premier, suivi aussitôt de James. Sirius se leva pour les accueillir et James lui donna l'accolade.
- content de te revoir, vieux ! tu m'as fait peur !
A ce moment, Remus entra dans la pièce, souriant en voyant James et Sirius s'embrasser. Sirius l'aperçut et relâcha aussitôt James. Celui-ci s'écarta pour le laisser passer. Remus s'avança aussi vers lui et à son tour le serra dans ses bras, amicalement. James en profita pour emmener Peter hors de la pièce, sous prétexte d'aller chercher une collation.
L'étreinte des deux amis s'éternisa un peu, à la surprise de Remus. Sirius l'enlaça plus fort encore et brusquement, toute la tension qu'il avait accumulé ces derniers jours tomba… Et il enfouit sa tête dans l'épaule de Remus.
Celui-ci sentit les tremblements du corps de Sirius. Légèrement inquiet, il tourna la tête vers celle de son ami. Mais il ne put distinguer son visage, des mèches de cheveux le cachant. D'un mouvement de main, il les dégagea. Sirius pleurait. Déconcerté, Remus le serra plus fort contre lui, caressant ses cheveux. C'était certainement la première fois que Remus le voyait pleurer, et il se sentit troublé, bouleversé.
- doucement, Sirius, doucement…
Il se sentait impuissant. Et Sirius ne bougeait pas…
Il lui embrassa doucement les cheveux. C'était déconcertant de sentir Sirius ainsi. Et de le tenir dans ses bras…Il en avait tellement rêvé, mais pas comme ça, pas en larmes…Il aurait voulu le consoler, et tout ce qu'il trouvait à faire était de le bercer contre lui, de petits baisers sur les cheveux… Remus sentit une ombre de culpabilité l'envahir. Son ami était visiblement en détresse et lui le serrait contre lui, en profitait pour l'embrasser…
- qu'est-ce qui se passe, Paddy ? raconte moi…
Il ne savait pas quoi dire, ne savait pas comment calmer celui qu'il aimait.
Ils restèrent ainsi de longues minutes. Peu à peu, Sirius se calma.
Enfin, les larmes s'arrêtèrent. Sirius s'écarta à peine de Remus, laissant glisser ses mains le long du corps de celui-ci, et le regarda d'un sourire gêné :
- excuse- moi, Moony, je suis tellement content…
- ça se voit, dit ce dernier, en souriant. Ils étaient très proches et Remus ne put s'empêcher de se pencher et d'embrasser une larme qui coulait encore sur le bas du visage de Sirius. Celui-ci se laissa faire.
Sirius attrapa les mains de Remus, ses yeux brillant toujours mais maintenant sans larmes :
- j'ai eu tellement peur…
- de quoi ? demanda doucement Remus, qui embrassa à nouveau le visage de Sirius, sur le front cette fois.
- De…Sirius se mordillait la lèvre, mais ne lâchait pas son ami du regard. De te perdre…
- De me perdre ? demanda Remus, la voix basse, un sourire aux lèvres, et le cœur battant, mais ça, ça ne se voyait pas. De me perdre, reprit-il, vraiment ?
Sirius lui caressa la joue un moment, le visage brusquement sérieux. Remus pouvait lire dans ses yeux la crainte qu'il avait éprouvé.
- Moony… la voix de Sirius était comme un prolongement de la caresse de sa main. Son torse qui se soulevait un peu fort qu'à l'accoutumée trahissait l'émotion qui l'envahissait. Il ouvrit la bouche pour parler, mais la referma. Il lui sembla qu'aucun mot n'aurait pu traduire ses pensées à ce moment. Alors, il approcha son visage de celui de son ami, un soupçon de question dans les yeux, et comme Remus souriait toujours, il l'embrassa. Doucement puis passionnément. . Et ce baiser était la promesse d'une année qu'ils passeraient ensemble. La promesse d'une vie qu'ils commenceraient à deux.
Et alors, ce n'était pas glucosé pour reprendre l'expression de certaine ?
Un morceau de guimauve tout rose, tout sucré, qu'on sait interdit mais tellement bon….
Mea culpa...je vous avais pourtant prévenues!
Non, franchement, je m'excuse, parce que je ne sais pas pourquoi ça m'a pris d'écrire un truc pareil! C'est l'émotion de la rentrée...
