Voici un nouveau chapitre. Le coup du spiritisme, j'en ai besoin pour ma fic mais ne vous en faite pas, je ferai pas trop de truc bizare de ce genre...à part si vous me le demendez héhé.

Bonne Lecture!

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Paradise Island

CHAPITRE III : L. 13

Riza commençait à s'inquiéter, elle et ses coéquipiers avaient chercher le Colonel partout mais ne l'avaient pas trouver, quand elle vit Mustang complètement trempé devant la porte d'entrée, accompagné de Carl qui boitait, la jambe droite blessé.

- Mon dieu ! Colonel ! On vous a cherché partout ! Où étiez-vous passé ? Et pourquoi Carl est-il blessé ?

- Disons que c'est assez compliqué à raconter, lui répondit le Flame Alchemist.

Flash Back

Roy venait de parler à Miranda. Si ce qu'elle disait était vrai, que le laboratoire était fermé depuis l'incident, cela voudrait dire que ce à quoi il pensait était totalement faux. Mais une question lui trottait dans la tête : qui pouvait bien avoir laissé tomber parterre un objet provenant du Laboratoire N°13 si celui-ci était fermé depuis des années ? Parce ce que c'était bien ça qui l'avait vu sur la photo, à côté du corps massacré de la petite Miranda, une petite seringue portant les initiale du laboratoire : L. 13.

La pluie avait cessé, mais Roy était toujours aussi trempé, et il commençait à faire nuit. Maintenant, il se dirigeait vers la cabane dont lui avait parlé la petite. Il y entra et y vit plusieurs armoires disposées sur les murs et un bureau où un vieil ordinateur poussiéreux reposé. L'intérieur était très sombre. Il alluma donc les lumière qui était restées par on ne sait qu'elle miracles intactes.

L'Alchimiste de Flamme ouvrit un des tiroirs d'une des armoires et y vit une multitude de dossiers ranger par ordre alphabétique, tous marqué par L.13 en haut à gauche de chaque feuille. Il en prit un et le lit, puis un autre, puis un autre, puis un autre………il resta là des heures à lire plusieurs dossiers. Il fut tellement absorber par sa lecture qu'il ne vit pas le temps passé et qu'il faisait à présent

Tout d'un coup, un détail attira son attention l'un deux. Il le relit, le relit ………le relit………le relit……

- Mais….mais ça n'a aucun sens, murmura-t-il.

Il s'apprêtait à ouvrir un autre tiroir quand il entendit des pas venant de l'extérieur. Roy rangea vite fait les dossiers qui était éparpié parterre. Il se leva et regarda par la petite fenêtre de la cabane et aperçut une ombre dans la nuit. L'alchimiste enfila ses gants et prépara ses doigts qui étaient prêt à claquer et il sortit sans faire de bruit. L'ombre était toujours là et semblait ne pas l'avoir remarqué.

- Qui êtes-vous ? demanda le Colonel mais ne reçut pas de réponse, au contraire, l'ombre semblait se rapprocher de lui. Je vous préviens, si vous continuez d'avancer, je claque des doigts et POUF! on entend plus parler de vous!

Mais comme l'ombre continuait d'avancer dangereusement vers lui, l'Alchimiste de Flamme claqua des doigts et des flammes en sortirent, se dirigeant vers la jambe droite de la personne devant lui. Roy entendit un gémissement de douleur provenant de l'ombre et se dirigea vers elle.

- Carl ? C'est vous ? Mais qu'est-ce que vous foutez ici ?

- Je….je……j'étais venu vous chercher pour que vous rentriez à l'hôtel. Le Lieutenant Hawkeye et les autres se font beaucoup de soucis pour vous, vous savez ?

Fin du Flash Back

Lorsque Carl était parti soigner sa jambe, le Colonel raconta tout ce qui c'était passé à Riza, même de sa petite discussion avec Miranda et des dossiers qui n'avaient ne queue ni tête…….après tout, ça ne servait à rien de lui mentir puisqu'elle était la seule personne avec Maes à connaître son secret.

Juste avant de monter les escaliers, il se retourna et s'adressa à son Lieutenant :

- Hawkeye ?

- Oui, mon Colonel.

- Prévenez les autres que nous partons en randonné demain matin à neuf heures et demie.

- Bien, mon Colonel…… Mais où partons-nous ? demanda-t-elle, sachant déjà la réponse mais espérant qu'elle se trompait.

- Nous allons dans la Forêt des Anges Noirs, Lieutenant…..Oh ! J'ai failli oublier ! Je veux que vous et les autres lisiez attentivement ce dossier.

Il sortit le dossier de Miranda Jones de sa poches (une chance qu'il n'ait pas été mouillé par la pluie) et le lui donna.

Puis il monta les escaliers pour se diriger directement vers sa chambre. Il se doucha, mit son pyjama et se coucha. De derrière la porte de sa chambre, il entendit un cris strident, deux corps tombant parterre (sûrement évanouis) et quelqu'un qui se cognait la tête contre le mur. Il sourit puis murmura juste avant de s'endormir :

- Tiens…..Riza doit avoir mis les autres au courant de notre petite…randonnée.

Il courait…….Il s'arrêta devant une rivière et se retourna….. Devant lui, il vit les créatures s'approcher de lui. Il savait qu'il n'y avait aucun moyen d'y échapper et c'est avec horreur qu'il vit l'une d'elle courir à grande enjambé, prête à lui sauté dessus.

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Roy se réveilla en sursaut. Il grogna…….encore et encore ce rêve. A croire que son passé ne le laissera jamais en paix, il fallait maintenant qu'il revienne sous forme de rêve. Il s'assit sur son lit et grimaça :

- A cause de ce foutu lit, j'ai plein de courbature !

Il regarda l'heure sur l'horloge qui était accroché au mur en face de lui et vit qu'il était déjà sept heures. Il se leva et se mit à s'habiller avant de sortir hors de sa chambre.

Toute l'équipe était prête à partir. Ils avaient pris tout ce dont ils avaient besoin pour une expédition dans la Forêt de Anges Noirs, c'est-à-dire : un pistolet, une boussole, un pistolet, de la nourriture, un pistolet, le Livre du Parfait Explorateur, un pistolet, des habits de rechanges (on ne sait jamais), un pistolet, un pistolet, des lampes de poche, une trousse de secours, un pistolet, un pistolet et ………un pistolet.

Ils partirent pour la forêt à l'heure prévue.

Il faisait sombre, on ne pouvait pas apercevoir le ciel tellement les arbres étaient hauts. Cela faisait environ dix minutes qu'ils marchaient dans la pénombre, seul leurs lampes de poche les éclairaient. Ils s'enfonçaient de plus en plus au cœur de la forêt quand Roy s'arrêta soudainement…….il venait d'entendre un bruit…….et il n'était pas le seul

- Que…qu'est-ce que c'est ? demanda Breda, tremblant de peur.

Ils avaient leurs lampes de poche et leurs yeux rivés vers une même direction. Peu à peu, ils aperçurent une ombre se détacher des arbres…..puis une silhouette flou……..quand la silhouette fut plut nette et que l'on pouvait nettement distinguer les traits de son visages, de son….corps, la première chose qu'ils firent, c'est de hurler.

- Ed, t'es sûr que c'est ici qu'ils logent ? demanda Al.

- Mais oui que j'en suis sûr ! Aller, viens on rentre.

Alphonse n'eut d'autre choix que de suivre son frère dans cet….hôtel. A l'intérieur, ils virent Carl derrière son comptoir. Edward prit la parole :

- Bonjour Monsieur. On voudrait parler au Colonel Mustang.

- ça va pas être possible, lui dit Carl. Le Colonel est partit tôt ce matin.

- Et où il est parti ? demanda Al.

Le comptoir-man les regarda l'un après l'autre avant de leur répondre.

- Lui et ses compagnons sont partis pour la Forêt des Anges Noirs.

A l'entente de cette phrase, le cœur d'Ed manqua un battement.

Ils avaient tout essayez…...les armes…… les flammes……mais rien ne semblait venir à bout de la chose qui se trouvait devant eux. Malgré les fréquente balles qu'Elle recevait et les flammes dont on L'aspergeait sans arrêt, Elle ne cessait d'avancer vers les cinq personnes devant Elle d'un pas saccadé, comme une machine.

Le plus effrayant en Elle, ce n'était pas vraiment sa grande taille, ni le faite qu'Elle possédait des ongles qui auraient pu rivaliser avec ceux de Lust, ni ses crocs aussi tranchant que des couteaus de cuisine…..mais plutôt l'espèce de sourire sadique et bestial qui ne lâchait pas son visage.

Voyant que le feu et les balles ne servaient à rien, les cinq militaires se mirent à courir vers une seule direction : loin de la créature qui leur faisait face.

Cela faisait environ dix minutes qu'ils couraient pour sauver leur vie. Semer la chose fut assez simple vu que celle-ci ne courait vraiment, vraiment pas vite. Mais il courait quand même pour être sûr et……et SPLASH !

A force de courir comme des fous, les cinq jeunes gens ne virent pas l'espèce de toile gluante et collante qui avait été accroché aux arbres pour former une espèce de barrière.

- Mais….mais qu'est-ce que c'est truc ! s'exclama Havoc, gigotant en essayant de se détacher.

- Je…je crois que c'est une toile d'araignée, lui répondit Hawkeye, elle aussi entrain de gigoter pour essayé de se libérer.

- QUOI ! s'étouffa Breda. Une toile d'araignée ! Mais t'as vu la taille de cette toile ! Si c'est vraiment une araignée qui l'a faite, celle-ci devrait être aussi grosse qu'un tracteur !

Après quoi, il se mit à gigoter encore plus sur la toile.

- Dites les gars, c'est quoi qu'il y a parterre ? questionna Fuery après deux minutes de gigotement intensif.

Ils baissèrent tous les yeux parterre et blêmirent. Il y avait une multitude d'ossements entassés sur le sol.

Voyant cela, ils se mirent à s'agiter encore plus puis se figèrent en sentant la toile tremblée. En apercevant ce qui faisait trembler la toile comme ça, ils crièrent et se mirent à se tortiller comme des malades …...une araignée gigantesque marchait sur les arbres, qui soudait la toile, et les faisait vibrer.

Plus elle se rapprochait, plus le Colonel et son équipe remuait. L'Alchimiste de Flamme essaya de claquer des doigts pour la brûler mais ses mains étaient solidement fixées à la toile et il ne pouvait bouger ni ses poignets, ni ses doigts.

- Riza ? dit Havoc, toujours en gigotant.

- Quoi ?

- Si….si jamais on s'en sortait pas, j-je voulais te dire que….que….

- Que quoi ?

- Que je t'aime ! Voilà, Je l'ai enfin dit.

- Oh ! Havoc….moi aussi je t'aime. Tu ne sais pas depuis comb……

- Eh ! Oh , les coupa Roy. Désolé d'interrompre votre déclaration d'amour, mais y a une araignée géante qui nous prend pour son déjeuner. Alors si vous pouviez nous aider à couper cette toile, ce serait sympa.

- Euh…oui, bien sûre mon Colonel.

Et ils se remirent à tirer de toutes leurs forces sur la toile.

Les quatre militaires arrêtèrent de s'agiter au son du hurlement de Farman. L'araignée s'était stoppée (NDA: pour faire du stop lol) devant lui, rapprochant son espèce de bouche à la tête de Farman prête à le déchiqueter et…...et rien. Elle n'eût pas le temps d'enfourcher la tête qui se présentait devait elle dans son énorme gueule à l'haleine puante car une roche fine et tranchante sorti de la terre pour s'enfoncer dans son crâne.

Ils regardèrent stupéfaits l'araignée pousser un dernier gémissement de douleur et faire bouger ses quatre paires de pattes dans tous les sens avant que ceux-ci ne s'affaissent lourdement, inertes. Le monstre aux huit pattes était mort.

Roy Mustang et ses subordonnés eurent un petit cri de surprise en sentant un objet pointu et tranchant couper la toile qui les retenait prisonniers, les faisant tomber parterre…….juste à côté des ossements.

- Beurk, frissonna de dégoût le Colonel.

Celui-ci se retourna pour voir qui les avait sauvé et vit…..

- Edward !

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J'espère que ce chapitre vous à plus.

Si jamais il y a des incohérances dans mon histoire, faite le moi savoir comme ça je pourrai légèrement modifier ma fic pour qu'elle soit plus compréhensible. Sinon, vous aimez mon suspens ou vous préférez que je l'enlève ?

a+