Désolée du retard, mais avec l'école c assez dur se pouvoir publier mes chap tous les jours.

Bonne Lecture !

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Paradise Island

CHAPITRE IV : Sous-sols

Farman se mit à pousser des hurlements aigues, Fury tomba dans les pommes, Edward fit semblant de s'évanouir et atterrit, par une pure coïncidence, dans les bras de l'Alchimiste de Flamme qui ne se gêna pas pour le laisser tomber lourdement par terre et de reporter son attention sur ce qui se trouvait devant lui.

A l'entrebâillement de la porte se trouvait une énorme créature qui possédait une peau teintée de noir, de gris, de brun et de rouge, des crocs de sept centimètres de long et acérés et une main, aussi grosse qu'une tête, sans doigts et qui ressemblait fortement à une massue faite de chair humaine.

Les hurlements de Farman se firent plus aigues quand le monstre s'avancer vers eux. Celui-ci leva sa main normale et s'exclama :

- Yo, Roy ! Comment ça va mon pote ?

Le Colonel le regarda pendant quelques secondes avant de répondre d'une voix hésitante :

- Heu…..Alex ? C'est toi ?

- Ben oui ! Qui veux-tu que ça soit d'autre, mon coco !

Edward, qui faisait toujours semblant d'être dans les pommes, grimaça au coco qui était adressé à son Colonel.

- Et j'ai emmené tes amis avec moi, continua Alex en faisant entrer dans la pièce Riza, Jean, Alphonse et Breda qui regardaient la chose les yeux exorbités et la bouche ouverte. La chance que j'ai pas oublié ma carte d'agent spécial, fit-il en sortant une carte d'on ne sait où, sinon pistolet-girl m'aurait transformer en gruyère.

Hawkeye tiqua au surnom que lui avait fait Carter.

- Vous êtes qui vous ? Une….une sorte de chimères ? demanda Ed d'une façon agressive.

- Pourquoi ? Qu'est-ce que t'as contre les chimères ? Et pour tout de dire, je suis un agent spécial : l'agent spécial Alex Carter.

- Agent spécial ? C'est bizarre, parce que je n'ai jamais entendu parler de vous, en rajouta le blond d'une voix froide.

- Si t'as jamais entendu parler de moi, c'est peut-être parce que t'es pas assez important pour ça. Et pour ta gouverne…..je n'ai jamais entendu parler de toi, moi non plus. Et toc!

L'aîné des Elric rougit de honte et de colère et partit de réfugié dans un coin. Une minute de silence s'installa avant qu'Alphonse n'élève la voix:

- Carter ?...Carter comme…Liliane Carter ?

- Oui, lui répondit Alex, c'est ma petite sœur. Elle est mignonne, n'est-ce pas ?

- Oui très, dit Al, le rouge aux joues.

- Il paraît que je lui ressemble.

L'ancienne armure de métal faillit s'étouffer avec sa propre salive à ces propos et bafouilla :

- Si….si vous le dites.

- Tu trouves ? Moi aussi ! Mais c'est vrai qu'avec cette main, il mit en évidence sa gigantesque main sans doigts qui eut pour effet de faire s'évanouir encore une fois Fury qui s'était réveillé pile à ce moment là, les gens ont tendance à avoir peur de moi et c'est pas que……

- Pourquoi le généralissime t'a fait venir ici ? l'arrêta brusquement l'Alchimiste de Flamme.

Alex marqua une pause et le regarda longuement.

- Il m'a envoyé pour te seconder, histoire que tu ne fasses pas d'erreurs.

- Me seconder ? Mais sur quoi ? Sur le meurtre de cette petite fille ? Mais je peux y arriver tout seul ! Et puis, comment t'es arrivé là toi ? Tu n'as aucune égratignure ! A croire que t'as sympathisé avec toutes les créatures qu'il y a dans cette forêt !

- Ce n'est pas à propos des meurtres que je suis là, mon petit lapinou.

Le Flame Alchimist lui fit signe de continuer. Carter regarda les autres membres du groupes avec méfiance, surtout Ed, avant de continuer.

- C'est….c'est pour les...pour les prisoniers.

Le Colonel fronça les sourcils, puis un éclair de compréhension traversa son visage.

- Oh ! ça explique…ça explique pourquoi t'es là, fit-il.

- Oui, et il voudrait aussi pouvoir les examiner.

- Pour faire quoi ?

- Raisons personnelles, mon coco. Maintenant, si on continuait la visite guidée du laboratoire. Par où on commence, mon Colonel, dit-il sur le ton de la plaisanterie.

Roy lui répondit avec un regard et un sourire sadique sur le visage :

- On va aux sous-sols.

- Roy ? appela à voix base Carter pendant qu'ils s'arrêtaient devant les marches de l'escalier menant au sous-sols.

- Oui, répondit sur le même ton le Colonel.

- Je ne crois pas que c'était une si bonne idée que d'aller visiter les sous-sols.

- Et moi je pense que si.

Pause de dix secondes.

- Pourquoi tu te grattes tout le temps le cou.

- Parce que ça me gratte, c'est tout.

- Quelle réponse intellectuelle : tu te gratte parce que ça te gratte.

Une autre pause de dix secondes.

- Mais pourquoi tu tiens tant à y aller ?

- Où ?

- Tu sais très bien.

- Il me faut des réponses.

- Des réponses ?

- Oui, des réponses.

- Des réponses sur quoi ?

- Des réponses sur…

- Alors, vous parlez de quoi ? le coupa Ed qui venait d'arriver, ne voulant pas laisser SON Colonel avec ce MONSTRE.

- Mêles-toi de tes affaires, le nain ! lui répondit avec une grande douceur Alex qui arait aimé savoir la suite de la phrase qu'avait commencé Roy.

- C'était pas à toi que je parlait, chimère !

- Ah, oui ! Eh ben, je m'en fiche complètement, crevette !

- Crevette ? Crevette ! Qui est-ce que tu traites de crevette espèce de…..espèce d'immonde créature !

- Immonde créature ? C'est tout ce que tu as trouvé sale petit…

- Taisez-vous ! hurla Hawkeye, sortant son arme à feu pour les intimider.

Les deux fautifs levèrent automatiquement leurs mains à la vue de l'arme, comme s'il venait de cambrioler une banque.

- Bien, maintenant, quelqu'un pourrait me dire où es passé le Colonel ?

- Et tu es partie pour visiter la forêt alors que Carl te l'avait interdit, conclut Roy en descendant les escaliers qui menaient aux sous-sols.

- Non ! Tu n'écoute rien ou quoi ? C'est à cause de mon chat !

- Ton chat t'a obligé à aller dans la forêt ?

- Non ! C'est parce que……tu te fous de moi n'est-ce pas, fit-elle en regardant le grand sourire qu'arborait le Colonel.

- Mais pas du tout Miranda, continue ton histoire.

- Bien, alors voilà, j'avais un chat et un jour il s'est enfui. Je l'ai cherché partout mais rien à faire, c'était comme si il avait……disparu. Alors je suis partie voir du côté de la forêt et ensuite…….je suis morte.

- Donc, tout ce qui t'est arrivé, c'est arrivé à cause de ton chat.

- Oui…et non.

- Et non ? Qu'y avait-il d'autre ?

- Je ne peux pas t'en parler, répondit précipitamment Miranda.

- Miranda, je ne peux pas t'aider si tu ne me dis pas ce que tu sais, et puis j'ai quand même larguer mes amis pour venir te parler alors que t'es apparue sans raison.

- T'avais qu'à attendre que les deux idiots finissent de se disputer pour descendre alors. Et où on va au juste ?

- Aux sous-sols, je dois régler des affaires……Mais n'essaie pas de m'éloigner du sujet et dis moi ce que tu faisais réellement dans la forêt et arrête d'inventer des histoires de chat.

Elle réfléchit quelques instants puis finit par répondre :

- Ils…ils disaient toujours que je couraient après des chimères, des rêves impossibles à réaliser qui finiraient un jour par me tomber dessus comme un massue s'écrasant sur une crâne.

- Qui te disait ça ?

- Des….personnes.

- Des personnes t'ont dit ça ?

- Oui.

- Et qu'est-ce que ça a avoir avec la forêt ?

- Tout.

L'Alchimiste de Flamme la regarda avec une expression d'incompréhension sur le visage mais son visage redevint neutre lorsqu'ils finirent par arrivé au bout des escaliers.

- C'est ça les sous-sols ?

- Ouais...Tu sais quoi ? Pour une petite fille de douze ans, tu m'as l'air très intelligente.

- C'est parce que….., elle mit sa phrase en suspend, semblant hésitante.

Ne voyant pas la fin de la phrase venir, le Colonel l'encouragea à terminer :

- C'est parce que ?

- C'est parce que……oh ! mon dieu ! Qu'est-ce….qu'est-ce que c'est que ça ? s'exclama la fillette horrifiée.

- De quoi ?

- Ce...ce qui se trouve derrière toi.

L'Alchimiste de Flamme se retourna et réussi à retenir un cris de stupeur passer entre ses lèvres………mais Miranda, elle, ne put s'empêcher de pousser un hurlement strident quand elle vit plus clairement de quoi il s'agissait.

- Il est peut-être mort.

- Farman ! s'exclama Hawkeye, outrée.

- Ben, quoi ? Je dis juste ce que je pense.

Riza roula des yeux et secoua la tête puis se tourna vers les autres.

- Alors ? Quelqu'un sait par où il aurait pu passer ?

Des hochements de tête négatifs lui répondirent. Elle soupira :

- Je propose qu'on continu de descendre les escalier et peut-être qu'on le retrouvera par la suite, qui sait.

- Aller mauvaise troupe ! s'exclama Alex. Pistolet-girl à raison, il faut continuer notre route.

Il fit mine de passer en premier puis se ravisa et fit la révérence devant le premier lieutenant en annonçant :

- Les femmes d'abord.

- Oh ! ne soyez pas si coquet avec moi voyons, les chimères d'abord, lui renvoya-t-elle.

Et sur ce, elle le poussa et le força à pénétrer dans les escaliers étroits. Elle allait descendre elle aussi mais se retourna, s'exclamant aux autres :

- Vous aussi, vous devez venir.

Riza se dégagea pour les laisser passer et s'assurer qu'il n'y aurait pas un petit malin qui essaierait de filer. Elle remarqua alors Ed qui n'avait pour l'instant rien dit depuis la mystérieusement incompréhensible disparition du Colonel………quoique, plus Riza y songeait et plus elle se disait qu'avec le Colonel, tout était mystérieusement incompréhensible, après tout il était……et d'ailleurs, elle n'avait pas vraiment tout compris à cette histoire toute biscornue et qui n'avait pas de sens que lui avait raconté l'Alchimiste de Flamme un soir où il était saoul. Elle se força à submerger de ses pensées lorsqu'elle se rendit compte qu'Edward était devant elle qui ne bougeait pas d'un orteil.

- Ed ? Quelque chose ne va pas ?

- Non, rien, fit-il d'une voix blanche.

- Tu es sûr ?

- Oui…c'est juste que….qu'il est possible que Farman ait raison et que…et que Roy soit réellement mort.

- C'est pour ça, c'est pour ça que tu te fais autant de soucis ? Tu t'inquiètes pour le Colonel ?

Ne recevant pas de réponse, la jeune femme se permit de continuer :

- Tu sais, tu n'as aucune raison de te faire du souci car le Colonel est capable de se débrouiller dans n'importe quelle situation.

- C'est vrai……c'est pas comme si il était du genre à se laisser facilement intimider à pousser des hurlements stridents.

Et c'est à ce moment là qu'un hurlement strident ce fit entendre.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

comme d'hab, j'espère ke cette histoire vs a plus et ke j'aurais encore des reviews de votre part et encore une fois je vous le dis : désolé pour le retard mais avec l'école ki a reprit, ça me sera impossible de pubier mes chaps régulièrement mais sachez ke cette histoire ne sera jamais suspendue.

Cya