Disclaimer : Hé non, je ne les ai toujours pas reçu comme cadeau, les personnages de la femme d'outre-manche … .
Rating : T, je veux bien que pour l'instant ce soit assez « gentil » mais ça va se corser dans quelques chapitres … .
Moonflower Nymphadora : Orthographe quand tu nous tiens … . Je sais que ce n'est pas mon fort mais tant que tout le monde comprend c'est le principal !
Lily9172 : Merci beaucoup, ça me fais plaisir que tu aime, le suite ? Dans une semaine … ou plus vite si j'ai des reviews niark niark niark (meuh non je suis pas sadique mais juste en manque de vos messages que j'adore !)
Pour tous : si j'ai cinq reviews je vous met la suite ! Et pardon pour le retard mais j'ai eu un problème d'ordinateur (de réseau plus précisement) j'ai du tout formater et réinstaler Windows! Mais le réseau à planté (mauvais ordre, j'ai d'abord mis la carte réseau sans fil avant le programme pour l'installer donc forcément ça ne marchait pas!) Mais bon maintenant c'est réglé à part quelques programme à réinstaller! Marci de votre patience!Biz
Zofia.
Chapitre 4 : Helga Poufsouffle
Madrid, en Espagne, an 1029 après Jésus-Christ
Helga Poufsouffle était une jeune fille âgée d'une vingtaine d'années. Son père, le noble conte de Poufsouffle, riche et puissant, envisageait pour sa fille un mariage arrangé avec un de ses bons amis, le duc Ourslalov (pronnoncez « Ourslalofff »).
« Hé bien mon cher, comment allez vous ce matin, vous avez faim ? J'ai tout ce qu'il faut pour satisfaire un fin gourmet comme vous dans mes cuisines, du faisant, du porc, du bœuf, du canard, et même de l'autruche, du chevreuil et du marcassin ! Non ? Soif peut-être, il y a du bordeaux, du beaujolais, du champagne et tout les meilleurs vins du monde ! En fait je fais importer tous ces bon mets des pays qui les cuisinent le mieux, ainsi le « canard aux huit trésors » nous vient de Chine, le beaujolais de France, et cetera. »
« Non merci mon ami, bien que tout cela aient l'air appétissant, mon illustre estomac ne ressent pas la nécessité de se … comment vais-je dire, de se, pardonnez-moi l'expression d'un genre un peu vulgaire, « goinfrer. »
« Passons donc au sujet qui nous rassemble ici vous et moi si vous le voulez bien ? »
« Mais avec joie, avec grande joie cher hôte ! »
« Il faudrait, mais cela n'est que mon avis personnel bien sur, organiser une petite rencontre avant le mariage entre nos deux jeunes enfants dans le but de voire s'ils s'apprécient. »
« Je pense que ce serait une idée remarquable mais que feriez vous si nos jeunes tourtereaux ne s'aiment guère ? »
« Oui je n'y avais pas songé … De toute manière ils ne peuvent aller contre la volonté de leurs parents, c'est-à-dire vous et moi, donc je suppose que, quand bien même nos jeunes fille et fils ne s'éprennent pas l'un de l'autre, ils n'auront certainement pas l'affront de nous l'avouer ! C'est d'ailleurs dans cette esprit que les mariages arrangés sont fait n'est-ce pas mon cher duc ? »
« Oui, vous avez tout à fait raison ! Mais alors … pourquoi diable organiser une telle rencontre ? »
« Cela est simple et fort bien conçu par mon esprit brillant, si s'ose dire, sans bien sur me vanter ! »
« Oui, mais expliquez moi donc, je brûle d'impatience de connaître la raison à une telle bizarrerie ! »
« Hé bien approchez-vous et tendez votre oreille à mon écoute … »
« Humhum … »
« … »
« Continuez je vous prie … »
« … »
« remarquablement pensé … »
« … »
« mûrement réfléchit »
« … »
« Ho oui, cela est fort bien pensé mon ami, vous êtes d'une âme recherchée et dont je vous envie ! »
« Alors c'est d'accord ? »
« Oui, je sens que l'on va bien s'amuser, pas vous ? »
« En effet, j'ai hâte de voire le résultat ! »
C'est sur ces mots que nos deux illustres messieurs se quittèrent, de relativement bonne humeur je dois dire.
C'est également sur ces mots que je vais commencer cette partie de l'histoire d'Helga Poufsouffle, la grande fondatrice de la maison de Poudlard qui porte son nom.
Helga était dans sa chambre, tranquillement en train de broder un motif d'un assortiment florale, regardant par la fenêtre.
Elle aimait ça car la dite fenêtre donnait sur un merveilleux jardin où poussait de nombreux spécimens d'arbres fruités (des pommiers, des cerisiers, de citronniers, des poiriers, des melonniers … heu non là je commence à m'égarer, encore mes tartines lol), de feuillus (des arbres sans fruits), parmi lesquels des chêne, des acers palmatum, des lilas, et même de nombreux conifères. Il y avait de gigantesques parterres de fleures, de toutes sortes, un las où les cygnes aimaient rester, un petit pond au dessus qui permettait de l'enjamber, bref, un magnifique jardin.
Un coup à la porte ne suffit pas à la sortir de ses rêveries, le valet dû frapper au moins cinq fois d'affilées pour que la belle se réveille et aille ouvrir à cet intendant.
« Oui Valère, que me voulez vous ? »
« Excusez moi de vous importunez, mademoiselle, mais monsieur le conte, votre père voudrait vous voir de toute urgence dans le grand salon, c'est important qu'il a dit ! »
« Hé bien soit, dites lui que j'arrive, le temps de me changer et de descendre, et je serais à son écoute. »
« Bien mademoiselle. »
Sur ce, Valère rejoignit le maître de maison
« Hé bien mon cher valet, qu'a-t-elle dit »
« Qu'elle arrivait, Monsieur »
« Dans ce cas vous pouvez disposer »
« Comme vous voudrez, monsieur »
Après une longue attente, Helga retrouva son père dans le grand salon. Celui-ci était fort bien meublé, une bibliothèque (ou du moins une partie de la bibliothèque car la major parti des livres étaient dans un pièce annexe) qui accueillait des livres de grandes renommés, des fauteuils en cuir véritable, des tapisseries et des tapis venus d'orient, un piano et de nombreux cadre qui immortalisaient les ancêtres de la famille Poufsouffle, tous habillés de noir et d'or (il va sans dire que aucun des portraits n'avaient le loisirs de bouger, non ils étaient tous immobile, ce que Helga trouvait fort dommage d'ailleurs car elle auraient voulu savoir ce que ses aïeuls pourraient penser de la façon dont son père tenait la maison, ou connaître tous les secrets qui se disaient dans cette pièce, voire simplement parler à quelqu'un d'autre que le valet, la cuisinière, la femme de chambre ou son père, sa mère étant décédée).
« Vous m'avez fait appelée, père ? »
« Ha, ma fille, oui je suis bien content de vous trouver ! »
« … »
« Je voulais vous entretenir de votre mariage avec le jeune fils du duc Ourslalov. Comment le trouvez vous ? »
« Je dois dire, père que je n'en aucune idée ! »
« Comment ma fille, vous n'en avez aucun sentiment, mais cela est-ce possible ? »
« Puis-je vous rappeler, père que je ne l'ai encore jamais vu ni même aperçu ! »
« Ho ho ho ho, mais oui, suis-je idiot, où avais-je donc la tête ! Vous ne l'avez jamais vu, cela est bien vrai, c'est pour cette raison que je vous ai faire venir. Voulez-vous le rencontrer avant votre mariage ? »
« hé bien, pour dire vrai, je ne veux pas de ce mariage. »
« Comment ! Mais voyons, avez-vous perdu l'esprit ! Savez-vous l'âge que vous avez ? »
« Vingt ans »
« Exactement, vous avez déjà vingt ans et vous n'êtes pas encore mariée à votre âge, savez-vous quel âge avait votre mère lorsque nous nous sommes mariés ? Elle avait seize ans ! Vous êtes déjà en retard mais en plus vous refusez le seul homme qui soit encore assez fou pour vous prendre pour femme ! »
« Il ne fait ça que pour votre argent, père. Etes vous donc aveugle à ce point ! »
« Rhooo, mais c'est un outrage à ma personne et en la personne du duc, et cela par ma propre fille ! N'avez-vous donc aucune contenance ! De toute façon j'ai déjà organisé une rencontre, et vous vous marierez directement après ! Avec monsieur le duc, nous avons déjà tout organisé. De plus j'ai une surprise de taille, ce jour sera le plus beau de votre vie, ma fille ! »
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A ces mots je vous quitte chers lecteurs, et n'oubliez pas les revieuws !
J'écris des chapitres d'avances alors si vous les voulez avant une semaine il me faut des REVIEUWS !
Prochain chapitre, on revient avec notre pauvre Godric qui est dans un sacré pétrin !
Au faite, j'attends toujours des propositions de nom pour le chef indien et le jeune (qui est beau), sinon je le banni de mon histoire (et je vous fais pas sa description!)
Ecrit le : mercredi, 28 juin 2006 à 10 h 26
Posté le : mercredi, 5 juillet 2006 à 21 h 51