Disclaimer : Toujour pas à moi mais vous en faites pas, elle me les a promis pour mon anniversaire (seul problème c'est qu'elle n'a pas dit lequel …)

Rating : T ben oui, ça commence à se corser avec pour entrée … un moment de questionnette!

Dargonna : Merci, moi aussi je préfère Godic et Salazar (après tout c'est d'eux que l'on entend le plus parler, ce sont quand même les fondateurs des deux maisons les plus " médiatisées et les plus ennemies!). Tu vas être contente car voici ... Godic Griffondor : Le retour!

Lily9172 : Merci pour les noms indiens, y a plus qu'a choisir ... je suis heureuse que tu aimes et voici encore ... du mystère (et un piège pour commencer (zut j'aurais pas dû dire ça ...), ne tombe pas dans le panneau! lol.

Pour tous : Bonne lecture et bonne vacances!

Zofia

PS : Même si vous n'êtes pas inscrit sur le site et que vous me lisez, vous pouvez, non que dis-je vous DEVEZ me laisser une revieuw sinon je devient dépressive et ça ce lira dans mes chapitres! Quoi du chantage? Mheu non qu'est-ce que vous me racontez!

Chapitre 5 : Qu'as-tu fais de beau aujourd'hui, chéri ?

Après une journée de dur labeur, Mr. Le Magistrat rentre chez lui. Ila acquit il y a peu, pour quelque argent le droit de faire des expériences sur son prochain. En entrant dans la cuisine, il conte à sa femme ce qui c'est passé le matin (et croyez moi si vous le voulez, ce n'était pas très joli … si, je vous assure, j'ai tout vu, beurk !). Au début, madame en a été révoltée (il y a de quoi) ; à la seconde elle y en a pris goût (ben oui, les femmes sont curieuses) ; ensuite, la première chose qu'elle lui dit lorsqu'il rentre en robe chez lui :

- « Mon petit cœur, n'avez-vous fait donner aujourd'hui la question à personne ? »

- « hé bien vous me croirez si vous le voulez mais j'ai soumis à la petite questionnette un jeune garçon de même pas douze ans ! »

- « Ho comme c'est merveilleux ! Quel était son crime ? »

- « On le soupçonnait de pratiquer la sorcellerie. »

- « A-t-il avoué son méfait ? »

- « Non mais j'y retourne demain, et je prend un médecin avec, je ne voudrais pas qu'il trépasse sans avoir avoué ses fautes au Seigneur ! »

De ce fait, le grand et respectueux Magistrat retourna le lendemain à ses cachots privés, demanda qu'on lui amène le jeune homme ainsi que les bourreaux.

Le garçon que l'on lui amena était hâve, pâle, défait, les yeux mornes, d'apparence sale et couvert de vermine dont il a été rongé dans un cachot.

Il se donna le plaisir de l'appliquer à la grande et à la petite torture, en présence du chirurgien qui lui tâta le pouls de temps à autre, jusqu'à ce qu'il soit en danger de mort, après quoi il recommença en pensant qu'il aurait encore de quoi entretenir sa femme en détails croustillant et puis, ça fait toujours passer une heure ou deux !

Rentrant chez lui, il raconta à sa femme sa « séance » de travail. Il avait découvert l'identité du jeune homme et celui-ci avit fini par avouer son crime.

- « En faite, chérie nous nous sommes trompé à son sujet, il ne pratiquait pas de la magie ! »

- « Ho, mais comment avez-vous pu vous tromper ? »

- « C'est fort simple, nous croyons qu'il prononçait des formules, ou plutôt des incantations ! »

- « Et cela n'était pas ? »

- « Non ! »

- « … Vous l'avez relâché ? »

- « Oui mais avec une sanction ! »

- « Il avait donc bel et bien commis un crime ? »

- « Oui. En faite il s'agissait du chevalier de la Barre, petit-fils d'un lieutenat général des armée, jeune homme de beaucoup d'esprit et d'une grande espérance, mais ayant avant tout l'étourderie d'une jeunesse effrénée. Il fut convaincu d'avoir chanté des chansons impies, et même d'avoir passé devant une procession de capucins sans avoir ôté son chapeau ! »

- « Ho mon Dieu, quel arrogant ! Quelle fut sa sanction ? »

- « Les juges d'Abbeville et moi-même, ordonnâmes, non seulement qu'on lui arrachât la langue, qu'on lui coupât la main, et qu'on brûlât son corps à petit feu ; mais on l'appliqua encore à la torture pour savoir précisément combien de processions il avait vues passer, le chapeau sur la tête ! »

- « Ho, comme vous êtes juste mon époux ! »

- " Vous trouvez! Hé bien vous me flattez très chère! "

Ainsi ce passe les journée du magistrat de ce petit village.

Mais revenons à notre pauvre Griffondor ...

Les pauvres parents de ce futur prodige de la magie ne savaient pas quoi faire. Falait-il le livrer à l'inquisiteur, au magistrat ou le tuer pour ne pas qu'il entrave leur réputation de " gens normaux et sans histoires"?

Si ils l'envoyent chez l'inquisiteur, celui-ci se fera une joie de rendre l'affaire publique afin de prouver au peuple qu'il sert à quelque chose.

Le magistrat peut-être ... c'est un homme juste et droit, il saura quoi faire! Non, tout le monde a entendu parler de sa dernière " victime", le chevalier de la Barre.

Le tuer? De nos propres mains? Notre propre fils? Mais oui, pourquoi pas?

- " Chéri, il faut le tuer! C'est la seule solution" affirma Mme Griffondor

- " Oui mais les gens du villages s'appercevront de sont absence, tout le monde le connâit, pire l'aime."

- " Que proposes-tu alors?"

- " Et si on orguanisait une sorte de tournois dans lequel on inscrirait Godric?"

Il faut savoir que les parents de notre jeune amis étaient des personnes plutôt importante dans ce village, ils possédaient de grandes terres dans lequelles travaillaient des cerfs. Ils avaient voulus faire de leur fils un equier puis un chevalier, mais celui-ci ne voulait rien savoir, il ne projettait pas un tel avenir, lui ce qu'il voulait faire c'était ... alchimiste! Apprendre la règle des alchimistes qui voulait que rien ne se crée ni ne se perd mais se transforme,on ne peut rien obtenir sans faire de sacrifices. On doit offrir un objet de valeur équivalente pour obtenir ce que l'on veut. C'est le principe de l'équivalence en alchimie.

Mais Godric aimait se battre, et tout les motifs étaient bon, que ce soit pour venir en aide à un pauvre malheureux qui passait par là et se faisait massacrer, une provocation auquelle il répondait avec plaisir ou un lion qui terrorisait le peuple. Tout était bon pour une bonne bagarre, et ça ses parents l'avait bien remarqué. Il était donc certain que le jeune Griffondor participerait à ce tournois!

- " Oui mais comment va-t-il mourrir, il est très fort!" demanda Zenevia Griffondor, la mère de Godric.

- " On va payer un champion pour qu'il l'abatte dans une épreuve où notre fils est faible, le combat à l'épée par exemple, il n'a jamais voulu en faire."

- " Tu es merveilleux, on fera passer ça pour un regrettable accident! Sais-tu pleurer?"

- " Bouh ouh ouh ouinnnn, mon fils est mort, tu vas me le payer sale monstre, tuer un si jeune et gentil garçon pour gagner un stupide tournois de village, ouin."

- "Parfait chéri, c'est très réaliste! Mais comment faire pour ne pas que le champion ne se fasse attraper par les gardes?"

- " Pour ça, j'ai ma petite idée ..."

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Et voilà, c'est la fin de ce second épisode des mésaventures de Godric Griffondor!

Suite bientôt, si j'ai assez de reviews bien sûr!

Mais on dirait que cinq revieuws c'est trop pour vous donc on va un eu diminuer, quatre ça va?

bonne vacance à tous

Zofia

PS : J'ai déja la suite ... prochain épisode, la fuite de Salazar!

Ecrit le : mardi, 11 juillet 2006 à 11 h 53

Posté le : mardi, 11 juillet 2006 à 11 h 57