Disclaimer : Et non, je ne les ai toujours pas vu débarquer chez moi et vu que je m'acharne sur eux, il ne viendront jamais, surtout Duo qui m'en veut à un point inimaginable tant je lui fais endurer des atrocités… Et ça continue dans ce qui suit.

Titre : Ce sera notre petit secret bis

Auteur : Ephemeris

Résumé : Dans une période creuse où les cinq pilotes doivent rester dans une maison en attendant leur prochaine mission, un des pilotes inflige à Duo un traitement que personne ne devrait infliger à un ami.

Couples : Pour ceux qui ont lu la première version, vous le savez déjà alors...

Genre : Pas drôle du tout !

Rating : T

Warnings : Yaoi, viol. Ceci est la version sans POV de l'histoire de base racontée par Duo. Je conseille à ceux qui n'auraient pas lu cette première version d'aller la lire avant d'entreprendre celle-ci pour ne pas se gâcher la fin. Il faut dire que je me suis donné énormément de mal pour brouiller les pistes que ça me ferait de la peine que vous ne puissiez pas en bénéficier. Cette version me sert en fait à donner des explications sur le comportement de chaque pilote en dehors de Duo que je n'ai pas pu aborder dans l'autre, étant exclusivement réservée aux états d'âme de Duo. Donc, allez lire la première version avant d'attaquer celle-ci...

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Chapitre 5

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Le départ de Duo du salon avait laissé un grand froid entre les quatre autres garçons. Tous étaient perturbés par la découverte qu'ils venaient de faire. Il était clair que Duo avait un énorme problème s'il en était venu à inventer une personne et à croire qu'elle existait vraiment.

Trowa était désemparé. Lorsqu'il avait entendu Duo prononcer le nom d'Arthur, il s'en était senti soulagé, ses arrières étant couverts par cette folie, mais bien vite, ce sentiment le quitta, faisant place à une certaine culpabilité. Il était clair qu'il était le responsable de cet état. mais ce n'était pas son intention.

Lui qui n'avait jamais eu l'occasion de démontrer son amour à qui que ce soit, il avait tenté de se faire comprendre par Duo à qui il s'était énormément attaché. Mais il semblait que la façon dont il s'y était pris pour faire comprendre son amour à Duo n'avait pas eu le résultat escompté.

L'image de Duo en train de parler à une personne inexistante lui revint alors en mémoire. Trowa ne put en supporter plus et chercha un moyen de s'isoler sans pour autant le trouver, regardant tout autour de lui. Quatre sentit son trouble face à la situation et, s'approchant de lui, il posa sa main sur l'épaule du jeune homme.

« Je comprends ton trouble Trowa. Je crois qu'on devrait aller lui parler. Viens. »

Trowa acquiesça et suivit Quatre dans l'escalier jusqu'à la chambre de Duo. Ce dernier, depuis qu'il était revenu dans sa chambre, s'entraînait à refuser tout ce qu'on lui demanderait. Il entendait des pas s'approcher de la pièce. Il était certain qu'il s'agissait de Trowa et était prêt à l'accueillir d'un 'non' déterminé. C'est alors qu'il crut reconnaître le pas de Trowa mais aussi celui de Quatre. Un grand désespoir le prit soudainement. Quatre frappa doucement à la porte, interpellant son ami.

« Duo, on peut entrer ? » demanda-t-il.

Mais Duo ne répondit pas. Il ne voulait voir que lui, que Trowa, pour pouvoir lui refuser ce qu'il était venu chercher. La présence de Quatre gênait considérablement son projet et Duo savait que le blond n'abandonnerait pas. Selon Duo, Quatre voulait se donner bonne conscience de le laisser dans une telle situation sans tenter de la faire changer, mais le jeune homme ne savait en fait rien de ce qui se passait dans la tête de Duo et s'inquiétait véritablement. D'ailleurs, il frappa encore une fois à la porte.

« Duo, on entre. »

Et la porte s'ouvrit sur Quatre et Trowa. Les deux garçons cherchaient Duo dans l'obscurité de la pièce qui n'était pas éclairée et dont les rideaux étaient tirés, Duo ne supportant pas la lumière éclatante du soleil qui semblait si heureux alors que lui sombrait de plus en plus dans la noirceur. Mais la lumière du couloir venait troubler l'atmosphère que Duo avait réussi à créer dans la pièce. Il ne voulait qu'un peu de paix.

Trowa sentit un frisson le parcourir lorsqu'il vit Duo ainsi, dans l'ombre, un regard à faire peur braqué sur eux. Quatre s'avança un peu et demanda :

« Duo, tu vas bien ? »

Mais le garçon ne répondit pas, ce qui inquiéta Trowa. Si Duo ne voulait pas parler, ce n'était pas bon signe. Quatre continua :

« Duo, on s'inquiète pour toi. Qu'est-ce qui t'arrive ? »

C'est alors que Duo ne se sentit plus de rester silencieux face à ce qu'il considérait comme de l'hypocrisie autant de la part de Trowa qui savait la source de son mal, l'alimentant lui-même, que de la part de Quatre, persuadé qu'il était au courant.

« Arrêtez de faire ça ! »

Les deux garçons regardèrent Duo sans comprendre le sens de ce qu'il avait voulu dire. Arrêter quoi ? Sans avoir posé la question, ils obtinrent la réponse.

« Je n'aime pas du tout votre attitude envers Arthur. C'est vraiment indigne de vous. Depuis quand avez-vous tant de mépris pour les gens que vous ne connaissez pas ? Si je me souviens bien, notre mission, c'est de venir en aide à des gens que nous ne connaissons pas. Pourquoi vous agissez ainsi ? Arthur ne fait pas partie d'Oz si c'est ça qui vous travaille, rassurez-vous. »

Trowa sentit des nausées le prendre, mais Quatre ne s'en rendit pas compte et tenta de raisonner le jeune homme en face d'eux.

« Mais Duo, il n'y a personne ici en dehors de nous cinq. »

Duo commençait vraiment à trouver ce jeu énervant alors que Trowa faisait tout pour se garder contenance, surtout en entendant les paroles qui suivirent.

« Ah ouais ? Ben si ce que tu dis est vrai, ça veut dire que je suis fou peut-être et que j'ai des hallucinations. Mais enfin, ouvre les yeux, il y a quelqu'un là, à côté de moi. Ne me dis pas que tu ne le vois pas ! »

Et pourtant, ils ne voyaient rien, ni Quatre, ni Trowa qui avait repris son visage neutre, refoulant ce qu'il ressentait au plus profond de lui. Les deux garçons se jetèrent un regard perdu, ne sachant évidemment pas comment réagir à une telle situation. Mais ce geste irrita Duo qui ne supportait pas leur comédie, persuadé que ses camarades lui jouaient un mauvais tour. Mais les blagues les plus courtes sont les meilleures.

« Foutez-moi le camp. »

« Mais Duo… »

« J'ai dit foutez-moi le camp ! Je veux plus vous voir ! »

Comprenant qu'aucune forme de discussion était possible avec Duo, Trowa et Quatre reculèrent et refermèrent la porte une fois à l'extérieur de la pièce. Le blond était très perturbé par ce qu'il venait de voir. Il se sentait complètement impuissant, Duo ne voulant même pas l'écouter.

Après avoir lancé un dernier regard perdu à Trowa, ils se dirigèrent vers l'escalier. Mais il n'avait pas descendu trois marches que Quatre se sentit vaciller et Trowa dut le soutenir pour arriver jusqu'en bas.

Une fois au pied de l'escalier, le blond se laissa porter jusqu'au salon où il prit place dans le canapé. Il remercia Trowa qui sortit de la pièce, regardant bien autour de lui que personne ne le voyait. Apparemment, Heero était dans la salle de bain et Wufei était en train de lire dans la cuisine.

Trowa jeta un dernier regard à Quatre et,voyant le jeune homme en train de sombrer dans le sommeil, il se précipita d'où il venait, montant l'escalier précipitamment, mais personne ne sembla le remarquer. Personne excepté Duo qui était aux aguets, le plus petit bruit le faisant sursauter. Et il pouvait s'inquiéter de celui-là.

Devant lui, d'un coup, là dans sa chambre, était apparu Trowa qui n'arrivait plus à mettre de l'ordre dans ses pensées. Ce fut la peur qui submergea Duo à cet instant. S'il était venu seul quelques minutes plus tôt, il aurait été capable de le repousser, mais pas maintenant, il n'en avait plus la force. Il tenta de s'accrocher à la seule chose qui pouvait l'aider.

« Arthur, aide-moi… »

En un quart de seconde, Duo se retrouva plaqué contre le mur, la main de Trowa autour de son cou. Le jeune homme ne supportait pas cet attachement à cette personne imaginaire. Il en était carrément jaloux, ne supportant pas que Duo puisse penser à quelqu'un d'autre que lui.

« Ça suffit maintenant, Duo. Je ne veux plus entendre ce nom quand nous sommes ensemble, tu entends ? »

Il ne répondit pas, la peur le paralysant. Trowa voyait cette peur dans les yeux de Duo qui le fixaient, mais au moins, c'était lui qu'il regardait, c'était à lui qu'il pensait. Il sentit alors une vague de chaleur monter en lui et plongea son visage dans le cou de Duo tout en laissant aller ses mains sur ce corps qu'il aimait tant, le savourant pleinement.

Duo retint un gémissement de dégoût à ces attouchements, mais c'est alors qu'il eut une idée. Il avait cru comprendre que Trowa n'était pas à l'aise à l'évocation d'Arthur. Il décida donc de l'évoquer.

« Arthur, Arthur… »

Et ça marchait. La course des mains de Trowa s'arrêta et le garçon plongea ses yeux dans ceux de Duo. Il était furieux, ne pouvant contrôler cette jalousie qui lui montait à la tête et Duo en était presque heureux, préférant se faire frapper plutôt que d'avoir à subir ça. Les yeux de Trowa lançaient des éclairs.

« Je t'ai dit de ne plus prononcer ce nom en ma présence. »

« Quel nom ? Arthur ? »

Duo avait mis le doigt dans la plaie et avait récolté ce qu'il avait espéré. La main de Trowa s'éleva au-dessus de sa tête et vint s'écraser sur la joue du jeune homme avec une telle force qu'il en fut propulsé au sol. Mais au lieu de s'éloigner comme Duo l'espérait, Trowa se précipita sur le corps étendu par terre, l'attrapant par le col de sa chemise, de la rage dans les yeux.

« Arthur n'existe pas, tu entends. Il n'y a pas d'Arthur, il n'y a que moi. »

C'est alors que Duo réalisa qu'il n'y avait pas que de la colère en Trowa, mais aussi cette jalousie qu'il n'avait pas vu avant. Trowa ne supportait pas de voir Duo s'attacher à quelqu'un qui n'existait pas alors qu'il se détachait de tous les autres. Duo avait compris ça, excepté qu'il ne considérait toujours pas Arthur comme quelqu'un d'irréel.

Mais même si la « présence » d'Arthur le rendait furieux, Trowa ne put refouler cette chaleur qui irradiait maintenant dans tout son corps à la vue de Duo, étendu sur le sol ainsi. Il sortit un foulard d'une poche et s'en servit pour bâillonner le garçon, ne voulant pour rien au monde entendre encore une fois ce nom qui lui écorchait les oreilles. Il défit ensuite l'attache du pantalon de Duo, puis lui enleva le vêtement avec une force incroyable.

Mais Duo n'eut pas le temps de vraiment y penser que Trowa avait fait de même avec le sien. Il le prit sauvagement, faisant venir des larmes aux yeux de Duo qui, à cet instant, pensait à son ami Solo et à cette phrase qu'il disait, que les garçons ne pleuraient pas. Alors il ne pleurerait pas.

Alors que Trowa assouvissait son désir, il gardait les yeux plongés dans ceux de Duo, la colère qui l'avait submergé l'instant précédent s'estompant peu à peu pour laisser place à tout l'amour qu'il ressentait pour le jeune homme. Mais ce dernier ne saisit pas la nature de ce sentiment qu'il vit apparaître dans les yeux de son agresseur et s'en trouva encore plus perdu.

Finalement, Trowa s'arrêta. C'était terminé, mais il ne voulait pas partir, contemplant Duo sans pouvoir faire un geste pour se défaire de lui. Au lieu de s'éloigner de lui comme Duo s'y attendait, Trowa sentit une vague de tendresse l'envahir et il se pencha vers le visage de Duo pour poser ses lèvres sur les siennes. Mais alors que son chemin était presque terminé, Duo détourna la tête, ne voulant en aucun cas être embrassé par cet homme qu'il était venu à détester.

Le mouvement de Duo avait coupé le contact visuel, ce qui l'empêcha de voir les larmes de Trowa dues à ce geste de refus, refus de son amour. Alors, sans un mot, il se releva, rattacha son pantalon et sortit de la chambre en refermant la porte derrière lui. Son cœur lui serrait, exerçant une pression dans sa poitrine qui le faisait atrocement souffrir.

Il se dirigea alors vers sa chambre et s'allongea sur son lit, laissant libre cours à ses larmes, maintenant que personne ne pouvait le voir. Cela faisait des années qu'il n'avait pas pleuré. En fait, ça remontait à une époque où il avait encore de l'amour en lui, sentiment qui remontait à son enfance. Mais pourquoi un sentiment que les gens trouvent si beau pouvait-il faire autant souffrir ?

De son côté, Duo réfléchissait à la drôle de réaction de Trowa. Il semblait avoir décelé quelque chose dans son regard d'habitude si froid, mais ne comprenait pas de quoi il s'agissait. Et cette crise de jalousie était plutôt déstabilisante. Mais il mit rapidement de côté cette pensée, se concentrant seulement sur la solution qu'il devait trouver pour faire arrêter ce qui lui arrivait. Il se releva donc et commença à arpenter la pièce en réfléchissant avec Arthur.

Au rez-de-chaussée, Heero sortit de la salle de bain après une longue douche froide qui lui avait fait le plus grand bien, tous ses muscles étant détendus, mais les tensions de son esprit étaient tenaces et donnaient la migraine à Heero. Le jeune homme cherchait comment remédier à la situation et comment faire sortir Duo de son délire, mais rien ne venait.

Heero se dirigea vers le salon et vit que Quatre n'était pas dans un meilleur état que lui. Le garçon dormait toujours sur le canapé, mais pas d'un sommeil tranquille à ce qu'il pouvait voir. Mais l'attention de Heero fut vite détournée lorsque des bruits lui parvinrent de l'étage. Tout de suite, il eut l'image de Duo tournant en rond dans la chambre en train de parler tout seul.

Il ne pouvait supporter l'idée que Duo soit en train de perdre complètement la tête et monta l'escalier pour se rendre dans la chambre du jeune homme. Il ouvrit la porte et passa sa tête dans l'ouverture. Il vit Duo, une ombre de terreur dans le fond des yeux, le regarder d'une façon plutôt étrange, debout au milieu de la pièce.

« C'est pas un peu fini tout ce boucan ? Qu'est-ce que tu fais ? »

Duo se sentit mal. Il ne voulait pas voir Heero, il ne voulait voir personne. Mais comme si la présence de Heero ne suffisait pas, Wufei arriva également. Le Chinois aussi s'inquiétait pour Duo, mais tout comme Heero, il ne savait pas ce qu'il pouvait faire pour aider son ami à aller mieux. Le raffut que faisait Duo l'avait également attiré et, voyant Heero déjà à la porte, se demandait quel était le problème.

« Qu'est-ce qui se passe Yuy ?

« C'est ce que je demandais à Duo, mais il ne me répond pas. »

Mais s'il ne répondait pas, c'était parce qu'il ne le voulait pas. Il ne voulait pas répondre comme il voulait rester seul.

« Allez-vous en, je ne veux voir personne. »

Mais Heero ne voulait pas partir comme ça, il ne voulait pas laisser Duo seul dans son délire.

« Duo, as-tu besoin de quelque chose ? »

« J'ai seulement besoin que vous vous en alliez, tous les deux. Je veux rester seul, c'est si difficile à comprendre ? »

A cette réponse, Heero se rembrunit un peu plus.

« Hn, tu veux rester seul avec Arthur, c'est ça ? »

Dans sa voix perçait une touche d'amertume. Mais Duo se demandait s'il devait considérer cette réponse comme un aveu ou comme du sarcasme. Il choisit de répondre ce qu'il considérait comme la vérité.

« Parfaitement. Lui, au moins, il me comprend. »

Mais ces paroles firent l'effet inverse de ce qu'avait cru Duo. Au lieu de le faire partir, Heero entra dans la chambre,s'avançant vers Duo qui reculait, instinctivement. Mais Heero fut plus rapide que lui et lui prit le visage entre ses mains avec toute la douceur dont il était capable, douceur qui surprit Duo au plus haut point, surtout après les paroles blessantes qu'il avait pu lui dire depuis quelques jours.

En fait, Heero ne savait plus quoi penser et était complètement désespéré. Il n'arrivait pas à faire comprendre à Duo comment il se sentait et ça devenait insupportable pour lui.

« Et moi, je ne te comprends pas peut-être ? Je ne suis pas assez bien pour toi, qu'il faille que tu te confies à quelqu'un qui n'existe pas ? »

La voix avait légèrement tremblé, mais Duo ne s'en était pas aperçu, la sensation de ses mains sur lui l'insupportant. Un peu violemment, il fit lâcher prise à Heero et recula jusqu'au mur en disant sur un ton un peu élevé :

« Ne me touche pas ! »

Cette fois, ce fut Heero qui recula. Il était blessé et Duo le voyait. Tout le monde pouvait le voir, son expression froide n'ayant pas tenu à une telle douleur. Cette douleur, elle était imprimée sur son visage. Duo la voyait très bien, mais ne s'en faisait pas plus que ça.

Après un dernier regard meurtri dans la direction de Duo, Heero sortit de la chambre et referma la porte, se retournant vers Wufei qui était resté à l'arrière. En se retournant vers le Chinois, Heero lui montra toute la douleur qu'il ressentait, faisant sursauter Wufei de surprise. Ils s'éloignèrent un peu de la porte et Wufei interrogea Heero.

« Ca va pas, Yuy ? »

Le jeune homme était perdu. La réaction de Duo ne lui avait pas du tout plu et il n'arrivait toujours pas à saisir l'origine de son mal.

« Il souffre… Il souffre énormément et je ne peux rien faire. »

C'est alors qu'il s'appuya contre le mur et se laissa glisser jusqu'au sol, ses jambes refusant de le porter plus longtemps. Il ne bougea plus, complètement choqué, sous les yeux de Wufei qui se sentait aussi impuissant que lui.

« Bon sang Duo, qu'est-ce qui t'arrive ? »

A suivre…

Note de l'auteur : C'est donc la descente aux enfers pas à pas. Ce chapitre dévoile en grande partie les sentiments de Trowa par rapport à l'affaire et pour ça, ce chapitre m'a beaucoup plu. Même après avoir lu toutes les horreurs que je lui ai fait faire depuis le début de cette histoire, n'allez pas me dire que vous le détestez après un chapitre pareil. En tout cas, moi, je le trouve attendrissant. Mais bon, comme j'ai la fâcheuse tendance de préférer les méchants en général (je vais mal tourner, je le sens), je ne suis pas la mieux placée pour juger de ces choses…

Enfin, nous approchons de la fin, le prochain chapitre étant le dernier. Toutes les explications vous seront donc exposées. J'espère donc que ce chapitre vous aura plu et en tout cas, merci de l'avoir lu.

-Ephemeris-