Bonjour à tous. voici mon 5ème chapitre et j'espère qu'il va vous plaire. je tenais a remercier toutes les personnes m'ayant laissé des reviews et je tenais a répondre aussi à une review, celle de Jaman.
Tout d'abord merci pour ta review. Ensuite je mets beaucoup de références qui reflètent, tu l'as bien compris, les films que j'aime. J'en mets parfois un peu moins dans les autres chapitres, mais il y en a toujours une ou deux. D'ailleur ce n'est pas toujours des films, c'est parfois aussi des dessins animés. La scène des chaudrons, ça vient de Shaolin Soccer. Moi j'ai adoré, mais bon il faut aimer le style. J'espère que tu continueras à lire ma fic, et que tu trouveras mes autres reférences.
Et maintenant à tous bonne lecture! bisous
Chapitre 5
Drago n'était pas sûr de ce qu'il voyait, pourtant c'était bien lui, c'était bien Harry qui se trouvait dans ce parc. Le Serpentard se sentit comme paralyser, il ne savait plus quoi faire. Harry arriva à sa hauteur, mais ne dit rien, continuant son chemin. Drago resta là, sans bouger pendant plusieurs minutes. Il était revenu en arrière et ses sentiments qu'il tentait de refouler désespérément, refirent surfaces. Il ne put retenir plus longtemps les larmes qui désiraient couler, il ne put retenir une seconde de plus les sentiments qui le faisaient tant souffrir.
« Pardonne moi Harry, pardonne moi ! »
Lorsque son cœur fut apaisé, Drago alla rejoindre Orlando qui l'attendait dans leur salle commune.
- Alors ?
- Ça marche.
- Vous avez entendu ! S'exclama Lando pour que tout le monde l'entende. La potion Epousium marche ! Si vous voulez une petite fiole pour connaître l'homme ou la femme de votre vie, cela vous coûtera un galion ! C'est du sûr, cent pour cent efficace ! Une goutte de votre sang dans la fiole, et c'est bon !
- D'accord j'en prends une ! S'écria Pansy en tendant une pièce.
- Allez offre exceptionnel, les dix premières coûtent un galion ensuite elles passeront à deux, alors dépêchez vous !
Des tas de jeunes filles se précipitèrent autour de Lando afin d'être dans les dix premières et découvrir enfin qui serait l'élu de le coeur.
- Petite indication, avant que la lumière ne se fixe sur une seule personne, tout le monde brilla pendant un instant. Alors ne vous inquiétez pas !
Mais au grand malheur de Pansy, elle découvrit avec stupeur que c'était Goyle qui lui était destiné.
- Hé Drago ! On devrait ouvrir le business pour toutes les maisons !
- On n'a pas besoin d'argent Lando !
- Allez, ne sois pas vache ! Tu n'imagines pas le nombre de personne qu'on pourrait aider !
Drago leva les yeux au ciel à ces paroles.
L'automne passa très vite et l'hiver prit place sur l'école. Noël approchait et la première sortit à Pré-au-Lard aussi. C'était samedi et il était neuf heures. Tout le monde se dépêchait dans le dortoir des Gryffondor sauf Ron, qui était enfermé dans la salle de bain.
- Qu'est-ce que tu fais ? Demanda Harry qui commençait à perdre patience. Tu sors de cette salle de bain, oui ou non ?
- Oui ! J'arrive.
Lorsqu'il sortit enfin, tous ses camarades se retournèrent, le dévisageant et grimaçant. Une senteur de rose pestilentielle, avec une tendance soporifique, l'accompagnait.
- Oh non ! C'est pas vrai ! S'exclama Harry. Qui est-ce que tu vas voir ?
- Personne !
- Encore heureux, tu risquerais de la tuer avec cette odeur ! Allez on y va !
Pré-au-Lard ressemblait à un immense marché de noël avec toutes ses décorations et ses chants de Noël.
- Ça vous dirait une bièraubeurre ? Demanda Hermione.
- Avec joie… Harry ?
- Moi, je vous suis !
Les jeunes acolytes se dirigèrent donc au « Trois Balais ». Une fois sur place, ils remarquèrent que la plupart des tables étaient prises et ils réussirent à en trouver une, en se faufilant dans le fond de la taverne.
- Salut Harry, ça faisait longtemps !
- Orlando… Qu'est-ce que tu veux ?
- Rien ! Je voulais juste te saluer. Allez passe une bonne journée... Je suis sûr qu'elle va être super ! Hermione, Ron.
Il sortit accompagné de Drago, Pansy, Crabbe et Goyle.
- Qu'est-ce qu'il a voulu dire avec ce petit air ? Demanda Ron.
- Aucune idée ! Répondit le brun soucieux.
- Tu sais Harry… Orlando n'est pas si méchant que ça ! Commença timidement Hermione. Tu devrais aller lui parler… Je pense que cela ne serait pas une mauvaise idée.
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Parce que je sais, pourquoi tu es en colère. Je sais aussi que tu n'as pas compris ce que Orlando voulait te montrer… Alors vas lui parler… seul à seul.
Harry ne comprenait vraiment pas la réaction d'Hermione. Pourquoi devrait-il parler à celui qui l'avait humilié ? A vrai dire, plusieurs mois c'était écoulé depuis cette petite mésaventure, mais Harry en avait gardé un très mauvais souvenir. Et il n'avait vraiment pas envie que cela se reproduise. Après qu'ils eurent fini leurs bièraubeurres, Harry, Ron et Hermione allèrent se dégourdir les jambes.
- Bah, ça alors ! S'exclama Ron. Pansy et Goyle, main dans la main !
- Ma foi, il faut de tout pour faire un monde ! Lança Harry.
- Hum…Mouais…personne dans le monde ne marche du même pas et même si la terre est ronde, on ne se ressemble pas…
- Qu'est-ce que tu racontes encore, Ron ? Tu te sens bien ? Demanda Hermione en riant.
- Oui ça va, mais c'est vrai ce que je dis !
- Ouais… moi j'en ai une plus bizarre, regarder qui voilà !
Harry, Ron et Hermione s'arrêtèrent et virent avec stupeur Crabbe embrasser Millicent Bulstrode dans un petit coin isolé.
- Ah ! s'écria Ron ! L'horreur ! Mais qu'est-ce qui se passe là, ce n'est pourtant pas la Saint Valentin.
- Non et heureusement ! T'imagine le truc… Heurk !
- Dites plutôt que ça vous rend malade de n'avoir personne quand vous voyez Crabbe et Goyle avec des filles, répliqua Hermione en ajustant son sac.
Elle leur tourna le dos et alla rejoindre Ginny qui se trouvait dans le magasin de farces et attrapes avec Luna.
- Elle dit n'importe quoi… c'est ridicule. Finit par dire Ron avant d'aller la rejoindre.
- Je vous retrouve plus tard.
- Comme tu veux.
Harry se mit à errer dans Pré-au-Lard, les mains dans les poches et les cheveux plus ébouriffer que jamais à cause du vent qui soufflait sur le village. Il marcha encore et encore, jusqu'à se retrouver dans une petite ruelle. Il pensait à Drago, encore. Il songeait à ce qu'il avait perdu ce jour là…. Dans ses pensées, il ne vit pas Orlando qui se tenait droit devant lui.
- Dit donc, tu ne comptais pas t'arrêter ou quoi ?
- Lando ! Excuse moi, je ne t'avais pas vu !
- Nan, sans blague ! J'aurais pourtant juré le contraire !
- Ça va…heu… j'aimerai… j'aimerai te poser une question.
Harry s'en posait plus d'une, à vrai dire depuis les paroles d'Hermione aux Trois balais.
- Enfin… tu oses me reparler !
- Bon, ça va ! Et puis non, laisse tomber !
Harry rebroussa chemin.
- Je peux t'expliquer...
Harry s'arrêta net. Il se retourna mais au lieu de voir Orlando, Harry était en face de Drago.
- Dra…Drago ?
- Chut… ne dit rien.
Drago s'approcha de lui et l'embrassa. C'était si soudain, si bon. Leur baiser dura encore, et encore. Harry n'avait pas ressenti un tel plaisir depuis leur séparation. Il arrêta de l'embrasser, ouvrit les yeux, et se rendit compte que ce n'était plus Drago qui était là, face à lui, mais bien Orlando. Il ne comprenait plus. Drago était là et soudain il disparaissait.
- Qu'est-ce que…qu'est-ce que ça veut dire ? demanda Harry en reculant.
- Je pensais que tu comprendrais plus facilement maintenant, répondit Orlando avant de quitter la ruelle.
Pourtant Harry ne saisissait toujours pas. Etait-ce une illusion ? Il ne savait pas, mais surtout ne voulait pas y croire.
Après plusieurs semaines et plusieurs attaques de Mangemorts, qui furent toutes repoussés, Noël arriva. Hermione préparait ses affaires pour passer les fêtes en famille, ce qui était aussi le cas de plusieurs élèves de Poudlard. Mais cette année Harry et Ron restaient à l'école ainsi que Drago et Orlando qui avaient l'habitude de les passer en famille. Il était dix-sept heures passé, et Orlando se trouvait comme à son habitude dans la salle du troisième étage, en compagnie de jeunes filles qui faisait la queue pour passer un peu de temps en sa compagnie. Mais la file d'attente était beaucoup moins longue et du coup, il s'ennuyait beaucoup plus. Il décida donc de retourner dans la salle commune des Serpentard, quand il croisa à l'étage Harry et Ron.
- Salut.
- Salut Lando, Harry tu me rejoins, je retourne dans la salle commune.
- Ok Ron.
- Ça va depuis la dernière fois ? On ne s'est pas vraiment vu ces jours-ci. A croire que tu m'évites.
- C'était le cas ! Je ne comprends toujours pas ce qui s'est passé la dernière fois…je suppose que tu t'es encore foutu de moi !
- T'es long à la détente, Harry ! Bon, je te remontrerais, une dernière fois…tu connais la salle de bain des préfets ? C'est pas mal pour prendre un bain... On y va maintenant, histoire de cogiter un peu !
- Heu… j'ai comme une impression de déjà vu !
- Je plaisantais. Allez viens dans la salle.
Harry suivit Orlando dans la salle et referma la porte derrière lui. Le Serpentard se mit à sa place habituelle, c'est-à-dire sur une table, tandis qu'Harry, les mains dans les poches, se demandait pourquoi il avait accepté de le suivre.
- Pose ton sac. Tu sais la dernière fois… c'était assez difficile car le lieu n'était pas clos et j'avais beaucoup plus de difficulté à comprendre ton cœur.
- Mais de quoi tu parles ?
- Ferme les yeux, Harry. Tu les ouvriras seulement quand je te le dirais. Vas y, ferme les.
Le Gryffondor hésita un moment.
- Qu'est-ce qu'il y a, tu as peur ? Je ne te ferais aucun mal ! Ce n'est pas dangereux, tu sais ?
- Dangereux ? Pff, quel danger ? Moi j'aime le danger, je me ris du danger, ah, ah, ah …
Harry s'exécuta. Orlando lui prit les mains et commença à parler d'une voix étonnement calme et douce.
- Harry, ne voile plus ton cœur, laisse le s'exprimer comme il l'entend. Tu te fais du mal pour rien. Tu sais très bien que ton cœur le réclame, il ne crie que son nom, je le perçois très clairement aujourd'hui. Ouvre lui ton cœur, je suis sûr, qu'il acceptera ce que tu as à lui dire. Regarde moi.
Harry ouvrit les yeux doucement et vit Drago. Une nouvelle fois ce n'était plus Orlando qui était là.
- Je…mais qui es-tu ?
- Qui je suis ? La question serait plutôt qui es-tu ? Nous sommes en guerre pépère et on n'a pas le temps de bavasser, mais j'suis d'humeur magnanime, aujourd'hui. Allez, circule avant que je te bouscule !
-Hein…quoi ?
- Non je plaisantais ! Je suis ce que ton cœur reflète. Je suis un Mogami. C'est un pouvoir que ma famille possède. C'est basé sur la Légilimancie. Notre esprit reçoit une information qu'il transmet à notre cœur, s'opère ensuite la transformation, si je puis dire.
- Mais là, ce Drago que je vois…
- C'est moi.
Il se changea à nouveau.
- J'ai arrêté de lire ton esprit, c'est pour cela que tu me vois de nouveau.
- Harry… Drago est passé me voir, il l'avait compris bien plus vite que toi. Quand j'y pense, peu de filles venaient me voir pour moi… Mais c'est tout de même agréable de les avoir, puisque les originaux dont elles sont amoureuses, ne veulent pas d'elles ! Finit-il par dire en riant.
- Drago est venu ici ?
- Oui bien sûr et je sais qu'il t'aime ! Mais je dois dire qu'il sait si prendre ! répliqua-t-il en regardant par la fenêtre. Je comprends mieux toutes ces rumeurs sur lui et son surnom d'aspirateur auprès des mecs !
Il explosa de rire, avant d'entendre la porte claquer.
- Harry ?
Mais le Gryffondor avait pris ses affaires et l'avait laissé seul.
- Et merde ! Ne me dite pas que j'ai encore tout foiré ?
Harry fulminait de rage.
- Il m'aime, sale con ! L'aspirateur ! J'aimerai bien savoir ce qu'il a bien pu lui aspirer ! Orlando, j'te déteste !
Harry descendait les escaliers vociférant des noms d'oiseaux à l'encontre d'Orlando. Il sortit du collège et alla s'asseoir sur un banc pendant plusieurs minutes. C'était un hiver très rude, une fine neige tombait, recouvrant les branches des arbres d'un linceul blanc. Harry commençait à avoir froid, il était descendu sans veste, ni écharpe et ne portait qu'un pull fin. Quand il décida de rentrer, il se trouva nez à nez avec Drago. Ce dernier était venu le rejoindre en le voyant débouler ainsi dans le parc.
- Harry je voulais te dire…
- Encore toi, Orlando ! Ça va, j'ai compris, t'es un Mogami ! Inutile de me poursuivre, ok ! Lâche moi, je ne veux plus te voir.
Harry partit sans laisser Drago s'exprimer.
- J'ai tout vu, dit Orlando en sortant d'un buisson et s'époussetant les épaules. Mais Drago qu'est-ce que tu nous as fais là ! C'était nul ! Il fallait avoir un peu plus de pop, pop, pop ! La prochaine fois, s'il te plait, essaye d'avoir plus de deux mots de VO-CA-BU-LAIRES ! Parce que là, ce n'était pas green ! OK ?
Orlando le quitta à son tour, sans attendre la réponse du Serpentard. Drago ne comprenait plus rien.
« Apparemment Harry sait qu'Orlando est un Mogami, il a du penser que j'étais lui, mais pourquoi... Lando, je vais te tuer »
Orlando déambulait dans les couloirs d'un air joyeux, regardant les professeurs décorés le grand sapin de noël qu'Hagrid avait ramené. Les quelques élèves qui restaient, chantaient joyeusement des cantiques, pendant que les autres quittaient le collège.
Il montait les escaliers quand il croisa Hermione.
- Ah…Orlando…
- Comment vas-tu depuis notre dernier tête à tête ?
- Et bien justement je voulais te voir à propos de cela. Est-ce que tu aurais deux minutes à me consacrer ?
- Dans la salle du troisième étage ?
-…Dans la salle du troisième étage.
Orlando et Hermione allèrent donc dans cette fameuse salle. Ron les surpris, il était au bas des escaliers et avait suivi toute la scène.
- Tu voulais me parler Hermione ?
- Je voulais…encore une fois…enfin tu m'as comprise.
- Hermione… tu es très intelligente et je sais que tu sais ce que j'en pense.
- Oui mais…
- Il serait peut-être temps que tu me laisses et que tu ailles voir celui que tu aimes vraiment, non ?
- Il est si borné, si tête en l'air… il ne voit rien et ne comprends rien.
- Alors faisons comme si c'était une répétition. Dis-moi ce que tu aimerais lui dire. Allez viens plus près de moi.
Orlando qui était comme à son habitude assis sur une table, tira Hermione par le bras pour la rapprocher de lui. Il la prit dans ses bras et commença à lui murmurer quelques mots.
- Je sais ce que tu ressens pour moi, n'ai pas peur, je suis là, près de toi. Dis-moi que tu m'aimes.
- Je…Ron je t'aime.
Hermione regarda Orlando qui la tenait dans ses bras. Mais ce n'était plus lui, c'était Ron qui se trouvait là, la tenant dans ses bras.
- Embrasse moi, Hermione.
Elle s'exécuta. Ils s'embrassèrent lentement, longtemps. Orlando la serrait un peu plus fort et commença progressivement à déboutonner la chemise blanche qu'elle portait. Mais avant qu'il n'ait fini son entreprise, quelqu'un ouvrit la porte avec fracas.
- Hermione !
La jeune fille se retourna et vit pour son grand malheur, Ron qui les avait suivi et attendait derrière, se demandant s'il devait rentrer ou non.
Le jeune homme était comme paralysé à la vue de ce spectacle. Hermione avec Orlando ! Pour lui cela n'était pas possible. Il commença à reculer avant de partir en courant.
- Ron ! Cria Hermione.
Le jeune homme était parti sans se retourner.
- Je t'avais prévenue Hermione, répliqua Orlando en se relevant. Cela devait arriver un jour. Tous ceux qui restent coincés dans ce paradoxe crée par les Mogami, finissent toujours par le regretter. Va le rejoindre et explique lui.
- Il ne comprendra jamais…
Hermione sortit de la salle. Orlando se mit près de la fenêtre et regarda la neige tombée sur Poudlard. Tout était blanc, d'un merveilleux blanc qui éblouissait. Il repensait à sa meilleure amie qui en cette période, lui préparait toujours de bons gâteaux, qu'elle faisait elle-même sans l'aide de la magie. Cela lui manquait, elle lui manquait. Ici il n'y avait personne pour le sermonner comme elle le faisait. Personne pour le comprendre réellement. Il avait prit l'habitude de lui envoyer une lettre chaque dimanche soir, mais l'arrivée des vacances de Noël l'avait quelque peu démoralisé. Il était loin de sa famille, loin de ses amis, et surtout loin d'elle. Il commençait à se rendre compte à qu'elle point elle lui manquait. Il repensait à Drago qui avait prit la potion Epousium. Elle avait fonctionné d'après lui… alors que pour lui… elle avait désigné sa meilleure amie. Serait-il possible que la potion ne se soit pas trompée ? Il était perdu dans ses pensées, quand Drago entra.
- Qu'est-ce que tu as dit à Harry ?
- Hein ! Ah, c'est toi. Rien, pourquoi ?
- Arrête ! Je sais très bien qu'il y a quelque chose. Pour qu'il soit énervé comme ça.
- Je lui ai juste fait comprendre que j'étais un Mogami, point.
- Et ?...
- Et c'est tout. Quoi ? Tu n'as pas confiance en moi ?
- Laisse moi réfléchir… hum… Non !
- Sympa !
- Ecoute, j'ai beaucoup réfléchi et j'aime Harry, je veux le récupérer, mais si tu ne m'aides pas, ça ne va pas être possible. Alors s'il te plait… fais ce que tu veux, mais fait en sorte qu'il se calme, car je sais que tu lui as dit quelque chose ! Je ne sais pas quoi et je ne veux pas le savoir, mais arrange moi ça. C'est clair ?
- Ouais ça va, j'ai compris !
Drago sortit de la salle en claquant la porte et le laissa de nouveau seul.
« Décidément, on ne peut plus se passer de moi! »
A bientôt dans le chapitre 6!
