Bonsoir tout le monde !
J'ai eu un commentaire plutôt négatif sur la version anglaise à propos du chapitre précédent. On ne peut pas plaire à tout le monde... La mythologie semble de trop dans mon histoire... C'est vrai qu'on aime ou pas... Mais je tenais à préciser que ce n'est pasnune question de mythe... je voulais juste des Akumas impactant la situation à l'intérieur du dôme. (l'eau, le noir...) et en cherchant des noms et un look, j'ai pensé à Neptune et Apophis car j'aime la mythologie. Mais ce sont simplement des Akumas. Rien de plus.
Vos commentaires ici me font toujours chaud au cœur en tout cas. J'espère que vous aimerez le déroulement du combat et l'impact que celui-ci va avoir sur nos deux héros... Je vous ai promis un changement inattendu... C'est à la fin de ce chapitre.
Bonne lecture, et du fond du cœur, merci encore pour votre soutien.
CHAPITRE 7: Apophis
— Apophis, murmura Chat Noir.C'est comme dans la légende. Papillombre a dû s'en inspirer pour créer son akumatisé.
— Génial, marmonna Ladybug. A chaque fois qu'on pense que ça ne pourrait pas être pire. Ça le devient.
— En tout cas, je peux maintenant dire que dans la nuit, tous les chats sont gris.
— Parle pour toi ! Je ne peux pas voir un chat ! Grogna-t-elle.
Le félin haussa un sourcil et fronça l'autre. Il agita sa main devant le visage de sa partenaire et fut forcé de constater qu'elle n'eut aucune réaction face à son geste.
— Tu ne me vois pas ? S'enquit-t-il.
— Je ne vois même pas mes propres mains, Chat Noir. On est pas tous doté d'une vision nocturne.
Elle marquait un point. Il était tellement habitué à cette attribut que lui conférait le Miraculous du Chat Noir, qu'il avait totalement oublié qu'il en était doté.
— D'accord, accroche-toi à moi. Il faut qu'on se rapproche de la vilaine bébête.
La main de Chat Noir s'accrocha à la hanche de Ladybug et il la sentit frissonner sous son toucher. Il ne put retenir le sourire narquois qui étira ses lèvres. En d'autres circonstances, il n'aurait pas manqué cette occasion où elle baissait sa garde pour flirter avec elle de manière effrontée: elle était de plus en plus troublée et déstabilisée par sa présence et il s'en amusait beaucoup. Ne lui avait-il pas dit qu'un jour elle finirait par succomber à son charme ?
Son bras s'enroula autour de son bassin et l'autre vint saisir l'arrière de ses genoux. Il la souleva du sol, comme une jeune mariée, et se mit à courir avec elle sur les toits.
— Tu vas avoir besoin de tes bras pour te battre, nota-t-elle sérieusement.
— Je sais, et autant j'apprécie que tu sois blottie dedans, autant je suis obligé de reconnaître que tu as raison: je vais devoir les récupérer pour le combat, déplora-t-il.
— Ça ne va pas être simple, murmura-t-elle, l'inquiétude perceptible dans sa voix.
— Ne t'inquiète pas: je serai tes yeux. Toi et moi, nous ne formons qu'un quand il faut botter les fesses des vilains. Ça va le faire, la rassura-t-il en la serrant un peu plus fort contre lui, alors qu'il sautait du sommet d'un toit jusque sur le trottoir qui se trouvait en contrebas.
Chat Noir déposa Ladybug sur le sol, sa main droite restant logée dans le bas du dos de l'héroïne.
— Il est à 11h. À environ 50 mètres, murmura-t-il. Je vais l'attirer en face de nous, reste derrière moi.
Le félin se positionna devant sa partenaire et dégaina sa matraque.
— Et toi là-bas ! Tu pourrais m'aider à traverser le passage python ? Parce que j'y vois plus rien maintenant que tu as éteint la lumière ! Cria Chat Noir, un sourire narquois au bout des lèvres.
— Bien Sssûr, dès que tu m'auras donné ton Miraculousss ! Persifla Apophis, se glissant rapidement jusqu'à sa proie.
Il vit le reptile foncer droit sur eux et se tint prêt à bondir
— À mon signal, tu bondis, tu te retournes et tu frappes, expliqua-t-il. Pas maintenant... Encore un peu… MAINTENANT !
D'un saut parfaitement exécuté et synchronisé, ils décollèrent du sol, le serpent ratant sa charge et passant sous eux. Ils se retournèrent, et alors que Chat Noir assenait un violent coup de matraque à l'arrière de la tête de leur ennemi, Ladybug le frappait de son yo-yo.
— J'ai vu un bracelet à son poignet droit. Je crois que c'est là qu'est logé l'akuma, nota-t-il et sa partenaire hocha la tête, yo-yo serré dans sa main.
Le serpent se retourna vers eux et son corps se gonflant, il expulsa de toutes ses forces l'air dans sa trachée, produisant un sifflement strident et puissant.
— Je sssais que tu peux voir dans le noir. Mais je sssais aussssi que tu entends ce ssson plus fort que n'importe qui et de manière très douloureuse… Siffla l'ennemi.
Chat Noir ne pouvait pas lui donner tord. Le bruit était insupportable, le forçant à ployer ses genoux à terre, ses mains pressées contre ses oreilles alors qu'une grimace de douleur lui tordait le visage. Il serra les dents et lutta pour ne pas fermer les yeux. Une fois de plus, le python chargea dans leur direction.
Faisant fi de sa souffrance, le félin se releva et fit un bond vers sa partenaire.
— Attention Ladybug ! hurla-t-il.
Son corps se heurta au sien et il la poussa hors de la trajectoire du reptile, la plaquant contre le sol. À peine avait-il aidé sa partenaire à se relever, qu'ils étaient de nouveau attaqués. Ils décidèrent alors d'adopter une nouvelle tactique.
— Lucky Charm ! Entendit-il, alors qu'il gardait Apophis éloigné de Ladybug pour lui laisser le temps dont elle avait besoin pour élaborer un plan et essayer de renverser la tendance. Un piège à souris ! Mais qu'est-ce que je vais faire avec ça ! Protesta-t-elle vivement.
— Il faut avouer que dans notre situation, c'est plutôt lui le chat et nous les souris ! Répondit-il en esquivant la gueule de l'hybride et en frappant un puissant coup de bâton sur sa tête.
— Mais oui ! S'exclama-t-elle soudainement ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé avant !
Quelques secondes s'écoulèrent, pendant lesquelles Chat Noir se demanda quelle utilisation sa partenaire avait trouvé pour son Lucky Charm, avant qu'il ne l'entende reprendre la parole.
— Tikki, Mullo ! Amalgame !
Bien sûr ! La souris était un animal nocturne, capable de se repérer et se déplacer avec une facilité innée dans cet environnement. C'était un choix tactique parfait de la part de Ladybug.
— Voyons voir qui est la souris piégée par le chat maintenant, ricana Chat Noir.
En un rien de temps, Multibug rentra elle aussi dans le combat, maintenant qu'elle pouvait elle aussi discerner leur adversaire sans l'aide de son partenaire.
Coups de corde à sauter, coups de matraque et coups de yo-yo furent alternés pour affaiblir l'akumatisé.
— Multiplication ! Cria Multibug, formant dix copies miniatures d'elle-même que Chat Noir observa avec attention: en effet, son apparence lui rappelait nettement celle de Multimouse... Mais il chassa rapidement cette pensée confuse de son esprit pour se concentrer sur le combat.
Les minis Multibug se mirent à courir un peu partout et Apophis finit par s'emmêler avec son propre corps reptilien. Il ne ressemblait plus qu'à un amas de nœuds complètement incapable de se mouvoir.
— Cataclysme !
Chat Noir profita de la paralysie du serpent pour s'approcher, et d'un effleurement du doigt, il desintégra le bracelet qu'il portait, libérant instantanément l'akuma.
— Tikki, Mullo, séparation, murmura Ladybug avant de capturer le papillon et de le purifier.
— Lila Rossi ! S'étonna-t-elle, alors que la victime de Papillombre reprenait forme humaine sous leurs yeux. Un python géant contre une vipère, marmonna-t-elle en la dévisageant.
Chat Noir pinça les lèvres, effectivement, Lila n'avait pas besoin d'être akumatisée pour répendre son venin autour d'elle. Néanmoins, il lui tendait quand même la main pour l'aider à se relever, quand tout à coup, du coin de l'œil il vit Miraculeur se tenir derrière Ladybug.
— Ladybug ! Attenti…
— Miraculous Ladybug ! Cria-t-elle, interrompant l'avertissement de son partenaire et lançant le piège à souris dans les airs.
Elle venait à peine de prononcer ses mots magiques quand Miraculeur profita de l'obscurité, pas encore entièrement dissipée, pour l'attaquer par surprise. Elle frappa alors l'héroïne dans le dos et subtilisa son pouvoir.
— Cataclysme ! Hurla Chat Noir pour la seconde fois, soulagé d'être capable d'utiliser son pouvoir à volonté maintenant qu'il était adulte.
Cependant, alors qu'il bondissait bras tendu vers Miraculeur, elle attrapa Ladybug et s'en servit comme bouclier. Chat Noir s'arrêta abruptement dans son élan, sa main à quelques centimètre de la poitrine de sa partenaire. Leur ennemie profita de cette position pour frapper Chat Noir, subtilisant également son pouvoir.
— Cataclysme, ricana-t-elle.
Elle profita de la stupeur et de la distraction de Chat Noir pour relâcher Ladybug et lancer son poing vers la poitrine du félin.
Il ferma les yeux, se préparant à encaisser le coup, mais celui-ci ne vint jamais et fut remplacé par un cri de douleur qui lui transperça le cœur. Quand il ouvrit les yeux, il vit Ladybug tomber au sol comme un vieux pantin de bois.
— Ma Lady ! cria Chat Noir, fou de rage, son regard meurtrier dirigé vers Miraculeur.
— On dirait que ta précieuse coccinelle s'est sacrifiée pour toi. Mais, ne t'inquiète pas mon Minou, j'en ai un autre en réserve pour toi, le nargua-t-elle, l'énergie destructrice crépitant à nouveau au bout de ses doigts.
Chat Noir montra les crocs, un grognement sourd s'échappant de sa gorge. Il se jeta sur l'esclave de Papillombre et lui asséna un violent coup de matraque qui la propulsa à l'autre bout de la rue. Rapidement, il souleva le corps inanimé de Ladybug et se mit à courir le plus vite que possible, dans le seul but de mettre sa partenaire à l'abri du danger, hors de portée de Miraculeur.
— Ma Lady ! Tu es enfin réveillée ! J'étais tellement inquiet ! J'ai cru que j'allais te perdre !
Il la serra étroitement dans ses bras, soulagé qu'elle aille bien.
— Ne me laisse plus jamais comme ça ! Tu m'as fait tellement peur !
— Aïe, pas si fort, gémit-elle, sa voix résonnant presque comme un sanglot.
Il se recula rapidement, la regardant avec inquiétude.
— Tu es blessée ?
— Mes côtes sont douloureuses. Juste ici, répondit-elle en désignant son côté gauche, juste sous sa poitrine. Je n'arrive pas à croire que je me suis évanouie pendant que tu me ramenais ici.
— Euh... Tu… tu as été inconsciente pendant plus d'une heure, admit-il.
— Quoi ! Tu te moques de moi ? demanda-t-elle en se redressant soudainement, une grimace de souffrance étirant ses traits.
— J'étais prêt à t'emmener à l'hôpital parce que tu ne te réveillais pas, expliqua-t-il.
Il l'aida à s'asseoir correctement, une main se posant aux creux de son dos pour soutenir son poids.
— Tu as eu raison de ne pas le faire. De toute manière, ils n'auraient rien pu faire avec le costume.
Elle haussa les épaules et soupira.
— Seul un Lucky Charm pourrait m'aider et Miraculeur a dérobé cette possibilité, marmonna-t-elle, vaincue.
— C'est ce que Plagg m'a dit dans la salle de bain quand je me suis détransformé pour le nourrir.
Ladybug inspira brusquement, les yeux écarquillés.
— Tu es resté ici pendant une heure ?
— Bien sûr ! Répondit-il sans équivoque.
Il était évident qu'il ne la laisserait jamais seule dans leur quartier général -ni ailleurs- dans un tel état.
— Personne ne t'attends à la maison ? Tu es ici depuis hier soir, protesta-t-elle.
— Non. Mon... Mon père est en dehors du pays pour la semaine. -C'était tout du moins ce qu'il pensait.- Il est en voyage d'affaires, précisa-t-il alors. Et toi ? Tu es ici depuis hier soir aussi…
— Je... Je partage un petit studio avec une amie. Elle sait que je disparais souvent. Mais je ferais mieux de l'appeler.
Elle bougea lentement, ses pieds touchant le sol alors qu'elle essayait de se lever du lit.
— Prend ma main, offra-t-il en tendant le bras vers elle.
—Merci, Chaton.
Un sourire rempli de gratitude étira les lèvres de Ladybug. Il lui sourit en retour, mais ne pût cacher la profonde désapprobation dans son regard.
— C'est bon, vas-y. Tu peux m'en vouloir, accepta-t-elle en fixant ses pieds.
— Pourquoi as-tu pris le coup à ma place ? demanda-t-il d'un air sévère. C'est mon pouvoir, je peux l'encaisser bien mieux que quiconque. De plus, mon Cataclysme est la seule chose qui peut détruire un Miraculous... Ça... ça aurait pu... ça aurait pu te tuer, Buguinette, murmura-t-il, sa voix tremblant fortement.
— J'avais peur. J'ai toujours peur, sanglota-t-elle. Je... je..., bégaya-t-elle, incapable de parler, ses larmes refusant de rester cachées.
Il l'attira doucement dans ses bras, faisant attention de ne pas la blesser plus qu'elle ne l'était déjà.
— Shht, c'est bon, nous allons bien tous les deux, murmura-t-il en lui caressant le dos avec douceur.
Elle cacha son nez dans son épaule, reniflant et essayant de contrôler ses émotions.
— Je... je pense que je suis... je pense que je suis amoureuse de toi et... et je ne sais pas... je ne sais pas quoi faire... avoua-t-elle, son corps tremblant contre le sien.
Sa confession le laissa sans voix. La foudre aurait pu le frapper maintenant que cela aurait eu le même effet. Il sentait l'électricité courir le long de sa colonne vertébrale, dans ses veines, dans son sang, faisant battre son cœur à un rythme frénétique. Son étreinte se resserra autour d'elle alors qu'il essayait de reprendre ses esprits après le choc initial.
— Je n'aurais pas pu avoir plus de chance, répondit-il au bout de quelques longues secondes, la voix plus faible que d'habitude. Prends ton temps. Je ne te demande rien. Juste... Prends ton temps, ma Lady. Mais, s'il te plaît, n'essaie plus jamais de mourir pour moi, gloussa-t-il, le cœur plus léger.
— Je ne le ferai plus jamais. Je te le promets, sourit-elle largement, mais son sourire s'effaça rapidement à cause de la douleur. J'aurais dû écouter maman quand elle me disait que l'amour pouvait faire mal.
Elle se mordit les lèvres pour ne pas rire.
— Tu essaies de blaguer à propos de la situation, s'enquit-il, souriant alors qu'il reculait un peu, la regardant avec tendresse.
— Peut-être.
— Mmh...
Il posa une main sur le front de sa partenaire.
— Pas de fièvre pourtant, ria-t-il, ses yeux de félin plongés profondément dans son regard bleu céruléen.
Elle a besoin de temps, se répéta-t-il. Ne la brusque pas.
— Va passer ton appel dans la salle de bain. Je suis sûr que ton amie s'inquiète pour toi.
— D'accord, souffla-t-elle. Je reviens tout de suite.
Ladybug entra dans la salle de bain, grimaçant légèrement. Depuis qu'elle était réveillée, une douleur aiguë lui martelait le côté gauche: le cataclysme que lui avait infligé Miraculeur.
— Dé-transformation, chuchota Ladybug une fois seule dans la salle de bain. Aïe ! Oh mon dieu, ça fait mal, grimaça-t-elle en serrant les dents. Tikki, est-ce que tu vas bien ? demanda Marinette d'un air inquiet, attrapant la petite coccinelle entre ses mains.
— Pauvres dinosaures, marmonna Tikki. J'ai tellement faim...
— Peux-tu traverser la porte ? Il y a des cookies dans la cuisine.
Le kwami hocha la tête et, très lentement, elle s'envola hors de la pièce.
Marinette sortit son téléphone de sa poche, découvrant un grand nombre d'appels manqués provenant d'Alya. Elle déglutit et la rappela sans perdre de temps.
"Marinette ! Que s'est-il passé ?! Je t'ai appelée une dizaine de fois ! J'ai vu les infos: ils ont dit que, lorsque la lumière est revenue, ils ont surpris Chat Noir en train de transporter Ladybug, inconsciente !"
Marinette ouvrit la bouche pour répondre mais Alya ne lui laissa pas l'opportunité d'en placer une.
"J'étais tellement inquiète pour toi !"
"Tout va bien. Je suis en sécurité et Chat Noir prend soin de moi," répondit-elle, la voix adoucie par l'idée qu'il soit si prévenant et bienveillant.
"C'est tellement romantique…"Alya murmura dans le téléphone. "Mais, attends ! Que s'est-il passé ? Tu es blessée ?"
"Juste un Cataclysme dans les côtes, je survivrai."
"Qu'est-ce que... C'est un chat mort !" Cria Alya.
"Non ! C'était Miraculeur ! Elle a volé nos pouvoirs. C'est elle qui a utilisé le Cataclysme et je suis celle qui se tenait sur le chemin pour protéger Chat Noir," expliqua-t-elle.
Marinette vit Tikki revenir dans la salle de bain. Son kwami avait bien meilleure mine que 5 minutes auparavant, jusqu'à ce qu'elle voit les yeux de la petite coccinelle s'écarquiller d'horreur.
— Tu saignes, chuchota Tikki, d'une petite voix inquiète.
"Alya, je dois raccrocher, je te verrai peut-être ce soir," déclara-t-elle à sa meilleure amie tout en jetant un coup d'œil à son reflet dans le miroir. Elle constata que, oui, son haut blanc était couvert de sang là où elle avait été frappée.
"Ok, fais attention..."
"À plus tard !" Elle interrompit sa meilleure amie avant qu'elle ne puisse terminer et coupa l'appel.
Marinette baissa les yeux, soulevant son haut pour voir sa blessure. Elle essaya de se débarrasser du vêtement mais la douleur l'en empêcha.
— Tikki... Peux-tu… peux-tu demander à Chat Noir de venir ici avec la trousse de secours ?
Le kwami hocha la tête et disparut à la vitesse de l'éclair. Marinette n'eut pas à attendre plus de 10 secondes avant d'entendre la voix très inquiète de Chat Noir.
— Tikki dit que tu saignes ! Je t'emmène à l'hôpital, Buguinette ! clama-t-il sérieusement.
— Aucune chance, désolée Minou ! J'ai vu les nouvelles qui circulent. Ladybug a été vue inconsciente. Je ne risquerai pas que quelqu'un fasse le rapprochement entre elle et moi, marmonna-t-elle. Ferme les yeux et entre. J'ai besoin de ton aide.
À suivre…
La semaine prochaine, chapitre 8: À cœurs découverts.
Une petit marque de votre passage, laissée dans un commentaire, fait toujours plaisir à l'auteure. Ne soyez pas timide et faites moi un petit coucou.
Bisous Miraculeux les amis et à la semaine prochaine.
Ps : Bon Glaciator 2 dimanche sur Tfou. (personnellement, je suis très très très impatiente !)
