Coucou les lecteurs ! Petite publication matinale car je ne serais pas disponible pour publier ce soir.
Alors, non, ce n'est pas un mirage. Pas d'illusion ! Gabriel Agreste a bel et bien fait son vœu après que Ladybug et Chat Noir se soient rendus pour sauver Paris. Mais à quel prix? Comme vous l'aurez compris à la fin du chapitre précédent, les choses vont se corsées pour Gabriel. Parce qu'on ne change pas des choses quand elles sont destinées à se produire quoi qu'il advienne. On ne sépare pas deux âmes soeurs. "Qui s'y frotte s'y pique", pourrait parfaitement convenir ici.
Bienvenue dans la descente aux enfers de Gabriel Agreste. Mesdames et Messieurs, je vous souhaite un bon voyage.
CHAPITRE 15: Ce n'est jamais vraiment terminé.
~Flashback~
"Je voulais que tu saches que...la dernière fois, j'essayais de décoller le chewing-gum de ton siège. C'est vrai, tu sais. Je ne suis jamais allé à l'école avant... J'ai jamais eu d'amis... Tout ça pour moi, c'est...c'est un peu nouveau…"
Adrien se tourna complètement vers Marinette, l'une de ses nouvelles camarades de classe avec qui il venait de connaître des débuts quelque peu...houleux. Elle se tenait sur le perron du Collège et Lycée Françoise-Dupont, attendant que la pluie s'interrompt ou faiblisse pour pouvoir s'aventurer dans les rues Parisiennes.
Le jeune garçon regarda timidement Marinette, puis jeta un rapide coup d'œil à la voiture qui l'attendait à quelques pas. Il serra fermement le parapluie qu'il tenait à la main et qui était ouvert au-dessus de sa tête, avant de se tourner vers sa camarade de classe. C'était un parapluie qui pourrait certainement signer une trêve et un nouveau départ, Adrien en était sûr. Mais alors qu'il se retrouvait à présent complètement face à elle, lui tendant son parapluie pour se couvrir, il ne s'attendait pas à toute l'ampleur que prendrait ce geste et à ce que cela engendrerait par la suite.
Un coup de tonnerre retentit alors dans le ciel de Paris et Adrien eut l'impression que celui-ci avait aussi foudroyé son cœur, au moment même où ses yeux avaient croisé le regard bleu céruléen de la franco-chinoise.
Marinette tendit doucement la main vers le parapluie pour le saisir, tandis qu'Adrien était plongé dans les profondeurs du bleu de ses yeux. Leurs doigts entrèrent brièvement en contact lorsqu'elle prit le parapluie, ce qui fit frissonner Adrien de la tête aux pieds. Soudainement, le parapluie se referma sur elle et Adrien se mit à rire à gorge déployée. Son cœur battait si vite et il se sentait si joyeux, plus joyeux qu'il l'avait jamais été. Lorsque Marinette se joignit à son rire, le monde s'arrêta de tourner un instant autour de lui. C'était la plus belle mélodie qu'il n'avait jamais entendue et, pourtant, sa mère et lui étaient de talentueux pianistes.
"À d-demain a-alors!" Bégaya-t-il alors, totalement chamboulé par le coup de foudre qui venait de s'abattre sur lui sans prévenir.
~Flashback~
"Tu sais mon chéri, Kagami t'apprécie beaucoup et nos familles s'entendent très bien. Ton père serait aux anges de voir des années d'alliances entre les Tsurugi, les Graham de Vanily et les Agreste, être scellés par une union de deux de leurs enfants."
Adrien haussa les épaules, son regard concentré sur le tout nouveau blog du collège. Ce dernier avait été créé et était mis à jour par une autre nouvelle élève, arrivée en même temps que lui le mois dernier: Alya Césaire. Elle était la petite amie de celui qui était devenu son meilleur ami en très peu de temps: Nino Lahiffe.
Alya venait de publier leur photo de classe et Adrien n'avait d'yeux que pour Marinette. Elle s'était retrouvée juste devant lui pour la photo. Il se souvenait encore de la façon dont son cœur s'était emballé lorsqu'elle s'était retournée pour lui offrir un sourire timide. Il soupira s'en même s'en rendre compte, complètement énamouré et envoûté par la photo affichée sur son écran. Les yeux bleus océan de Marinette, le sourire radieux de Marinette, les joues roses de Marinette, et les cheveux…
"Adrien, mon chéri, est-ce que tu m'écoutes?"
Émilie Agreste posa doucement sa main sur l'épaule de son fils. Il sursauta et se tourna lentement vers sa mère, tout en frottant nerveusement l'arrière de sa nuque.
"Pardon, maman, je…"
"N'en dis pas plus," ria-t-elle doucement, un sourire malicieux étirant ses lèvres fines. "Je pensais que Kagami ne te laissait pas indifférent mais on dirait que je me suis trompée. Laquelle de ces jeunes filles est l'heureuse chanceuse?" demanda-t-elle, son sourire en coin s'élargissant narquoisement alors qu'elle désignait la photo toujours affichée sur l'écran d'ordinateur d'Adrien.
Les joues du garçon s'empouprèrent et il resta sans voix. Sa mère lisait vraiment en lui comme dans un livre ouvert.
"Laisse-moi deviner… Un visage qui inspire la douceur, un regard qui dégage à la fois une immense bonté mais aussi une détermination sans faille, ainsi qu'un sourire, fort, sincère et naturel," énuméra-t-elle lentement. "Mmh, celle-ci," pointa-t-elle du doigt la jeune fille aux yeux bleus et aux cheveux couleur encre de chine aux reflets bleutés.
Adrien s'enfonça dans sa chaise de bureau et cacha son visage entre ses mains, masquant sa réaction: son visage s'était enflammé.
"Tu l'aimes vraiment, n'est-ce pas ?" demanda-t-elle en éloignant doucement ses mains de son visage.
Adrien fredonna doucement et, voyant la fierté et l'approbation dans les yeux de sa mère, il se laissa emporter, lui expliquant comment il avait eu le coup de foudre pour la fille la plus gentille qu'il connaissait, à cause d'un chewing-gum et d'un parapluie. Et de la pluie. La pluie qui s'était abattue sur lui et avait pénétré dans ses vêtements tout comme son amour pour elle avait pénétré au plus profond de son cœur.
~Flashback~
Il y avait une nouvelle dispute entre son père et sa mère. Adrien cacha sa tête sous son oreiller, étouffant les cris qu'il détestait entendre.
Cette fois, ce n'était pas pour la boutique "Gabriel" située en Chine que son père avait perdu l'année dernière, alors qu'Adrien venait d'avoir 17 ans, mais pour celle en Italie. Celle-ci était en faillite et ses parents venaient de perdre beaucoup d'argent dans l'affaire.
Un bruit sourd lui parvint aux oreilles : sans doute avaient-ils cassé quelque chose dans le feu de la dispute. Cela le fit bondir hors de son lit et il prit son sac de sport, sortant rapidement de sa chambre. Il avait besoin d'air frais. Il avait besoin de respirer. Et il avait entraînement de football dans moins d'une heure de toute façon.
Il descendit les escaliers en courant, se dirigeant directement vers la porte d'entrée, sans même regarder autour de lui.
"Où crois-tu aller, fils?!"
La voix de son père était sévère et le figea sur place. Il n'osait pas se retourner pour le regarder alors qu'il lui répondait calmement.
"À l'entraînement de foot."
"Tu es en avance et je ne vois pas encore ton garde du corps", protesta sèchement Gabriel, et Adrien pu le sentir se tenir juste dans son dos, ce qui lui donna la chair de poule.
"Gabriel ! Laisse-le tranquille ! Il n'est pas l'un de tes trophées exposés dans une vitrine !" s'énerva Émilie et cela le fit se retourner pour voir sa mère se tenir contre son père, les poings serrés sur les hanches. "Vas-y chéri, tu peux prendre le bus si tu veux ou y aller à pied. Je dirais à Gaston de venir te chercher là-bas à la fin de l'entraînement".
Elle le laissa partir, sans le regarder, ne quittant pas son mari des yeux.
Le jour même, Adrien était tellement distrait pendant l'entraînement qu'il tomba plusieurs fois et, après un énième plaquage au sol dont il ne se redressa pas assez vite, il prit un coup de pied au visage, se retrouvant à l'hôpital avec un nez cassé.
~Flashback~
Alors qu'il était allongé sur son lit d'hôpital, Adrien regarda Marinette avec tendresse. La jeune fille était venue lui rendre visite après son opération.
Il était un peu groggy par la morphine et n'était pas beau à voir. Le pourtour de ses yeux était gonflé et il avait de gros hématomes jaunâtres et violacés. Un de ses yeux était même injecté de sang. Il avait une mèche dans chaque narine et un énorme pansement blanc recouvrait son nez, le haut de sa bouche et son front. Mais Marinette était là, alors il ne s'en souciait pas tant que ça.
"Je ne comprends pas. Pourquoi as-tu subi de la chirurgie réparatrice au lieu d'une simple réduction de fracture ?" Marinette demanda en jetant un coup d'œil au dossier qui était accroché au bout du lit d'Adrien et en le lisant.
"Pour le travail," marmonna-t-il d'une voix nasillarde et faible.
"Tu veux dire ce que je pense que tu veux dire ?" Marinette pâlit, les yeux écarquillés.
Adrien acquiesça lentement. "Ils ont dit à mon père que j'aurais une bosse. Il a pété les plombs et a demandé une chirurgie réparatrice sur le champ."
"Il est fou. Je n'arrive pas à croire que je l'admirais autant", souffla-t-elle.
Oui, il se souvenait de l'enthousiasme et de l'admiration qu'elle avait pour le travail de son père. Il était son créateur préféré et il l'inspirait beaucoup. Au début, Adrien avait compris que si Marinette semblait mal à l'aise avec lui, c'était parce qu'il était le fils de Gabriel Agreste et que cela l'intimidait. Jusqu'à ce que les années passent et qu'ils deviennent de bons amis, elle avait alors découvert le revers de la médaille : le comportement strict et excessif de Gabriel-manipulateur-narcissique-Agreste.
"Je suis désolée que tu subisses ses caprices Adrien".
"Est-ce que tu aimerais sortir avec moi un jour ?" S'enquit-il soudainement, parlant en même temps qu'elle.
Il ne savait pas si c'était les médicaments, assez puissants, qui l'aidaient à rassembler son courage et à estomper ses doutes, mais il avait osé l'inviter à sortir.
Et elle lui avait répondu qu'elle en serait ravie.
~Flashback~
Adrien et Marinette avaient passé une première soirée ensemble au cinéma et cela s'était très bien passé. Ils avaient fini en partageant un café et elle l'avait embrassé sur la joue en lui disant qu'elle attendait avec impatience leur prochain rendez-vous.
Elle avait appelé leur soirée ensemble un rendez-vous !
Adrien se sentait fondre comme neige au soleil, tandis que sa main se posait contre sa joue, là où son baiser avait laissé d'agréables chatouillements et une douce chaleur qui se répandait sur tout son visage, lui donnant des frissons.
Le même soir, son père lui annonça qu'il avait perdu un autre magasin, en Belgique, et que leur dernier recours était de mettre le Manoir en vente pour récupérer des fonds, afin d'essayer de relancer une nouvelle collection, qui serait plus moderne et innovante que jamais.
L'homme n'abandonnerait jamais...
~Flashback~
Le Manoir avait été vendu en une semaine et, entre-temps, son père avait travaillé jour et nuit sur sa nouvelle collection, planifiant de plus en plus de séances photos pour Adrien. Ce qui l'empêchait de programmer un second rendez-vous avec Marinette.
Lorsque son père avait évoqué un gala financé par les Tsurugi, leurs fidèles sponsors, pour présenter la nouvelle collection Gabriel, Adrien en avait profité pour demander à Marinette d'être sa cavalière.
Ce à quoi il ne s'attendait pas, c'était que son père avait déjà choisi sa partenaire pour la soirée: Kagami. Il ne s'attendait pas non plus à l'agitation que cela allait provoquer au cours de la soirée.
Son père et Madame Tsurugi s'étaient placés à côté d'eux, au moment où il demandait une danse à Marinette. Il pouvait dire que l'homme fulminait. Sa mâchoire et ses poings étaient serrés tandis qu'il fusillait son fils du regard. Puis c'était subitement arrivé. Il avait explosé de colère devant tout le monde, perdant complètement la tête.
"Tu es avec Mademoiselle Kagami Tsurugi pour ce soir, mon fils ! Pas avec la fille insignifiante d'un quelconque boulanger ! Si tu déshonores cette entreprise, tu es viré !"
Adrien écarquilla les yeux en jetant un coup d'œil à Marinette. La jeune fille déglutit, des larmes s'accumulant dans ses yeux. Il prit sa main dans la sienne, la serrant doucement, et se tourna vers son père. Mais, avant qu'il ne puisse protester ou le remettre à sa place, sa mère s'interposa entre eux et gifla Gabriel sans même réfléchir.
Le jour suivant, trois gros titres faisaient la une des journaux.
—Comment Gabriel Agreste avait menacé de renvoyer son fils parce qu'il voulait sortir avec une fille qu'il n'avait pas choisie lui-même.
Comportement jugé scandaleux, contraire à l'éthique et extrême par les médias.
—Comment Gabriel avait perdu ses derniers magasins en une seule nuit.
Sa société avait chuté en bourse en un temps record après le premier scandale.
—La demande de divorce entre Emilie et Gabriel Agreste.
Soutenue par la presse.
~Fin du flashback~
Adrien était assis devant son piano. Il était heureux que sa mère ait réussi à en avoir un dans son nouvel appartement. L'appartement de son père était si petit qu'il n'y avait pas de place pour celui-ci.
Émilie posa ses mains sur ses épaules et les serra doucement. Il se retourna et lui adressa un doux sourire. Elle souriait aussi et il se rendit compte que cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas vue sourire de façon aussi éclatante. Elle était heureuse et, si c'était sans son père, c'était tout ce qu'il souhaitait pour elle.
Elle prit place à côté de lui et l'invita à choisir la chanson qu'il voulait jouer. Elle était si insouciante et libre, cela faisait chaud au cœur.
Il lui sourit d'un air entendu, en faisant craquer ses doigts et en les laissant courir lentement sur le clavier, jouant une mélodie qu'il savait qu'elle reconnaîtrait immédiatement.
Sa mère lui donna un petit coup de coude sur le côté en riant légèrement, ses propres doigts suivant le mouvement sur les touches noires et blanches.
Elle s'arrêta une fraction de seconde lorsqu'elle entendit son fils commencer à fredonner les paroles de la chanson. Sans aucun doute, elle fut prise au dépourvu et décontenancée. Il avait toujours chanté quand il était seul, pour apaiser son chagrin d'amour quand il voyait ses parents se séparer lentement et son monde se briser en morceaux. Mais aujourd'hui, il voulait chanter pour elle.
"Once I was seven years old my mama told me
Un jour quand j'avais sept ans ma mère m'a dit
Go make yourself some friends or you'll be lonely
Va te faire des amis ou tu seras seul
Once I was seven years old
Un jour quand j'avais sept ans…"
Il voulait chanter pour sa mère, celle qui l'avait toujours soutenu et encouragé, quoi qu'il arrive, peu importe ses choix ou ses opinions. Elle était toujours là pour lui. Toujours si compréhensive, attentionnée et aimante.
Adrien continuait à chanter et à lui sourire pendant qu'ils jouaient tous les deux le premier refrain, un sentiment de sérénité s'installant en lui.
"Once I was eleven years old my daddy told me
Un jour quand j'avais onze ans mon père m'a dit
Go get yourself a wife or you'll be lonely
Trouve-toi une femme ou tu seras seul
Once I was eleven years old
Un jour quand j'avais onze ans..."
Adrien grimaça exagérément et secoua la tête, ce qui fit rire sa mère. Celle-ci était vraie, songea-t-il en pensant à Kagami. Il l'appréciait, elle était son amie, mais ce n'était pas elle qui tenait son cœur en otage. Non, celle qui s'y trouvait, c'était Marinette. Heureusement, Kagami pouvait le comprendre, contrairement à son père.
"I always had that dream like my (daddy) mummy before me
J'ai toujours eu ce rêve comme (mon père) ma mère avant moi
So I started writing songs, I started writing stories
Alors j'ai commencé à écrire des chansons, j'ai commencé à écrire des histoires
Something about the glory just always seemed to bore me
Quelque chose à propos de la gloire m'a toujours semblé ennuyant
Cause only those I really love will ever really know me
Parce que seuls ceux que j'aime vraiment me connaissent vraiment
Once I was 20 years old, my story got told
Un jour quand j'avais 20 ans, mon histoire a été racontée..."
Il prit réellement conscience des paroles pour la toute première fois. Comme si celles-ci avaient soudain un nouveau sens pour lui. Ça lui faisait penser à la vie toute tracée que son père voulait pour lui. Celle qu'il ne voulait pas. Celle que sa mère ne voulait pas.
Cette prise de conscience le submergea et s'installa peu à peu dans son esprit. Il avait été habitué à toute cette manipulation et cette oppression. Par conséquent, il réalisa qu'il ne savait plus lui-même ce qu'il voulait vraiment faire ou être.
Émilie effleura l'une de ses mains et il secoua la tête, chassant ses pensées troublées et jouant ce quatre-mains avec sa mère avec une vigueur renouvelée. Il se rendit compte qu'il avait manqué quelques paroles, perdu dans ses pensées et il manqua aussi complètement le moment où son garde du corps, le Gorille, Gaston, ouvrit la porte d'entrée pour laisser une femme pénétrer dans l'appartement.
Marinette.
"I'm still learning about life
J'apprends toujours de la vie
My woman brought children for me
Ma femme m'a donné des enfants
So I can sing them all my songs and I can tell them stories
Ainsi je peux leur chanter toutes mes chansons et je peux leur raconter des histoires…"
Sa voix vacilla quand il remarqua la présence de Marinette, qui était appuyée contre l'encadrement de la porte du salon et l'écoutait attentivement.
Elle lui adressa un sourire timide et il le rendit au centuple, s'arrêtant subitement de chanter et de jouer.
Depuis l'incident du gala, il n'avait plus vu Marinette. Ils avaient échangé quelques textos, par le biais desquels Marinette le soutenait au maximum et il lui avait parlé par téléphone, certes, mais ce n'était pas la même chose. Même si elle lui avait assuré plus d'une fois qu'elle ne lui en voulait pas pour ce qu'il s'était passé pendant leur second rendez-vous, la voir en chair et en os, souriante et radieuse, était la chose qui le réconfortait enfin réellement.
Il se tourna brièvement vers sa mère et elle lui fit un clin d'œil malicieux. Pas de doute, c'était elle qui avait invité Marinette à venir partager la soirée avec eux.
— Écrit ton histoire, lui murmura doucement Émilie, alors qu'elle se retirait pour leur laisser un peu d'intimité.
Elle ne manqua pas l'occasion de faire un autre clin d'œil rempli de sous-entendu à son fils, avant de disparaître dans la cuisine.
À suivre…
La semaine prochaine, chapitre 16 et dernier chapitre: Réécrire notre histoire. (D'accord, il y aura aussi un petit épilogue après ça...)
Vos commentaires sont toujours très appréciés. À vos claviers ! Bisous Miraculeux !
