Joyeux Noël chers lecteurs! J'espère que vous avez passé un agréable réveillon hier.
Je n'ai pas publié car c'était une journée agitée, et je n'étais sûrement pas la seule à être occupée voir absente. Publier en ce jour de Noël me semblait donc plus judicieux.
Dernier chapitre... Je vous souhaite une bonne lecture. J'espère que les derniers éléments entrant en jeu vous plairont et vous surprendront.
CHAPITRE 16: Réécrire notre histoire.
— Écrit ton histoire, lui murmura doucement Émilie, alors qu'elle se retirait pour leur laisser un peu d'intimité.
Elle ne manqua pas l'occasion de faire un autre clin d'œil rempli de sous-entendu à son fils, avant de disparaître dans la cuisine.
— Salut toi, murmura Adrien d'une voix emplie de douceur.
— Hey, répondit timidement Marinette avec un petit signe de la main. Jolie voix, ajouta-t-elle, avec un doux sourire.
Le regard d'Adrien se chargea de tendresse et sans un mot, il lui fit signe de venir s'asseoir près de lui.
— Il y a quelque chose que je voudrais te dire depuis longtemps, très longtemps, avoua-t-il d'une voix tremblante, alors qu'elle prenait place à côté de lui. Peut-être qu'en musique ce sera plus facile pour moi.
Il entendit Marinette inspiré brusquement, semblant prise au dépourvue par ses mots, mais, quand il se retourna, tout ce qu'il lut dans son regard fut de la douceur, de la patience, des encouragements et...de l'espoir ?
Adrien inspira profondément et laissa traîner doucement ses doigts sur le clavier du piano, l'esprit envahi par une seule et même pensée: avouer ses sentiments à la fille dont il était tombé amoureux il y a cinq ans, sous une pluie de septembre qui avait bouleversé sa vie à tout jamais. Bien plus qu'il n'aurait pu l'imaginer.
Il commenca à jouer lentement et la première note s'élèva dans les airs. Pendant un instant, il resta concentré sur le fluide mouvement de ses mains, attendant le moment parfait. Ce moment parfait, c'était le refrain et ses paroles, qu'il tenait absolument à faire passer à Marinette. Pour une raison qui lui était complètement inconnue, ces paroles faisaient écho en lui comme une vérité étrangement troublante.
À cet instant, il n'avait tout simplement pas encore conscience à quel point ces mots, ces paroles, étaient adaptés à la situation.
Il prit une profonde inspiration et tourna la tête, plantant son intense regard émeraude dans les yeux bleus de la femme qui le maintenait toujours éveillé dans ses rêves les plus fous. Des rêves qu'il allait enfin se donner la peine de réaliser. Fini les malentendus, le flirt maladroit et le manque d'initiatives par peur du rejet. Aujourd'hui, il jouait carte sur table, à cœur ouvert. Il prit une nouvelle grande inspiration et, sans jamais décrocher son regard du sien, il se jeta à l'eau.
"What if we rewrite the stars?
Et si nous réécrivions notre histoire?
Say you were made to be mine
On dirait que tu as été faite pour être mienne
Nothing could keep us apart
Rien ne pourrait nous séparer
You'd be the one I was meant to find
Tu serais celle que j'étais censé trouver
It's up to you, and it's up to me
Ça ne tient qu'à toi et ça ne tient qu'à moi
No one can say what we get to be
Personne ne peut dire ce que nous serons
So why don't we rewrite the stars?
Alors pourquoi ne réécrivons-nous pas notre histoire?
Maybe the world could be ours tonight.
Peut-être que le monde pourrait être à nous ce soir..."
Les mains tremblantes, il continua de jouer mais s'arrêta de chanter, attendant une réaction de la part de Marinette. Il espérait, de tout son cœur, que ses paroles auraient un sens pour elle, autant que pour lui.
Marinette cligna des yeux, longuement, et il se demanda s'il avait mal lu les signaux qu'elle lui avait envoyés au cours des derniers mois. Son cœur tambourinait à vive allure dans sa poitrine, menaçant d'exploser en dehors de sa cage thoracique à tout moment. Ce fut alors qu'il vit ses yeux briller plus fort, de faibles larmes s'y installant, alors qu'elle jetait ses bras autour de son cou et l'attirait contre elle dans une puissante étreinte.
— Est-ce que tu veux dire ce que je pense que tu veux dire ? demanda-t-elle, laissant échapper un petit rire larmoyant.
— Si tu penses que je veux dire que tu représentes le monde pour moi, alors, oui, Marinette, je le pense. De tout mon cœur, avoua-t-il, tandis que ses bras se resserraient autour d'elle.
Il recula ensuite un peu et posa doucement son front contre le sien, regardant intensément au travers de ses yeux humides. Il prit ses mains dans les siennes et caressa avec délicatesse le dos de ses doigts avec ses pouces.
— Je suis tombé amoureux de toi le jour où je t'ai donné mon parapluie. Ce jour-là, tu m'as coupé le souffle...
Il fit une pause, portant sa main droite à ses lèvres, l'embrassant lentement.
— …et tu as capturé mon coeur, ajouta-t-il en levant maintenant sa main gauche et la retournant doucement, ses lèvres effleurant la peau de son poignet. Je suis fou de toi, Marinette. Au-delà de la raison. Je suis tombé éperdument amoureux, à tel point que ma tête tourne autour de toi. J'ai le vertige et c'est comme si je ne pouvais ni bouger ni dire quoi que ce soit. C'est pour cela qu'il m'a fallu cinq ans pour avoir le courage de te dire ce que je ressens pour toi... mais que sont cinq ans quand je suis sûr que c'est toute une vie qui nous attend ?
Marinette inspira brusquement, le souffle coupé et recula légèrement, sans jamais rompre le contact visuel avec lui. Elle lui serra les mains et soupira doucement.
— Je ressens la même chose pour toi, Adrien. C'est comme si nous étions deux aimants. L'attraction est si forte, presque surnaturelle, qu'elle m'effraie parfois. Avant de te rencontrer, je n'avais jamais cru que je pouvais aimer aussi fort, admit-elle, les yeux brillants et il pouvait y voir se refléter toute la sincérité qu'elle mettait dans ses mots. Je n'aurais jamais cru que tu pourrais m'aimer si fort, murmura-t-elle, plus pour elle-même, comme si elle venait tout juste de se réveiller d'un rêve.
Adrien guida les mains de Marinette contre sa poitrine: à l'intérieur, son cœur battait aussi vite que les ailes d'un colibri.
— Je suis follement amoureux de toi, pas de doute là-dessus, tu vois ?
Il sourit et posa ses mains contre ses joues alors qu'il se penchait lentement vers elle.
— Je ne suis pas sûr que mon coeur puisse supporter ça sans exploser en-dehors de ma poitrine, mais...je sais que tu seras là pour le rattraper, quoi qu'il arrive, alors...est-ce que je peux t'embrasser ?
Marinette hocha timidement la tête, souriant et fermant les yeux tandis qu'elle se penchait vers lui, le rencontrant à mi-chemin.
Ses lèvres étaient douces et chaudes contre les siennes quand celles-ci se fondirent lentement ensemble. C'était enivrant et Adrien avait l'impression que des feux d'artifice éclataient à l'intérieur de son corps, quand il sentit une bouffée d'énergie inonder ses veines et un million d'étincelles crépiter derrière ses paupières fermées.
Et ces mêmes feux d'artifice qu'il sentait éclater à l'intérieur, explosaient aussi à l'extérieur. Leurs silhouettes étaient entourées d'étincelles blanches qui volaient autour d'eux, alors qu'ils continuaient de s'accrocher l'un à l'autre dans un baiser extrêmement doux et intense.
Alors qu'ils se séparaient pour reprendre leur souffle, ils se retrouvèrent enveloppés d'une intense lumière blanche. Cette dernière brilla vivement, avant d'exploser, les propulsant en arrière et à l'écart l'un de l'autre.
Des flashs de souvenirs envahissaient l'esprit d'Adrien: une boîte à bijoux marron et rouge, une bague en argent, un petit chat noir lévitant dans les airs, une héroïne avec un costume rouge à pois noirs, Papillon, des Akumas, des Sentimonstres, des combats, de l'amour, des dilemmes, Marinette, Papillombre…
Alors qu'il ouvrait lentement les yeux, un peu étourdi, Adrien se retrouva à nouveau dans la tanière de son père, dans les égouts. Il se leva lentement, le souffle court et le regard cherchant Marinette, alors qu'il réalisait ce qui venait de se passer: ils avaient brisé le vœu qui avait été fait par Gabriel.
Ses yeux s'écarquillèrent tandis qu'il la vit allongée sur le sol. Il se précipita vers elle et s'agenouilla à ses côtés, pendant qu'il vérifiait si elle respirait. Elle respirait. Il soupira de soulagement et serra lentement ses épaules, mais le bruit de quelqu'un qui toussait vivement dans son dos le fit s'arrêter et il se retourna abruptement.
Adrien serra les dents en voyant Gabriel Agreste, détransformé, assis par terre et essayant de se relever.
Ses nerfs lachèrent et il se hâta de se lever, se précipitant vers son père. Il l'attrapa par le col et souleva son corps en l'air, le collant brutalement contre un mur humide.
— Toi, connard ! cria-t-il de colère en attirant son corps contre le sien, pour le frapper à nouveau contre le mur. Donne-moi une raison, une seule, de ne pas te jeter dans l'eau boueuse maintenant !
Gabriel cligna des yeux, présent de corps mais pas d'esprit, complètement en état de choc.
— Qu'est-ce que… commença-t-il, avant de faire une pause. Qu'est-ce que tu as fait ? Je l'ai encore perdue. J'ai perdu. J'ai tout perdu, murmura-t-il en regardant tout autour de lui dans la confusion la plus totale.
Adrien profita de l'état confus de son père et le lâcha. Gabriel s'effondra sur le sol mouillé et Adrien se pencha, récupérant les Miraculous de la Coccinelle et du Chat Noir de ses mains avant de retirer rapidement les broches du Papillon et du Paon de sa chemise.
En faisant cela, la terre au-dessus d'eux se mit à trembler un peu: sans aucun doute le dôme et son Sentimonstre qui disparaissaient, maintenant que son père n'avait plus d'emprise sur eux.
— Adrien…
Le faible murmure dans son dos le fit se retourner en un clin d'œil.
— Marinette ! Est-ce que ça va ?
— Je crois que ma blessure est peut-être rouverte et j'ai mal aux côtes, grimaça-t-elle en retirant sa main de l'endroit blessé, où un peu de sang recouvrait son débardeur.
Elle siffla, les deux serrées et vacilla sur ses pieds, perdant l'équilibre.
Adrien la rattrapa et soutint son poids.
— Je t'ai, ma Lady
Alors qu'elle entourait ses bras autour de sa taille, il remettait soigneusement ses boucles d'oreilles en place.
— Je pense que ça va t'aider, souffla-t-il doucement.
Tikki apparût dans un flash de lumière rose et Marinette ne perdit pas une seule seconde pour se transformer.
La magie enveloppa son corps et elle sourit.
— Beaucoup mieux, murmura-t-elle. Garde un œil sur ton père, je n'en ai pas pour longtemps, ordonna-t-elle à Adrien, alors qu'elle invoquait son Lucky Charm.
Elle ne regarda même pas l'objet qui tomba entre ses mains et le lança immédiatement en l'air.
— Miraculous Ladybug !
Quand elle se retourna de nouveau pour faire face à Adrien, il s'était déjà transformé et Chat Noir lui adressait maintenant un sourire complice.
Il avait trouvé le moyen de plier son bâton et de le croiser dans le dos de son père, comme si c'était un anneau de serrage en plastique, de manière à bloquer ses bras le long de ses côtés.
— Je vais appeler la police, chuchota Ladybug en s'emparant de son Bugphone.
— Je les ai déjà appelés. Ils devraient arriver d'une seconde à l'autre: papa a insisté pour mettre un traceur sur mon téléphone.
La voix faible et timide les fit sursauter tous les deux.
— Sabrina ! Ladybug grimaça.
Ils avaient totalement oublié que Miraculeur était là juste avant le vœu. Bien sûr, elle serait aussi là une fois ce dernier brisé.
— Ça fait longtemps que tu… Je veux dire…qu'est-ce que tu as vu ? s'enquit Chat Noir, en se frottant nerveusement la nuque.
— Après qu'une nuée de coccinelles m'ait enveloppé, j'en ai vu assez pour savoir que tu es mon ancien camarade de classe Adrien.
Ils grimacèrent tous les deux, leur corps se crispant.
— Ne t'inquiète pas, je ne dirais jamais rien sur ton identité, rassura-t-elle le héros félin et sa partenaire.
Juste après celà, le lieutenant Raincomprix et sa brigade d'intervention entraient subitement par la porte venant du réseau d'égouts.
— Je ne partirais pas sans Émilie. J'ai fait ça pour elle ! cria Gabriel Agreste tout en se débattant.
— Ce n'est pas à vous de décider, Monsieur Agreste, arrêtez vos enfantillages. Votre assistante est déjà en route pour le commissariat et vous allez l'y suivre, que vous le vouliez ou non.
Le lieutenant Raincomprix s'impatienta, tirant sur les menottes de Gabriel pour faire bouger l'homme.
Chat Noir lança un regard furieux à son père et fit un pas vers lui. Il surprit le lieutenant en attrapant Gabriel par le col et en tirant l'homme vers lui.
— Ton propre filet s'est refermé sur toi Papillombre, c'est terminé, déclara Chat Noir en se penchant lentement, son souffle frôlant l'oreille de Gabriel. Je vais m'occuper de maman. Tu as essayé et, pourtant, tu l'as encore perdue. Tu ne la mérites pas. Elle n'a pas besoin de toi, murmura-t-il, sa voix aussi dure et froide qu'un bloc de glace.
Il repoussa ensuite l'homme directement dans les bras du lieutenant Raincomprix qui le traîna hors des égouts.
Une fois son père hors de sa vue, Chat Noir se précipita vers le couffin où gisait le corps de sa mère et laissa tomber sa transformation. Plagg, plus silencieux que jamais, se posa sur son épaule et Adrien lui tapota la tête avec précaution, avant de poser sa main sur la paroi de verre le séparant de sa mère. La froideur sous ses doigts le fit frissonner de façon inconfortable. Des larmes roulèrent sur ses joues et son cœur se brisa à l'idée qu'elle puisse avoir froid là-dedans. Tout ce qu'il voulait, c'était la sortir de là et la prendre dans ses bras pour partager un peu de sa chaleur et tout son amour avec elle.
— Cinq ans... Tu peux le croire ? Dans notre malheur, j'ai quand même réussi à avoir 5 ans de plus avec elle... murmura-t-il à sa partenaire. Et tu as appris à la connaître. Elle t'a rencontré. Elle a rencontré la femme que j'aime, ajouta-t-il d'une voix enrouée par l'émotion qu'elle contenait.
Sa main glissa sur le couffin, planant au-dessus du visage d'Émilie. Il frotta son pouce sur le verre, comme s'il caressait sa joue.
Les bras de Ladybug s'enroulèrent autour de son corps et deux petites mains gantées de rouge caressèrent doucement sa poitrine pour le réconforter. Le souffle chaud de sa bien-aimée se répandait dans sa nuque tandis qu'elle lui murmurait à l'oreille.
— J'ai de la chance de l'avoir connue, je l'aimais beaucoup, lui assura-t-elle d'une voix faible et larmoyante. Je n'arrive pas à croire que nous ayons gardé la mémoire de ces événements.
Le corps de Marinette tremblait dans son dos, tandis qu'elle sanglotait, et d'autres larmes s'échappaient des yeux d'Adrien, s'écrasant contre la paroi de verre, la trempant complètement.
Le trempant et…l'illuminant.
Ils firent tous les deux un pas en arrière, regardant le couffin avec perplexité alors qu'une aura blanche l'entourait.
— Qu'est-ce qui se passe ?
Adrien essuya son visage humide avec le dos de sa main, les yeux rivés sur l'étrange phénomène qui se déroulait devant eux.
— Je crois... je crois que tes larmes ont fait ça, expliqua Ladybug. Adrien, je pense que tu... je pense que tu peux la sauver, s'émerveilla-t-elle.
— Quoi ? Comment ?
Il se retourna pour faire face à sa partenaire et croisa son regard pensif.
— L'amour, souffla-t-elle, ses yeux s'écarquillant. Tout comme notre amour a brisé le vœu de ton père. Ton amour peut la sauver.
— Mais mon père a déjà essayé. D'une manière propre à lui-même et peu éthique, je dois bien l'admettre, mais...il a essayé, chuchota Adrien, d'une voix rauque et désemparée.
Ladybug posa sa main sur sa joue et lui fit un petit sourire.
— Ton père l'aimait, mais...il aimait encore plus le pouvoir. Ce qu'il a fait, la façon dont il a essayé, ce n'était pas sain et c'était loin du véritable amour, expliqua-t-elle alors qu'Adrien baissait la tête, honteux des actions de son père.
Les doigts de Ladybug passèrent doucement sous son menton et le firent lever les yeux vers elle.
— Adrien, regarde-moi. Ton amour pour ta mère est la chose la plus pure et la plus sincère qui soit, n'en doute pas. Tu n'as rien à voir avec lui. Tu ne lui ressemble pas.
— Comment suis-je censé faire ça ?
— Comme nous l'avons fait, ria-t-elle doucement en déposant un petit baiser sur ses lèvres. Quand elle s'éloigna, elle lui fit un clin d'œil complice.
Adrien hocha lentement la tête alors que ses mains atteignaient le couffin et ouvraient la paroi de verre. Il déglutit, un mélange de peur et d'espoir nouant son estomac alors qu'il se penchait pour atteindre le front de sa mère.
Des perles de sueur et de larmes coulaient sur son visage alors que ses lèvres effleuraient sa peau. En l'embrassant, il sentit une vague d'amour l'envahir et déferler sur lui comme un tsunami. Un éclair de lumière blanche l'aveugla et l'obligea à cacher son visage avec son avant-bras et à reculer rapidement. Lorsqu'à travers ses paupières, il discerna la lumière s'estomper progressivement, il retira son bras, clignant lentement des yeux plusieurs fois, avant de voir l'impossible.
Émilie cligna des yeux et le regarda intensément, sa main se plaquant devant sa bouche alors qu'elle toussait un peu.
Elle était réveillée. Sa mère était réveillée. Il y était arrivé.
La main de Ladybug se glissa dans la sienne et il la serra fort.
Ils y étaient arrivés.
Ceci était le dernier chapitre, mais ne vous inquiétez pas, un épilogue est à suivre. Je publierai cet épilogue le 1er ou 2 janvier pour ne pas publier le soir du réveillon.
PS: La chanson utilisée dans ce chapitre est Rewrite the stars, du film The Greatest Showman. N'hésitez pas à l'écouter avec une traduction. Elle est magnifique et le refrain collait parfaitement ce qui allait arriver, ainsi qu'avec que les espoirs d'Adrien.
Encore Joyeux Noël, et si vous souhaitez me faire un petit cadeau, lâchez-vous en commentaire. J'ai hâte d'avoir vos opinions sur cette fin. Bisous Miraculeux.
