Bonjour tout le monde. Je suis vraiment désolée d'avoir tardé à vous poster ce chapitre mais ma vie personnelle a été un peu chaotique ces derniers temps. Bref, passons sur ça. Sur une note beaucoup plus joyeuse, cet été je pars à Vancouver sur les plateaux de Once. Oui, j'en suis toute excitée d'y aller.
Comme toujours, ce chapitre a été corrigée par Mlle Mandie, qui se fait un plaisir à chaque fois de le faire. Quoi ? C'est pas vrai... Hum, j'en suis pas si sûre :)
Encore merci à tous ceux qui ont mis en favori la traduction, donné vos avis, laissé des reviews. Cela me va droit au coeur.
Disclamer : Rien ne m'appartient. La fiction et l'intrique appartient à HeleSL. Emma Swan, Regina Mills et tous les autres sont la proprieté de ABC. Je ne tire que mon propre plaisir et votre plaisir de cette traduction.
On se retrouve la semaine prochaine :)
Teasing is our game – Chapitre 12
Alors que nous atteignons son manoir blanc, mon esprit devint un peu plus clair. Regina me conduisit dans une chambre au second étage j'aurais pensé qu'elle m'aurait conduit dans sa chambre mais elle ouvrit une porte deux pièces loin que la sienne.
« Il y a une salle de bain à l'intérieur. Prends une douche et essaye de la garder froide, je te laisserais quelques affaires dans la chambre pour quand tu auras fini. »
Elle ne me laissa pas dire quoi que ce soit avant de fermer la porte derrière elle. Je me tiens au milieu de la pièce, qui ressemble à une chambre d'invités. Je me défais de mes vêtements et les laisse sur le sol pas si soigneusement.
J'évitais le psyché mais, quand j'entre dans la salle de bains, je ne peux pas éviter celui présent ici. Je fixe mon propre reflet pendant un bon moment je vais attendre jusqu'à ce que je vois un seul reflet au lieu de deux Emma me regardant. Dieu, je suis perdue.
Après une rapide douche glacée, j'attrapais une serviette et la nouais autour de mon corps. Regardant dans le miroir encore une fois, je remarquais que la douche m'avait fait du bien. Quand j'ouvris la porte, je vis mes vêtements placés soigneusement sur une chaise et d'autres affaires sur le lit, impeccablement pliés.
Il y avait un pantalon de pyjama, avec des rayures bleues et blanches verticales, et une chemise noire et blanche de baseball. Je cherchais pour des sous vêtements mais je n'en trouvais aucun. Je fronçai les sourcils je n'ai pas spécialement envie de porter ça sans rien en dessous, mais je n'ai pas le choix et il commence à faire froid.
Entièrement habillée, je sors de la chambre pour trouver Regina. C'était comme la première fois que je suis venue ici c'était noir et silencieux mais maintenant il y avait des citrouilles suspendues au plafond avec des chauves-souris.
Souriant à la décoration, j'ouvris la première porte que je trouve : une grande bibliothèque. Mes yeux s'écarquillent à la vue des hautes étagères pleines de livres. Je suis tentée d'entrer dans la pièce mais je m'en empêche avant de le faire.
La deuxième porte est fermée. J'essayais de l'ouvrir encore une fois mais je ne peux pas. Qui sur terre fermerait une pièce dans sa propre maison ? Je darde mes yeux sur la surface comme si de cette façon je pourrais l'ouvrir mais j'abandonne.
Quand je place la main sur la poignée suivante, je m'arrêtais automatiquement. Qu'est-ce que je suis en train de faire ? Je me sens soudainement comme une sorte de harceleur et je recule. Juste à ce moment-là, je remarque la lumière venant d'en bas. Alors que j'atteins le haut des escaliers, je remarque que la lumière provient de la cuisine.
Le dos de Regina était face à la porte elle était en train de laver quelque chose. Je m'éclaircis la gorge pour signaler ma présence mais elle ne se retourna pas. Au lieu de ça, elle continue sa tâche jusqu'à ce qu'elle ait fini et puis, elle se tourne, essuyant ses mains avec un torchon.
Je transférais mon poids maladroitement d'un pied à l'autre, « Huh... » Elle glissa une tasse vers moi, « bois ça. »
« Qu'est-ce que c'est ? » Elle hausse un sourcil et je pris la tasse dans les mains, ressentant la chaleur les réchauffer instantanément. Je pris une gorgée précautionneusement. Thé. Je prends une autre gorgée, plus longue cette fois et, sentant le liquide descendant le long de ma gorge je ne peux m'empêcher de l'humer.
Nous restons dans un silence pendant un moment, appréciant toutes deux nos propres boissons. Son déguisement est ôté maintenant et elle porte un pyjama deux pièces en soie. Elle a toujours son maquillage mais elle a enlevé ses extensions.
Regina laissa la tasse sur le comptoir, « Tu te sens mieux ? »
« Ouais... » Je souris pudiquement et nous tombons dans un autre moment de silence. Je veux m'excuser mais si je le fais cela sonnera comme... faible. Sa voix interrompt mes pensées, « Je croyais que tu comprenais. »
Je fronçais les sourcils mais elle continua, « Ceci n'est pas une relation je ne peux pas faire ça. C'est du sexe, du sexe désinvolte. Si tu n'es pas à l'aise avec ça, tu peux arrêter : je ne veux pas te forcer à être dans quelque chose dont tu ne veux pas. Si tu es d'accord cela devra être un secret bien sur. Je pourrais perdre mon travail ou pire, aller en prison. Cela signifie un gros risque mais je suis prête à prendre le risque, bien sur, si toi aussi le prends. Donc, mademoiselle Swan, êtes vous d'accord ou non ? »
Mon esprit s'emballa à toutes sortes de pensées je me souviens de son toucher, sa respiration haletante chatouillant mon oreille et sa langue et ses dents me marquant. Je la veux, mais suis-je prête à commencer ce genre d'... arrangement ? Je me souviens de la petite fille sur la photo dans sa chambre et mon cœur me dit de le faire il doit y avoir une Regina heureuse quelque part, je dois juste la trouver...
« Je suis d'accord. » Regina sourit à mes mots, « Bien. Maintenant va te coucher la chambre d'invités est prête. » Elle marcha vers la porte et elle s'arrêta au pas de la porte. « Et mademoiselle Swan, je suis une lève-tôt et je ne sais pas si je pourrais m'arrêter moi-même sachant que tu es de l'autre côté du couloir sans sous-vêtements. »
Elle me fit un clin d'œil et sortit de la cuisine avec un balancement de hanches, regardant la façon dont la soie s'adapte à chaque mouvement pendant que je déglutis.
Mes yeux s'ouvrent avec le son d'une porte claquée. Rapidement, les souvenirs de la nuit dernière me reviennent tandis que j'entends les bruits de pas dehors. Après avoir envoyer un message à la maison pour dire que je ne dormirais pas là bas et après avoir appelé Graham pour lui demander s'il peut me couvrir, je tombe endormie au moment où je touche l'oreiller.
Je me lève et regarde autour de moi pour chercher une horloge mais il n'y en a aucune. J'ouvris la porte et ma respiration se hache à la vue.
Regina, qui venait juste d'émerger des escaliers, se tourna vers moi. Elle portait un short serré et une veste grise je pouvais voir le fil des écouteurs, qui se branchent sur un iPod qu'elle tient à la main. Son torse se soulevait fortement, ses cheveux luisaient mais elle était toujours magnifique, ses joues étaient rouges et je pouvais voir la sueur couler sur sa peau.
Elle sourit de façon diabolique alors qu'elle posait son iPod sur un meuble en bois, « Tu es debout. Bien. » Je ne peux même pas la regarder dans les yeux parce que mes yeux ne peuvent se détacher de ses jambes toniques. « Envie d'une douche, mademoiselle Swan ? »
« Quoi ? » La regardant finalement, je la vis rouler des yeux, « Es-tu toujours lente quand tu te lèves ? » Elle tourna les talons et marcha vers ce qui est, si je me souviens bien, sa chambre. Seulement quand vous êtes pas loin.
Je la suivis en trottinant, poussant la porte. Entrant dans la chambre pour la deuxième fois que je la connais, je trouvai la veste sur le sol et, quelques mètres plus loin, un débardeur c'est une piste. L'anticipation me submerge et je sens instantanément une envie lancinante avec la seule pensée de la voir sans vêtements couvrant son corps.
Me rendant dans la salle de bain blanche après avoir entendu le son de l'eau coulant, je vois que Regina est déjà dans la douche donc je ne peux voir sa silhouette seulement, s'étirant comme un chat. Déglutissant, je me déshabille rapidement et avance jusqu'à ce que j'atteigne la poignée de la porte en verre.
Sainte mère de Dieu. Ma respiration se coupe encore une fois mais cette fois je sens que je ne peux plus respirer. Son corps est comme celui d'une déesse il n'y a aucun mot qui peut la décrire. Ou du moins je ne peux pas en trouver un. C'est comme si, si je fixais trop longtemps, elle pourrait disparaître.
« Laisse moi juger cette faim que je vois dans tes yeux, très chère. » L'eau tombe sur ses cheveux et ses épaules, effaçant toutes traces de sueur. Elle se rapprocha de moi et nos corps se percutèrent, ma peau chaude contre la sienne froide il doit faire froid dehors mais ici, cela peut être considéré comme la canicule.
Nos respirations se joignirent dans le peu d'espace qui resté entre nos visages et c'est moi qui raccourcis la distance. C'est moi qui l'embrasse mais c'est elle qui en prend le contrôle. M'acculant contre le verre, elle attrapa ma nuque pour me tenir en place. Nos langues dansèrent ensemble, se goûtant avec impatience l'une l'autre dans un sensuel va et vient.
Sa main libre glissa le long de mon dos, caressant l'arrière de mes cuisses. Je soupirai dans sa bouche tandis que mes mains encerclèrent son corps, me tenant à elle. Mon cœur vibrait dans mon torse. Le baiser intense que nous partagions cessa et je fis rapidement courir ma langue le long de son cou. Je sens le léger bourdonnement d'un gémissement qui n'a pas atteint ses cordes vocales sous ma bouche pendant que mes mains trouvèrent leur chemin jusqu'à ses fesses rondes et parfaites.
Regina lança sa tête en arrière et je pris ce signe pour un encouragement. Je continuais de placer délibérément des baisers sur son torse, évitant les pointes dures qui suppliaient un peu d'attention. J'entends un grognement tandis que ses ongles resserrent leur prise sur ma tête comme un signe d'avertissement. Léchant mes lèvres avec l'anticipation montant en moi, je m'avance pour capturer ma récompense désirée.
La prise sur ma tête se relâcha un peu avant de se resserrer à nouveau alors que je mordillais son téton rose. Un autre son laborieux s'échappe de sa bouche et je fermais les yeux, appréciant chaque seconde. Elle ne perdit pas de temps cependant, et elle attrapa mon sexe durement et ses doigts s'enfoncèrent en moi.
Je ne stoppai pas le gémissement qui sortit du plus profond de moi ni ceux qui suivirent. Mes hanches roulèrent et se cambrèrent en avant, rencontrant chaque mouvement intime. Mes ongles s'enfoncèrent dans son dos et ma main libre s'insinua entre nos corps.
J'hésitais mais elle me murmura un faible et sensuel 'oui' dans mon oreille. Mon cœur battait à une telle vitesse que je ne pouvais plus entendre l'eau coulée. Me sentant audacieuse, ma main s'aventura doucement vers le bas, appréciant la douce et humide peau sous mes doigts. Je mordillais ses clavicules avec une faim renouvelée alors que j'écarte ses lèvres, étalant sa cyprine autour.
Ses cheveux chatouillèrent ma clavicule et elle mordit la tendre chair enter mon cou et mon épaule, me faisant gémir de plaisir et de douleur. Nos respirations s'accélèrent, le rythme augmenta et nous emmena au bord du gouffre.
Cela ne mit pas longtemps jusqu'à ce que je sente le tiraillement du plaisir m'imprégner et un cri déchirant sorti de mon corps. Regina gémit de manière appréciative et elle appuya son corps contre le mien. Elle trembla après son orgasme jusqu'à ce qu'elle arrête.
« Dieu, oui. » Sa voix semblait faible et sensuelle à mon oreille et mes genoux étaient faible si le poids de son corps ne me tenait pas en place je serais tomber contre la céramique carrelée de la douche.
Nous laissons l'eau déjà froide tomber sur nos corps nus pendant un long moment. Quand Regina se sépara de moi, je sentis un froid me paralyser et j'entourais mon corps de mes bras. Elle tourna les poignées de la douche et me déplaça pour me mettre devant elle, « Ici. »
Je me mouvais dans l'espace limité de la douche et, quand l'eau chaude frappa ma peau je ne pus m'arrêter de sourire. Je sens ses doigts s'entortiller dans mes cheveux, étalant quelque chose qui sentait comme la pomme. Elle massait mon crâne en doux cercles et je penchais au toucher, fermant les yeux.
C'est alors que ses mains se sont arrêtées et que son dos s'est raidit. Elle s'éclaircit la gorge et retira ses mains. « Je vais aller faire du café. Tu peux prendre ton temps pour finir. »
Sortant de la douche, elle prend une serviette et sort de la salle de bain fermant la porte derrière elle, me laissant seule et confuse.
