Bonsoir à tous !

Je suis désolée pour le retard dans la publication de ce chapitre. J'essayerais de vous poster le suivant avant que je reprenne le travail la semaine prochaine.

J'espère que ce chapitre vous plaira. Toutes fautes sont miennes.

Bonne soirée à vous


Teasing is our game – Chapitre 27

Peux-tu venir chez moi ou c'est trop tard ? Je lis le message de Regina alors que je mangeais un gâteau dans la cuisine et répondis avec l'autre main. Je le peux. Se passe-t-il quelque chose de mal ? La réponse vint presque instantanément. Non, j'ai quelque chose pour toi. Cela a piqué ma curiosité heureusement que je me suis réveillée plus tôt ce matin.

Plutôt que de prendre le chemin habituel, j'ai pris un détour et arriva au porche de la maison de Regina au moment où elle en sortait. « Hey, » dis-je pour lui signaler ma présence.

Elle se tourna au moment où elle ferma la porte et sourit, « Hey. J'ai cru que tu ne viendrais pas. »

« Tu vas beaucoup trop tôt à l'école, tu sais ? Je pensais qu'être principal te permettais d'arriver plus tard. » Nous marchâmes vers sa voiture, garée juste à côté de la maison et je l'embrassai avant qu'elle me dise, « J'ai des choses à faire. De toute façon, je t'ai envoyé un message pour quelque chose. »

« Haha, qu'est-ce que c'est ? » je penchais la tête pour regarder tandis qu'elle sortit une petite boîte de son sac mais elle était emballée. Elle rigola, « Tu sembles excitée. Je faisais les boutiques l'autre jour et je suis tombée sur ça et j'ai réalisé que tu m'as offert quelque chose pour la Saint Valentin mais que je ne l'avais pas fait. »

« Tu n'as pas à m'offrir quelque chose à cause de ça. Je l'ai fait parce que je le voulais, » répliquais-je et c'était la vérité mais qui allais-je tromper ? Je me demandais déjà ce qu'il y avait dans cette petite boîte.

« Et je veux te donner ça. Non pas parce que je me sens obligée mais parce que je le veux et je suis sûre que tu vas l'aimé, » dit-elle, terminant par un sourire narquois diabolique et me le tendit. Je mordis ma lèvre et essaya de le déballer doucement Regina me fixait du regard impatiemment. Je ne pouvais pas qui était la plus excitée à propos de ce cadeau. Je soulevais le couvercle de la boîte et sortis un petit… quelque chose ? Ça avait une télécommande qui montait et descendait et avait des mots à côté, allant de faible à la base à élevé au sommet avec moyen au milieu.

« Qu'est-ce que c'est ? » je le tournais dans ma main, curieuse et essayant de deviner que pouvais être cet objet. Regina ouvrit la portière de sa voiture et posa son sac à l'intérieur. Puis, revenant vers moi elle sourit et haussa les épaules, « Pourquoi tu ne l'essayes pas et le découvre ? » Huuuuum, je le roulai encore. Vous auriez pu dire que je l'ai fait glisser doucement mais je ne l'ai pas fait. Plutôt, je l'ai fait glisser le plus haut que je le pouvais.

Et c'est à ce moment que Regina se pencha en avant et ses mains attrapa mes bras pour s'empêcher de tomber alors qu'un gémissement s'échappa de sa bouche. Oh, c'est donc ça.

Quand elle relâcha la prise qu'elle avait sur moi et qu'elle se redressa à nouveau, elle redressa sa jupe et sourit. « Des sous-vêtements vibrants ? » demandais-je avec un sourire diabolique. « En effet, ma chère, » répliqua-t-elle avec le même sourire.

« J'en ai entendu parler dans un film mais je n'en ai jamais vu. »

« Tu ne les as toujours pas vu. »

« Mais j'en ai vu les effets. » Regina roula des yeux toujours en souriant et j'ajoutais, « Donc tu les porte maintenant ? » Elle hocha la tête. « Et tu le feras toute la journée ? » Elle hocha à nouveau la tête. « Intéressant, » je marmonnai à moi-même regardant le jouet.

« Je savais que tu allais aimer. »

« Tu me connais tellement ! » je rigolais avant de voler un baiser.


Sachant que je pouvais activer le vibromasseur à n'importe quel moment et faire gémir Regina qu'importe où elle se trouvait me rendait folle mais j'attendais le parfait moment : quand je pourrais la voir. Ça sera amusant de voir quel part d'actrice elle possède.

C'était la dernière heure de la journée quand Regina entra dans la salle de cours et je souris, regardant la petite télécommande dans ma trousse. Je la laissai commencer la classe comme d'habitude, laissant le cours se dérouler. C'était intéressant, les mathématiques l'étaient toujours. Mais après vingt minutes du cours, je ne pouvais plus le supporter. J'avais déjà reçu quelques regards de la part de Regina je pouvais voir son anticipation, ne sachant pas quand ou où j'allais appuyer sur la télécommande. Ou alors elle pensait que je n'oserais pas car il n'y avait pas tant de regards que ça. Seulement je fis un mouvement brusque. Ça allait être tellement amusant.

Je me cachai derrière une expression d'ennui et, faisant semblant de prendre un stylo de ma trousse, je pris la télécommande également. Elle ne le remarqua pas. Je ne poussai pas trop haut la télécommande, cela devrait être lent. Regina s'éclaircit la gorge et me lança un regard d'avertissement, me disant d'arrêter silencieusement. Je haussai les épaules comme pour dire « tu me l'a donné. »

Elle continua la leçon elle pouvait toujours le supporter alors je fis glisser la télécommande un peu plus haut et cela lui fit cogner le tableau blanc. S'il y avait quelqu'un d'endormi dans la classe, maintenant il ne l'était plus. « Faîtes attention, » dit elle pour justifier le coup. Regina se décala et, même si sa voix se coupait parfois, elle s'éclaircissait la gorge à chaque fois pour le cacher. La partie la plus amusante était quand elle marchait. Oh Dieu, c'était un spectacle. Elle était très précautionneuse quand elle se déplaçait.

Je léchai mes lèvres quand je poussais le bouton encore un peu plus haut, au-dessus de moyen mais sans atteindre le plus élevé. Le stylo qu'elle utilisait tomba de sa main alors que celle-ci tremblait, tout comme ses genoux. Elle me regardait, prenant une profonde inspiration agacée et sourit regardant les élèves. « Pourquoi ne pratiquez-vous pas ce que je viens de vous enseigner ? »

« Mais c'est tout ? Le problème n'est pas fini, » je taquinais depuis le fond de la classe avec ma voix la plus innocente. Ses dents se serrèrent et prit un long moment pour répondre, essayant clairement de rassembler sa voix pour qu'un gémissement ne s'échappe pas. « Je sais, mais voyons voir qui peut le terminer. Faisons-en une compétition. »

« Et que gagne le gagnant ? » dit un garçon deux rangs devant moi. Regina essayait vraiment d'être présentable. La voir si furieuse et excitée me fit bouger sur ma chaise Dieu, est-ce qu'il faisait très chaud dans cette pièce ou ce n'était que moi ?

« Bien, Charlie, tu ne le sauras pas avant d'avoir gagné. Cela vous gardera motivés. Allez à la page de ce chapitre et faîtes le premier problème. Vous avez jusqu'à la fin de l'heure. » Elle marcha, très précautionneusement, jusqu'au bureau et s'assit. Je n'ouvris pas le livre mais j'agissais comme si j'écrivais sur mon cahier je serais certaine d'obtenir ma récompense plus tard. Et en jugeant par le regard qu'elle me jetait je le regretterais. Je serais punie. Mordant mes lèvres, je sentis le désir dans ses yeux alors qu'elle me regardait.

Je lui dis à voix basse « Je t'aime », souriant alors que je fis glisser le bouton le plus haut que je le pouvais. Le cou de Regina prit une couleur rouge et elle avala fortement, contenant le grognement. J'imaginais ce à quoi il ressemblait. Correction, je m'en souvenais.

La respiration de Regina s'accéléra et elle prit sa veste, la plaça sur la chaise derrière elle. Après un moment, elle roula ses manches jusqu'à ses coudes et cela la rendit encore plus attirante si possible. Je passais les dix dernières minutes à la regarder, comment elle luttait à paraître calme pendant la leçon. Elle le faisait très bien, malgré ses joues rouges et sa lourde respiration.

Aucun des étudiants ne furent capables de finir le problème quand la cloche sonna et je pense qu'ils l'ont même oubliés car ils coururent tous en hors de la salle aussi vite qu'ils le pouvaient. J'attendis qu'ils soient tous sortis et ferma la porte derrière le dernier. Et ce fut à ce moment que Regina lâcha le stylo et se pencha sur le bureau, gémissant des mots grossiers d'une voix forte.

« Par l'amour de Dieu, j'ai cr u que cette foutue cloche ne sonnerais jamais. Oh ouiii, » siffla-t-elle à la fin. Ses hanches roulèrent pour soulager le désir brûlant qu'elle ressentait mais j'arrêtais l'appareil, glissant le bouton vers le bas. Elle leva sa tête et me regarda, haletant et avec les cheveux du front légèrement mouillé de transpiration. Pour être honnête, le regard de frustration m'excitait tellement que je souhaitais porter ces sous-vêtements mon clitoris était en train de palpiter maintenant.

Elle se leva de la chaise et marcha vers moi furieusement. Je reculai d'un pas mais elle me rattrapa très rapidement et me prit par l'encolure de la chemise de mon uniforme. Me regardant droit dans les yeux, elle grogna, « Soit tu rallumes les sous-vêtements soit tu me prends ici et maintenant. »

« Je vais choisir la deuxième option. »

Je l'embrassai et elle m'embrassa à son tour, faufilant sa langue à l'intérieur de ma bouche de manière brusque. Ma cravate vola derrière elle et j'aurais juré entendre quelques boutons tomber au sol mais je ne pouvais pas en être sûre car j'étais trop concentrée à glisser ma main sous sa jupe. Avec un rapide coup sec, les sous-vêtements trempés tombèrent à ses chevilles, s'arrêtant au-dessus de ses talons hauts noirs. Les sous-vêtements étaient rouges.

J'ai décidé de ne plus la taquinée à présent et inséra deux phalanges en elle. Regina gémit de manière appréciative dans mon oreille et puis tout ce que je pouvais entendre était des grognements et une lourde respiration chatouillant mon cou alors que j'ajoutais un autre doigt.

Je ne mentirais pas en disant que Regina n'a pas duré cinq minutes je ne peux pas la blâmer cependant, elle était déjà bien préparée. Regina tomba sur moi et je la tins tandis qu'elle revint du septième ciel.

« Crois-tu que ces sous-vêtements fonctionneront encore ? Ils semblent bien mouillés. »

« Tais-toi, » grogna-t-elle.