Bien le bonjour !

Comme promis voici la deuxième mise à jour de Teasing. Ce qui fait que je n'ai plus "que" 3 chapitres d'avance. J'ai décidé de travailler un peu différemment cette fois, en effet, je suis en train de traduire le dernier chapitre. Je pense pouvoir donner une estimation de 3 semaines pour avoir fini de traduire la fiction en entière.

Une fois les derniers chapitres terminés, je posterai au rythme de 2 chapitres par semaine.

Toutes erreurs sur ce chapitre sont miennes.

Je vous souhaite une bonne journée et une bonne lecture.


Teasing is our game – Chapitre 36

Très, très à contre-cœur je me levai plus tôt que Regina pour organiser certaines choses. Je sortis sur la terrasse pour passer quelques appels. Quand je revins, Regina veniat juste de se réveiller. Je sautai sur le lit m'exclamant, « Joyeux anniversaire ! »

« Wow, doucement, » rigola-t-elle. « Tu m'as déjà félicité la nuit dernière. »

« Et je continuerai à te le dire jusqu'à ce que la cloche sonne minuit ce soir. »

Elle roula des yeux et s'étira, grognant au mouvement. Regina se pencha vers moi pour m'embrasser mais elle s'arrêta quand nos nez se touchèrent et nos lèvres étaient à quelques millimètres d'écart. « Que fais-tu debout aussi tôt ? » Je l'embrassai pour éviter de répondre à la question et elle fonça les sourcils mais décida de laisser couler. « Restons au lit, » murmura-t-elle.

« Toute la journée ? » J'ai des projets, omettais-je en me penchant en arrière. Elle pencha la tête sur le côté avec un sourire moqueur, « Je pensais que tu aimerais ça Mademoiselle je-dois-être-tirer-hors-du-lit. »

Je croisai les bras et agit comme si j'étais en colère même si je ne l'étais pas vraiment. « Au moins jusqu'au déjeuner, » elle s'approcha de moi, se déplaçant telle une panthère, et m'embrassa le long du cou. « On peut regarder le film que tu as commandé… ou mieux : faire le nôtre, » ronronna-t-elle.

Soyons honnêtes, qui peut dire non à ça ? Spécialement avec Regina. Néanmoins, j'essayais de résister. « Je n'ai pas de caméra. »

« Heureusement que j'en ai une, » répondit-elle, penchant à nouveau la tête sur le côté face à moi avec un sourire en coin qui était trop irrésistible. Je mordis ma lèvre et souris. Elle retourna le sourire et se leva, « Je vais la chercher. »


« Tu es prête ? » me dit-elle par-dessus son épaule. J'hochai la tête sur le lit et fis un son positif, plus excitée que je voudrais l'admettre.

Regina appuya sur quelque chose et j'entends un léger sifflement alors qu'elle se tourne et marche jusqu'au bord du lit avec un sourire arrogant. Je suis assise sur mes chevilles et mord ma la lèvre. Elle se penche en avant pour m'embrasser mais le baiser ne dure pas longtemps et, quand elle se recule, c'est comme si ce n'était pas assez donc je me lève, l'entourant de mes bras, mes mains tombant nonchalamment sur ses fesses et poussant son corps vers moi. Nos lèvres se rencontrent dans un baiser qui devient de plus en plus sensuel à chaque seconde.

Je suis folle d'elle et elle est folle de moi alors que nos langues dansent une danse sensuelle. Regina nous sépare et regarde vers le bas, « Trop de vêtements. » Je suppose qu'elle parle d'elle-même je dors avec mes sous-vêtements et un long T-shirt.

Je déboutonne son haut de pyjama trop lentement à son goût, la faisant grogner. Souriant, je défais le dernier bouton et repousse le vêtement de ses épaules, dévoilant son torse nu. C'est foutu pour moi, je crois tout en léchant mes lèvres la fixant du regard avidement.

Mes lèvres, qui commencent à effleurer son cou, l'embrasse plus bas, incapable de résister à la tentation. Je mord sa clavicule, récoltant un sifflement de la part de Regina. Ses doigts s'emmêlent dans mes cheveux et me relève pour m'embrasser brutalement.

Maintenant ça devient intéressant.

Puisque ma bouche est trop occupée, une de mes mains se baladent sur ses seins et les caresse. Son dos se cambre. Soudainement Regina me pousse en arrière et je tombe sur le lit sur mes coudes et en un mouvement, son pantalon de pyjama tombe autour de ses chevilles mais elle garde sa culotte. « Enlève ton T-shirt ou je l'arrache. »

Le T-shirt vole dans un coin du lit une seconde plus tard. Elle me chevauche, la caméra oubliée depuis longtemps, et attaque mon cou tout en balançant ses hanches contre mon corps. Ses doigts comptent mes côtes, ses doigts frôlent ma peau sensible alors que sn odeur envahit mes narines elle sent comme les pommes et l'océan.

Quand je pose mes mains sur son corps, elle sourit et les plaquent au-dessus de ma tête, sa jambe se glisse furtivement entre les miennes et frotte sa cuisse contre mon entre-jambe. Un gémissement inarrêtable remplace le son des halètements qui emplissait la pièce jusqu'à maintenant. J'arrête le prochain gémissement de sortir de ma bouche et Regina ronronne dans mon oreille, « Ne soit pas discrète. Fais savoir combien tu aimes quand je te baise. »

Je suis sûre que ma culotte est ruinée.

Je ne sais pas comment mais une fois sa phrase terminée sa main est en train de caresser mon sexe sous ma culotte. Ses doigts dessinent des cercles et cela m'envoie des éclairs de plaisir à travers mon corps. Elle embrasse mes lèvres, mes joues, ses dents mordent ma mâchoire et sa langue court le long de mon cou. Regina lâcha une de mes mains pour me pénétrer avec deux doigts et sans avertissement.

Un gémissement fort franchit mes lèvres et ferme les yeux, me laissant aller au plaisir tandis que je baisse les mains pour les posées sur son dos. Je cambre le dos et suis sa cadence avec un mouvement des hanches. Sa langue sort et vient me lécher mon lobe d'oreille avant de le mordiller et le suçoter. Un cri étranglé se transforme en un pleur lorsqu'elle ajoute un autre doigt et courbe les trois à l'intérieur de moi.

Je sens la température de mon corps qui augmente de plus en plus avec chaque mouvement. Elle siffle quand je resserre ma prise sur son épaule mais je n'ai pas le temps d'y penser car un picotement divin me parcourir le corps, de la tête jusqu'aux pieds.

Tout d'un coup, Regina s'arrête et quand je suis sur le point de me plaindre avec un geignement, il est étouffé dans ma gorge lorsque, avec une dernière caresse, elle me pénètre complétement tandis que ses lèvres s'attaquent à mon cou, et je crie son nom. Je grogne plusieurs fois, prolongeant mon orgasme autant que je le peux en roulant des hanches. Respirant rapidement, essayant de récupérer ma respiration, Regina me fais des bisous légers sur mon épaule je sens également ses dents sur ma peau.

Je souris et ouvre mes yeux elle me regarde. « J'aime la façon dont mon prénom sonne à tes lèvres, » dit-elle en passant ses lèvres le long des miennes.

« Sais-tu ce que je peux faire d'autre avec elles ? » Elle secoue la tête de façon négative mais son sourire me dit autre chose. Une mèche de cheveux tomba devant ses yeux et je le poussa, la remettant derrière son oreille.

« Je peux vous le montrer si vous vous voulez le savoir, Principale Mills… »

« Je suis sûre que vous le pouvez. »

Je levais mes hanches et utilisa ma force pour nous retourner de façon que je me retrouve au-dessus d'elle. J'embrasse tout ce que je peux atteindre, encouragée par les murmures de passion de Regina. Je glisse mes mains le long de ses jambes fermes sous son regard. Je la fixe en retour alors que j'ouvre ses jambes, faisant traîner le bout de mes doigts sur ses cuisses internes, elle se mord les lèvres d'une façon qui pourrait me faire jouir à n'importe quel moment.

Me baissant doucement, je lèche mes lèvres de manière inconsciente et place de légers baisers sur son bas ventre. Je sens ses muscles réagir à chaque caresse et la chair de poule que ça provoque. Je passe un soupir au-dessus de son entrée et elle gigote agréablement sur le lit, me faisant rire.

« Emma, » supplie-t-elle pratiquement.

Je la taquine près de son entrée avec langue avec un sourire, mon faisant de légers cercles sur son clitoris. Son corps se raidit et l'envie inonda son corps. « Tu veux que je pénètres avec ma langue, Regina ? »

« Dieu, oui. »

« Dis-moi que tu le veux. »

Elle grogne mais le fait, « Je te veux à l'intérieur de moi. »

C'est tout ce dont j'ai besoin. Je fais des vas et viens avec ma langue, encore et encore jusqu'à ce que la poigne qu'elle a dans mes cheveux et l'étroitesse grandissante de ses parois me dit qu'elle est prête au bord de l'orgasme. Je remplace ma langue par deux doigts et suce son point sensible. Le gémissement que ça provoque est si fort que je suis sûre que s'il y a quelqu'un dans la chambre d'à côté, ils l'ont probablement entendue. Avec deux autres vas et viens, Regina jouie fortement, tremblante de plaisir.

Je lèche mes lèvres et remonte sur son corps, l'embrassant quand j'atteins ses lèvres. Le baiser est long et tendre, et Regina enroule ses bras autour de moi. Je le fais également et quand nous nous séparons, nous nous fixons du regard pendant un moment. Puis, je souris et lui fais un bisou Eskimo avant de me lever et attraper la caméra.

« Fais coucou à la caméra, fille dont c'est l'anniversaire. » Regina roula des yeux et se couvrit avec les draps. « Hey ! Ne cache pas ton précieux corps au monde, » plaisantais-je, la rejoignant alors qu'elle rigolait.

« Oh, donc tu veux que je montre mon corps au monde ? »

Je fronçai les sourcils, « Non, attends. Juste, ne me le cache pas. C'est la plus belle vue que j'ai eue en… » Je fis comme si je comptais et elle rigola à nouveau, tendant la main pour prendre la caméra, « Donne-la-moi. »

« Nuh-huh, » dis-je bougeant la caméra loin d'elle. Elle essaya à nouveau mais échoua. Je la regardai à travers l'écran et vis son expression de mécontentement avec un sourire. « Allez, » dis-je. « Dis quelque chose à la caméra. »

Elle sourit à la caméra haussant un sourcil. « Bien, ma petite-amie ici présente, » elle me pointa du doigt et je tournis la caméra pour dire bonjour, « croit qu'elle peut me battre mais elle ne le peut pas. »

« Je peux te battre. »

« Vraiment ? » elle croisa les bras. « Dis-moi une chose à laquelle tu peux me battre. » J'éteins la caméra et y réfléchis un moment. Puis, cela me frappa, « La Xbox. »

« Ça ne compte pas. Je ne sais même pas y jouer, » dit-elle roulant des yeux.

« Viens ici, je vais t'apprendre. » Je m'assois sur le bord du lit et joua avec les boutons de la manette. Je pris la manette principale et en tendit une à Regina. Elle la regarda, hésitant mais finalement abandonna et la prit.

Je me levai et ouvrit un tiroir. « Voyons voir quels jeux nous avons. » Je mélangeai les boîtes de jeux vidéo jusqu'à ce que j'en trouve un et le leva au-dessus de ma tête, « Call of Duty ! Tu vas l'aimer ! »

Après avoir mis le disque dans la console, je revins mais au lieu de monter sur le lit, je fis signe à Regina de venir s'assoir sur le sol avec moi, « Viens ici que je puisse t'apprendre. »

Je m'assis en m'appuyant sur le lit et elle se plaça entre mes jambes. Je lui appris quels boutons faisaient quelle action et puis je la laissa jouer. Au début, je contrôlais quelques boutons et elle contrôlait le reste mais elle apprit rapidement et je lui laissais le contrôle. Je regardais simplement quand elle jouait, ses sourcils se fronçaient en concentration. Je dois admettre quelque chose à propos de Regina elle apprend vite.

« Oui ! » Elle leva les bras en l'air sur l'écran je pouvais lire 'mission accomplie'. « Maintenant je comprends pourquoi tu aimes ça. C'est génial. »

« Bien sûr que ça l'ai, n'as-tu jamais douté de mon excellent choix ? » demandais-je avec une pointe d'offense dans la voix. Elle me regarda et m'embrasse, « Ne me fais pas répondre à cette question. »

« Hey ! » je lui tapa le bras mais finis par rigoler avec elle. Je la serra fort contre moi de derrière et elle se recula, « Et si tu jouais contre moi ? Voyons voir comment tu es forte. »

Mais au même moment nos estomacs gargouillèrent et soudainement je réalisa qu'il était tard et que nous n'avions rien mangé. Ou du moins aucune nourriture. Je regardais l'horloge.

« Nous ferions mieux de laisser ça pour un autre moment. Je meure de faim, » dit-elle en se levant. Je fis la même chose et étirais mon dos, « Je suis d'accord avec toi. Je pourrais manger une vache entière. »

Regina roula des yeux tout en cherchant des affaires dans l'armoire, « Tu exagères. »

Je lui tirais la langue et ramassa ma paire de jeans, « Comme si tu n'aimais pas ça. »