Chapitre 12. Choix décisif.
Ce soir là, Harry n'arrivait pas à trouver le sommeil. Ron était déja affalé sur son lit, la bouche ouverte à ronfler joyeusement mais lui se tournait et se retournait dans son lit, sa cicatrice l'élançant d'une façon agaçante.
Finalement, il se releva et se dirigea vers la salle commune, traînant sa couverture avec lui. La pièce était déserte mais le feu était toujours vif, se reflétant sur les tentures et les murs. Il positionna un canapé face au feu et s'y installa, se roulant confortablement dans sa couverture. Il s'était décidé : ce soir, comme il ne pouvait dormir il ferait un bilan de sa vie. Ou plutôt de sa vie sentimentale car le reste était assez clair : il était celui sur lequel les espoirs de tout les sorciers reposaient. Il avait perdu ses parents et son parrain et avait vécu l'enfer chez son oncle et sa tante, tout cela était limpide et il n'avait pas besoin d'y revenir pour connaître ses sentiments à ces sujets.
Il se focalisa donc sur les sentiments qu'il éprouvait pour les personnes de son entourage et commença une longue remise en question, essayant de dégager la vérité.
« Tout d'abord, Dumbledore. » Se dit il. « J'ai toujours eut confiance en lui mais apparemment lui non et même si dit ne plus rien me cacher, pourquoi lui ferais-je encore confiance ? » se demanda t'il. « Parce qu'il n'a que ton intérêt à coeur et ce n'est pas qu'il te faisait pas confiance mais il ne cherchait qu'a te protéger toutes ces années. » lui souffla sa conscience et il accepta cette réponse.
« Rémus, ensuite. C'est le dernier ami fidèle de mes parents encore en vie. Je tiens beaucoup à lui. Il ne remplacera jamais Sirius que je commençais à considérer comme mon père mais je l'aime beaucoup. » Analysa t'il, remerciant silencieusement Rémus d'être encore là pour lui.
« Les Weasley. » pensa Harry. « C'est un peu ma famille d'adoption et je les adore tous autant qu'ils sont. Ils m'ont pardonné mes erreurs tout comme je leur aie pardonné les leurs. » Se dit Harry et il sut que c'était vrai.
Il est étrange de voir comme l'esprit est sournois, évitant jusqu'au bout de toucher le véritable sujet de cette réflexion : ses sentiments envers Cho et Hermione... mais Harry ne s'en rendit pas compte.
« McGonagall, mamie. » pensa t'il en riant. « Je lui en veut vraiment de ne pas avoir sut s'imposer à Dumbledore ! Elle aurait pu m'éviter dix ans de calvaire et cinq étés insupportables chez les Dursley. » Rumina t'il avant d'entendre la voix de la sagesse et de se dire : « pourquoi est-ce que je me prive ainsi du dernier membre de ma famille ? Je devrais l'accepter telle qu'elle est et lui pardonner, on ne peut pas réécrire le passé. Je ne m'en porterai que mieux. »
Ainsi décida t'il de donner une chance à sa grand-mère qui risquait d'en être bien surprise.
Finalement, ne voyant plus d'autres personnes sur lesquelles il n'était pas sur de savoir quoi penser, il finit contraint et forcé par passer à...
« Ginny...... L'ai-je vraiment aimé ? » Se demanda t'il, se sentant coupable d'oser même se poser une telle question qu'il savait néanmoins nécessaire. Il se remémora leur promenade au clair de lune, la première fois où elle l'avait embrassé. « Si je l'avais vraiment aimée, je pense qu je me serrais senti fébrile à l'idée de faire une promenade seul avec elle et que j'aurais comprit plus vite ses intentions, au début j'ai vraiment cru à une simple promenade... » Se dit il. Il chercha alors à comprendre pourquoi il n'avait pas résisté à la jeune fille. Il énonça les raisons de façon crue il est vrai, mais honnête. « Elle était mignonne et je tenais déja beaucoup à elle. J'étais assez déprimé depuis la mort de Sirius et la manière dont Cho m'avait envoyé sur les roses. Gin était une très bonne amie et je n'ai pas eut le coeur à refuser. Et puis elle m'a pris par surprise et c'était si agréable que je n'ai pas voulu m'en priver ni la rendre malheureuse. J'ai pris l'option facile. » Harry se sentit honteux d'avoir « abusé » de la jeune fille mais se dit finalement qu'elle avait été heureuse pendant au moins un mois... Et après tout la douleur qu'il avait ressentie à sa mort montrait que finalement il s'était vraiment attaché à elle. C'était le plus important. Ce fait était maintenant admis même si cela rajoutait au fardeau de ce sentiment constant de culpabilité qui l'habitait depuis la mort de Sirius. « Mais pourquoi ais-je réagi aussi violement ? » se demanda t'il. « Je pense que j'ai finalement craqué. » pensa t'il. « C'en était trop : quinze ans de Dursley, l'absence de mes parents, la menace constante de Voldemort, la mort de Cédric, la disparition de Sirius, le comportement de Cho.... et enfin, la goutte d'eau qui a tout chamboullé : la torture ignoble de Ginny dont j'était encore plus proche. Je n'ai finalement pas réussi à tout refouler, j'ai craqué... »
Maintenant qu'il avait mis tout cela au point, il se sentait moins coupable et ne regrettait pas d'avoir accepté de réaliser le rêve le plus cher de Ginny. Il se dit qu'il ne devait pas se sentir honteux d'avoir des sentiments pour une autre fille et qu'il ne pouvait pas éternellement refuser de passer à autre chose.
Cela étant acquis, il se décida finalement à aborder son problème le plus urgent :
« Cho. » se dit Harry, se demandant perplexe s'il devait éconduire la jeune fille. Il se souvint combien il l'avait aimée jusqu'aux événements de l'an passé, combien il avait souffert ne pas l'avoir accompagnée au bal en quatrième année. Ca il en était sur et certain : il l'avait aimée. Chassant tout les ressentiments accumulés contre elle, il se dit que finalement sa colère l'avait empêché de voir la vérité : il y avait bien encore un petit quelque chose qui faisait battre son cœur plus vite quand il la voyait. D'un autre coté, il devait prendre en compte l'expérience qu'il avait de son caractère. En depit de tout ce qui le poussait vers la jeune fille, il ne pouvait négliger cet aspect qui l'horripilait. Elle était facilement irritable se dit-il, repensant à la Saint-Valentin, bornée, songea t'il en repensant à la dispute ayant résulté de la trahison de Mariella, et enfin trop émotive. En effet combien de fois l'avais t'il vue avec les larmes plein les yeux ? « Même la première fois qu'elle m'a embrassé. » pensa t'il avec une pointe de dégoût. D'un autre coté, elle avait eut des excuses, la mort de sa mère, de Cédric, mais même s'il lui avait pardonné, le fait était que l'on ne change pas de caractère comma ça.... Voyant qu'une telle réflexion ne le mènerait à rien, il se força à prendre une décision irrémédiable. « Je vais pas tirer à pile ou face quand même... » Ironisa t'il dans une réaction typiquement Moldue. « Je crois que je ne supporterai pas qu'elle recommence comme l'année dernière comme elle ne manquerai pas de le faire si je sortais avec elle. » méditait-il. « Bon, motion rejetée » dit il à haute voix, parodiant les pompeux députés qui passaient au infos Moldues. Ceci dit, il se sentit soulagé et se dit qu'il avait donc pris la bonne décision.
Qulque chose de mou et visqueux lui frôla la cheville. Se baissant, il aperçut Spike qui cherchait à se faire remarquer. Il le pris dans ses mains et lui dit.
« Salut toi ! »
« SssssSssssssssss Ss ss ssssSs sssssSSss. »
Harry étonné dit :
« Parles plus fort je ne te comprends pas. »
« SSSSSSS SSSSSS SSS SSSSsSSssS SsssSSS ssssSSSss !!!!!! » répondit le serpent qui semblait contrarié.
Harry le reposa au sol tout en s'étonnant de ne pas avoir compris un traître mot de ce que lui avait dit son serpent. « Je doit être trop fatigué pensa t'il. »
Il en était rendu au dernier sujet de sa réflexion, ayant pensé à tout le monde et ayant éculé toutes les diversions possibles. Sujet tant attendu et tant redouté à la fois......
« Hermione. Certes je l'ai toujours considérée comme ma petite soeur, ma meilleure amie mais je dois avouer que depuis quelque temps notre relation est différente. Depuis la rentrée en fait... » Spéculait il. Il s'avoua que les moments passés seul avec elle lorsque Ron boudait n'avaient somme toute pas été si désagréables que ça... et que les nuits où il avait dormi avec elle avaient été sans cauchemars et très très agréables. « C'est pas possible, je suis en train de tomber amoureux d'Hermione ! » constata t'il, et cette idée ne le choqua pas. Il sentit même son ventre gargouiller bizarrement à cette pensée.
Il spécula sur ses chances et s'endormit devant le feu alors qu'il cherchait un moyen de se rapprocher de son amie.
Lorsqu'il se réveilla le lendemain, il se retrouva allongé sur la canapé, la couverture bien bordée autours de lui, la tête appuyée sur un oreiller qu'il ne se rappela pas avoir apporté. Puis il aperçut Hermione dans un fauteuil proche, occupée à lire. Elle leva les yeux vers lui et dit avec un sourire :
« Tu est enfin réveillé ! Il est presque huit heures, les cours vont commencer, tu ne t'es même pas réveillé quand tous les élèves sont passés. » Et sans prendre le temps de respirer ajouta. « Tu as du veiller tard hier soir » sur un ton de reproche.
« J'arrivais pas à dormir. » se justifia t'il. « Ron n'est pas levé ? »
« Si bien sur, lui il est parti déjeuner, je t'ai attendu. Mais là on a plus le temps ! » Remarqua t'elle dépitée. « Vas vite te changer, encore deux minutes et c'est moi qui te réveillais. »
Super heureux de voir une Hermione aussi attentionnée, il fila dans son dortoir où il se changea en quatrième vitesse.
Il fut enchanté en enchantement lorsqu'il se retrouva en duo avec Hermione et que Ron dut partir travailler avec Lavande. Alors qu'ils sortaient du cours, discutant de leurs progrès respectifs, ils ne firent pas vraiment attention, à tel point que Harry percuta Rogue aux détours d'un couloir. Celui-ci se retrouva étalé par terre, recouvert d'une potion verdâtre qu'il amenait visiblement à l'infirmerie.
« Vous pouvez pas faire attention Potter ? Vous vous croyez peut-être assez important pour que tout le monde s'écarte à votre passage ? » Hurla t'il en se relevant. « Retenue ce soir ! Avec Rusard ! J'ai pas de temps à perdre à vous surveiller ! »
« Mais professeur c'est injuste, Harry n'a pas fait exprès ! » s'indigna Hermione.
Ron voyant Rogue devenir encore plus pâle que jamais, son teint cireux rivalisant maintenant avec celui d'un Ronflack Cornu, s'abstint de tout commentaire.
Un petit sourire se dessina au coin des lèvres du professeur le plus aimé de l'école.
« Dans ce cas il serait normal que vous l'accompagniez ce soir Miss Granger. Histoire de ne pas faire de jaloux.... et une injustice de plus ou de moins... »
Et satisfait, il se retourna vers le chemin des cachots à la recherche d'une autre fiole de potion.
« Tu n'aurais pas du intervenir, Hermione. » dit alors Ron, une fois que la cape noire ne fut plus en vue.
« Il n'avait pas le droit... » Commença la jeune fille.
« Il a tout les droits, même celui d'inventer des motifs pour nous mettre en retenue. » répondit philosophiquement Harry.
Ils reprirent leur chemin de la grande salle et se disposèrent à manger.
Les plats apparurent et Harry fut ravi de voir que des côtes d'agneau étaient au menu. Il se saisit d'une mais lorsqu'il en porta un morceau à sa bouche, il ne put réprimer une grimace. Il se força à avaler et déclara :
« Cette viande est immonde ! »
« Je ne trouve pas, c'est peut-être ton morceau qui n'est pas bon. » fit Ron qui lui-même mangeait les côtes d'agneau avec les doigts. Il pris un morceau de celle de Harry, la goutta et dit :
« Elle est très bonne, t'es pas bien ? C'est ton plat préféré en plus. »
Harry ne dit rien mais poussa la viande sur le coté de son assiette et se servit de gratin de choux de Bruxelles.
« Harry, mais où as tu la tête, tu déteste ça ! » s'étonna Hermione.
Le jeune homme haussa les épaules et entreprit de manger. Il se resservit deux fois avant de se déclarer repu.
L'après midi, ils se rendirent séparément à leurs cours : Harry en apprentissage des techniques d'Auror, Hermione en Arithmancie et Ron au cours d'Hagrid. Harry fut passionné par les explications de Stratius Shackelbolt sur les méthodes de dissimulations qu'utilisaient les Aurors. Il répondit avec empressement aux questions du professeur sur les capes d'invisibilités, le Polynectar ou encore le sort de désillusion – celui que Maugrey lui avait jeté l'an passé, le transformant en caméléon humain -.
A la sortie du cours, Harry passa au bureau de Rusard pour savoir l'heure de sa retenue.
« De neuf heures à deux heures du Matin, monsieur Potter. Dites le à Miss Granger je n'ai pas que ça a faire de la chercher. » Grogna le concierge plus aimable que jamais.
Harry rejoignit ses amis à la salle commune où ils firent les devoirs qu'on leur avait déja donné en ce premier jour du trimestre. Ils se rendirent ensuite au repas où Harry surprit tout le monde en appréciant le poisson et délaissant à nouveau la viande.
Ils finirent leurs essais, remettant le compteur des devoirs à faire à zéro, en attendant l'heure de la retenue.
Finalement, à neuf heures moins dix, ils quittèrent la salle commune sous le regard compatissant de Ron.
Rusard les attendait devant son bureau et les entraîna vers les cachots.
« Pas de chance mes enfants, pas de chance.... La salle des trophées à été nettoyée hier pas des Poufsouffle et les professeurs m'ont assuré n'avoir rien à vous faire faire...pas de chaudron à récurer, pas de pot de chambre de l'infirmerie à nettoyer et Hagrid n'a pas besoins d'élèves « volontaires » pour une petite balade dans la foret....pas de chance... » Marmonnait le vieux Cracmol avec un air malsain.
Les deux jeunes gens étaient silencieux et ne comprenaient pas en quoi ils n'avaient pas de chance, ils se trouvaient heureux de ne pas avoir ces tâches rebutantes à faire. multirécidivistes dans votre genre, je vous ai préparé quelque chose de bien particulier, vous allez adorer. » dit il, une lueur malveillante dans les yeux.
Cette fois, Harry redoutait vraiment la suite. Ils étaient maintenant au premier sous-sol, dans une partie inutilisée des cachots, qui puait le moisi et le renfermé. Soudain, Rusard s'immobilisa devant un cachot.
« Enlevez vos robes vos pulls et vos chaussures. » ordonna t'il. Les jeunes gens s'exécutèrent. Hermione se retrouva en chaussettes et chemisette, portant la jupe courte de l'uniforme de l'école qui lui couvrait seulement le haut des jambes. Harry lui finit en pantalon et t-shirt court.
« Le pantalon aussi Potter, montrez nous vos jolies jambes... »
Harry se retrouva en caleçon, mais ne rougit pas, habitué à être dans une telle tenue devant Hermione, lorsqu'ils dormaient dans la chambre à Ron au Terrier ou qu'ils avaient dormis ensemble à Poudlard.
Rusard les poussa dans le cachot et ferma la lourde porte, leur criant :
« Je reviens d'ici cinq heures mes enfants, amusez vous bien... »
Le cachot était humide, très humide... le sol était couvert de quelques centimètres d'eau croupie et un soupirail donnant visiblement sur le parc, laissait passer une brise glacée de mois de Janvier qui ne tarda pas à les geler sur place.
« Iiiiilé fou, on vas mourir de froids ! » grelotta Hermione.
Harry acquieça et dit :
« Il faut bouger pour se réchauffer. » Non moins frissonnant.
« J'irais me plaindre à Dumbledore. » grommela Hermione tout en faisant de grands mouvements pour se réchauffer.
Harry hocha la tête tout en se frictionnant vigoureusement.
Une heure plus tard, ils étaient épuisés par les efforts physiques qu'ils produisaient. Ceux-ci leur faisaient dispenser plus de calories qu'il ne leur apportait la chaleur, les affaiblissant davantage et les rendant encore plus vulnérable au froid. Finalement, Harry s'appuya au mur et se laissa glisser jusqu'a se retrouver assis dans l'eau stagnante. Hermione allait faire de même mais Harry lui fit signe de venir sur ses jambes pour éviter de se mouiller. Elle s'assit donc sur le haut des cuisses du jeune homme, plus sur le bassin et se serra contre lui. Harry ramena ses jambes contre le dos de la jeune fille et la serra à son tour, partageant le peu de chaleur que leur corps dégageait encore.
Au bout d'un moment, Hermione frissonnait toujours. Harry sécha ses mains sur son t-shirt moite et les passa sous la chemisette de la jeune fille pour lui frictionner le dos. Hermione, à moitié morte de froid se resserra contre lui et passa ses mains autour de son cou, posant son menton dans le creux de l'épaule de son épaule.
« Merci. » murmura t'elle faiblement.
Harry réussit à produire un sourire et la serra avant de continuer ses mouvements pour la réchauffer. Il sentit des larmes lui couler sur sa nuque. La jeune fille avait l'air désespérée, luttant visiblement contre l'évanouissement. Harry retira ses mains du dos de son amie et caressa ses cheveux tendrement. Hermione lui déposa un tendre baiser dans le cou qui étonna et réjouit profondément Harry, le poussant même à bénir Rogue des les avoir mis en retenue, si insupportable soit elle.
Harry resserra la jeune fille contre lui et déposa à son tour un baiser dans les cheveux de la jeune fille. Ses frictions se firent plus tendre, apportant du réconfort en plus de la chaleur.
Quelque temps plus tard, le corps d'Hermione se fit plus lourd tandis qu'elle perdait finalement connaissance.
Au bout d'un temps qui parut une une douloureuse éternité, la porte s'ouvrit sur un Rusard souriant. Harry qui avait lutté pour ne pas perdre connaissance à son tour se leva, son amie dans les bras. Il passa devant Rusard qui lui tendait leurs habits, sans le voir et pris la direction de l'infirmerie.
S'appuyant souvent contre les murs pour reprendre des forces et éviter de tomber d'épuisement, il finit par atteindre l'aile ouest où se situait l'infirmerie.
Ce fut une Mme Pomfresh en chemise de nuit qui répondit aux tambourinements répétés de Harry. Elle vit débarquer un jeune homme en t-shirt et sous vêtements, trempé, sale et grelottant, portant une jeune fille non moins mouillée, habillée très légèrement, inconsciente.
« Mais qu'est-ce que vous avez encore fait c'est pas possible ! » tempêta l'infirmière.
Harry déposa son amie sur un lit, se retourna vers l'infirmière et s'effondra. Celle-ci le retint à temps et l'entraîna vers le lit voisin.
« Retenue...Rusard...les cachots humides...froid » articula Harry devant une Mme Pomfresh abasourdie.
Harry fit signe à l'infirmière de s'occuper d'abord d'Hermione. Elle commença par la réanimer et l'aida à passer un pyjama sec pendant que Harry détournait le regard. Elle lui fit boire de la pimentine et quelques potions avant de la border de multiples couvertures. Elle fit de même avec Harry tout en tempêtant contre l'inconscience du vieux concierge.
« Vous aurez de la chances si vous avez pas attrapé une méchante pneumopathie avec ça... »
Elle vérifia qu'ils étaient correctement installés avant de retourner elle même se coucher.
Hermione regardait Harry du lit voisin et soudain se redressa et le rejoignit en titubant dans le sien. Ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre après s'être longuement embrassés et caressés tendrement.
Fin du chapitre.
Prochain chapitre : « Coup de batte et coup dur. »
Nous y voila ! Alors zetes content ? J'éspère !
Alala ça fait plaisir ce chap est venu tout seul ! 3h30 pour l'écrire contre 6 celui d'avant c'est tout dire !
Bon je sais je suis trés sadique... la retenue était vraiment méchante mais au moins ça les a précipité dans les bras l'un de l'autre.
Reponse aux reviews :
Luc Granger aka Racatte : Bon là je crois que l'on atteint un niveau de délire assez élevé (on en est au 128éme « si » il me semble), bref Ginny est morte et ne sera pas un fantôme point final ! Voila non mais ! C'est pas vrai ces lecteurs qui trouvent toujours à redire... lol. Mais bon au moins ça prouve qu'il se sentent impliqués et ça ça s'apprécie. Bon ensuite, malgrés ce qui s'est passé dans ce chapitre, dans trois chapitres et on arrive à la série des-dits 4 chapitres qui vont pas te plaire (enfin sur un certain point, jen dit ca pour paumer les lecteurs indiscrets qui liraient ta reponse personelle.) Mais t'inkiet pas la fin de l'année vas te plaire. Bon, le quidditch : non ce sont les tornados qui ont choppé le vif, les canons se sont fait éclatés. Pour le coup du rat bondissant j'avais même pas fait gaffe ! (Bon ok gt encore a moitié bourré mais ca compte pas !) Mais bon ca marquera plus Harry de risquer de se retrouver dans un état comparable à l'autre c..... Pour le montage d'image : pourquoi i te plait pas le médaillon ? C'est pourtant mignon tout plein et d'un gout exquis....Voila, prochaine review prochain chapitre (lol).
Harryjo : Un slash ? Beeeeeeeerrrk ça va pas non ? Je suis formellement opposé à ce genre de fics : les tordus ont parfaitement le droit de fantasmer sur ce qu'ils veulent mais pas de le coucher sur le papier au risque que de pauvres âmes innocentes et naïves soient choquée par leur délires pervers. Surtout quand ils mettent en secène des gamin et gamines. Bref yapa de risque. Non mais comment peut tu même m'imaginer écrire un tel truc ? Sinon tinkiet que dès la première nuit avec Gin ca aurait baisouillé et aurait été décrit en profondeur.... Pis les nuits passées avec Herm...pis tiens quand iil se réconcilie avec Ron tant qu'affaire, pis Cho pendant les vacances et enfin il tue Voldemort d'une saillie brutale..... Non désolé je trouve que ca colle pas :o), j'ai essayé pourtant !
Harry Gryffondor : wé, j'essaye tant que possible de garder les caractères du t5 (bon sauf Ron :o) a part sa nullité au quidditch.) Sinon coté coeur te voila servi !
