Chapitre 16. Brûlure et Amnésie.

Son premier week-end chez les Serdaigles se passa bien. Il se prit d'amitié pour les jeunes garçons de sixième année qui étaient bien plus solidaires que ceux de Gryffondor qui étaient séparés en bande.

Harry apprit que rares étaient les enfants de Moldus ou les sang mêlés à Serdaigle. Même s'il n'atteignait pas le degré des Serpentard, il existait un certain sentiment de supériorité à l'égard des quelques pauvres enfants issus de parents sans pouvoirs magiques. Ils n'étaient pas directement discriminés ou insultés mais plus insidieusement mis au ban des autres groupes composés des « élites.» Ceux-ci descendaient tous d'anciennes familles respectées par tous, au contraire des familles des élèves de Serpentard dont plupart se moquaient ouvertement.

« Il est étrange que les Poufsouffles et les Gryffondors ne tiennent aucun compte de l'origine des sorciers. » se dit Harry en découvrant cela.

Lorsqu'au cours de cette discution il déclara à ses nouveaux amis que sa mère était fille de Moldus, il s'attira des regards  significatifs de leur part. Voyant l'erreur de son petit ami, Cho dit :

« Tu en a fait beaucoup plus que des sorciers de noble origine et cela suffit largement à prouver ta valeur. »

Harry agréa mais ne put s'empêcher de relever l'emphase que la jeune fille avait mise sur le mot « noble », par pure habitude, montrant qu'elle aussi avait une haute opinion des sorciers issus de l'aristocratie.

Il put aussi constater que la réputation d'intellos cachait des travailleurs acharnés. Tous ses camarades avaient terminé l'essai de métamorphose à la fin du week-end, seulement trois jours après qu'il eut été donné. Lui se contentait de garder ses habitudes : lire beaucoup le matin et travailler un peu le soir de manière régulière plutôt que se débarrasser comme eux d'un coup des devoirs avant de ne rien faire les soirs, sauf lire encore, quand ces damnés professeurs n'avaient pas donné autre chose à faire. Ceci aussi aurait du amener à son rejet de la société Serdaigle mais comme ses camarades le trouvaient immanquablement plongé dans un livre, le matin quand ils montaient du dortoir, ils ne dirent rien. Il faut dire aussi que Cho bondissait sur le premier qui osait faire la moindre réflexion sur son copain...

Tout les Serdaigles de la bande furent abasourdi quand ils le virent sortir ses affaires de cours et son livre de potion.

« Mais on avait qu'un essai de métamorphose... » S'exclama Byron dont la tête ressemblait à celle d'un zombie tellement l'entraînement de Quidditch avait du être intensif.

« C'est plutôt que vous l'avez fini depuis longtemps mais moi pas. Il n'est que pour Mardi ! Déjà je fais l'effort de le faire deux jours avant... » Dit Harry en riant devant les visages décomposés qui s'offraient à lui.

Il finit donc rapidement ledit essai, aidé par Cho qui le trouvait d'une grande simplicité ayant un an de plus que lui.

Le lundi matin, premier jour d'Avril, Harry se retrouva avec ses nombreux amis en cour d'enchantement d'un Flitwick enjoué.

« Il a de quoi ! » se dit Harry. « Il a quand même mis la main sur la sommité-malgré-lui de l'école ! »

L'après midi, le professeur du cour d'apprentissage des techniques d'Auror fut fidèle à lui même à tel point qu'Harry se demanda s'il avait remarqué son changement de maison  jusqu'au moment ou il rapporta cinq points à Serdaigle pour avoir su nommer le chef des Aurors actuel, le frère du professeur. Ainsi Stratius Shackelbolt fut le premier parmis les professeurs à ne manifester ni joie ni colère vis à vis d'Harry.

En ce début Avril, tous attendaient avec impatience la finale de la coupe de Quidditch qui verrait s'affronter Gryffondor et Serpentard. Serdaigle avait gagné contre Poufsouffle mais comme ils avaient perdu contre Gryffondor ils étaient hors course, de peu. Harry apprit qu'Angelina avait du se rabattre sur le dénommé Kirke qui avait retrouvé sa place de batteur, au grand damn son coéquipier Sloper.

Le match eut lieu le samedi 9 Avril afin de laisser par la suite le temps aux membres des équipes de se préparer pour les examens de fin d'année. Les quatorze joueurs s'élevèrent, les deux goals filèrent vers leurs buts et les attrapeurs prirent de l'altitude pour scruter le terrain. Une clameur s'éleva de la foule des élèves émeraude, faisant clairement entendre les paroles « Weasley est notre Roi ». Harry repris l'hymne et le cria de toutes ses forces, bientôt imité par Cho et la plupart de ses camarades. Il était étrange de remarquer que les Serdaigles semblaient plus proches des Serpentard que des autres saisons cette année là, tout en gardant une certaine distance vis à vis de leur amour de la magie noire et du pouvoir.

Le match débuta et ce fut immédiatement l'alali. Ron, fidèle à sa réputation et transcendé par l'humeur de la foule, était aussi efficace qu'un tétraplégique sur un balai. Les deux batteurs n'étaient ni coordonnés ni bien placés. Le coup de grâce fut rapidement porté par un action conjuguée des poursuiveurs Pucey et Flint et du batteur Derrick. Les deux poursuiveurs entourèrent Lica, attrapeuse de Gryffondor et la retinrent pendant que Derrick lui envoyait un cognard en pleine tête. Un coup de sifflet de Madame Bibine retentit alors que la jeune Gryffondor chutait dangereusement vers le sol. Sa chute fut heureusement ralentie par le professeur Alucard von Rammstein tandis que l'arbitre donnait trois penalties à Gryffondor et excluait les trois joueurs pour cinq minutes. Cela aurait pu permettre à Gryffondor de remonter au score malheureusement Malefoy avait pendant ce temps saisi le vif, mettant fin au match avant que l'arbitre ne siffle. Harry qui avait suivi le Serpentard durant toute l'action l'avait vu sortir discrètement sa baguette juste avant que le vif ne lui arrive miraculeusement dans les mains. Personne n'avait rien vu, trop occupé à suivre la chute de Lica. Malefoy tenait maintenant le vif, fièrement, l'exposant au public et offrant la coupe de Quidditch à Serpentard qui n'avait plus eut ce privilège depuis quatre ans.

Ce samedi soir-là, Harry et Cho s'installèrent devant une cheminée, bien callés dans les coussins. Cho jouait avec les longs cheveux du jeune homme tandis que celui-ci la serrait contre lui, profitant de la chance qu'il avait d'avoir la petite amie la plus parfaite de l'école. Ils discutaient tout en paressant. Après avoir éculés tout les sujets futiles, Cho demanda :

« Parles moi de Lily et James. »

Harry fronça les sourcils et dit :

« De qui ? »

« De tes parents bien sur ! » répondit Cho interpellée. « Mon parrain m'en a un peu parlé mais je ne sais presque rien d'eux. » ajouta t'elle.

« Mes parents sont morts juste après ma naissance, je me souviens plus d'eux. » soupira Harry. « Je ne savais même pas qu'ils s'appelaient comme ça. » dit il songeur.

Cho parut étonnée mais ne dit rien.

Ils passèrent la nuit ainsi, au milieu des coussins, réchauffés par le feu, dans les bras l'un de l'autre.

Le lendemain, Harry se réveilla en hurlant. Cho toute affolée paniqua et se précipita pour prévenir le professeur Flitwick qui arriva en pyjama bleu avec de petits aigles bronze dessus. Il découvrit Harry tremblant qui fixait ses mains tendues devant lui. Il était allongé et respirait par saccades. Il avait retiré ses chaussettes et tenait ses pieds au dessus du sol, comme si ceux-ci étaient douloureux.

« Que t'arrive t'il mon garçon ? » demanda le vieil homme précipitamment.

« Mes...mes mains et mes pieds...ça brûle ! » cria t'il.

Le petit professeur s'approcha et constata que les paumes des mains et les doigts étaient rouge vif, brûlés comme s'il les avait trempées dans de l'huile bouillante. Ses pieds étaient dans le même état.

« Mais qu'avez vous fait ? » demanda le professeur d'enchantement stupéfait.

Cho répondit alors :

« Rien professeur, on dormait et il s'est réveillé en criant. »

Comme il ne pouvait marcher sans éprouver une douleur atroce, Flitwick le fit léviter jusqu'à l'infirmerie où une Mme Pomfresh beaucoup moins sympathique que la dernière fois le fit allonger dans un lit, maudissant les « élèves qui n'avaient aucune considération des règlements et fabriquaient des potions illégalement ou se jetaient des sorts dangereux au moindre regard de travers. » Lorsqu'elle eut fini de l'occulter, elle le regarda avec étonnement, ne semblant ne comprendre l'origine de l'accident.

« Qu'avez vous encore inventé cette fois Monsieur Potter ? » fit elle exaspérée.

« Rien, je me suis réveillé comme ça. » lâcha t'il sur le même ton.

L'infirmière leva un sourcil, sceptique, mais habituée au manque de volonté des étudiants bléssés lors d'activités qu'ils n'étaient pas censés faire, elle n'insista pas. Elle se dirigea vers l'armoire où elle stockait ses potions et revînt avec une fiole contenant un liquide blanc laiteux. Lorsqu'elle le mit sous le nez du jeune homme pour qu'il l'avale, il faillit vomir rien qu'en respirant l'odeur.

« Buvez ça ! Comme vous ne voulez pas me dire ce qui a causé ces brûlures je suis bien obligé de vous faire avaler la plus puissante des potion de décramage ! Allez faites pas l'enfant et prenez bien sagement votre Potion ou c'est la dernière fois que je vous soigne ! »

L'argument sembla porter. Harry saisit la fiole et en avala le contenu d'un seul trait.

« Vu le nombre de fois que je vais à l'infirmerie dans l'année...et j'ai encore ma dernière année à passer ici...j'ai intérêt... » S'était il dit avant de se pincer le nez et de gober l'infâme et gluante potion.

Le jour se leva deux heures plus tard. Harry ne s'était pas rendormi et s'était vu interdit de quitter l'infirmerie avant au moins le soir.

« Et un dimanche de gâché, un ! » pensa amèrement Harry qui aurait préféré finir sa nuit tranquillement dans les bras de Cho et passer la journée avec elle. Un peu avant huit heures, Quelqu'un frappa à la porte mais Pomfresh renvoya la personne sans autre forme de procès.

La journée fut d'un ennui mortel car Pomfresh se vengea du comportement qu'avait eut Harry le matin même en refoulant toute personne voulant lui rendre visite.

A midi, constatant que les brûlures étaient plus vives que jamais, Pomfresh passa un onguent sur la chair à vif et entoura les main et les pieds d'Harry de bandelettes stériles alors que le jeune homme hurlait sous cette nouvelle torture. L'effet calmant de la potion avait disparu et Harry avait l'impression qu'on lui arrachait la peau par fines bandes puis qu'on découpait la chair mise à vif avec un instrument effilé.

Le soir, l'état des blessures ne s'était pas amélioré et Pomfresh s'impatienta :

« Bon, Potter maintenant dites moi ce que vous avez fait ou je ne pourrais rien pour vous ! »

« Rien ! » tempêta Harry sachant qu'il professait la vérité.

« Allons vous n'êtes pas encore un nouveau Saint-François d'Assise à ma connaissance, ce sont des brûlure pas des stigmates que vous avez ! » s'énerva t'elle.

Harry était tellement furieux de n'être une fois encore pas cru, qu'il ne remarqua pas la référence à une chose aussi Moldue que la religion. Il haussa les épaules et soupira, exaspéré, avant de s'enfermer dans un mutisme obstiné. Pomfresh s'en fut, le laissant bouder, sachant très bien que le baume qu'elle lui avait passer cesserait d'étouffer la douleur d'ici peu.

« Ca lui dénouera la langue ! » Pensait t'elle contrariée.

Mais Harry passa encore trois jours à l'infirmerie avant que la vieille infirmière ne s'avoue finalement vaincue, ayant testé toutes les potions, les baumes, les élixirs, les lotions et les onguents anti-brûlure qu'elle connaissait. Le cinquième jour, elle se dirigea vers son patient qui s'ennuyait ferme, décidée à avertir les services spécialisés dans les accidents magiques si elle ne constatait pas d'amélioration.

Heureusement pour le jeune homme, la peau semblait avoir légèrement cicatrisé durant la nuit et elle décida d'attendre encore, se contentant de baigner les plaies et de changer les bandages.

Il ne put finalement remarcher que le lundi suivant, et même s'il boitait sévèrement il pouvait au moins aller aux toilettes sans faire appel à l'infirmière. Ses mains étaient pratiquement guéries mais ses pieds avaient plus de mal à se remettre des mystérieuses brûlures.

Quelle ne fut pas sa joie lorsque la vieille femme acariâtre lui permit de sortir le soir de ce qui selon les calculs du jeune homme devait être le jeudi 21 Avril.

Il se précipita dans la salle commune et se jetta dans les bras de Cho qu'il fit tomber dans les cousins derrière elle, tombant par dessus elle, sous le regard amusé des autres Serdaigles.

« Quelle ardeur monsieur Potter ! » gloussa t'elle tout en passant ses mains dans son dos, appréciant la fine musculature que le jeune homme entretenait depuis l'été précédent.

Harry sourit, se recouvrit de coussins, se dissimulant lui et Cho au regard des autres et l'embrassa violement tout en la caressant à son tour.

Soudain ils se retrouvèrent à découvert, Harry torse nu et Cho le soutien-gorge de travers, devant leurs camarades morts de rire. Les cousins flottaient au niveau du plafond, sous l'effet d'un sortilège de lévitation.

« Je peut même pas être tranquille et en profiter un peu après une semaine et demie sans lui ? » grogna la jeune fille en remettant son soutien gorge d'une main, se cachant avec un des rares coussins encore à portée de l'autre.

May Hemme brandit fièrement sa baguette et s'inclina sous les applaudissements de toute la bande. Rugissant, Cho se jetta sur elle et entrepris de lui faire payer ce mauvais tour a grand renfort de coussin. La bataille s'élargit bientôt à toute e groupe : amies de Cho et garçons de sixième année. Certains tentèrent une coalition alors que les autres se battaient chacun pour eux mais cela eut pour seul effet de créer une alliance entre les solitaires qui les écrasèrent sans Mercie avant de recommencer à se battre entre eux. Au bout de cinq minutes, les élèves réalisèrent qu'ils se comportaient tel de puérils Gryffondor et reprirent bien vite leurs mines sérieuses, certains saisissant un livre, d'autres se précipitant à une table, dès fois que les autres Serdaigle les aient vu se battre et ne les méprise. Cela dit, il n'y avait que peu de chance qu'ils aient été aperçut en train de se chamailler. En effet la salle commune était divisée en petits espaces délimités par de grand piliers recouverts de bronze entre lesquels des sortes de paravent cachaient les reste de la salle, donnant un sentiment d'intimité et permettant de se réunir entre amis sans être importuné par les autres élèves.

Avant le dîner, Cho fit ses devoirs alors que Harry qui en avait été dispensé se mettait à jours dans ses cours, recopiant tout les cours théoriques qu'il avait ratés.

Ils dînèrent joyeusement avant de se retrouver à nouveau dans la salle commune. Cho et lui décidèrent de ne rien faire, n'ayant pas de devoirs alors que leurs camarades lisaient leurs livres de cours, apprenant déja les cours à venir afin de répondre aux questions des professeurs le lendemain.

Une fois de plus ils passèrent la soirée allongés dans les coussins, le dos appuyé à un pouf. Sur sa demande, Cho lui raconta son enfance et il l'écouta tout en jouant de son corps avec ses mains. Il sourit lorsqu'il remarqua que Cho avait très jeune manifesté un caractère bien trempé et somme toute assez différent des autres Serdaigles qui vénéraient le travail à un tel point qu'ils en oubliaient de vivre. « Heureusement c'est pas son cas. » pensa Harry en se rappelant qu'elle avait déclenché la bataille de coussins et bien heureux de pouvoir passer ses soirées d'inactivité dans les bras de sa copine plutôt que dans ceux d'un quelconque grimoire. « Je travaille déja assez le matin moi ! » songea t'il pensant aux quatre ou cinq heures d'insomnie qu'il avait en général le matin après son cauchemar récurent du cimetière : celui ou les défuns venaient le hanter, l'accusant d'être responsable de leur mort.

Cho conclut son récit par sa cérémonie de la répartition, disant que « là se finissait son enfance et débutait son adolescence qui est une autre histoire ». Elle demanda ensuite à Harry de lui raconter sa propre enfance, tout ce qui lui était arrivé avant qu'il n'arrive à Poudlard. Harry resta silencieux, tentant de rassembler ses idées avant d'avouer stupéfait :

« Je...je ne m'en souviens plus... »

Cho le regarda inquiète avant de passer sa main sur son front.

« Pourtant je me souviens très clairement de tout depuis ! » réfléchit il à haute voix.

Il entreprit donc de raconter à Cho sa scolarité si mouvementée. Il lui expliqua comment il avait sauvé la pierre Philosophale que Quirrel désirait par dessus tout, comment en deuxième année il avait tué le Basilic que Lockhart avait lâché sur les élèves, se disculpant en simulant l'amnésie, comment en troisième année il avait fait capturer le dangereux criminel Sirius Black qui s'était enfuit ensuite à cause de l'inefficacité du ministère. Cho fut étonnée que son petit ami a vécu tant d'aventures mais ne dit rien. Harry continua ensuite par le récit de la troisième tâche et comment ils avaient atterri, Cédric et lui au milieu d'une réunion des derniers Mangemorts menés par Malefoy, qui se morfondaient de l'absence de leurs maître et qui avaient décidé de le venger en tuant le survivant. Cho s'étonna de cette version et lui demanda :

« Mais Dumbledore a dit que Voldemort était revenu à la vie et avait tué Ced... »

« Il est mort. » affirma Harry.

« Mais l'année dernière au ministère... »

« Ont été arrêtés cinq Mangemorts qui étaient dirigés par Malefoy qui comptait prendre le pouvoir et s'ériger en nouveau seigneur des ténèbres. » compléta Harry.

« Mais le ministère... »

« A été berné par Bellatrix Lestrange qui a fait apparaître une image de Voldemort pour terrifier les témoins et tenter de secourir son maître, Malefoy, prisonnier dans la salle de la mort du département des mystères. » finit t'il.

La jeune fille accepta l'explication, hautement étonnée et ils passèrent la fin de leur soirée à parler de sujets bien plus futiles.

Finalement la jeune fille se redressa sur les coudes.

« Je crois qu'il est temps de descendre se coucher ! » fit Cho en amorçant un mouvement pour se relever.

« Oh non ! Après une semaine et demi passé à l'infirmerie je n'ai certainement pas l'intention d'aller me coucher aussi vite ! » Fit Harry en l'attirant contre lui.

La nuit qu'ils avaient passé dans la salle commune, celle où ils s'était réveillé en hurlant, lui avait révélé une chose : contrairement à celle des Gryffondors où l'on risquait à toute heure de se faire surprendre par un camarade, celle de Serdaigle était déserte dès minuit et ce jusqu'au matin. Lui embrassant le cou il lui murmura :

« Ce soir je te veux toute à moi ! »

Fin du Chapitre.

Prochain chapitre : « Face à face. »

GRRRR ce chapitre était finit à 19h mais free a décidé de deconner une fois de plus = pas de connection (ecrit a 21h)! Donc désolé pour ce contre-temps bien indépendant de ma volonté ! Et maintenant que free marche c ff.net qui deconne c pas vrai je suis poursuivi. (ecrit a 22h). Bon ben visiblement je le publierai dans la nuit et vous le lirez demain si ff.net le veut ! (23h...) je commence a me demander si c pas ff.net qui a fait deconné mon navigateur et m'a embrouillé mon systeme de connection taleur moi....aaa (23h10) wé g la page d'accueuil ff.net merde j'accede pas a mon compte ggrrrr. Bon en attendant je vais commencer le chap 17...CA yééééééé ( 00h12) Allez je finis le chap ce soir !

Eééééééé voila ! On y est ! Bon le chapitre est bof mais les révélations arrivent et pour ce chap là je suis trés inspiré, moi je le trouve simplement génial (en toute modestie) !je peut le dire vu qu'il est presque fini à l'heure ou je publie enfin. Enfin voila ! Irisque d'y avoir des surpris demain loool j'ai hate de voir ca et surtout de lire les trééééés longues review que vous allez me laisser pour me féliciter d'être aussi tordu, imprévisible et génial :o). Et en plus conscient et pas peu fier de l'être ce qui arrange pas les choses... xpldr enfin o moins je m'en rende compte (que je suis un dieu pas que je suis mégalo et égocentique hihihi)

Sinon je répond publiquement à ce trés cher « De trés Mauvaise Humeur » qui me dit :

« Suite à la lecture de ton dernier chapitre, je laisse tomber ta fiction.
Je ne te salut pas. »
 

Dommage pour toi ! Je vous ai dit d'être patient et tu vas même pas savoir ce qui a conduit notre jeune héros à tout ces changements. Quand au fait que tu t'ennerve comme ça je trouve ça ridicule : ce n'est qu'une fic, ya des choses plus importantes dans la vie ! (Heureusement). Ca vaut pas la peine de s'ennerver pour si peu sinon tu dois passer ta vie a t'ennerver et a te faire des ennemis c'est pas possible... Pis voit le bon coté des chose comme l'a souligné harry Gryffondor : « Au moins c'est trés bien écrit ! » loooool tu vois y'en a qui attendent la suite patiement sans s'ennerver et qui en rigolent !

Mais bon au moins moi qui me demandais ce que ça faisait d'avoir une review négative...maintenant je sais (1/80... ya foule pour critiquer lol) : ca m'a fait mourir de rire qu'un gars s'ennerve juste pour une fic... Enfin c'est ton choix et je pense que tu n'est pas le seul mais que les autres auront eut la descence de le faire sans critiquer le travail quotidien qui est le mien pour mener a bout cette fiction (oula il est serieux d'un coup la !)

Voila, je te salue bien bas...                           Lord Aragoth.

Notez que ce reviewer attentionné fait preuve de courage dans ses opinions en signant sa review d'un nom trés explicite...

Sinon petit clin d'oeil à iron : « s'exclama Byron dont la tête ressemblait à celle d'un zombie tellement l'entrainement de Quidditch avait du être intensif. » Pour ceux qui ne le savent pas les disques d'Iron Maiden ont tous un ou des zombie sur la pochette. o)

Allez réponse aux reviewers qui ont interet de me concocter une tréééééééés longue review au prochain chapitre histoire de me motiver à trouver une histoire pour la derniere année pke g tj pas trouvé..enfin i reste du temps d'ici la rentrée en 7eme année...

Luc Granger aka Racatte : L'équipe de gryf a été remaniée et c'est faite laminée d'une manière magnifique... au moins ca change !(c tj ca). Ah mince Rusard g oublié, encore une fois tu me sauve en m'y faisant penser merci ! Dans les chap a venir donc les impressions. Enfin Poudlard Mag : bon ben arrete de te plaindre grace a moi tu quadruple tes ventes keski te faut de +...alala jamais content ce gars la ^^. Bon, ct le dernier chapitre qui fache, vivement le prochain je pense que tu l'attends avec impatience....C la + courte reponse que je t' ai faite i me semble...bah fo dire ya rien a repondre a ce que tu me dit, ce sont des affirmations pas des questions et je suis d'ac avec dc....a bientôt ! Merci d'avoir affonté les chapitres pas cool pour toi !

Harryjo : Uuuuu tes review tendent vers le minimum de mot lool ! Elles sont ou les review bien longues du debut ? snif.... t fachée de la tournure de ma fic ? Bon ben tu le sera plus au prochain chapitre de tt facon ! Allez a bientôt !

Harry Gryffondor : « cette fic ne commence que maintenant. » Bof.. tu sais l'intrigue des deux années sera différente donc en fait là on arrive a la conclusion de la première année...aprés les vacances et enfin la dernière année (et je sais tj pas kel plan Voldie aura cette année la moi...). Voila, j'espere que ce chap t'as plu et que le suivant te plaira encore plu 

Yop : lol pour la reponse à l'autre mécontent... tinkiet je perd pas la motiv ! Sinon j'ai repondu pour ca plus haut mais je pense que tu as vu o) ! Sinon, Arken Nemy : connais pas mais je vais l'utiliser, c koi le groupe que je dl vite... ah et c koi le prenom loool ! Allez a ciao a bientôt !

Maëlle : alors : sisi g cours, chui en fac d'histoire (13h de cours / sem et une 20aine d'heures de boulo a la maison). G u mon premier cour d'histoire contemporaine mardi et comme devoirs elle nous a juste donné a apprendre le 16eme sicle, rien que ca...a savoir sur le bout des doigts pour jeudi. Mais bon ca m'empeche pas pour le moment ca va encore c juste le début.  Pour les indices : tu verra bien au prochain chapitre. Quand aux mecs de 15 ans, merci je connais g été... ya pas si longtemps (4ans c pas bcp mais assez pour passer l'age con ou l'on suit la mode comme un mouton sans originalité et devenir un psychopathe de metaleux à bracelets à clous, newrock et t-shirt de métal :o)))) enfin c mieux que tachini lacoste et autres merdasse pour racaillons immature (ca g jamais ete reusement)  mais je m'ecarte du sujet).  Well I think that's all. Ah non. Je continue tinkiet tinkiet tinkiet. o) Allez je vais changer la fin de ma réponse : Big Biz partout (sisi je t'assure).

Sab : merci beaucoup !!!! Bon ben niveau couple t'as vraiment pas à t'en faire alors... Voila encore merci et (a+ c tout ? même pas gros bisous ? Bon allez je suis pas rancunier) GROS BISOUS !.