Un nouveau chapitre tant que j'ai un peu de temps.J avais oublier la dernière fois mais rien n'est à moi, sui lut cru hein?

bonne lecture

2) Transplannages en série et cadeau plutôt spécial

Lorsque la sensation de compression finit Harry sus qu'il avait transplanner et qu'il était arrivé à destination. Il ouvrit les yeux pour se situer, mais il ne connaissait pas la ruelle ou ils avaient atterris. Harry se tourna vers Hermione pour la questionner mais il vit son air inquiet alors qu'elle scrutait la ruelle du regard. Instinctivement le jeune homme porta une main à sa baguette. Ils sursautèrent lorsqu'un bruit de chute se fit entendre derrière eux. Une forme sombre était étendue devant une clôture. Hermione rangeât sa baguette qu'elle avait sortie par réflexe et se dirigeât vers la forme en disant :

« -Alors Ron s'était quoi cette fois-ci ? Un lit ? Une murette ?...

Harry reconnut son meilleur ami et se rapprochât du couple.

-… je parierais sur un massif d'hortensia malgré tout ; finit la jeune fille en aidant le rouquin à se lever et en enlevant une fleur qui s'était logée dans ses cheveux.

Ron quant à lui marmonnait une phrase ressemblant à « qu'elle idée de transplanner ici » « pas tous être parfait.. » ce qui mit la puce a l'oreille du brun : ou étaient-ils ?

« -Heu vous pouvez me dire ou on est ? Parce que là je ne reconnais pas du tout.

-A quelques rues de chez moi, répondit la jeune fille en commençant à cheminer vers le sortie de la ruelle ; j'ai besoin de quelques choses pour… la mission contre Voldemort et ils ont été apporter hier ici. »

Harry hocha de la tête malgré qu'il n'ait pas tout saisi. La ruelle déboucha sur une rue dans un quartier résidentiel. Le trio chemina parmi des maisons moldues plutôt grandes et surtout individuelles. Hermione s'engageât dans un jardin sur leur gauche et sortit un trousseau de clefs. Les deux garçons s'arrêtèrent pour détailler la bâtisse. Elle était dans les tons gris et blanc en bois sur deux étages et à bien y regarder elle formait un L.

A l'extrémité gauche se trouvait un double garage une dizaine de mètres de mur parsemer de fenêtres le reliait au perron ou se trouvait la jeune fille, en regardant sur la droite de la porte d'entrée on pouvait voir encore cinq mètres de façade grise et une grande véranda qui formait l'angle des deux parties de la maison.

Harry pensa que cette maison pouvait contenir deux voire trois fois celle des Dursley. Ron quant à lui se demanda ce qu'elle pouvait bien trouver au Terrier avec une maison pareille et il en vint à penser qu'Hermione était issue d'une famille plutôt aisée. Cette dernière leur fit signe d'entrer. Quand ils pénétrèrent dans le vestibule ils purent voir qu'il donnait sur trois pièces : un grand salon bleu avec des touches de blanc doublé d'une salle à manger, un cuisine, et ce qu'ils pensèrent être un jardin d'hiver avec les vérandas qu'il avaient vu de l'extérieur. La jeune fille entra dans cette pièce. Elle était dans les tons vert et blanc éclairée par la lumière qui pénétrait à flot par les fenêtres, meublée simplement par un salon écru (canapé fauteuils tapis et table basse) un piano droit, quelques plantes. Pour compléter le décor un escalier menant sans aucun doute à l'étage supérieur se trouvait dans le coin droit de la pièce avec une porte donnant sur un couloir sur sa gauche. Hermione s'y engageât avec Harry et Ron sur les talons et il en fut de même quand elle ouvrit la première porte à droite pour accéder à un grand bureau entièrement en acajou avec deux bibliothèques remplies de livres du sol au plafond. La jeune fille contournât les bureaux placés au centre de la pièce et se dirigeât vers une grande armoire, passât sa main sur la corniche pour en ressortir une clef dont elle se servit pour ouvrir le meuble. Il contenait des livres que les garçons supposèrent de magie. Hermione parcourut les rayonnages des yeux avant de saisir une clef ressemblant à celle de Gringotts. Elle ferma la porte et replaça la clef avant de leur dire que ce qu'elle cherchait était dans une autre pièce. Elle partie d'un pas vif vers la porte au fond du couloir et poussa un cri de triomphe qui attirât ses deux amis. C'était sans aucun doute la chambre de la jeune fille. D'une couleur carmin, avec des meubles en noyer, la pièce était simple mais chaleureuse avec une baie vitrée et bien entendu des livres à peu pré partout où ils pouvaient être entreposés. Hermione, assise sur son lit, déballait un paquet dont elle sortit des livres. Elle prit le premier et se dirigeât vers le bureau près de la baie vitrée, ouvrit un tiroir pour prendre une sorte de plan. Pendant que la jeune fille travaillait sur son livre Harry jeta un coup d'œil à Ron. Celui-ci semblait gêné et en même temps intéresser pas la pièce ; comme s'il essayer d'en apprendre plus sur Hermione en étudiant son lieu de vie hors de l'école. Le rouquin vira au rouge quand son regard tomba sur une pile de sous-vêtements dans la penderie entrouverte ce qui fit rire silencieusement Harry quand il compris l'origine du rougissement. Un « réducto » marmonné attira leur attention sur Hermione :

« -C'est pour quoi ces livres ? Questionna le brun.

-Le premier est un livre sur l'espionnage et les dissimulations et l'autre et le second sur les codes moldu répondit Hermione, allons dans la cuisine je t'expliquerai. »

Quelques instants plus tard le trio se retrouvait assis autour de la table de la cuisine ; la jeune fille expliqua au brun que le premier livre était surtout pour eux et que le second servirait pour communiquer avec l'Ordre. Ron fit remarquer qu'elle avait penser à tout ce que Harry approuvât. Discutant de tout et de rien, des préparatifs du mariage de Bill et Fleur, de leur futur départ en attendant de partir (Hermione avait dit qu'ils étaient attendu à 8 heures 30 et il était 7 heures 45) ils furent interrompus par le carillon de la porte d'entrée. Ron fit un bond sur sa chaise et Hermione allât ouvrir. Les deux jeunes hommes distinguèrent une voix plutôt grave et celle plus claire de la jeune fille, la porte qui se ferme et la conversation qui s'approchait. Hermione entra dans la pièce avec un paquet dans les mains en disant un sourire aux lèvres :

« -… c'est très gentil Andrew, je laisserai un mot à maman pour lui dire je suis sure qu'elle acceptera. »

Harry et Ron virent un garçon asse grand et élancé avec des cheveux noir et des yeux gris suivre la jeune fille, posant sur elle un regard appréciateur avec un petit sourire.

Le rouquin détesta sur le champ cet Andrew alors qu'Harry sourie poliment lors des présentations.

« -Je me demandais si tu pouvait me prêter ton livre sur la peinture Baroque française, j'en aurais besoin pour un devoir d'été, demanda le nouveau venu.

Hermione réfléchit un petit moment avant de dire :

-Il doit être sur une étagère dans ma chambre, suis-moi je vais te le donner

-Comme si je ne savais pas où est ta chambre, dit Andrew avec un air malicieux derrière la jeune fille.

A l'entête de cette phrase Hermione rougit violement, Ron blêmit en ouvrant des yeux comme des soucoupes et Harry regarda la jeune fille d'un air amusé.

« -Qu'… qu'est…arghh…dire ? bafouilla le rouquin en regardant son ami d'un air abasourdit.

- Heu ; elle a du le faire réviser, mentit Harry.

En effet cette explication semblait totalement improbable car elle ne suivait pas un cursus moldu et les regards d'Andrew sur sa meilleure amie avaient plutôt l'air d'être … connaisseur. Qu'il ait été son petit ami ne surprendrait nullement le Survivant.

Néanmoins cela suffit à Ron qui reprit quelques couleurs.

Quand Hermione revint il était l'heure de partir même si elle n'avait passé que dix minutes avec Andrew. Sortant dans le jardin le trio transplanna à nouveau et la même sensation se fit sentir chez Harry. Quand ils atterrirent ils se trouvaient sur le Chemin de Traverse et Ron toujours plongé dans ses cogitations sur Hermione/Andrew se trouvait debout prés d'eux. La rue sorcière brillait d'une lueur bleutée que la jeune fille identifia comme des sorts anti-intrusions. Des affiches ministérielles parsemaient les magasins rappelant au trio que la guerre était toujours là. Mais un se détachait du lot par sa couleur violette tapageuse et l absence de tracs collé sur sa vitrine : celle de Fred et George Weasley les frères de Ron.

Ils entrèrent dans la boutique de farce et attrapes et une jeune femme blonde vint à leur rencontre. Reconnaissant Ron elle leur tendit un paquet qu'ils s'empressèrent d'ouvrir après l'avoir remercier. Le paquet était composé de trois capes, un Scrutoscope, trois tubes à essaie de Poudre du Pérou et d'autre invention inconnu d'harry. Ils se vêtirent et s'équipèrent puis Hermione dépliât le plan quelle avait enchanter chez elle, le scruta pendant quelques instants avant de la tender à Ron et de leur dire qu'il pouvaient aller.

Pour la troisième fois de la matinée Harry eut l'impression d'être du dentifrice sortant de son tube et pour la troisième fois il ouvrit les yeux sur un nouveau décor. Mais qu'il vit ne lui plut guerre : un cimetière s'étendait pertes de vue face à lui. Une panique le prix aux tripes. Pourquoi était-ils dans un cimetière ? Du Polynectar ? Des Mangemorts ?

Il sentit la petite de main d'Hermione se glisser dans la sienne, et un regard chaleureux et un peu fatiguer s'ancrer dans le sien. Non ce n'était rien de cela, et il allait vite le comprendre.

Le Survivant se laissa conduire entre les dédales de tombes, que le couple devant lui avait l'air de connaître avant de s'arrêter devant un double caveau.

« -Ca a été dur des les trouver mais on l'a fait murmura Ron

-On a penser que tu aimera partager un peu de tes 17 ans avec eux continua la jeune fille. Alors joyeux anniversaire Harry. »

Le brun baissât les yeux.

Sur la pierre blanche était graver en lettres d'or :

Lily et James POTTER