Nouveau chapitre tant attendu de GSFMA!

Pour tout ceux qui se demande pourquoi je met autant de temps pour poster, je vais faire une réponse très simple:
"Ma fic est basée sur les idées et les envies des lecteurs (d'où le besoin de reviews si vous voulez vous intégrer), de part ce fait, je n'ai qu'au maximum deux chapitres d'avances (ce qui n'est encore jamais arrivé), afin de pouvoir entrer vos idées dans les pages.
Donc, il me faut tout de même un peu de temps pour tout écrire, avoir assez vidé mon cerveau pour faire agir Isaïa et enfin rester assez pertinante dans ma rédaction, sinon ma lectrice alpha me tappe sur les doigts."
Je pense que c'est assez circoncie, donc je ne vais pas vous gener plus longtemps et vous souhaiter... bonne nuit!
... Euh
non, Bonne lecture plutot XP


Chapitre 3: le corps de l'interdit (part 1)

Tu as tenté de réaliser une transmutation humaine ? Tu as violé le plus grand des interdits ! Ton corps est passé de l'autre côté ! Voilà d'où vient ce nom « d'acier » ! L'ALCHIMISTE D'ACIER! Jubila Cornello.

(Générique de début d'épisode. J'la mettrais la prochaine fois si vous le demandez XP)


Faisant face à leur destin qui se trouvait être un prêtre souffrant d'embonpoint, la famille Elric restait stoïque, attendant le petit discours que seuls les hommes importants savent si bien rallonger en disant des non-sens, fort peu compréhensibles au bout de 2 minutes d'écoute assidue.

-Je vois, c'est donc ça. Commença pompeusement le prêtre. Je me demandais pourquoi un gamin comme toi avait un surnom aussi dur et froid que celui « d'alchimiste d'acier »

Ah ! J'avais oublié de préciser que tirant vers la cinquantaine, le prêtre à fort tendance à se répéter souvent. Et ayant eu une vie bien remplie, il se conforte dans son expérience en donnant un petit cours d'alchimie à Rose.

-Rose, en alchimie, il est interdit de transmuter les objets en or. En plus de cela, il y a une autre chose qui a été interdite par un accord tacite. Il s'agit de la transmutation humaine.

Réalisant le comment du pourquoi de la chose, Rose nous émit un doux hoquet de surprise et de frayeur en entendant ça.

Les frères Elric gardaient les yeux bas, se remémorant douloureusement comment ils en étaient arrivés là. Isaïa étant un peu trop… bon on l'avoue, débile pour saisir les accusations, elle jouait à défaire et refaire les nœuds qui fixent la devanture de l'armure de son petit frère spectral.

-Jeunes insensés. Gronda joyeusement le prêtre. Vous avez manipulé l'alchimie sans même en connaître les conséquences !

-Non, nous… ! Protesta Al.

- AL ! Cria Edward.

Ce seul mot d'ordre de son frère aîné, réduisit Alphonse au silence. Effrayé par le cri d'Edward, Iris avait totalement stoppé ses mouvements et regardait l'alchimiste aux membres d'acier fixer le sol.

Attristé, Alphonse déposa Isaïa par terre.

-Nous… voulions seulement revoir le sourire de maman. Avoua tristement l'armure.

Sautant sur l'occasion, Cornello se permit de se railler d'eux.

-Mais vous avez échoué ! Jubila-t-il.

-Oui, mon petit frère a perdu son corps, moi ma jambe gauche et mon bras droit, et notre grande sœur la raison. Dit courageusement Edward, alors qu'il se faisait embêter par Iris qui voulait absolument aplatir sa mèche rebelle, mèche dont il avait renoncé au domptage depuis sa plus tendre enfance.

-C'est ce qui est arrivé quand on a essayé de ressusciter une seule personne à trois.

Rose, voici le résultat pour avoir tenté de ressusciter quelqu'un. Concrétisa le jeune blondinet en repoussant de son bras mécanique sa sœur trop collante.

L'allusion à son envie de revoir son petit ami percuta l'esprit de Rose (1), l'effrayant bien malgré elle. Rose se doutait des accusations d'Edward qui allaient suivre.

-Es-tu prête à en affronter les conséquences ? Termina Edward.

Les paroles du blond effrayèrent autant la jeune fille que si il l'avait condamnée à subir les châtiments les plus horribles du Dieu soleil Léto.

Voyant le désarroi de sa fidèle, Cornello posa une main réconfortante sur l'épaule de la jeune fille (2) aux mèches roses.

-Ne t'inquiète pas. Dit doucement le prêtre. J'ai la Pierre Philosophale que Léto m'a donnée. (3) Et je ne suis pas un amateur comme eux.

-Ne te moque pas de nous ! Intervins Edward.

-C'est vrai ! Approuva Isaïa, stupéfiant ses deux frères de part son initiative prouvant qu'elle avais suivi la conversation. La gelée royale est bien meilleure quand on la met sur du pain beurré ! (4)

La continuation de l'idée de la blonde acheva l'assemblée. Personne n'avait osé imaginer qu'elle était idiote à ce point. Mais Edward fit fi de cette interruption, un peu habitué depuis le temps qu'il voyageait avec elle et continua ses accusations sur Cornello.

-Il y a des choses qui ne peuvent être réalisées, peu importe le nombre d'essais.

-Comme attraper toutes les pommes qui se trouvent dans la bassine d'eau en une seule fois ! Intervint de nouveau Iris pour donner un exemple concret à l'idée de son petit frère.

Le lourd silence qui passa par la suite fut assez gênant, surtout en voyant l'air décidé et assuré d'Isaïa. Blasé des interruptions dans ses joutes verbales avec un prêtre borné, Edward décida de mettre sa sœur derrière Al, dos contre ce dernier. Ainsi, elle pourrait compter les grains de sables en paix pour s'occuper, sans écouter la conversation.

-Désolé pour elle. S'excusa Alphonse. Elle ne le fait pas exprès.

-Hm… Fit Cornello avant de reprendre sa prestance et ses accusations contre les Elric. Alors pourquoi recherches-tu la Pierre Philosophale Alchimiste d'acier ? Tu dois penser que tu pourras transmuter ta mère grâce à elle. Rit le prêtre.

-Arrête de te faire un film, crâne d'œuf. Injuria Edward, provoquant une surprise non feinte au père. On veut seulement récupérer nos corps d'origine. Bien qu'il y ait une chance que ça ne marche pas. Avoua finalement Ed avec une pointe d'ironie en portant sa main gauche à son bras droit.

Fâché que ses prédictions soient fausses, Cornello fulminait affreusement.

Toujours poli, Al pris la parole.

-On ne le redira pas. Donnez-nous la Pierre Philosophale, s'il vous plaît.

-Alchimiste National. Prophétisa Cornello. La colère de Dieu va s'abattre sur toi.

-Descends ici, magicien de seconde zone ! Craqua Edward. Je te montrerai à quel point tu es inférieur à nous !

Mauvais joueur, le prêtre Corni activa sa bague magique pour transmuter sa canne derrière son dos, ne prévenant pas de cette manière la famille Elric du danger prochain qui les menaçait.

Rose, elle, étant à proximité de son « sauveur », vit le miracle (selon elle) qui se passait dans le dos du grand homme. Inquiets de la réaction de fuite que Rose fit à l'égard du prêtre, les frères Elric se doutèrent de quelque chose. Et ils eurent raison. Surtout quand ils virent la mitrailleuse Katling qui sortit, comme un lapin du chapeau d'un magicien, de derrière le dos de la corneille… euh… de Cornello.

Et moins d'un quart de seconde plus tard, ce fut le feu d'artifice. Les balles fusèrent, les douillent dégringolèrent, les Rose reculèrent, les Cornello jubilèrent et le sol en nuage de poussière se transforma. (5)

Quand les coups cessèrent, un petit rire nasillard sorti de la gorge (6) de Cornello. Mais il s'évanouit bien vite en voyant un immense mur de pierre au milieu du nuage de poussière qui se dissipait.

C'était Edward qui l'avait formé, afin de protéger sa famille et lui.

-C'était moins une. Souffla Edward.

Des bruits de course se firent entendre dans le couloir, avant que l'on entende d'autres prêtraillons appeler Cornello par le terme honorifique qu'il s'incombe, c'est-à-dire, Grand Prêtre.

En relevant la tête vers les portes grandes ouvertes (7), on pu voir un mini groupe de prêtre, armé de bâtons, prêts à se battre. Le premier d'entre eux reconnus les Elric et sorti un pistolet et tira son chargeur sur Alphonse qui était immunisé contre les balles.

…Et dire qu'il y avait Isaïa juste en dessous, qui grattait le sol, à quatre pattes.

Edward avait réussit à s'éclipser du feu croisé et se dirigea vers un coté de la salle.

-Al ! Par ici… Et ramène Is avec toi ! Ordonna le jeune alchimiste.

-Imbécile, il n'y a qu'une seule sortie ! Clama Cornello

Toujours en train de courir, suivi de près par Alphonse qui tenait Iris par la taille pour qu'elle suive l'allure, Edward avais déjà vu cette fatalité et y avait réfléchit.

-S'il n'en existe pas d'autre…

Il freina dans un dérapage, frappa dans ses mains et posa ses paumes, l'une mécanique et l'autre charnelle, sur le mur de pierre.

Il suffit que j'en fasse une !

Et poum padapoum pif woaouw ! Une belle porte de fer est formée, laissant les Elric sortir, sous les rires non retenus de l'aînée.

-QUOI ? S'insurgea le grand prêtre ventripotent.

Mais la surprise provoquée par cette transmutation laissa à la famille le temps de prendre la poudre d'escampette. Le tout avant que les prêtres ne reprennent leurs esprits et ne donnent l'ordre de les capturer. (8)

-Grand Prêtre… S'inquiéta Rose.

-Hein ? Répondit-il bêtement.

-Cet anneau… Les miracles, s'agissait-il d'alchimie ?

-Certains préfèrent lui donner le nom d'alchimie. Expliqua calmement le prêtre, bien doux avec Rose (9). Mais je peux faire des choses qui leur sont impossibles.

Voyant qu'il laissait la fille sceptique, le prêtre fit un sourire encore plus large avant de donner sa preuve infaillible.

-Excuse-moi de t'avoir fait attendre.


De la pièce fort peu chaleureuse, on passa dans une chambre encore plus froide.

Un lit à baldaquin trônait au milieu de la pièce, et on pouvait voir une silhouette se dessiner à travers les rideaux tirés du lit. Une étrange voix hachée s'éleva de la forme ombragée.

-Ro…Se…

-K…Kain ! Souffla tendrement la jeune demoiselle, ivre de bonheur de retrouver son petit-ami.

-Ro…Se… Répéta la forme sur le lit.

Toute en joie et des larmes sur les coins des yeux, Rosa tenta une approche. Mais elle fut retenue par le Prêtre Cornello qui, décidément, aime bien les épaules de la fille pour toujours mettre ses grosses pattes dessus.

Surprise du geste (10), Rose se retourna vers Cornello qui la couvait du regard pendant ses retrouvailles émouvantes.

-L'esprit de Kain a été ramené à la vie grâce à notre Dieu Léto. Son corps devrait être achevé dans quelques jours. Prêcha Cornello.

-Grand Prêtre… S'émerveilla Rose. Alors il ne peut s'agir… que d'un miracle de Dieu.

Mais la fille s'arrêta dans sa reconnaissance et vit des plumes parsemer le sol, ne sachant pas trop quoi en penser.


Du coté des Elric :

-On aurait facilement pu s'emparer de la Pierre Philosophale, si tu l'avais voulu. Examina Alphonse.

Edward savait cela et il n'était pas spécialement ravi que son petit frère lui fasse la remarque.

Assis au pied d'une statue de la ville de Léto, les frères regardaient Isaïa jouer à l'alpiniste.

Mais ils furent distraits de leur « contemplation » en entendant un bruit strident leur parvenir. C'était les radios de la cité qui mirent en route, diffusant la voix de Clay.

-Ce soir, trois hérétiques ont tenté d'assassiner notre Grand Prêtre ! L'un est petit, l'autre porte une sorte de vieille armure et le troisième est une jeune fille ahurie aux longs cheveux blancs, clama la voix dans le poste. Le Grand Prêtre veut que personne ne soit blessé. Il vous demande de ne pas sortir !

Bien évidemment, demandez une chose et le peuple fait parfaitement le contraire. Ainsi, toute la cité, armée jusqu'aux dents est dans les rues à cette heure tardive, à la recherche de la famille Elric.

Finalement, ce fut en plein centre-ville qu'Edward, Alphonse et Isaïa furent découverts. Al sur un piédestal de statue du Dieu soleil Léto, Iris sur ses épaules. Ed, quant à lui, était debout à coté d'eux, blasé.

Les citadins en colère avaient encerclé la famille, les menaçant avec leurs armes de fortunes.

-C'est bien eux. Le petit gamin étranger. Dit un vieil homme.

Vexé, Edward avait réagit au quart de tour au mot « petit » quand on parla de lui.

-QUI EST LE GAMIN SUPER MEGA COURT SUR PATTES ! Hurla-t-il

-JE N'AI PAS DIT CA ! Répondit le vieil homme sur le même ton que le gamin impertinent.

- Quoi qu'il en soit, vous feriez mieux de ne pas résister. Menaça un citadin.

Toujours énervé par l'insulte sur sa courte taille, Edward ne fut pas disposer à les écouter.

-Comment avez-vous osé tenter d'assassiner le Grand Prêtre ? Demanda un villageois outré.

-Des enfants aussi mignons qu'eux qui ont voulu faire ça ? C'est horrible ! Gronda une femme armée d'une poêle et d'une grosse louche.

Blasé, Edward soupira bruyamment alors que sa sœur descendait de sur l'armure pour aller faire un câlin au blondinet.

-Ecoutez. Ses « miracles » sont juste l'œuvre de l'alchimie. Tenta de résonner le blond obstiné. En décomposant et en recréant un objet…

-C'est un mensonge ! Coupa une voix claire et dure qu'Edward reconnu.

C'était Rose qui était redescendue en ville.

A l'instant… Kain, mon petit-ami… est revenu auprès de moi. Souffla t-elle doucement.

Surpris de la nouvelle, Edward en eu le souffle coupé. Mais tous les autres habitant de Lior furent heureux de cette nouvelle et félicitèrent Rose, la faisant doucement sourire.

Tout aussi heureuse par la nouvelle, Iris vint serrer chaleureusement les mains de la jeune fille.

-C'est merveilleux Rose ! Tu vois bien que ce n'est pas difficile de faire chauffer des pâtes !

La félicitation de l'Elric laissa flotter un long moment de blanc, pendant lequel Iris étreignit gentiment Rose pour la câliner.

Mais ce spectacle fut bientôt interrompu par une arrivée fort peu habituelle.

En effet, les lourdes statues de pierre qui parsemaient la cité à tous les coins de rue s'étaient animées pour venir au centre ville afin d'arrêter les trois enfants. Clay fermait la marche de ce défilé, satisfait d'avoir coincé les Elric.

Avant que le moindre mot ne soit prononcé, un coup partit dans un fracas de métal. Une statue venait d'embrocher l'armure d'Al et le mit à terre.

Surpris par la rapidité de l'action, Edward ne pu que s'inquiéter pour la santé de son frère qu'une fois qu'Al fut à terre. Distrait par son inquiétude, il ne réussit pas à esquiver un coup de poing en pierre d'une statue derrière lui.

Un cri cristallin perçât le silence nouvellement installé. La fille Elric prit plus peur pour ses frères que pour elle, déjà retenue par deux statues.

Et il y avait de quoi avoir peur.

Alphonse se faisait battre à coup de sceptre de pierre et Edward s'évanouit face à la dureté du coup.

A son réveil, Edward était séparé de son frère et de sa sœur, et se retrouvait face à Cornello, dans l'église. Le sourire dément digne d'un possédé de je ne sais quel dieu ou démon de cette cité a de quoi effrayer le pire des homonculus. (11)

Une chaînette était accrochée à la ceinture du jeune l'alchimiste national. Intéressé par la chaîne d'argent, Cornello fit sortir de la poche d'Ed une montre, en tirant doucement la chaînette. Sur la montre a gousset, une créature étrange était gravée. Une sorte de lion a demi poisson avec une corne sur le crâne, emprisonné dans un losange et un hexagone.

D'un coup sec, le Grand Prêtre arracha la montre de la ceinture d'Edward, cassant net la petite chaîne d'argent.

Soucieux de ses affaires, Edward se débattit pour tenter de se libérer de la prise de deux prêtres qui le retenaient par les bras.

-Rends-la moi ! Brailla Ed

-Alors voici la preuve que tu es un Alchimiste National, hein ? Demanda perversement Cornello en agitant la montre sous le nez d'Ed. C'est la première fois que j'en vois une… La raison pour laquelle tu es capable de réaliser une transmutation sans cercle… c'est parce qu'elle agit comme un amplificateur, n'est-ce pas ?

Edward serra les dents. A la vue de son agacement, Cornello rit démentiellement gardant la montre comme trophée.

Tête basse, le blondinet cacha son humeur à Cornello, ne lui montrant pas son sourire de conquérant.


(1) Aoutch ! Ca doit faire mal.

(2) Vite ! Confisquons lui la soutane !

(3) Je ne savais pas que le dieu Léto portait du 95E O.o

(4) Y'a pas que le pain qu'est beurré.

(5) Ah ! A pas durée jusqu'à la fin la poésie.

(6) Nasillard, ce n'est pas du nez normalement ?

(7) Alors qu'avant elles étaient hermétiquement fermées !

(8) Et avec tout ça, on vous offre un magnifique ensemble d'alchimiste National couleur rouge sang ou noir intense en taille unique ! Une chance à ne pas laisser passer ! (Excusez l'auteur, elle à péter les plombs)

(9) Osez me dire qu'il n'a pas des vues sur elle !

(10) Pourtant elle devrait être habituée.

(11) Pur spoil !


Réponse aux reviews!

Incroyable! J'ai eu 2 reviews/fait la fête/

okii-nekko: Vui je sais, je suis géniale! ... Comment ça c'est juste ma fic? ... Rooooh bon okey, juste GSFMA qu'est géniale.
Pour le courage, il faudrais plutot l'orienter vers mes révisions du bac... Mais c'est vrai aussi que tout refaire épisode par épisode c'est long... (enfin... surtout pour vous ") Pour la suite... Ben tu l'as eu juste au dessus! C'est po grand chose, mais c'est déjà ça, né?
Allez, Biz à toi aussi!

maud: Vui, moi aussi Isaïa me fait triper (et mes alpha et gamma lectrices aussi )je me demande parfois comment je fais pour être aussi géniale! (Qui a dit "c'est naturel chez toi?" ... NATHAN J'VAI T'BUTER/va tuer son frêre à coup de cochon d'inde/)
Non, y'a pas beaucoup d'innovations, je sais. C'est juste une reprise de la série en attendans que les reviewers donnent leurs idées pour la suite.
D'AILLEURS! En parlant d'idées! Je suis heureuse de t'annoncer que ton envie de voir Envy (jeu de mot) avec Isaïa va être mis en pratique! (Je sais pas encore comment, mais chui une as pour improviser afin que ça colle).
Mais pour y arriver, faudrais déjà qu'Envy et les Elric se rencontrent... Or c'est dans loooooooooooongtemps!
Donc, je vais "zapper" quelques épisodes, afin d'arriver plus vite à la partie tant attendu de maud

Ainsi donc voilà comment se termine ce chapitre sur un merveilleux: A suivre...