Face à Face

Dites c'est plutôt mort au rayon fanfics en ce moment non ? Ok c'est août, mais quand même X3 On lâche le sable fin et le soleil et on vient taper ses fics, tout de suite !

Comment ça j'ai du retard ?

Bon ok je dis plus rien.

Zoro : c'est vrai ?
Sanji : cool.

Nah mais pas pour vous mes chéris.

Zoro :'(
Sanji : pas cool…

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Chapitre 7 : L'envers du reflet

- Waaaaww ! ça sent l'aventure tout ça !

Nami jeta un regard consterné à son capitaine.

- As-tu seulement compris ce que nous devons faire ?
- Héhé. Nan.
- ALORS ARRETE DE RIRE ! lui cria un Zoro légèrement tendu.

La navigatrice poussa un soupir exaspéré, avant d'aller vérifier le cap, laissant le sabreur étrangler le capitaine sous les yeux paniqués de Chopper. Le log pose ne leur serait pas utile, cette fois-ci, puisqu'il leur suffirait de contourner l'île, jusqu'à la prochaine.

Néanmoins, Nami était consciente qu'ils partaient sans trop savoir où ni comment… Avec juste les indications floues d'un vieillard, auquel ils ne pouvaient que se fier.

Il y a une île, très proche de la nôtre, qui abrite quelqu'un, un grand sorcier, qui pourra sûrement vous aider, avait il dit. Et il avait même précisé : Néanmoins, il vous faut voir le sorcier avant la prochaine pleine lune. Après quoi, les effets du miroir maléfiques seront irréversibles.

- Si, si ! J'ai compriiis ! s'exclama soudain Luffy, tirant sa navigatrice de ses pensées inquiètes.
- Ça te fait du bien que je te secoue un peu de temps en temps, grommela Zoro en relâchant son capitaine.
- Ça doit remettre quelque chose en place, dit à son tour Usopp en riant, devant un petit médecin encore inquiet.

Leur capitaine prit une grande inspiration, profitant d'un court silence qui plongea ses compagnons dans une intense perplexité.

- En gros, dit il enfin, nous devons retrouver un sorcier du nom de Pigniouf…
- Pil Riouf !
- Héhéhé c'est aussi marrant. Oui, donc le sorcier Pilouf – exaspération de la rouquine – pour lui demander de renvoyer les doubles de Sanji et Zoro d'où ils viennent, et avant la pleine lune sinon tout est foutu.
- …
- Que ce serait embêtant de perturber l'avenir des deux doubles enfants, pour eux et aussi pour les versions originales.
- …
- C'est pas ça ?
- Euh… Si c'est… C'est bien ça, articula Nami, encore surprise par le bref et léger trait de lucidité dont son capitaine avait fait preuve.
- Et c'est quand la prochaine pleine lune ? demanda encore ce dernier.

A cette question, la jeune fille se ressaisit, et répondit tandis que Chopper prenait discrètement la température de Luffy :

- Justement, le problème est là : la pleine lune est dans trois jours, et il nous en faudra bien un entier pour arriver sur l'île.

Usopp et Luffy penchèrent la tête sur le côté, légèrement troublés.

- Effectivement, ça va faire court, souffla le canonnier. Surtout si on ne sait pas précisément où trouver ce sorcier.
- J'ai faim, fit quant à lui Luffy.

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Sanji préparait calmement le dîner, en compagnie de « Robin chérie » qui lisait tranquillement à côté. Aucun d'eux n'avait besoin de réentendre le bilan de la situation ; ils étaient déjà au courant, et préféraient maintenant y réfléchir en paix.

Et pour ça, pas de problème ! Robin était à la fois agréable à regarder, et sereine. Sanji pouvait donc profiter pleinement de ses réflexions.

Il repensa à l'étrange journée qui se terminait plus ou moins en douceur. Tout avait commencé pourtant normalement. Une petite routine, sur le Vogue Merry. Les deux déesses du bateau lisaient calmement, Usopp racontait ses sornettes à Chopper, Luffy tentait de piller les réserves, et lui se battait avec Zoro.

Zoro... C'avait été avec lui que le démantèlement de la routine avait commencé. Une île à explorer, c'était la routine. L'explorer en groupes, plus ou moins aussi. Mais qu'un groupe fut constitué du cuistot et de l'escrimeur, c'était plus la routine.

Sanji soupira. Cette tête de melon pas frais avait bien vécu la même chose que lui en fin de compte. Il s'était lui aussi retrouvé confronté à lui-même. Quelque chose qu'aucun des deux n'avait souhaité, Sanji le savait.

Ils ne parlaient presque jamais d'eux-mêmes, et voilà qu'eux-mêmes parlaient pour eux.

C'était à faire une crise de nerf, cette situation.

Tandis qu'il se disait cela, le jeune cuistot remarqua enfin la cause de ses réflexions dans un coin de la cuisine.

Deux jeunes enfants étaient assis sur le banc de la cuisine, non loin de la jeune archéologue qui n'avait rien dit, l'un grignotant un biscuit avec somnolence, l'autre observant les faits et gestes du cuistot avec attention.

Malgré tout, ce dernier ne pu s'empêcher de sourire devant les deux petits doubles, fidèles en réalité à eux-mêmes. Chacun son intérêt pour la pièce. Pour le petit Zoro, ce qu'on y mangeait et le banc pour dormir ensuite, et pour le petit Sanji, ce qu'on y faisait tout simplement.

- Pourquoi t'as mis du sel en plus ?

Le cuistot sursauta. Son double était donc aussi attentif ? Dans sa surprise, il ne vit pas Zoro – le grand – rentrer.

- Ben… Parce qu'il faut mettre du sel tiens, répondit il alors que son petit interlocuteur se levait et se plantait à côté de lui, le nez devant les fourneaux.
- Mais pas maintenant ! fit le petit double.
- … Dis donc, je ne me rappelle pas t'avoir demandé de faire le contremaître des travaux finis !
- C'est pas fini ! Moi en tout cas j'aurais pas rajouté du sel maintenant !

L'irritation gagna le cuistot, d'autant plus qu'il avait remarqué le sabreur ricanant, assis à côté de son petit double endormi.

- Annhh mais tu mets tout à feu doux maintenant ? s'écria le petit Sanji, toujours en observations.
- …
- Mais c'est pas comme ça qu'il faut faire !
- … Ecoute moi bien toi. T'as beau être mon double, de nous deux c'est moi le plus expérimenté. Alors tu te tais, tu regardes en silence, et tu attends sagement l'heure de passer à table !

Pour toute réponse, il reçut le « blaah » d'une langue tirée.

- C'est ça. Blaah toi-même. ET TOI LA TETE D'ALGUES T'ARRETES DE RIRE !
- Raah mais gueule pas comme çaa, répondit l'interpellé. T'as réveillé mon double !
- Rien à foutre, il a la nuit pour dormir !

Et pendant que le petit double s'étirait en baillant, le cuistot retourna à ses fourneaux en grommelant, non sans avoir écarté son propre double de son fief.

De derrière son livre, Robin avait suivi toute la scène avec intérêt, et un amusement non feint. Et là encore, elle étouffa un petit rire en voyant le sabreur se pencher vers son double, prudemment, un peu troublé, comme le ferait un chat venant renifler quelque chose de nouveau pour lui. La jeune femme s'attendait presque à le voir toucher l'enfant du bout des doigts, d'un geste vif et bref, effarouché.

Mais l'enfant réveillé venait de regarder le petit blondinet faire la gueule derrière le grand, et reportait son regard sur son grand double. Les deux se fixèrent en silence, jusqu'à ce le gamin incline légèrement la tête avant de demander :

- Alors t'es moi quand je serai plus grand ?
- Euhh… Ouais, répondit l'escrimeur en se frottant le crâne.
- T'as quel âge ?
- Dix-neuf ans…
- Wah ! Je deviens vieux !
- De… ? Mais n'importe quoi !
- Et toi, poursuivit le petit Zoro en s'adressant au jeune cuistot, t'es Sanji quand il sera grand ?
- Mh ? Oui, oui… Et j'ai dix-neuf ans, pareil… répondit l'interpellé sans y accorder trop d'importance.

Or, laissant le petit Zoro en pleines réflexions, il chercha du regard son double à lui, qui n'était plus collé derrière lui à faire la gueule. Et là, il le vit : le petit blondinet venait de repérer le placard à biscuits.

- Tu effaces cette idée de ton esprit tout de suite ! lui dit aussitôt son grand double. On ne grignote pas de chocolat avant de passer à table.
- Mais ? Comment tu savais que je cherchais le chocolat ?
- J'te connais…
- Beuh.
- Et de toute façon il est trop haut pour toi, ça règle tout.
- T'es pas marrant.
- Nan.
- On dirait Zeff.

Alors qu'il retournait à ses casseroles, le cuistot s'arrêta net, les yeux écarquillés par la surprise. Mais il décida de ne pas relever, et ne s'occupa plus que de ses casseroles. Ce vieux shnock… Et quoi encore ?

- Mais t'as rien compris, intervint le petit Zoro pour son petit compagnon. Lui, c'est toi quand tu seras grand.
- Bah j'avais compris.
- Ben on dirait pas.
- Mais lâche moi ! C'est pas parce que t'as enfin compris un truc que tu dois m'embêter avec !
- De quoi enfin compris ?
- Ah, je me disais aussi… souffla Robin avant de retourner à son livre d'un air satisfait.

C'est ce moment là que choisit le reste de l'équipage pour entrer dans la cuisine, et y apercevoir une scène intrigante.

Zoro et Sanji, figés, regardaient d'un air plutôt perplexe leurs petits doubles se battre.

- Mais… Mais arrêtez les ! s'écria Nami, réagissant la première.
- Pourquoi ? répondit Zoro. Faut les laisser s'expliquer.
- Ah, fit Sanji, le mien a le dessus.
- Tu rêves, il se fait écraser par le mien.
- Moi je dirais plutôt qu'ils sont de force égale, immisça Usopp.
- NAN !
- Bon, bon…

C'était pourtant vrai : aucun des deux enfants ne parvenait jamais à porter un coup à l'autre.

- Coool ! s'écria Luffy. Ils savent déjà se battre ! Aha, Usopp, tu paries sur qui ?
- Euh... Je crois que… Qu'il serait dangereux de prendre un… un partii…

Mais si le capitaine regardait la scène de manière aussi décontractée, il n'en n'était pas de même pour sa navigatrice – ni pour son petit médecin, qui, décidemment perturbé, courrait partout avec sa trousse de soin.

- CA SUFFIT ! cria la rouquine en séparant brusquement les gamins. On a déjà assez avec les grands, alors les petits, VOUS VOUS TENEZ CORRECTEMENT SI VOUS VOULEZ PAS PASSER PAR-DESSUS BORD !
- Uhh…
- Elle est terrible la dame ! s'exclama le petit Sanji.

Le petit Zoro s'approcha de son compagnon, et tous deux évitèrent soigneusement la navigatrice.

- Tu sais nager toi ? chuchota le futur sabreur.
- Ouais pourquoi ? répondit le blondinet. Pas toi ?
- Euhh… Pas encore assez bien pour passer par-dessus bord…
- Ahh… Ouais c'est vrai.

Et dans un ensemble parfait, tout deux se tournèrent vers le reste de l'équipage qui les fixaient, mi-figue mi-raisin – exceptés Luffy et Usopp qui se foutaient ouvertement de la gueule de Sanji et Zoro.

- ON EST SAGES ! s'écrièrent les deux enfants en faisant leurs sourires les plus désarmants.
- Uh ? fit le capitaine. C'est vrai ?
- Ouiii.

Ebahie, Nami regarda les deux enfants en silence.

- C'est pas vrai, réussit elle enfin à dire, ils essaient de nous faire du charme.
- Et ils y parviennent, ajouta Robin.
- C'est vrai, ils sont mignons !

Puis la rouquine se tourna vers les deux versions originales, qui ne la ramenaient pas.

- Prenez en de la graine tiens !
- Hein ?
- Traîtres, grommela Zoro à l'adresse des deux petits doubles, toujours souriants.

Levant les yeux au ciel quand le petit Sanji lui tira la langue, il grommela encore quelque chose qu'il valait sûrement mieux ne pas entendre, avant de s'appuyer au mur pour commencer une petite sieste méritée. Sanji, lui, ne dit rien de plus, et retourna à ses fourneaux en repoussant son capitaine d'un bon coup de pied.

C'était lui qui allait finir par se jeter par-dessus bord…

--

- Hey Sanji…
- Quoi tête d'algues ?
- T'étais pas du genre têtu aussi quand t'étais gosse ?

Le cuistot posa la casserole sur la table, et leva un sourcil interrogateur en écrasant la main baladeuse et affamée de Luffy.

- Pourquoi tu dis ça ? répondit il au sabreur en commençant à servir les demoiselles de l'équipage.
- Parce que ton junior a entrepris une périlleuse escalade jusqu'en haut de l'étagère pour attraper le chocolat…
- DE QU… DESCEND DE LA TOUT DE SUITE TOI !

Pris en faute, le gamin lâcha un « merde » paniqué, mais attrapa quand même le paquet convoité, pour le lancer au petit Zoro resté à terre, devant l'équipage qui riait à gorge déployée.

- Mais… ? EN PLUS LE TIEN L'AIDE !
- Hé, j'y peux rien moi !

Sentant qu'il allait s'énerver vraiment pour de bon, le cuistot inspira longuement, et attrapa au vol par le col le petit Zoro qui allait filer avec le chocolat.

Puis, toujours avec un calme exemplaire et – surtout – sous les yeux admiratifs et rieurs de Nami et Robin, il alla cueillir également son propre double bloqué sur les étagères, pour asseoir dé-li-ca-tement les deux sur le banc entre Luffy et Zoro.

- Ok, on a perdu, lâcha le petit Sanji d'une moue boudeuse. Mais tu peux nous laisser le paquet pour la fin du repas non ?

Le cuistot ne répondit pas, et recommença à servir.

- Héhé… fit Luffy entre deux bouchées. Tu aimais tant que ça le chocolat Sanji ? … Je parle au grand, désolé, ajouta-t-il alors que le petit le dévisageait.
- En réalité… hésita le blond. Surtout quand il était interdit…

Il y eut un silence durant lequel Usopp essaya de réprimer son rire, Zoro ne s'en priva pas, Sanji envoya son pied à l'escrimeur, et Nami calma les deux. Il se passe beaucoup de choses en un silence, sur le Vogue Merry.

- Et vous savez – chomps – bien vous battre tous les deux ? demanda Luffy aux juniors, sans gaspiller néanmoins une seule miette.
- Sûr ! répondit le plus vert.
- Et toi ? ajouta le plus blond.
- Héhé. Bien sûr ! – chomps – Faudra nous montrer ce que vous savez faire – chomps.
- Fous leur la paix Luffyyy… râla le grand escrimeur.
- Bah pourquoi ? ça peut être marrant !
- Ouais ! s'exclama le petit Zoro en prenant pourtant son assiette. J'vais t'écraser !
- Ihihii je reconnais bien Zoro là !
- Et après le renne devra te soigner !
- AYE ! s'écria le petit renne en question, enthousiasmé.

Le petit Sanji releva le nez de son assiette.

- C'était pas une marmotte ?
- NAN !

L'ambiance était à son comble dans la cuisine ; même le cuistot et l'escrimeur riaient, et la bière avait été sortie, en même temps que la limonade pour les enfants – les deux doubles, Chopper et Luffy donc.

- Allons, allons, passons à un sujet plus sérieux, dit finalement Nami en calmant son fou rire. Parlons de l'île sur laquelle nous devons accoster.
- OUIII A L'AVENTURE ! s'écria Luffy.
- Pas vraiment en réalité, objecta la rouquine, plus sérieuse. Je me suis renseignée à son sujet. L'île Sumiregusa(1) est un peu l'opposé de Ryoku. Elle est très peuplée, bien que pas très étendue.
- C'est très bien ça, fit Sanji. Nous allons pouvoir refaire des provisions.
- DE LA VIAAANDE !

Nami calma vigoureusement son capitaine. Décidemment, la limonade ne le réussissait pas mieux que la bière, c'était même plus la peine de lui interdire l'alcool…

- Précisément. Mais d'abord, nous devons trouver ce Pil Riouf…
- PIGNOUF ! WAHAHAHA !
- WAHAHAHA LUFFY T'ES TROP ! cria Usopp.
- PIGNOUF ! répéta Chopper, très joyeux.
- CALMEZ VOUS UN PEU VOUS TROIS !

Trente secondes plus tard, les trois en question étaient assis calmement en face de Nami, une bosse chacun, et les deux enfants murmuraient des « terrible… » impressionnés.

- Elle est toujours comme ça ? demanda le petit Zoro au grand.
- Non. Des fois elle est pire.

Nouvelle bosse pour Zoro.

- Ah ouaiis d'accord, fit le petit.
- Hem. Bref. Reprenons, reprit justement la navigatrice. Nous devons trouver ce p… Ce sorcier ! Le plus rapidement possible. Je propose donc, à notre arrivée à Sumiregusa, de nous répartir pour collecter un maximum d'informations pour le trouver.
- Et quand devrions nous arriver, miss navigatrice ? demanda Robin.
- Hé bien… Demain dans l'après-midi si nous ne nous arrêtons pas.
- Tu veux dire qu'on ne jettera pas l'ancre cette nuit ? dit à son tour Usopp.
- Non, nous devons mettre toutes les chances de notre côté. Cette nuit, deux personnes resteront éveillées, plutôt qu'une seule ! Il me faut deux volontaires !

Au mot « volontaire », l'équipage se mit soudain à siffler en regardant ailleurs, ou à trouver une autre occupation.

- J'ai compris… soupira Nami. On va désigner au hasard alors…
- Pas la peine Nami-san, intervint Sanji. Zoro et moi resteront éveillés cette nuit. (2)
- HEIN ?

Cette fois, l'équipage au complet, y comprit Nami, dévisagea les deux volontaires comme s'ils venaient de dire la pire absurdité – du style « Luffy n'a plus faim ».

- T… Toi et Zoro ? Répéta Nami. Vous… Vous avez décidé ça tous seuls ? Vous êtes malades ?

Comme ils semblaient avoir du mal à trouver une réponse convaincante pour calmer l'équipage, Robin eut le temps de répondre à leur place.

- Il semblerait que deux personnes aient besoin de faire le point sur ce qu'elles ont vécu aujourd'hui, dit elle doucement.
- Tout juste, fit Zoro en se levant. De la même manière que ce qu'on a vécu aujourd'hui dort profondément.

Tous reportèrent leur attention sur les deux enfants. Ils dormaient effectivement paisiblement, appuyés l'un contre l'autre, et en suçotant leur pouce.

- Ils sont adorables, dit une navigatrice attendrie.
- Oui, un miracle se produit lorsqu'ils dorment, lança Usopp.

Le canonnier se tourna vers les grandes versions, pour guetter leur réaction. Mais ils regardaient simplement leur reflet, en silence, d'un air songeur… Et serein.

- PARFAIT ! s'écria Luffy, brisant l'instant magique. Alors Zoro et Sanji vont aller coucher leurs gosses maintenant !
- LEURS GOSSES ?
- … Quoi, qu'est ce que j'ai dit… ?

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à suivre…

Voilà, je m'excuse pour le retard, surtout en laissant flotter le suspense :p Un chapitre plus long pour me faire pardonner – même si c'est vrai que le net n'est pas très actif en cette période de flegme intense -, et en espérant qu'il vous plaira (:

Maintenant, chut… Deux enfants dorment… Ils rêvent de reviews… :p

Quoi, qu'est ce que j'ai dit ? XD

(1) S'il y en a qui ont reconnu le titre d'une chanson d'Enya, ils ont gagné. J'écoutais cette chanson à ce moment, là, et le mot sonne bien je trouve… Voilà voilà voilà… Néanmoins, si quelqu'un sait ce que ça signifie, hé been… Il gagnera ma gratitude éternelle en me le disant (:

(2) Halte là ! Que les fans de yaoi ne s'excitent pas, et relisent le « pas de Yaoi, juste Friendship » du résumé XD J'vous vois venir vous… :p