Hawk's eye au rapport ! Un objet non identifier vient d'arriver ! C'est le dernier chapitre d'un oeil de toute bonté ! Enjoy !

Le jou où tout commença. the end...


Il faisait noir, ils avançaient dans une ruelle bien plus sombre que les noir des yeux du flame alchemist. Riza ne voyait plus du tout où elle m'était les pieds. Elle sentait la chaleur de la peau de Roy qui s'approchait une peu plus d'elle à chaque pas. Soudain, Riza fit signe à Roy de s'arrêter en lui attrapant le bras. Il s'arrêta rapidement. Il venait de réaliser que la femme qu'il aimait depuis le premier jour où il l'avait rencontré, les retenait le bras de sa main jeune et douce.

Il eu un frisson d'étonnement puis ferma les yeux, se laissant caresser par la douceur de la main douce comme une peau de bébé. Puis, il entendit la raison pour laquelle Riza lui avait attrapé le bras pour l'arrêter. Des pas lourd mais à la fois rapides venaient, de plus en plus près d'eux, encore et encore.

Roy et Riza avaient l'impression que plus rien de beau n'allait jamais leur arriver. les pas étaient maintenant très proches et Riza émissa une cris de terreur. Roy la sentit tomber par terre et l'entrener dans sa chute. Ils se sentirent marcher dessus. Mustang approcha sa main de Riza, la caressant pour voir si elle allait bien. Des pieds lui écrasèrent la main, puis un autre juste au creux du dos. Il émissa une cris de douleur mais se n'était pas fini. Ils avaient l'impression d'être écraser pat un troupeau de chevaux.

Des millier et des millier de chevaux.Puis Roy perdit connaissance tout en asseyant de retrouver Riza de ses main. Tout était devenu noir autour de lui, même si cela l'était déjà assez au depard.

Riza :


J 'ouvris doucement les yeux, j'avais mal, par tout, de tout mon être. Des douleur aussi bien abdominal que mental. J'avais mal à la tête, un liquide froid coulait sur mes joues roses, salissant mon visage. Je n'arrivais même plus à bouger.

Ma cheville droite me faisait horriblement mal. Je cherchais des yeux l'homme qui était avec moi quelques heures au par avant. Je ne voyais absolument rien. Que le noir absolu. Je sentis de la pluie couler, me caressant les joues, me rafraîchissant en me disant de me lever.Je vis alors ne lueur rouge dans le peine ombre, j'essayais de me relever pour mieux la voir. Puis, j'entendis une voie crier mon nom.

- Riza ! Hawkeye ! Où êtes vous !

C'était la voie de Roy, cela ne faisait aucun doute. Il s'approcha de moi, me caressa doucement le visage. J'avais fermer les yeux et je le sentais, glisser ses main sur mon visage et mon front. Il passa ses doits dans mon cou pour sentir mon pouls. J'ouvris alors les yeux, lui faisant face.

- Lieutenant ! Ca va ?

- ….Oui..Je crois….

Roy me prit dans ses bras et me mit sur son épaule

-Colonel…S'avez-vous ce que c'était ?

-Non..Je n'en ai pas la moindre idée. Désolé…

Il se leva et marcha ver la lumière. On arriva devant une sorte de maison abandonnée. Il entra dedans sans se poser trop de questions : L'entrer de cette petite maison n'était pas bien luxueuse. Roy me déposa sur un petit canapé miteux. Je le regardai dans les yeux et remarquai que lui aussi saignait beaucoup. Je sursautai.

- Colonel ! allez-vous bien !
- Heu ? Oui, ça va aller je pense.

Il s'assit à coter de moi. Puis après une minute de silence, Roy se tourna vers moi.

- vous pensez que l'on va trouver ses assassins rapidement ?

- Je l'espère car là je ne me sen pas vraiment en mesure de me battre.

- Il faudrait peut être dormir un peu.

- On a du dormir pendant 4 heures je pense, colonel.

- Oui mais ce n'était pas vraiment confortable.

Je m'allongeai sur le canapé pendant que Mustang, lui s'allongea sur le tapis devant la cheminer après l'avoir allumer. Je me tournais vers lui, il dormait comme un ange. Je fut alors une grimace de douleur. Ma tête me faisait un mal de chien. J'avais, je pense, de la fièvre. Mais du sang coulait le long de mes joues. Je pris alors un mouchoir et tentai de m'essuyer. Je sentis alors de grande douleur abdominales.

IL y avait du vent dehors, mais ils étaient mêlés à d'autre bruits étrange. Puis j'entendis des voies et la petite porte s'ouvrir. Je me couchai, faisant croire que je dormais.

- Merde, c'est les militaires qui nous tracent, fait chier.

-On fait quoi mec ?

- On les tu dans leur sommeille, ils serons moins d'engeureux.

J'eus alors un frisson, ils avaient l'intention de nous tuer ? J'était trop jeune pour mourir !

- Bon on commence par le mec.

Les pas se rapprochèrent doucement de Roy. J'ouvris les yeux et les suivai de loin.

- Bon ? alors ? On le tu comment ?

Pendant qu'ils furent trop occuper à trouver un moyen de le tuer, j'attrapai mon flingue puis je tirai sur l'un deux. L'autre se retourna vers moi. Il sentait le sang à pleins nez et ses yeux étaient rouges, pleins de veines.

- Oh là ! Calme toi ma belle ?

Il m'adressa un sourire qui me donner envi de lui cracher à la figure plus qu'autre chose.

Il sortit un silencieux à la vitesse de la lumière, la balle atterissa un pleins dans mon bah ventre. Je m'écroulai par terre. La douleur était insupportable. J'eus vraiment envi de pleurer tellement la douleur était grande, mais si Roy voyait ça….

Un cris de douleur m'échappa. Du sang s'échappait de ma bouche pour ainsi couler sur le sol. Je sentais vraiment ma vie se retirer petit à petit.

Mais soudain, je me souvins qu'il fallait que je protège Roy quoi qu'il arrive. Je levais mon arme vers l'homme et lui tirais une balle en pleine tête. Du sang gicla de par tout, me salissant les mains. Je ne savais pas que le dernière chose que je ferais avant de mourir serait de retirer la vie d'une personne. A cette instant même, je me détestais plus que tout et ma haine en vers moi même fut vite décuplé quand je vis que ce conare avait crevé un œil à mon cher colonel. Cette fois, les larmes coulèrent vraiment à flot.

£ Je me déteste ! £

Avec du sang j'écrivis sur le sol ces mots :

SVP DONZ DON 2 CET ŒIL KI N VA PLU M SERVIR

La vie mon quitta ainsi, je me détestais tellement…..

Tout ce qui est écrit en lettres de sang sera lu par l'univers.

L'amour,c'est cette chance merveilleuse qu'un autre vous aime encore quand vous ne pouvez plus vous amiez vous même.


Are you enjoy ? Yes or no ? bon bah répond moi un ptit review bisous !Je suis pas sur de la fin, mais je l'ai écrite avant le chapitre qui était juste avant à l'instant même où je suis en train d'écrire, j'ai pas encore écri celui devant On ai le 1er octobre à 21 : 18 présisement bisous !