Chapitre 17 :

? : Je te conseille ce modèle, j'ai la même gamme depuis 5 mois et il fonctionne très bien et la somme n'est pas mal non plus. Elle sursauta et se retourna, qu'elle fut ça surprise quand elle découvrit un homme mince, pâle et de petite taille aux cheveux mi-long roux et lisse, avec des yeux marron. Il portait un t-shirt rouge en dessous de celui-ci, il avait un pull blanc avec un col jaune, un pantalon un peu ample blanc, chaussure marron clair, un bandeau rose autour de sa tête et avait une ceinture violette claire autour de la taille. « Pokkuru ». Affirma Malia intérieurement, derrière lui se trouva une fille aux cheveux bleus avec un grand chapeau jaune sur la tête, elle portait une blouse couleur saumon et un baggy jaune pâle et des chaussures plates oranges. « Et Ponzu » conclu une deuxième fois la blanche.

Malia : Donc c'est un bon modèle, mais il va me manquer 170 jenis et je n'aurais pas asser d'argent pour m'acheter à manger. Réfléchit Malia en fixant le téléphone, le menton entre son pouce et l'index. Elle n'avait pas 650 jenis sur elle, le seul argent qu'elle possédait, avait été voler à une pauvre adolescente en train de faire du shopping avec ses amies. « Elle a dû être en panique d'ailleurs la pauvre et se faire enguirlander en rentrant chez elle » Se dit-elle en culpabilisant légèrement.

Ponzu : On peut te payer le déjeuner et te prêter les 170 jenis si tu le veux bien ? Dit la bleutée en souriant à notre héroïne.

Malia : Euh, je ne veux pas vous déranger et je suis asser mal à l'aise quand on me paie quelque chose. Je me débrouillerais ne vous en fait pas. Dit-elle en agitant ses mains et faisant non de la tête.

Pokkuru : Ça ne nous dérange pas, on t'offre le déjeuner et tu n'auras qu'à nous rembourser les 170 jenis. Et comme ça, pendant le déjeuner je pourrais t'aider à configurer ton téléphone.

Marchand : Ou sinon nous reprenons tous modèle de téléphone, si vous en avez un vieux. Dit le marchant.

Cette phrases fit tilte dans sa tête, elle ne savait pas ce que ce téléphone volé valait, surtout qu'il ne fut pas en très bon été et qu'elle ne pouvait pas le déverrouiller, mais elle se dit que sa lui évitera d'avoir déjà une dette envers quelqu'un et elle n'aimait vraiment pas qu'on lui prêtait de l'argent elle se sentait mal à l'aise et redevable après ça. Elle dit au marchand qu'effectivement elle avait un vieux téléphone mais qu'il n'était pas en très bon état.

Marchand : Ne vous en fait pas, nous reprenons chaque pièce de téléphone et nous reprenons rarement un téléphone moins de 100 jenis qu'importe l'état de l'appareil. Malia fut un peu rassurée de cette nouvelle, se disant qu'elle ne devra pas plus de 100 jenis aux deux amis qui c'étaient proposés de lui prêter de l'argent. Le nombre 100, en matière d'argent chez elle était asser énorme, ici ça ne parut pas si énorme que sa comme somme. Elle sortit le téléphone en question pour le montrer au marchant. Mmh, ce n'est pas un modèle si vieux que ça, on voit qu'il en a vu de toutes les couleurs ahah.

Malia : En revanche c'était le téléphone de ma cousine, elle me l'avait donnée car le mien était HS, quand elle en a eu un neuf, elle m'a dit que quand je m'en rachèterais un, je pouvais en faire ce que je voulais. Le hic, c'est que je n'ai jamais changé le mot de passe et je ne m'en souviens plus et je ne peux pas la contacter pour lui demander. Et je ne sais pas comment réinitialiser ce modèle de force. Dit-elle essayant que son visage embêter paraisse le plus vrai possible, étant très mauvaise menteuse, quand elle mentait, c'était généralement inscrit sur son visage comme un dragon se baladant dans une clairière.

Marchand : Oh attendez, je vais vous montrer ça tout de suite. Il prit le téléphone que lui tendit notre héroïne aux cheveux blancs. Il vous suffit, pour ce genre de modèle, d'appuyer sur le bouton marche/arrêt et le bouton du volume plus simultanément pendant au moins 5 secondes et après ça, d'appuyer 5 fois sur le bouton marche/arrêt tout en maintenant le bouton de volume plus. Lui montra le marchand. « Un peu comme chez nous, hormis le faite d'appuyer 5 fois sur le marché/arrêt, c'est pareil ». Ce dit la jeune fille, se disant également qu'elle n'avait pas cherchée plus loin que le bout de son nez. En l'état, je peux vous le reprendre 115 jenis, il ne vous manquera que 55 jenis. Malia n'eut pas le temps d'ouvrir la bouche, que Pokkuru déposa 55 jenis sur le comptoir.

Pokkuru : Les voilà ! Dit-il tout sourire alors que Malia resta interdite. Ponzu, la prit par le bras et sortit de la boutique, le téléphone neuf à la main.

Les deux personnages la conduisirent hors de la rue commerçante pour se diriger vers un petit café accueillant, la devanture fut simple, mais chaleureuse. Il se trouva dans un angle. De grandes baies vitrées sur les deux murs, d'où de notre table nous pouvons observer les gens passer dans les deux rues visibles de l'intérieur du café, la porte fut elle aussi vitrée, la devanture fut en pierre blanche avec des teintes de bleu par-ci par-là, le café eut comme nom juste, « Café du coin ». Les trois personnes rentrèrent dans le café et Malia se fit comme réflexion que l'intérieur fut aussi accueillant que le fut la devanture. Le soleil traversa les vitres, ce qui fit que la pièce fut parfaitement éclairée et agréable, le bar se trouvait en îlot au milieu du café et les tables ne furent ni trop loin, ni trop près les unes des autres. Ponzu, qui avait toujours sa pris sur le bras de la blanche, se dirigea vers une table près d'une vitre du côté de la rue, la moins passante des deux rues qu'on pouvait observer des tables selon à quel siège nous nous mettons.

Un serveur arriva pour prendre les commandes des trois clients. Ponzu prit un diabolo fraise, Pokkuru parcourrait la carte, ne sachant pas quoi prendre et Malia commanda une bière rouge. Finalement, le roux prit également une bière rouge. Malia prit soin de regarder l'heure, se rappelant que Feitan lui avait dit de le rejoindre à 14H, n'étant que 12H57, elle se dit qu'elle avait encore le temps, bien qu'elle doive retourner se changer en tenue de sport après avoir fini sa boisson.

Elle informa les deux personnes assises avec elle qu'elle doive partir dans à peu près trente minutes, ils acquiescèrent et commencèrent à lui expliquer comment fonctionne le modèle de téléphone acheté un peu plus tôt, les deux amis en profitèrent pour s'enregistrer dans les contacts de la jeune fille. Cela fait, ils se mirent à parler de tout et de rien, se lièrent ainsi d'amitié.

Voici le chapitre 17 ! Je n'ai pas grand-chose à dire alors à plus au prochain chapitre !

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