Chapitre 18 :

Elle informa les deux personnes assises avec elle qu'elle doive partir dans à peu près trente minutes, ils acquiescèrent et commencèrent à lui expliquer comment fonctionne le modèle de téléphone acheté un peu plus tôt, les deux amis en profitèrent pour s'enregistrer dans les contacts de la jeune fille. Cela fait, ils se mirent à parler de tout et de rien, se lièrent ainsi d'amitié.

Ponzu : Et donc, Malia, pourquoi tu es venue ici, ce n'est pas vraiment le genre de village où l'on peut y faire du tourisme. Demanda Ponzu à la jeune fille, Malia bu une gorger de sa bière et tourna son regard bleu océan vers son amie.

Malia : Je suis venue ici pour m'entrainer. Répondit-elle, avant de regarder l'heure sur son téléphone nouvellement acheter.

Pokkuru : Nous aussi on s'entraine ! On veut participer au prochain examen hunter, il se tiendra dans un an ! S'exclame Pokkuru, finissant sa bière. Et tu t'entraines toute seule ? Demanda-t-il.

Malia : Oh non non, avec un… un maitre de combat ? Répondit-elle hésitante, ne sachant pas vraiment comment qualifier Feitan, mais il lui avait dit qu'il était son maitre de Nen, mais Ponzu et Pokkuru n'ont pour l'instant pas entendue parler du Nen, donc elle n'a pas spécifié que Feitan était son maitre de « Nen ».

Ponzu : Tu participeras à l'examen hunter toi aussi ? Demanda Ponzu, finissant elle aussi sa boisson. Malia ne sachant pas encore ce qu'il allait se passer durant son séjour ici. Elle se dit que connaissant Arun, il voudrait participer à l'examen pour devenir hunter.

Malia : Surement, je ne sais pas vraiment encore. Dit-elle à la jeune femme aux cheveux bleus. Elle voudrait vraiment y participer, mais elle ne sut pas si Kuroro les laissera s'y inscrire.

Ponzu : On se retrouvera là-haut alors ! S'exclama-t-elle.

Malia : Je vous rembourserais le téléphone en même temps.

Pokkuru : On t'a dit que tu n'étais pas obligé ! Lui dit le jeune garçon.

Malia : Je n'aime pas que quelqu'un me donne quelque chose sans que je lui rende quelque chose en retour. Répondit-elle, un brin de détermination dans la voix.

Pokkuru la contredit Malia, qui elle le contredit elle aussi, Ponzu les regarda, amuser de les voir chercher des arguments pour que l'un ou l'autre est raison, C'est finalement Pokkuru qui gagna, pour faire taire Malia, il fourra dans la bouche de la blanche, un petit pain qu'un client n'avait pas mangé. Il s'autoproclama vainqueur, sa concurrente voulut protester mais il l'en empêcha en lui disant d'accepter sa défaite, Elle fit donc un croche pied au jeune homme, celui-ci tomba la tête la première sur le parquet.

Malia : Je vous rembourserais quand je vous reverrais, point. Dit-elle en tirant la tête au jeune homme toujours parterre, fixant Malia, prenant un visage faussement blesser qu'elle l'ait fait tomber. Fait pas cette tête, t'a perdu t'a perdu. Elle entendue un « gnia gnia gnia gnia gnia » du roux, se fut donc Malia la victorieuse du débat, pour le remboursement de 70 jenis.

Les trois amis sortirent du café, Pokkuru fit une fausse moue vexer et fit semblant de bouder. « C'est un vrai gamin en fait », ria Malia intérieurement. Etant 13H45, Malia dû dire en revoir à ses premiers amis de cet univers, Pokkuru avait arrêté de bouder. Ponzu et Pokkuru ont fait promettre à leur amie, de se revoir à l'examen, elle ne fut pas sûr qu'elle pourrait honorer la promesse, mais promis quand même. Ils partirent de leur coter, Malia allant vers la forêt.

Elle eut au début peur de ne pas retrouver son chemin, mais elle se trouva bien rapidement devant la maison abandonnée, elle s'arrêta un instant pour la détailler, des branches d'arbres poussant sur les murs de la maison, où des feuilles ont poussé de tel sorte qu'on ne vit presque plus le bois dont fut faite la maison, des vitres brisées, barricadées par des lattes de bois. Malia put voir que la porte d'entrée fut, forcé, elle fut fermée, mais la serrure n'était plus. Elle arrêta de détailler la maison car il fut 57, elle se tourna vers la forêt se trouvant à côté, cette même forêt qui va surement devenir son antre de torture, physique, comme moral durant son entrainement.

Notre héroïne s'enfonça dans la forêt avec hâte et se retrouva dans la clairière ou elle se trouva tôt ce matin. Au milieu de cette clairière, elle vit un homme, habiller de noir, assis sur un rocher, un sabre dans la main droite et un chiffon dans l'autre. Il astiqua la lame aiguisée de l'arme. Lorsqu'il entendit du bruit, il se tourna vers son origine, croisant des yeux bleus océan.

Feitan : Ça va, t'es pile à l'heure, moi qui pensais avoir une excuse pour durcir encore ton entrainement. La nouvelle venue souffla discrètement de soulagement, Feitan, rangea son chiffon et son sabre dans son fourreau. Mais bon, de toute façon je n'ai pas besoin d'excuse, puisque je suis ton maitre, je le durcis si je veux. Dit-il en se levant, alors que la blanche déglutit, se disant qu'elle va mourir. Bon, on va commencer par tester tes réflexes, tu vas courir dans la forêt et je vais t'attaquer au poing, je ne taperais pas fort, tu es pour l'instant trop faible. « Oui oui je sais je suis trop faible pour l'instant gnia gnia gnia », Pensa-t-elle, elle n'eut pas le temps de penser plus, que le noiraud se jeta sur elle, prêt à la frapper du poing.

Elle réagit rapidement et se décala vers la droite et de courir hors de la clairière et s'aventura entre les arbres, n'ayant pour l'instant pas trop d'endurance, elle s'épuisa assez rapidement et ne vit pas Feitan lui donner un coup au ventre. Trop lente, lui susurra-t-il en repartant entre les arbres. Il fut tellement rapide, que Malia eut du mal à suivre ne serait-ce que son ombre. Elle tenta de prendre ses repères, mais elle parvenait à peine à éviter les coups de son maitre. Quand il attaqua avec un coup de pied elle tenta de bloquer le coup, mais pas le poing, ou alors inversement, elle dévier où esquivait le poing, mais pas le pied.

Il l'attaqua de front avec un coup de poing, notre héroïne commença à s'habituer à la vitesse du nain et se baissa pour esquiver et lui donna un coup dans l'estomac puis lui fit une croche pied, il tituba, mais réussit à se rattraper avec les mains, avant de s'éloigner.

Feitan : Mmh, tu as de bons réflexes, c'est un bon début, je peux déjà commencer à accélérer. Dit-il en disparaissant.

Malia : Hein ? Non non mais la vitesse là c'était très bien, je commençais à peine à mis habituer ! Paniqua-t-elle, tournant la tête partout où les feuilles des arbres et les buissons bougeaient.

Elle fut déjà asser fatiguée des deux heures consécutif d'entrainement, dû à son manque d'endurance, Feitan lui, pourrait faire ça pendant pas mal de temps, elle non. Elle chercha de tous les côtés, droite, gauche, en l'air, de travers et même en dessous, au cas où il déciderais de surgir de la terre. Elle fit d'un coup, un demi-tour sur elle-même, trouvant les yeux noirs de son adversaire. Elle fut surprise elle-même de sa réactivité, elle se hâta de se reculer, mais Feitan fut plus rapide et lui assena un coup sur le crâne.

Feitan : Si je veux accélérer j'accélère, c'est tout et puis justement, c'est quand tu commences à t'habituer qu'il faut augmenter la vitesse. Dit-il d'un ton asser autoritaire.

Malia : Aïe, oui oui j'ai compris, désolé j'ai pensé à haute voix. Dit-elle en se massant le haut du crâne.

Feitan : 5 minutes de pause, tu mourras avant la fin de la journée sinon. Dit-il en allant s'assoir sur un rocher, lisant un de ses précieux livres sur la torture. Elle se posa par terre et but avidement sa gourde d'eau et manger un gâteau qu'elle eut embarqué avant de venir. En mangeant son gâteau elle fixa le livre que le jeune homme lut. « C'est pas le même livre s'il lisait quand il avait fini de torturer la chouette à York Shin. Pourquoi tu fixes mon livre comme ça ? Lui demanda-t-il. Elle s'étouffa un peu avec son gâteau, pas prête qu'il lui parle alors qu'elle fut dans la lune.

- Désolé, j'étais dans la lune je repensais à un moment dans l'animé. Expliqua-t-elle.

- J'en conclus que c'est un moment où j'apparais ? Déduit l'homme vêtu de noir, la blanche fit un oui de la tête. Raconte. Dit-il, Malia le perçu comme un ordre, il eut posé son livre sur ses genoux et fixa la jeune femme qui rougit qu'il la fixe comme ça.

- Euh.. Eh bien c'est pas un gros moment, mais tu venais de torturer quelqu'un et quand Machi est rentré dans ta salle de torture improviser, le mec que tu as torturé étais littéralement en train d'agoniser à côté de toi qui étais tranquillement à lire un livre. Sur la torture d'ailleurs il me semble. Dit-elle en réfléchissant. La première fois que j'ai vu la scène ça m'a fait un peu rire j'y pense. Dit-elle en murmurant et en ricanant un peu.

- Mmh, la dernière phrase aussi tu la pensais à voix haute ? Demanda-t-il la fixant toujours.

- Hein ? Euh… Oui oui désoler, je pense souvent à voix haute, ça m'arrive, Désoler. Dit-elle rouge d'embarras, agitant ses mains devant son visage, essayant de se justifier, comme si pensée à voix haute était un crime. Feitan sembla s'en amuser, il retourna à son livre peu après laissant son élève dans son embarras solitaire.

Voyant qu'il ne l'écouta plus, elle s'arrêta de parler, toujours rouge d'embarras, mais cette fois-ci, pour avoir parlé dans le vide et s'être agité toute seule. Elle finit son gâteau et repris sa gourde en même temps que son téléphone, qui affichait la notification d'un nouveau message. « Bonne chance pour ton entrainement et rendez-vous à l'examen hunter ! Ponzu et Pokkuru. ». Elle posa sa gourde et répondit à son ami. « Merci ! Vous aussi bon courage pour votre entrainement, même si vous devez être plus avancés que moi ^^° ». La réponse ne se fut pas attendu car le téléphone sonna quelques secondes après l'envoi. « Merci, tu es au début, tu vas devenir forte, pas autant que moi mais bon, un certain niveau », elle sourit doucement, imaginant le rouquin prendre un air fier. « Mouais, t'inquiète même pas, ça devrait pas être compliqué d'être plus forte que toi 😉. », renvoya la blanche, deux réponses fut possible pour elle, soit il la contredira, soit il ressortira, son fameux, gnia. L'appareil électronique sonna et la réponse fut….

Le fameux, gnia gnia gnia ! Elle rigola doucement, imaginant encore une fois son ami, cette fois-ci avec un air boudeur, disant les trois mots, qui ne veulent rien dire. « Je voudrais bien les sauver ces deux-là, c'était pas des persos très important, ni même mes préférer, mais je les aime bien ! Donc si je peux, je les sauverais ! J'en parlerais à Ar ! »

- Eh, maintenant que tu à un téléphone, passe-moi tes coordonnées, je sais pas si t'as un bon sens de l'orientation, j'aimerais pas te perdre, ça m'évitera de me faire enguirlander par ton petit pote.

- Oui sa serai bien qu'il vive encore un moment. Répondit-elle, sachant que si Arun s'énerve contre le tortionnaire, il risque de finir à la place de la Chouette et d'agoniser sur une chaise, avec Feitan tranquillou en train de lire.

- Oh et puis tien fait le. Lui dit-il en lui lançant son téléphone. Elle le rattrapa et fixa le téléphone. « Oh putain de chiottes de chèvre ! J'ai le téléphone de Feitan dans mes mains ! » T'évanouit pas, ce n'est que mon téléphone que tu as dans tes mains. Malia repassa à un visage rouge tomate et s'empressa d'entrée ses coordonnées dans le téléphone avant de le renvoyer au jeune homme qui le rattrapa sans même quitter son livre des yeux.

Il quitta son livre et dit que l'entrainement repris et qu'elle eut intérêt à courir vite si elle ne veut pas se reprendre des coups, elle s'empressa de ranger sa gourde et son téléphone non sans avoir fixé le nom « Feitan », qui s'affichait dans son répertoire. Elle se remit ensuite immédiatement à courir, ne voulant pas avoir plus de bleus qu'elle en eut déjà avec seulement près de deux heures. Feitan, lui changea le nom de contact de Malia pour, « Tomate ».

Hey, désolé d'avoir tardé à sortir le chapitre 18, mais le chapitre 19 est en correction et le chapitre 20 en écriture ! Je n'avais pas trop le temps en ce moment et j'avais été inspirer pour un Luxus x OC et un Drago Malefoy x OC, j'avais plein d'idées du coup j'avais commencé à les écrire. J'essaierais d'écrire le chapitre 19 dans la semaine ! Bisounours !

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