Chapitre 25 :
Malia : une dernière volonté peut-être ? Murmurai-je. Toujours mon sourire sur le visage. Son sourire à lui s'agrandit.
Caleb : Toi je t'aime bien ! Me dit-il. Tu parles de dernière volonté.
D'un coup, je refermai ma main en poing, et le coup de Caleb se fit broyer dans un bruit sinistre. Il tomba à son tour au sol, mort, la gorge broyer écraser par mon Hatsu à moi. Mes yeux s'élargirent et je reprirent contenance. Je venais de tuer deux personnes pour la première fois.
PDV Extérieur
Le soleil filtrat dans la pièce, les volets ne furent pas fermés la veille, donc tout la chambre fut plongée dans la lumière. Une jeune femme aux cheveux blancs en bataille dormit sur le lit, elle eut la lumière en plein sur la tête et poussa un grognement avant d'entendre son téléphone sonner. Elle grogna encore plus et ouvrit ses yeux bleus océan, yeux qui paraissaient fatigués même après avoir dormi. Elle leva son bras pour attraper son téléphone, mais manque de bol, il fut par terre, trop loin pour pouvoir l'attraper du bras. Elle souffla et se leva.
Lorsqu'elle se leva sur ses jambes, elle retomba au sol, et regarda la cause de sa chute, qui fut sa blessure à la jambe gauche faite par l'homme barbu hier avec son couteau, couteau qu'elle eut gardé toute comme le deuxième. Elle se rappela ce qu'il lui était arrivée hier soir et elle se recroquevillât sur elle-même.
Malia : J'ai… J'ai tué des gens, j'ai tué deux hommes. Dit-elle en regarda ses mains pleine de sang sec, dû au bout du verre qu'elle avait enfoncé dans le ventre de son premier agresseur, verre qu'elle eut tant serré sous la peur qu'elle s'en fit des coupures aux mains.
Elle resta un moment assise par terre et se décida à se lever et à n'nettoyer ses plaies qui n'étaient même pas désinfectées, elles lui firent mal à chaque appuie sur le membre, à la jambe gauche au bras droit et aux mains. La veille, elle fut rentrée en courant aussi vite qu'elle le put pour ne croiser personne, l'adrénaline lui eut fait oublier les douleurs, mais arriver dans sa chambre et calmer, les plaies on commencées à la piquer, mais elle fut tellement choquer d'avoir tuée deux hommes qu'elle n'y fit même pas attention. Cette nuit elle n'eut pratiquement pas dormi, ça va être beau l'entrainement aujourd'hui, s'était-elle dit.
Elle lava les plaies sans les désinfecter, faute de désinfectant, et mis un linge autour de ses plaies, « bon, ça fera l'affaire jusqu'à la pause de midi » se dit-elle. Elle regarda l'heure et soupira, elle devait se dépêcher sinon elle serait en retard. Elle mit un pantalon noir et un maillot manches longues gris, elle sut qu'elle aura chaud, mais elle devait cacher ses plaies, heureusement, le linge ne fut pas très épais et on ne vit pas qu'il y eut quelque chose en dessous. Pour cacher ses coupures aux mains elle mit des gants blancs fins. Elle ne prit, pas la peine de se coiffer les cheveux et les attacha seulement en queue de cheval.
Enfin prête, elle descendit en vitesse pour manger un bout avant de partir, elle croisa monsieur Rimshi et se dirigea vers lui.
Malia : Bonjour monsieur Rimshi. Le salua-t-elle, il lui sourit et la salua à son tour. Je voudrais vous prévenir que je pars demain. L'informa la blanche.
Monsieur Rimshi : Oh d'accord ma petite, nous te rendrons l'argent en trop demain quand tu partiras.
Malia : Oh non, garder le reste ne vous inquiétez pas. Lui dit-elle, elle volait, donc n'avait pas vraiment besoin de cet argent.
Monsieur Rimshi : Oh, d'accord. Elle alla tourner les talons mais la voix de la femme du vielle homme se fit entendre.
Madame Rimshi : Malia, tu vas bien . Tu me parais bien pâle et fatigues. Et tu n'auras pas chaud comme ça ? S'inquiéta la dame.
Malia : Oh bonjour Ito, non je vais bien, j'ai juste mal dormi cette nuit ne vous en fait pas et non ça va je n'ai pas trop chaud, je dois couver quelque chose puisque j'ai froid même. Au revoir. Menti-elle en sortant de l'auberge.
Dehors elle eut chaud habillé de cette façon, mais elle se dit qu'elle devait le porter jusqu'à au moins ce soir ou à midi, où elle le retirerait pour souffler un peu. Elle n'avait même pas mangé à l'auberge, elle n'avait pas le temps. Elle passa par une petite superette et vola un paquet de biscuits et une bouteille, car elle eut aussi oublié de prendre de quoi boire.
Elle se mit à courir pour ne pas être en retard et éviter de se faire frapper par le numéro deux de la brigade. Pour aller à la forêt elle doit passer devant la maison, à cette pensée elle s'arrêta et décida de faire un détour pour ne pas passer devant cette bâtisse abandonnée. Elle ne voulut pas passer devant, elle eut en tête les cadavres des deux hommes dans la tête, et savoir qu'ils se trouvèrent toujours allonger sur le sol de la chambre d'enfant, à baigner dans leur sang, le corps surement raidit, cela la fit frissonner de dégout.
« Et si quelqu'un trouvaient les corps ? Mon sang avait aussi coulé, il pourrait me retrouver et m'enfermer. Qu'est-ce que je dois faire ? », son esprit réfléchi au problème qu'elle pourrait s'attirer, elle s'imagina déjà derrière des barreaux à attendre sa peine de mort. Elle eut vite oublié dans quel monde elle se trouva et avec qui elle s'entrainait. Elle décida donc que ce soir elle y retournerait pour au moins cacher les corps, s'ils sont encore là lorsqu'elle reviendrait.
Pour l'instant elle se concentra pour trouver le bon chemin et ainsi ne pas arriver en retard. Elle souffla de soulagement quand elle vit l'entrée de la forêt, elle dut quand même courir encore un peu vu qu'elle ne rentrait pas par le même chemin que d'habitude. Elle s'arrêta brusquement se rendant compte qu'elle n'avait même pas activé son Zetsu pour cacher au moins son aura, elle le fit avant de repartir à toute arriva à la clairière où elle vit Feitan sur son rocher et le nez niché dans son bouquin. Il se tourna vers elle quand il l'entendit arriver.
Feitan : Tu arrives un peu moins en avance que d'habitude. Lui dit-il en regardant l'heure sur son téléphone.
Malia : oui oui déso… Elle plaqua ses mains sur sa bouche, évitant le mot de sortir de sa bouche. Enfin bref, salut comment ça va Feitan ? Elle le salua de la main gauche.
Feitan : Pfff, bien rattrapé. Dit l'homme en noir d'une voix déçue. Tu n'as pas chaud comme ça ? Demanda-t-il en la détaillant de bas en haut.
Malia : Dit celui qui s'habille en tunique noire jusqu'à la mâchoire. Rétorqua-t-elle sarcastiquement pour réponse. On peut commencer ? Dit-elle pour changer de sujet. Feitan fronça légèrement les sourcils et haussa les épaules, il posa son livre sur le rocher, et à peine le livre fut posé qu'il fonça sur la blanche qui esquiva le nain de justesse.
Feitan : Cette fois-ci, je vais t'attaquer avec un poing chargé en Nen, ça fait un peu plus mal, et si tu ne veux pas avoir mal esquive, sinon tu te le prendras, ce qui ouvrira tes Chôkos en même temps. L'informa-t-il, Malia déglutit mais eut un sourire en coin, elle voulait l'impressionner, alors elle aller tout mettre en œuvre pour l'impressionner un au minimum.
Il retourna à l'attaque. Elle décida d'attendre et d'esquiver pour l'instant, elle attaqua quand même par moments, le frôlant légèrement par moments. Elle attendit le bon moment, le bon moment pour contre-attaquer. Sa jambe lui fit mal et son bras également, elle fut donc moins rapide et moins précise dans ses coups, et ça, Feitan l'eut remarqué, mais ne dit rien.
Feitan commença à perdre patience, notre héroïne ne fit qu'esquiver, ce qui énerva légèrement le tortionnaire qui accéléra d'un coup, bien décidé à frapper son adversaire. Ce fut le moment que Malia attendit, elle eut un sourire en coin, sourire que Feitan ne comprit pas tout de suite, et ferma ses bras en X devant son visage et attendit qu'il se rapproche. Lorsque son adversaire fut assez proche, l'impact également, ses pieds au sol et Feitan à justes 5 centimètres d'elle, elle quitta l'effet Zetsu et activa le Ren pour recevoir le coup, tout de suite après, elle concentra son aura dans ses poings rapidement avant de pousser le plus qu'elle put sur ses jambes et frappa de toutes ses forces sur le jeune homme dans l'estomac qui fit projeter à une bonne distance.
Feitan : Hein ? Dit-il déconcerté par le mouvement.
Il n'eut pas le temps de se relever que Malia arriva, rapidement, ayant concentré son aura sur ses jambes aussi, elle put se déplacer plus rapidement et elle continua de le frapper. Feitan arrêta son poing et la fixa droit dans les yeux, il alla ouvrir la bouche mais se prit le pied droit de la jeune femme dans le ventre et fut une nouvelle fois projeté, avec un peu plus de force que tout à l'heure, il se releva, il murmura un « Je vais te tuer », et un sourire en coin prit place sur son visage aussi et fonça sur la blanche qui fit de même. Malia fut rapide, mais pas autant que Feitan, qui luit le fût encore plus. Coup de poing et coup de pied fusaient, Malia eut une garde de boxe, tandis que Feitan n'en avait pas, il déviait et esquivait les coups qui venaient.
Malia commença à arriver à sa limite, sa jambe lui fit mal et son bras aussi, donc sa vitesse de déplacement diminuait et sa force aussi, le noiraud lui agrippa le bras droit, pile ou sa plaie se trouvait, cela ne l'étonnerait pas si elle s'était rouverte. Elle se prit un coup de poing dans le ventre et poussa un gémissement de douleur et il fit une croche pied à la jeune femme qui tomba sur le dos au sol, l'homme de poche à califourchon sur elle, tenant ses bras des deux côtés de sa tête, les yeux plissé d'amusement.
Feitan : et t'es morte. Lui dit-il, la tenant toujours par les poignets.
Malia : Pfff, j'ai au moins réussi à te toucher, de mon point de vue ce n'est pas mal quand on connaît ta vitesse de déplacement, surtout que tu t'es retenue. Dit-elle en tournant la tête sur le côté, ses joues commencèrent à rosir dû à leur position.
Feitan : et donc tu connaissais déjà le Nen ? Lui demanda-t-il. Elle hocha la tête pour lui confirmer que oui. Tu l'as appris comment ?
Malia : par la manière naturelle, en méditant. Un ami qui logeait à l'auberge m'a un peu aidé pour le Zetsu et pour contenir mon aura. Répondit-elle, le visage toujours sur le côté.
Feitan : Je vais pouvoir pousser un peu plus tes entrainements dans ce cas. Elle se tourna vers lui et vit que ses yeux firent plisser d'amusement. Elle retourna la tête une deuxième fois pour ne pas croiser son regard.
Malia : Kuso ! Lâcha-t-elle. Bon, tu peux descendre ? T'es lourd pour t'as taillé. Et ferma directement la bouche, elle eut encore parler à voix haute, elle sent l'aura du tortionnaire grandi et ses sourcils se froncer. Eh eh ! Me tue par je voulais pas le dire à voix haute ! Dit-elle commençant à paniquer sous le regard noir du jeune homme.
Feitan : Mais tu l'as quand même pensé. Dit-il d'une voix calme, mais froid. Il resserra son emprise sur les bras de la blanche, ce qui la fit grimacer sous la douleur de sa plaie rouverte.
Malia : Oui mais je voulais pas le dire. Le regard du noiraud se fit un peu plus noir et elle chercha un moyen pour s'échapper. Elle trouva une idée, mais elle doit faire vite.
Elle bascula sur le côté, replia ses jambes et poussa Feitan avec ses jambes, pas trop loin car elle n'eut plus de force et il fallait qu'il ne soit pas trop loin, et retira un de ses gants avant de s'avancer vers Feitan qui venait de se relever, avant qu'il puisse faire un seul mouvement, elle le toucha sur le bras pour utiliser sa capacité Shōhyō et le bloqua sur place. Il essaya de bouger, mais ne put ne serait-ce que bouger un doigt.
Malia : J'ai aussi commencéà développer ma capacité de Nen ! Dit-elle avec le sourire, fière d'elle, sourire qui se fana vite en voyant le regard de l'homme et déglutit avant de tourner les talons. Bon ce n'est pas tout mais moi j'ai faim, je n'ai pas mangé et pas trop dors, alors euh… a tout à l'heure !
Feitan : reviens ici espèce de sale gosse. Dit-il froidement mais calmement.
Malia : T'inquiète pas, ça se retira dans à peu près 15 ou 20 minutes, ou plus ou moins je sais pas 'est pas encore très au point, mais au moins le temps que je puisse m'échapper. Sur ces mots elle sortit de la clairière, elle entendit le nain jurer contre elle derrière, et ce dit que s'étaient surement ses derniers instants dans ce monde.
Feitan : Reviens ici et libère-moi connasse ! Je vais te tuer, Kuroro ou pas ! Il continua de jurer pendant un bout de temps jusqu'à ce qu'il ne ressente plus l'aura de son élève. J'y crois par elle m'a vraiment abandonné là !? Je vais la tuer cette gosse ! Jura-t-il en tentant de bouger. Putain ! Je peux vraiment ne pas bouger, elle m'a fait quoi !?
Il se débattit mais toujours aucun résultat, il ne put que bouger ses yeux de métal. Yeux qui firent attirer par sa main gauche, sur la paume, du sang qu'il n'eut pas remarqué avant. D'où venait ce sang, ce n'était pas le sien pour sûr. Celui de Malia ? Il se rappela que cette main eut agrippé le bras droit de la jeune femme, mais il n'avait pas sorti son sabre, elle n'aurait pas pu saigner, à moins qu'elle le fût avant le combat ? Pour lui ce fut la seule explication, Malia était blessée et la blessure était ouverte. Il tourna la tête vers son autre main, mais rien, par contre, sur sa manche une trace de sang en forme de main. Sa main aussi fut blesser. Pour lui, raison de plus pour se décoincer. Curiosité ou inquiétude, il ne sut pas ce qui le poussait à se démener, surement l'énervement et l'envie de frapper son élève pour le coup qu'elle vint de lui faire.
Et en effet, la blessure de la blanche fut rouverte, ainsi que celle sur sa jambe et de ses mains. Mais avant de les soigner, elle devait passer par la maison abandonnée pour cacher les cadavres des deux hommes morts, elle resta devant la porte hésitante, et si quelqu'un se trouvait encore à l'intérieur ? À cette pensée elle se mit à trembler légèrement. Elle se mit en état de Zetsu et poussa la porte d'entrée.
Toujours les mêmes déchets et éclat de bois au sol, le même fauteuil. Elle avança hésitante vers l'escalier, arriver en bas de celui-ci, elle resta planter en bas. Elle se dit qu'elle pourrait faire demi-tour et rentrer pour appeler Arun et se confier à lui, mais elle refusa d'embêter Arun. Pour elle, c'était une épaule sur lequel pleurer, se plaindre et demander de l'aide, et qu'elle comptait trop sur lui, il avait toujours été là pour elle, mais elle devait apprendre à se débrouiller seule, sans lui. Elle arrêta ses tremblements et se mit à gravir les marches de l'escalier raide.
En montant, elle fixa la porte de la chambre d'enfant. Elle monta marche par marche et son cœur bâti plus vite à chaque marche franchit. Elle appréhendait le moment où elle verrait les deux hommes qu'elle eut froidement tués hier. Même si elle s'était défendu, elle les avait tué, c'est tout ce qu'elle retint.
Elle arriva en haut de la dernière marche, plus qu'à tourner sur la droite et elle y ait. Elle avala sa salive, serra les poings et tourna vivement dans la chambre. Elle eut de suite des hauts de cœur, rien n'eut changé, ils furent toujours là, allonger sur le sol. Une la gorge tranchait et l'autre, mutiler de partout et la gorge écraser. Elle se demanda comment elle eut pu faire ça ? Tuer des gens, elle s'était souvent demandé ce que cela ferait. Mais pas comme ça, pas après avoir eu la peur de mourir et de les avoir tué comme ça, en ayant même presque apprécié de les tuer, lorsqu'elle était dans un état presque second.
Elle inspira et expira plusieurs fois avant de pénétrer dans la pièce et chercha un moyen de les sortir de là et surtout où allait-elle les mettre, elle ne peut pas les enterrer, elle n'eut pas de pelle à porter de main. Soudain, elle se rappela le petit jardin de la maison, peut-être y avait-il des pelles de jardins. Elle redescendit les escaliers et sortit dans le jardin, elle chercha partout et elle en trouva une avec un peu de chance. Elle commença donc à creuser deux trous dans le fond du jardin.
Malia : Désolé pour les futurs proprios de cette maison. Dit-elle en donnant le premier coup de pelle.
La terre fut dure, avec le soleil et le manque d'entretien, il ne fallait pas s'attendre à de la terre molle comme du beurre, elle utilisa donc le Shu pour creuser plus facilement. Comme elle eut chaud à force de creuser, elle retira son haut et son bas, se retrouvant en sous-vêtement, ses plaies ouvertes, elle remit deux bouts de tissus qu'elle avait dans la poche de son pantalon. Elle se dit que personne ne put la voir, elle garda néanmoins ses gants pour protéger ses mains qui furent pleines de coupures, avec le frottement du bois sur la peau, ça ne fera qu'augmenter les blessures.
Après 10 minutes de creuses, les deux trous furent près. Elle re rentra dans la maison et alla dans la chambre, toujours en sous-vêtement. Elle eut l'idée pendant qu'elle creusait, d'utiliser ses marques pour pouvoir les déplacer au lieu de les porter. Elle commença par celui-ci mutiler, plus vite elle ne verra plus celui-là, mieux elle sera. Elle lui toucha le ventre ou une marque apparue, elle n'eut jamais fait attention à quoi ressembla la marque, elle se pencha et un sourire pris place sur ses lèvres.
La marque fut ironique pour elle, la marque apparut fut le caractère de l'araignée, 糸 Ça aurait pu être n'importe quoi, loup, chat, noir, nuage, mais non, c'était Araignée. Elle ne s'attarda pas plus sur le sujet, ayant horreur de voir ces cadavres. Et tenta une première fois à soulever le corps, mais avec difficulté. Il retomba de suite au sol, faisant un grand boom résonant dans la bâtisse abandonnée.
Elle retenta le coup et fit preuve de plus de concentration et décida de le faire passer par la fenêtre de la troisième chambre, plus simple que de passée par les escaliers. Elle fut lente, mais elle arriva jusqu'à la fenêtre et y passa le corps avant de le laisser tomber au-dessus d'un trou. Elle fit de même avec le corps de l'autre hommes.
Les deux dans les deux trous prévus pour eux, elle redescendit pour les recouvrir de terre. Ils firent tomber dans les trous un peu maladroitement, le noiraud a barbé un pied et une jambe firent lever et appuyer sur les parois terreuses et l'autre, ce fut le postérieur qui fut en l'air contre la paroi. Elle ne prit pas la peine de les mettre correctement, voulant en finir le plus vite possible.
Elle souffla de soulagement lorsque sa tache fit achever, elle remit son pantalon et son haut avant de repartir vers la porte et de sortir. Une « bonne chose » de faite si on peut dire, pour Malia, elle ne fut pas bien, elle eut l'impression que chaque personne qui la regardait savait ce qu'elle eut fait, elle pressa donc le pas, arrivant bien vite devant l'auberge. Elle salua madame Rimshi qui débarrassait une table. La blanche alla monter lorsque la vieille dame s'approcha d'elle avec un verre d'eau et un cachet blanc dans les mains.
Madame Rimshi : tienne ma grande, prend ce cachet, tu n'as pas l'air bien du tout. Elle lui tendit le verre et le cachet, mais refusa, disant qu'elle alla bien et qu'elle devait juste dormir. Prends ce cachet, s'il te plaît, même si tu n'as rien, c'est juste au cas où, tu m'as dit ce matin que tu couvais surement quelque chose. Alors prend le, je t'ai fait un sandwich aussi, tu pourras le manger dans ta chambre. Malia refusa une nouvelle fois, mais elle insista. Notre héroïne prit donc le cachet mais refusa le sandwich. Mais monsieur Rimshi ne fut pas de cet avis et lui enfourna le pain dans la bouche.
Monsieur Rimshi : mange ça, tu es aussi blanche que mes cheveux ! Dit-il en tournant les talons.
Elle les remercia et monta enfin dans sa chambre, en mangeant le pain garnit. Elle clicha la porte de sa chambre et entra.
Malia : La journée commence mal mon petit Fei-Nours ! Elle s'affala sur son lit sans même regarder autour d'elle. Je vais me faire tuer par Feitan d'ailleurs.
? : Tu m'étonnes que tu vas mourir. Dit une voix assez froide venant de derrière la jeune femme.
