Chapitre 27 :

Malia fut tout sourire, ayant réussi ce qu'elle voulut faire, fit une pause et ait une gorgée de sa bouteille. Derrière le mur, à l'extérieur, quelqu'un l'observa, la personne sembla légèrement irritée.

Tu vas voir il va te faire quoi l'Homme de poche sale gosse. Murmura-t-il. En plus tu as désobéi à ton maitre. Oui, Feitan fut derrière le mur, il avait observé son élève depuis bien 1à minute, il fut arrivé lorsqu'elle eut mis de côté la téléportation d'objet. Bien joué quand même Tomate. Il regarda les deux tombes » et disparut en un éclair.

PDV Malia

J'en peux plus, ça fait bien 2 heures et demie que je m'entraine, je suis crevé, je vais rentrer, en plus j'ai faim. Je me levai donc du lit de la chambre et sortis de celle-ci. Cette vieille maison va me manquer, j'eus soudain une idée, je vais graver mon nom. Je sortis de la maison et gravai sur le mur de devant, « Malia Miyarata est passée par là ». Je l'aie gravé avec mon couteau enveloppé de Nen, comme ça, c'est graver avec mon Nen et dans le mur. Fière de moi, je rangeai mon couteau et tournai les talons.

Je passai devant une supérette et avait l'idée d'essayer quelque chose avec ma nouvelle technique. Je rentrai dans le magasin et vagabondai dans les rayons. Rayon dessins, je regardai le matériel, je n'ai pas de peinture et de craie. Je pris un set de peinture acrylique, à l'huile et aquarelle et le reposai dans le rayon. Je pit ensuite une palette de peinture aquarelle et fit comme le set et le reposa. Je refit la même action, pour des pinceaux de différentes tailles, avec des craie grasse, tendre et sèche. Un carnet de dessins et d'autre bricoles du genre.

Je passai ensuite dans le rayon gâteau et fis, pareil qu'avec le matériel de dessin, mais sur plusieurs boîtes de barre de céréales et d'autres gâteaux. Pareil pour des boissons, un paque de six cannettes de boisson énergisante, en espérant que ça est le même goût que la Monster et la Red Bull. Je pris un sandwich et cette fois-ci me dirigeai vers la caisse et payai avant de sortir de la boutique.

Je m'éloignai et tournai dans une rue. Dans ce magasin, j'ai marqué tous les objets que j'eus touchés, ne reste plus qu'à les faire venir à moi. Je me concentrai donc sur les objets un par un et ils finirent par tous arriver devant moi. Enfin pas tous, quelques-uns manquèrent à l'appel. Mais bon, je suis contente, j'aurai assez pour le voyage. Je mis tout ça dans mon sac et repartis pour l'auberge. Arrivé à l'auberge, je repassai par la fenêtre où je fus sorti, mais je m'arrêtai net.

Tu peux pas te passer de moi où c'est comment ? Demandai-je à l'homme de poche assis sur ma chaise de bureau encore une fois, avec toujours le nez nicher dans un bouquin. Le sien cette fois, son livre de torture et mon ours en peluche dans les bras. Sérieux c'est hilarant de te voir comme ça. Me moquai-je légèrement. Je pris une photo rapidement, je veux pouvoir montrer ça à Ar quand je le reverrai.

Efface ça tout de suite. Je rangeai aussi ne vit que je le put mon téléphone.

De quoi tu parles ? Demandai-je innocemment. Il me lança un regard noir, le genre de regard qui veut généralement dire, « fait pas l'innocente ». Mh mh euh, tu as faim ? J'ai pris de quoi manger sur le chemin. Il me lança toujours son regard noir mais fini par souffler et retourna à son livre. Bon, bah je vais manger moi, à plus. Je posai mes affaires sur mon lit et pris seulement mon livre et mon téléphone avant de sortir de la chambre, laissant Feitan tout seul avec Fei-Nours et son bouquin.

Je descendis les escaliers et arrivai au bar où je demandai un curry légèrement épicé et une bière rouge à Madame Rimshi. Elle me sourit et me dis qu'elle me l'apporta à ma table habituelle, qui fut au fond de la salle près de la fenêtre. Je m'assis à la table et commençai à bouquiner mon livre, le tome 2 de mon livre sur le cannibalisme. L'enfant encore en vie à un des descendants et ils ont découvert les origines de leur famille et le pourquoi du comment ils sont attirés par la chair humaine et la viande crue. Certains ont même commencé à muter au fil des générations.

Je fus à fond dans ma lecture lorsque j'entendis la chaise en face de moi grincer sur le bois et quelqu'un s'assoir dessus. Je levai la tête pour découvrir un petit homme en noir. Il me lâche pas aujourd'hui c'est dingue, pas que ça me dérange, bien loin de là !

Ça me rend grave heureuse d'avoir ce beau gosse en face de moi ! C'est juste que c'est Feitan quoi, donc c'est bizarre. Je continuai de le fixer, toujours interloquer par son comportement, il porta son regard moi et nous nous fixâmes quelques secondes. Punaise qu'il est beau ! Nous fûmes coupés dans notre sorte de bataille de regard par la gérante de l'auberge qui m'apporta ma bière et mon curry épicé. Elle remarqua Feitan et lui offrit un sourire.

Oh, c'est le jeune homme qui m'a demandé la trousse de soin. Bonjour. Donc voilà où il l'a eue, pour une fois qu'il n'a pas volé. Il va neiger en juillet. Malia c'est ton petit copain ? À cette question, je recrachai la gorgée de bière que j'eus mis dans ma bouche sur l'homme en face de moi, qui me lança un regard assassin, je vais mourir, encore.

Non non, c'est un… ami ? Dis-je peu sur de moi. Je ne vis pas à dire, « non, c'est mon maitre, il a failli tuer d'innombrable fois ».

Oh, je vois désolé. Vous voulez quelque chose ? Demanda-t-elle à Feitan, il se tourna vers moi et prit ma fourchette de curry pour la porter à sa bouche. Sans son bandana il est encore plus beau !

La même chose, mais moins épicé. Répondit-il en reposant ma fourchette dans mon assiette et ayant remis son bandana. Avec une bière blanche. Rajouta-t-il, l'aubergiste acquiesça de la tête et parti préparer le plat.

Alors ta jolie petite bouche ne supporte pas les choses épicées ? Le taquinai-je avec un sourire narquois.

Et toi, tes jolis petits yeux ne peuvent pas se passer de m'admirer. Rétorqua-t-il sur le même ton que le mien. Je me mis à rougir furieusement et retournai à ma nourriture. Je l'entendis pouffer de rire. Attends rire ?!

Je sais pas si je dois être vexé que tu rigoles de mon visage écarlate, ou bien si je dois être choqué que toi tu puisses rigoler avec moi ? Lui dis-je d'un ton vraiment interloqué.

C'est si étrange ? Me demanda-t-il, je le regardai encore plus interloqué par sa question.

Bah tu'es Feitan, dans le manga, il me semble que les seules fois où tu taquines quelqu'un c'est avec un membre de la brigade. Moi je suis juste quelqu'un dont tu es obligé de t'occuper parce que Kuroro te la demandait. Je pris un morceau de poulet. Alors désolé de te faire perdre ton temps à t'occuper d'une gosse de 16 ans, qui ne sait a tellement se défendre et qui a un énorme manque de confiance en soi. Je me pris un parapluie sur la tête. Sérieux il le sort d'où ce truc à chaque fois ?! Pourquoi tu m'as frappé !?

Parce que tu t'es excusé. Me répondit-il simplement.

C'est une habitude, je peux pas la perdre en 1 mois seulement, Ar à essayer depuis bien 3 ans et rien ni fait, même avec Aiko et les filles, rien du tout. Lui expliquai-je.

Une vraie plaie. Souffla Feitan.

Je te permets pas ! M'offusquai-je. Et mon visage fut aussi rouge que mon propre sang.

Son plat arriva et il commença à manger. Nous mangeâmes dans le calme, bizarrement, ce calme ne me gênait pas, il fut même agréable, je pensai que manger avec Feitan me stresserait au plus au point, mais en fait non. C'est super agréable se calme, je suis généralement toujours au calme, mais là, je suis avec Feitan Portor, mon personnage préféré d'Hunter x Hunter. Une fois que j'eus fini de manger, je me levai pour déposer l'assiette à Madame Rimshi.

À demain Fei. Lui dis-je, je fis un dernier signe au nain.

Il se leva, sans même débarrasser son assiette et sa cannette. Il va surement repartir là où il loge. Je fus surprise de voir qu'il n'allait pas vers la porte, mais vers moi, et donc vers les escaliers menant aux chambres. Il a pris une chambre ici ? Je pensai à cette seule solution et je montai à sa suite, il eut déjà disparu dans le couloir. Je rentrai dans ma chambre et me figeai.

Sérieux mais pourquoi t'es encore ici ?! Demandai-je au numéro 2 de la brigade, qui vint encore s'incruster dans ma chambre.

J'ai la flemme de retourner à ma chambre. Me répondit-il le plus simplement du monde.

Tu vas bien devoir y retourner pour aller dormir. Il ne répondit rien, haussant seulement les épaules. Je soufflai, pris un short et un débardeur pour aller à la douche. Évite de touche à tout s'il te plaît. Lui dis-je avant de rentrer dans la salle de bain et de fermer la porte à clef.

PDV Feitan

« Évite de toucher à tout », elle m'a vraiment donné un ordre ? Rien que pour cette phrase je ne vais pas me gêner tien. Je posai mon livre et ouvris le premier tiroir qui me vient sous la main, je l'ouvris. Son carnet de dessins, la dernière fois, je n'aie pas pu tout regarder. Je pris donc le carnet et le feuilletai. En premier on put voir quelque dessin de moi, elle m'a dessiné pendant les pauses surement, aux crayons de couleur, aux feutres ou encore à la craie. Des dessins d'animaux de tous genres. Son pote aux cheveux rouge et trois autres filles.

Une première aux cheveux bruns et aux yeux marron, elle est dessinée légèrement de profil, devenant ordinateur. Un autre fille, cheveux châtains, yeux bleu-vert, debout contre un mur, des écouteurs, sans fil ? Dans les oreilles, en train de manger un gâteau. La troisième fille, pareil, cheveux châtains, yeux bleus, elle fit une tête bizarre.

Il y eut d'autres portrait, une petite fille brune, un petit garçon châtain, une jeune femme aux cheveux rouges. Peut-être ses frères et sœur. Sur une autre page, une femme, cheveux aux épaules, rouge. Et d'autres que j'ai la flemme de décrire, il son dessiner dans un autre style que les dessins que je vois habituellement.

Il y a aussi des dessins de Kuroro, Phinks, Shar, deux gamins, un brun habillé en vert et un autre aux cheveux blancs, et même Hisoka. Euh… Hisoka sérieux ?! Elle descend dans Mo estimer si elle aime bien ce clown pervers et psychopathe, en plus il n'y en a pas qu'un de celui-là ! Il n'y a pas autant de dessein de moi, mais pas mal quand même.

Il y eut d'autres portrait, une petite fille brune, un petit garçon châtain, une jeune femme aux cheveux rouges. Peut-être ses frères et sœur. Sur une autre page, une femme, cheveux aux épaules, rouge. Et d'autres que j'ai la flemme de décrire, il son dessiner dans un autre style que les dessins que je vois habituellement.

Il y a aussi des dessins de Kuroro, Phinks, Shar, deux gamins, un brun habillé en vert et un autre aux cheveux blancs, et même Hisoka. Euh… Hisoka sérieux ?! Elle descend dans mon estime si elle aime bien ce clown pervers et psychopathe, en plus il n'y en a pas qu'un de celui-là ! Il n'y a pas autant de dessin de moi, mais pas mal quand même.

Elle a mis un dessin de sa marque à côté. 糸, à croire que c'est fait exprès. Le caractère « araignée ». Dans le carnet il y a aussi des notes sur son autre technique d'Hatsu. Elle utilise le Shu pour durcir les particules autour d'elle et les manipule comme elle le veut, pour créer des piques, sabres ou autres. Intéressant, elle a travaillé ça assez en détaille. Elle y a noté le programme d'entrainement que je lui ai fait subir et n autre programme à côté, celui qu'elle doit faire toute seule, il est assez complet et dur. Même son entrainement de Nen est assez dur. Elle s'est bien débrouillé toute seule la gamine et en peu de temps. Le corps qu'elle a acquis doit avoir des prédispositions.

Je reposai le, carnet sur le bureau sans même le ranger. Je fixai l'ours en peluche nommé, « Fei-Nours », drôle de surnom. Il ne me ressemble pas du tout en plus avec pelage beige et son sourire bizarre que certains disent, « mimi ». Je vais lui arranger un peu eh eh. Un sourire pas très rassuré prit place tout seul sur mon visage. Elle va surement prendre trois plombes pour aller à la douche, ça me laisse le temps d'aller chercher ce qu'il me faut.

Je sortis par la fenêtre et me dépêchai de voler ce qu'il me faut pour customiser ce gros nounours au sourire niais. Peinture et feutre en main je repassai par la fenêtre de la chambre de la blanche. Je pris l'ours et commençai à le peindre et à coudre. On ne dirait pas comme ça, mais en travaux manuels je me d'emmerde pas mal.

Après quelques minutes de travail, mon œuvre d'art fut en train de sécher. Il est devenue noir et rouge sang en dégrader vers le bas. Je lui ai fait un bandana qui ressemble au mien, ces yeux aussi sont un peu changés. Si elle l'a appelé Fei-Nours, autant qu'il me ressemble un minimum quand même. J'entendis la porte de la salle de bain et vit la gamine avec un short noir lui arrivant au-dessus de genoux et un débardeur noir, que du noir, ça fait ressortir ses cheveux blancs et ses yeux bleus. Elle s'arrêta devant son ours et écarquilla les yeux.

T'as fait quoi à mon ours en peluche !? Cria-t-elle en courant vers celui-ci. Il est plus beige, il est noir et rouge, ses yeux, ses yeux sont bridés ! Il a des dents ! J'avoue que le bandana est pas mal. Enfin une chose de bien sûr mon œuvre d'art !Mais pourquoi tu lui as fait ça ? Me demanda-t-elle, tenant la peluche à bout de bras devant mon nez.

Il est mieux comme ça, tu veux lui donner mon surnom, fait au moins en sorte qu'il me ressemble. Lui répondis-je calmement.

Mais… Mais… Mais non, il était bien comme il était !

Arrête de crier, il est cent fois mieux comme ça ton ours. Elle alla reparler mais je l'ignorai de plus belle. Casse pied les filles je vous jure. Je m'assis sur le lit avec mon bouquin.

Tu comptes rester là ? Me demanda-t-elle.

Oui, flemme de retourner à ma chambre. Lui répondis-je, elle ne sembla même pas étonner par ma réponse. J'oublie souvent qu'elle est son pote me connaissent aussi bien que moi-même et qu'ils connaissent mon avenir également. Au fait finalement on part demain après-midi. Elle me répondit par un hochement de tête et son téléphone vibra.

Oh merde. Dit-elle en regardant le nom sur l'appareil électronique. Elle décrocha et éloigna le téléphone de son oreille. Mauvais signe.

Mal ! Ça fait trois jours que tu m'as pas appelé ! Tu te fous de moi, on avait dit tous les jours ! Cria la voix, elle n'eut même pas besoin de mettre le haut-parleur, je pouvais l'entendre hurler sans.

Ouais ouais désolé j'ai oublié. Je lui envoyai dans la tête une gomme qui traina là. Aïe, putain Feitan ! Jura-t-elle, je lui lançai un regard noir et elle se recula. Donc je disais, tu sais très bien que je ne suis pas du genre à donner des nouvelles tout le temps, ce n'est pas que je t'aime par ou que je veuille pas savoir comment tu vas, c'est juste que j'y pense pas et que je ne suis pas comme ça, même avec mon père hein. Je suis comme ma mère de ce côté. Expliqua-t-elle au gosse rouge.

M'en fou, apprend à donner des nouvelles aux gens ! Comment tu feras avec ton copain, pendant les vacances vous aller pas vous parler ?!

Ne me fais pas chier avec ça Ar, c'est même pas un argument, on sortira en ville où il viendra ou bref, on se verra quoi. Et pis c'est pas tout de suite alors hein !

Mouais je te ferrais pas changer de toute façon 3 ans que j'essaie sans résultat. Une phrase qu'il dit sans crier depuis le début de l'appel, miracle.

Ta tout compris papi ! Fit-elle. Quelles expressions bizarres, avec tout ce qu'elle dit-elle pourrait faire un dictionnaire celle-là.

Bref tu sais quoi ? Demanda-t-il. J'ai grave progresser ! Quand on se voit on se bat ma grande ! Enfin bon tes pas bien grande, mais c'est l'expression. Fit-il en ricanant, la blanche leva un sourcil et eut un sourire en coin.

C'est ton entre-jambe qui n'est pas bien grand connard. Lança-t-elle sarcastiquement.

Je te permets pas, si tu l'avais dans l'cu tu saurais qu'elle n'ait pas si petite. Répondit-il après quelques secondes de silence, il a dû la chercher celle-là, pas bien loin.

Arrête de prendre les phrases de Fatal bazooka et l'esprit et le ton de voix bizarre d'Aiko, ça te va pas. En plus t'n'as aucune répartit. Elle rigola face au silence de son ami. Moo, bébé Ar est vexé !? Tu veux un ti câlin pour ne pas pleurer ?

La ferme sale gosse, t'es chiante, tu gagnes à chaque fois, j'ai rien à dire là ! Fini-il par dire.

Je suis née pour faire chier mon monde petit gars. 37 pour toi 43 pour moi ! Je note les scores ou ta défaite reste imprimer dans ton petit cerveau ? Lui dit-elle avec un sourire narquois.

Après ça ils ont parlé de ce qu'ils ont fait, la gosse n'a pas parler du fait qu'elle maitrisait le Nen, elle veut surement faire comme avec moi et le prendre par surprise. Je me suis vraiment fait avoir comme un débutant sérieux. La honte, vaut mieux pas le dire à Phinks et Shar, ils vont se foutre de moi.

Je n'ai pas vraiment écouté la suite de leur discussion après, ce fut moins intéressant, j'ai donc pris le MP3 et les écouteurs qui trainaient et les ait mis sur mes oreilles. Ses goûts en musique sont pas mal je dois l'avouer, certaines sont chiantes mais ça va.

3 182 mots.

Ils se rapprochent, ils se rapprochent !