Chapitre 36 :

Hein ?! Crièrent-ils tous sauf Feitan et Nobunaga.

Je n'ai pas de soeur !

Tu ne te souviens pas de moi ?! Bouh bouh ! Quelle tristesse ! Pleura-t-elle avant de sourire sadiquement. Ahahahaha ! Enfin bon ! Je te croyais mort ! Tu as dû prendre un coup sur la tête ! Je vous avais d'ailleurs tué tous les deux ! Toi et Aoi ! Dit la fille à lunettes en pointant Malia du doigt en rigolant sadiquement.

Hein ? C'est toi qui nous à buté avec la bagnole ? Demanda Malia. La dénommée Aria posa son regard sur la blanche.

Hein ? Quelle voiture ? Je vous ai tué quand vous êtes parti vous cacher à Meteor City. Dit la femme brune.

Aaaah. Voilà donc pourquoi on s'est réveillé là-bas. Remarqua Arun.

Vous n'auriez même pas dû vous réveiller ! Vous étiez mort ! De mes propres mains ! Cria-t-elle, son expression sadique remplacée par une expression de colère.

Mais, pourquoi avoir voulu nous tuer, grande sœur ? Tenta Arun, hésitant et ayant un peu peur de cette femme qui paraissait folle.

Ahahahaha ! Tu ne te rappelle même pas avoir voulu démanteler mon organisation et vouloir me tuer !? Vous en saviez bien trop tous les deux ! Répondit-elle, ayant repris son expression sadique.

Et quand nous à tu tuais, Aria ? Demanda cette fois-ci Malia.

I peu près 1 mois ! Vous essayiez de fuir inutilement avant de vous écrouler lamentablement ! « Elle est totalement folle celle-là ! » Pensèrent les deux amis.

Bon, on n'a pas de temps à perdre nous. On va y aller, bouger de là. Intervient Feitan en avançant, Malia sur son dos.

Pardon ! Ahahaha ! Elle ria sadiquement avant de prendre une expression sadique. Eux deux il reste là. Dit-elle en pointant les deux adolescents.

Non ils restent avec nous. Aria relâcha son Nen pour surement les intimider.

Feitan fait mieux. Lâcha Malia simplement. Les membres de la brigade la regardèrent, Arun aussi. Elle vira au rouge cramoisie en se rendant compte qu'elle avait parlé à voix haute. Waaa, j'ai recommencé ! Désoler je voulais pas parler à voix haute ! Ce n'était pas voulu ! Oublier ce que j'ai dit ! Dit-elle plus rouge que les cheveux de son ami en cachant son visage derrière le dos du noiraud. Feitan eut un demi-sourire amusé avant de regarder la femme qui fixa Malia.

Le réveille t'as un peu changé je trouve Aoi. Tu n'avais pas ce caractère-là. Dit la femme en frottant son menton avec son index. Bon, ce n'est pas le souci. Le souci c'est que nous devons les tuer tous les deux. Encore… Caleb a toujours été fatiguant. Dit-elle. Malia releva un peu la tête.

Même en tant qu'Arun il est épuisant hein. Dit-elle, lançant un regard narquois au rouge.

Eh, je te permets pas Mal' ! T'es aussi épuisante que moi ! Cria-t-il, offusquer de ses propos.

Mal' ? Arun ? Répéta-t-elle. Vous vous êtes trouvé des noms pour vous cacher ? Demanda-t-elle.

Elle m'épuise. Dit Nobunaga en avançant lui aussi. Les colosses derrière la femme brune se mirent en garde, prêt à attaquer.

Je vous ai dit que je voulais les gosses.

Tu les auras pas. Dit Feitan en s'élançant sur les toits, Malia lâche un petit cri, ne s'attendant pas à ce qu'il prit de la vitesse comme ça, mettant ses bras autour du cou de Feitan. Les autres suivirent.Et les colosses avec, l'un portaient la brune à lunettes. Elle ne sait pas marcher celle-là ?

Faut croire que non.

Ils couraient tous sur les toits des immeubles plus ou moins hauts. Certains colosses suivirent sur les toits et d'aitre en voiture. Ils ne lâchaient rien, sous les directives de la brune qui les commandaient sur les épaules d'un des hommes en costard.

L'un d'eux envoya une sorte de gros rocher qu'il venait de matérialiser, ils durent tous sauter pour l'éviter. Le rocher détruisit une partie du bâtiment. Des colosses se jetèrent sur eux. Nos héros tombèrent dans les bâtiments avec l'effondrement. Le bâtiment était vide de gens à cette heure-là.

Ils nous font chier ! Cria Phinks en évitant un morceau du bâtiment. Un autre gros rocher leur fit lancer. Putain il nous balance vraiment des rochers !

Sérieux ils veulent nous la faire à la Madara Uchiwa ou bien ! Cria Malia, s'accrochant comme elle peut à Feitan pour ne pas tomber. Feitan la tenait fermement par les cuisses pour qu'elle ne tombe pas.

Je te jure bientôt on va avoir des météorites de la taille de Pluton qui vont nous tomber dessus ! Cria Arun à son tour.

On ne comprend pas vos références ferme là !

Ce n'est toi qu'est ignare Uvo !

C'est surtout que chez nous ça n'existe pas votre truc de mes deux !

Je te permets pas de critiquer le bel homme qu'est Madara ! Malia et Uvo commencèrent légèrement à se disputer sur le sujet, vite calmer par Feitan.

Le sol s'écroulât sous leurs pieds et ils tombèrent de plusieurs étages. Des colosses débarquèrent pour s'occuper d'eux, un fonça sur Feitan. Tenant Malia, il aura un peu de mal à parer. Mais Malia prit les devants et forma un mur devant eux, des pointes en face du colosse qui s'empala sur les piques. Malia vit bien qu'elle gêne Feitan dans ses mouvements et ne comprenait pas pourquoi il refusait de la lâche. Elle pouvait marcher toute seule. Plusieurs hommes en costard leur sautèrent dessus lorsqu'ils eurent atterri au rez-de-chaussée. L'immeuble n'était pas bien grand.

Raaa ! Ça me soûl ! Cria la blanche en sautant littéralement du dos de Feitan, sortant un couteau pour trancher la gorge d'un homme.

C'est pas vrai cette gosse. Jura Feitan en tranchant la tête d'un mec. Bon, j'ai quand même les mains libres.

On dit merci qui !?

Merci ta connerie.

Maieuh !

Ils combattirent les colosses, pendant que Aria les observait du haut d'un autre immeuble. Un sourire amusait aux lèvres. Elle fixa le rouge. Celui de qui elle était la grande sœur. Sans savoir que celui qui avait été son frère n'était pas vraiment lui.

Elle se demandait comment ces deux-là avait pu s'en sortir vivant. Elle les avait tués, elle en était sûre puisqu'elle avait vu les corps sans pouls. Comment ? Aucun des deux n'avait un tel pouvoir, les deux se servaient pas assez du Nen pour ça. Il venait tout juste de commencer leur entrainement au Nen. Alors comment ? Cette question tournait dans sa tête.

Et surtout elle remarqua que leur style de combat et que leur caractère et expression avaient changé. Le rouge tel qu'elle le connaissait, était calme, réfléchissait vite mais pas trop, porter par son instinct. Un intello au QI élevait et qui paniquait rarement. Gardait ses distances pendant un combat pour trouver le point faible de son ennemi et frapper avec force et précision.

Alors que là. Il semblait réfléchir lentement et frappait un peu au hasard dans la précipitation. Il paniquait vite, mais s'en sortait face à ses hommes. Et son Nen était plus puissant qu'avant, il attaquait beaucoup au corps-à-corps et fort, mettant moins de précision. Ouais, un style et une attitude différente.

Pour la jeune fille c'était pareil. Elle aussi était réfléchie, mais moins de sang-froid, elle paniquait plus souvent que son ami, et demanda de l'aide à son ami en cas de doute pendant un combat. Elle aussi réfléchissait trop lentement durant un combat, tel qu'elle la connaissait. Elle attaquait avec une flamberge. Une arme qui présentait des ondulations sur les deux tranchants. Ce qui faisait vibrer la lame adverse de façon dérangeante. Arme que la femme à lunettes avait elle-même récupérer pour mettre dans sa collection.

La fille qu'elle avait devant les yeux n'était, comme le jeune homme, pas pareil que celle qu'elle connaissait. Elle réfléchissait moins, semblait attaquer avec une grande rapidité et précision. Se battait avec des couteaux. Elle semblait même moins paniquer que le rouge. Elle n'était pas totalement sûre d'elle. Mais elle attaquait sans se poser de questions.

Ils ont vraiment pu changer en si peu de temps ? Caleb à vraiment changer et cette peste d'Aoi également. Un sourire sadique se trouva un chemin jusqu'à ses lèvres. Ouais, je veux savoir ! Je vais m'amuser avec mon cher petit frère. Elle continua de les observer, pensant à comment elle allait s'amuser avec eux.

Malia avait mal aux côtés de son précède combat. C'est sûr que se faire projeter dans un mur ce n'est pas très agréable. Elle rangeait ses couteaux et se contenta de ses piques et armes de particule bleue. Arun la soutenait comme il pouvait, restant à ses côter au cas où elle ne pourrait pas assurer sa protection elle-même. Qu'il soit là pour parer.

Le bâtiment s'écroula encore un peu plus, menaçant de leur tomber sur la tête. Mais impossible de sortir avec ses gorilles en costumes devant la porte. Qui étaient quand même nombreux ses bougres. Il s'était tout entassés devant l'entrée. Un coup puissant lancer par Uvo eut raison du bâtiment qui s'écroula dans un vrombissement assourdissant.

Ils se dépêchèrent de sortir, Uvo tapa dans le tas et Feitan décapitait ceux qui étaient devant lui. Malia sur l'épaule d'Arun qui l'avait attrapé au passage. Il la posa une fois sorti, souffla de soulagement en voyant qu'elle n'avait rien. Mais Arun fit attirer vers les bâtiments. La femme à lunettes utilisa son Nen sur lui, qui agissait comme un aimant.

Ar' ! Cria Malia qui tenta d'aller l'aider, retournant vers les bâtiments. Mais une main lui retenait le bras.

Non mais tu vas ou là avec ta côte péter !? Lui dit Feitan en la tirant vers lui.

Aider Ar', c'est évident ! Lui répondit-elle en voulant se défaire de son emprise.

Non mais t'es folle, toute seule !?

Non, je veux aider mon ami !

Le bâtiment est en train en s'écroulant ! Cria Nobunaga.

Je n'abandonne pas mon meilleur ami ! Tu irais le chercher si c'était Uvo non !?

Oui, mais on n'a pas le même niveau !

Moi je vais aider Ar', passer devant ! Elle tenta de se libérer de la main de Feitan mais il mit son autre main au creux de ses reins pour la retenir.

Vous ne ressortiriez pas en vie ! Lui dit-il. Malia tenta vainement de se retirer. En temps normal, elle aurait rougi de 50 teintes, mais là, c'était différent, son meilleur ami était en danger. Elle posa sa main sur le torse de Feitan et lui apposa sa marque avant de le bloquer. Qu'est-ce que ?! Eh ! Elle se dégagea et courut vers le bâtiment. Reviens là et débloque-moi sale gosse ! Lui cria-t-il en essayant de bouger. Eh, Nobunaga, retient là ! Dit Feitan au samouraï.

Elle est trop loin et je n'ai pas envie de risquer ma vie. Ils se débrouilleront. S'il ne sort sorte pas vivant, c'est qu'ils sont faibles et que leur heure était arrivé. Il souleva le noiraud figé et le porta sur son épaule pour aller en sens inverse direction l'hôtel. Feitan souffla, sachent qu'il ne pouvait rien faire. Il ne savait même pas pourquoi il avait voulu la retenir. Elle faisait ce qu'elle voulait, elle n'était pas importante de toute façon, essaya de se convaincre le numéro deux de la brigade.

Malia était dans le bâtiment, cherchant Ar', il avait une marque sur lui, elle savait donc vers où il se trouvait. Évitant les débris qui tombaient à l'aide de ses particules qui faisaient comme un bouclier. Ar était à l'arrière du bâtiment. Dans le jardin de celui-ci. Arriver dans le jardin en ayant enjambé rocher et cadavres, elle vit Arun, évanouie, pendant qu'Aria parlait à ses subordonnés. La femme à lunettes se tourna vers elle et un grand sourire apparue sur ses lèvres.

Aoi tu es là ! Je savais que tu viendrais sauver cet imbécile ! S'exclama-t-elle en tapant dans ses mains.

Je viens récupérer mon meilleur ami ! Lui annonça la blanche en sortant ses couteaux.

Avec ton bras gauche qui te fait mal et une côte pétée ? J'aimerai biens voir ça, Aoi ! Ou plutôt Malia ? Dit-elle en la regardant à travers ses lunettes. J'ai remarqué que quelque chose n'allait pas. Dans votre style de combat et dans votre attitude. Vous n'êtes pas Caleb et Aoi. Qui ? Je ne sais pas, peut-être des esprits ?

Tu n'auras pas besoin de le savoir tu seras morte avant de le savoir. Elle s'élança vers elle, mais un gorille lui bloque le passage et lui mit un coup dans le ventre, la faisant gémir de douleur.

Mais elle se releva, l'adrénaline l'empêchait de trop ressentir la douleur. Elle fit revenir à elle ses couteaux et des piques se formèrent autour d'elle. Elle les lança en plein sur le gorille, et s'élança à la suite. L'homme évita quelques piques, mais ils le suivirent, comme des têtes chercheuses. Elles se plantèrent donc dans ses bras, son ventre, sa jambe gauche, mais pas dans des points vitaux. Malia qui était plus rapide que lui était déjà tout près de lui, elle pouvait lui tranche la gorge facilement.

Il tomba à terre inerte. Il ne restait pas tellement d'hommes, les ayant déjà pas mal éliminé tout à l'heure. Il en restait sept ou peut-être huit. Malia faisait comme elle pouvait pour les affronter, évitant la plupart du temps et tenta de les toucher pour apposer la marque. Trois était touché, mais seulement sur les jambes ou les bras. Elle pouvait le figer. Ce qu'elle fit avant de le tuer, deux avec des piques et l'autre avec un couteau dans le crâne.

Elle avait mal aux côtes, plus d'une avait été casser maintenant. Elle était tailladé et fatigué. Le combat durait, avec ses blessures, elle était plus lente, son bras gauche lui faisait mal aussi, elle s'était pris un couteau contre la femme au masque de singe. Elle priait pour qu'Arun se réveille. La femme à lunettes observait juste, un sourire aux lèvres en voyant ce spectacle.

Cette même femme se retrouva avec une lame sous la gorge. Lame tenue par la personne que Malia attendait.

Personne n'a le droit de toucher à ma meilleure amie. Dit-il d'une voix froide que lui-même ne lui connaissait pas. Ordonne à tes hommes de cesser tout de suite ou je te tue. Aria rigola à Gorge déployer.

Ahahahaha ! Tellement naïf ! Tellement ordinaire comme menace ! Tu me déçois, Arun ! Le rouge se retrouva éjecté vers l'arrière. Tu m'aurais tranché la gorge tout de suite, cela aurait été plus simple pour toi ! D'où attend-on pour tuer un ennemi ? Surtout que tu dois sentir la différence de force entre nous ! Arun, se releva. La lame qu'il avait dans les mains était un simple bout de verre qu'il avait ramassé par terre.

Ouais, on n'est pas très calé dans ce niveau-là. Mais je vais quand même te tuer ou nous enfuir. On ne mourra pas ici. On doit rentrer chez nous. Il envoya une bourrasque pour tenter d'aveugler la brune. Mais cela ne fit rien, il se fit attirer vers elle. Mais s'arrêta à mit distance pour être de nouveau éjecté en arrière, tapant dans un arbre.

Ar' Attrape ça ! Il se tourna vers son amie, elle lui pointa le dessus de sa tête. Il leva la tête et deux couteaux apparurent, il les rattrapa. Ils s'appellent reviens !

T'inquiète ! Arun s'éleva dans les airs avec son vent pour être hors se porter de son adversaire, enfin, il espérait être hors de portée.

Il lui lança plusieurs salves de vent, qu'elle évitait aisément. Il se reposa à terre, ne voulant pas user trop de Nen. Il plongea dans les ombres pour s'accrocher à celle de la brune. Mais il fit repousser encore une fois, le faisant sortir de l'ombre et attirer vers la femme.

Tout ce qui est un être vivant, je peux l'attirer et le repousser comme un aimant le ferait. Lui dit la brune en remontant ses lunettes.

Je vois. Donc, je peux faire ça ! Des piques d'ombres sort du sol pour se planter dans le corps de la femme qui ne si attendait pas du tout.

Elle repoussa rapidement Arun, les piques se retirèrent. Mais Aria avec la cuisse droite, le mollet gauche, l'avant-bras droit de transpercer par les ombres. Arun se releva. Les couteaux dans les mains il courait vers elle. Aria allait le repousser avec sa technique, Arun lança un des couteaux en sa direction. Elle l'évita et attira Arun à lui rapidement pour lui mettre un uppercut dans le menton. Puis un coup de pied dans le ventre. Il lança le deuxième couteau avant de se cogner contre l'arbre. Le couteau s'était planté dans l'épaule gauche de la brune.

Merde, je sais pas trop viser je n'étais pas loin du cœur. Dit-il, se tenant contre le mur, le coup dans le menton ne lui avait fait plus mal que celui dans le ventre. Il tourna son regard vers Malia. Elle était essoufflé, pleine de coup, un pistolet dans la main, elle n'avait plus de Nen en réserve et avait du mal à éviter les coups des hommes, étant trop essoufflé pour. Je dois me dépêcher, mal' a besoin de moi.

Tu commences à m'énerver toi ! Elle tourna son regard elle aussi vers la banche qui peinait à combattre. Un sourire sadique se forma sur ses lèvres. Ça va peut-être paraître lâche. Mais je dois finir vite. Elle s'élança donc vers Malia qui ne la voyait pas, trop concentrer sur son propre combat. Elle savait que si elle tue la jeune femme, elle se débarrasserait plus rapidement du rouge.

Non, Mal' ! Cria Arun.

Il forma des bourrasques avec ses mains, pour se propulser vers elle. Malia se retourna et vit la brune, avec son propre couteau, cherchant à la poignarder, et Arun qui fonçait le plus vite qu'il pouvait. Elle ne peut pas gérer les gorilles et la brune en même temps, elle peinait déjà avec les trois gorilles restants.

La touche pas grognasse ! Malia tenta de faire un bouclier de particule, mais rien et elle était trop fatiguée pour se battre à mains nues.

Le couteau s'enfonça dans son ventre. Aria lâcha le couteau planté dans son corps, un sourire sadique aux lèvres. Un de ses hommes en rajouta une couche en frappant le ventre de la blanche, le couteau toujours planté dedans, s'enfonça un peu plus. Elle fit éjecter contre un mur, évanoui. Arun ouvrit les yeux d'horreur et fit frapper à son tour par un des hommes.

Il était à deux mètres de sa meilleure amie, évanouie sur le sol, ses vêtements en sang, planter par son propre couteau. Il avait les larmes aux yeux qui lui montaient. Il avança, à quatre pattes vers elle.

Mal' ? Eh, aller relève toi… Mal' ? Mal ! S'te plaît, aller ! Il arriva à côté d'elle et la prit dans ses bras. Putain aller réveille-toi ! Les larmes dévalaient ses joues, faisant briller ses orbes écarlates. Une immense colère monta en lui, il se tourna vers la brune. J'vais t'buter pétasse !