Chapitre 40 :

Bon, vous avez tout ce qu'il vous faut ? Nous demanda Uvo à l'entrée de la ville.

Oui on a pris quelques trucs. Lui répondit mon ami.

Et vous pensez à faire attention et à vous entrainer hein ? Je rigolai en levant les yeux au ciel.

Tu veux pas nous dire de bien manger des légumes verts et de bien nous brosser les dents aussi ? Rigolai-je.

C'est à faire aussi ! Nous dit-il en rigolant à son tour.

Non mais on dirait une mère qui laisse partir ses gamins en vacances pour la première fois. Rajouta Ar' en se passant une main sur le visage et soupira.

On était passé rapidement dans une boutique pour prendre de la nourriture et autres emplette. Comme ça on a pas besoin d'y retourner à la prochaine ville, surtout qu'avec mon sac sans fond, on peut en stocker des choses.

Uvo avait voulu nous accompagner jusqu'à au moins la sortie de la ville, Nobunaga était avec lui et Machi aussi. Feitan et Phinks n'étaient pas là. Ils étaient partis car Feitan voulait aller rapidement à la prochaine mission tout de suite parce que selon lui elle était récurrente.

J'avoue que j'étais un peu triste qu'il ne soit pas là, j'ai passé un moment avec lui et je n'ai pas pu le remercier pour ce qu'il a fait pour moi, il est parti sans même un au revoir. Je sentis mon cœur se serrer dans ma cage thoracique. Uvogine passa son bras autour de mon épaule.

T'inquiète pas, c'est pas qu'il t'aime pas qu'il est pas venu ! Me dit-il, sembla avoir compris ce que je pensais.

Mais, je pensais pas à Feitan ! Lui répondis-je rapidement, le rouge me montait aux joues.

Je sais ce que tu penses. Il est parti sans même te dire au revoir. Me dit l'homme faisant deux fois ma taille. Je rougis un peu plus, ne sachant pas quoi répondre.

Pas besoin d'être devin pour savoir que tu penses à ça. Me dit Nobunaga en levant les yeux au ciel.

Il devait être un peu triste de devoir se décoller de toi et pense qu'il aurait été encore un peu plus triste en te disant au revoir. Me dit Machi, son sac sur son épaule.

Mmh, j'en doute. Dis-je, pas convaincu, pensant plutôt qu'il voulait rapidement se débarrasser de moi. Ar' me frappa la tête, sachant à quoi je pensais. Aie, mais j'ai rien dit !

Non mais tu l'as pensé. Me dit-il en haussant un sourcil, je grognai simplement.

Uvo trifouilla quelque chose sur son téléphone avant de tourner l'écran vers moi. C'était une photo de moi quand j'étais dans le coma, Feitan qui dormait à côté de moi, proche, trop proche même, je rougis rien qu'en imaginant le visage du noiraud aussi près de moi avec ce visage endormi.

Il me mit l'appareil dans les mains et me dit de faire défiler les images. C'était en général Feitan qui était assis sur mon lit, soit mangeant, lisant soit dormait à côté de moi. Il m'a vraiment collé autant que ça ? Je relevai le regard vers Uvogine qui me souriait.

Dit, tu pourrais me les envoyer ? Toute ? Lui demandai-je timidement, le rouge aux joues.

Je comptais bien le faire petit Malia ! Me répondit-il en me frottant la tête, ébouriffant mes cheveux, je grognai en remettant ma tignasse blanche correctement.

Bon on va devoir y aller Uvo. On doit être arrivé pour demain matin. Lui rappela son ami.

Ouais ! Il se tourna une dernière fois vers nous. Bon, à la prochaine !

Il tendit le poing et me fit un tchek de pote, je rigolai en le suivant dans son délire. Ar s'était tourné vers Machi à qui il tendit la main. Pour lui faire un tchek aussi ? Je riais en même temps qu'Uvo en voyant Machi prise au dépourvu par le rouge.

À plus tard Machi ! Lui dit-il avant un grand sourire. La rose esquissa à son tour un sourire.

Ouais, à plus. Répondit Machi avant de me faire un signe à moi aussi et de tourner les talons.

Les deux hommes firent de même. L'homme des cavernes m'assura qu'il allait m'envoyer les photos qu'il m'avait montrées. J'en étais toute contente intérieurement. On se regarda ensuite avec Ar', puis on s'exclama de joie au fait que l'on est été lâché dans le monde de notre manga préféré.

Qu'ont maitrise le Nen, que l'on peut voler tout ce qu'on veut et aller n'importe où dans ce monde en restant en contact avec la brigade qu'on a rencontrée en premier. C'était comme un rêve ! On réalisa vraiment l'étendue de la merde où l'on trouvait quand même, mais c'était le dernier de nos soucis de rentrer chez nous.

On va où en premier ?! La tour de Céleste ? Me demanda mon meilleur ami avec des étoiles dans les yeux.

Oh ouais ! Et on devra y retourner pour le combat de Gon contre Hisoka ! Lui dis-ne je tout aussi exciter que lui.

Donc va pour la tour céleste ! Il leva la main et on se fit un hight-five avant qu'il sorte son téléphone pour trouver l'itinéraire et nous partions donc de la ville où nous étions.

On venait d'arriver devant le grand tour de 991 mètres de haut. Quand on est en bas, elle est vraiment impressionnante. Moins que Kukuroo Mountain qui est à 3 722 mètres d'altitude, mais impressionnante quand même.

On rentra à l'intérieur en se pressant et va à l'accueil pour s'inscrire tout de suite. La dame de l'accueil nous donna des formulaires à remplir, nom prénom et tout. On rendit les feuilles et suivit les instructions de la femme pour se rendre dans la première salle de combat.

Quand je suis arrivé sur le ring à l'appel de mon nom prononcer, j'ai entendu des gens me dire de rentrer chez moi et qu'une fille n'avait rien à faire là. J'ai levé les yeux au ciel. J'ai été entrainer par l'un des mecs les plus forts de cet univers. Et j'en ai bavé !

Les premiers combats furent rapides. On n'avait même pas besoin d'utiliser notre Nen, des techniques au corps-à-corps suffisait amplement, les envoyant valser hors du ring. Les personnes parlant sur moi en faisant les machos s'étaient tues à ma victoire.

On était ensuite rapidement monté dans la tour et finissant par arriver au 200ème étages. On savait déjà que les trois types qui avaient prient Gon et Kirua en grippe dans l'anime, devait être là aussi.

On arrivait à l'étage et allait à l'accueil pour avoir nos chambres. Les clés en main, on allait à nos chambres qui étaient à deux d'écarts l'une de l'autre. Comme prévu, Guido, le mec au pied de toupie, Riluberto, celui en fauteuil roulant et Sadaso, le type avec des yeux tout plisser, on dirait vraiment un masque de film d'horreur sérieux. Il est fin prêt pour Halloween lui !

Les trois étaient là, surveillant les nouveaux qui arrivaient, dont nous. On savait comment les battre, mais il faut qu'il reste là quand Gon et Kirua arriveront, pas qu'ils ne se découragent après que nous les aurons mis à terre. Ils vont aider ses deux-là à tester leur capacité.

On allait dans nos chambres respectives en se souhaitant bonne nuit. Le rouge baillait la bouche grand ouverte, crever d'avoir marché jusqu'à la tour. Les combats ne nous ont pas épuisé tant que ça, mais le voyage oui et on est debout depuis tôt ce matin.

La chambre était comme dans l'anime, spacieuse et le lit est tellement confortable. Je luttai contre le sommeil et me levai difficilement de ce lit tout confort pour ouvrir mon sac et un sortir ma tenue de nuit. La tenue sombre de Feitan en outre. C'est mon pyjama ! Elle sent encore l'odeur du noiraud, je kif !

Je me déshabillai avant de l'enfiler, mettant une culotte en dessous quand même. Ar m'a dit qu'il faudra bien que je la lave un jour ou l'autre, mais je préfère reculer le moment où cette formidable odeur partira. Je lui en piquerais une discrète quand je le rêverais, si je le revois.

Je me brossai les dents ensuite et attachai mes cheveux en chignon haut pour me glisser dans les draps tout doux du lit de la chambre ou j'avais l'impression d'être comme sur un nuage.

Je pris un oreiller dans mes bras et le serra avant de m'endormir comme un bébé à peine deux minutes après.

J'ai un combat, demain à quatorze heures quinze. J'avais mis n'importe quelle heure et quel jour et il est tombé là, contre Guido. Ça devrait le faire, j'utiliserai mes particules pour bloquer les toupies. Ce sont des choses physiques, et je pense être plus rapide qu'elles.

Ar à son combat deux jours après le mien, le matin à dix heures, contre le type au visage d'Halloween, j'ai oublié le nom.

En attendant on regardait un peu les combats de tout le monde à la télé en mangeant ce qu'on commandait au room service.

Jusqu'à ce qu'on tombe sur une annonce d'un combat qui nous intéresse. Hisoka Morrow, contre un type inconnu au bataillon, mais qui était rapidement monté dans le classement. Il était demain, juste avant le mien.

On prend des places ? Me demanda Ar'.

Bah oui, on ne peut pas manquer ça ! En espérant qu'Hisoka va se pointer, il a perdu quelques-uns de ses combats parce qu'il n'est pas venue. Dis-je en soupirant, mangeant ma cuisse de poulet rôti.

Ouais, j'espère aussi sino je vais être déçu. Dit-il en piochant dans la barquette de cuisse.

On verra bien demain.

On était dans les gradins, attendant que le combat commence, la salle était remplie de monde. On s'était mis là où il y avait le moins du monde mais avec une bonne visibilité. Ça ne tiendrait qu'à moi j'aurais tranché la gorge des gens trop proche de moi. Ouh là. La folie Portor déteint sur moi !

Le combattant inconnu aux bataillons fit appeler et arriva dans le stade en faisant des grands gestes aux spectateurs. Perso, je pense que plus de la moitié est là pour voir Hisoka combattre et pas le voir lui, qui va finir en pater de clown.

Hisoka se fit appeler et c'est avec soulagement qu'on vit l'homme habillé en Joker arriver dans le stade à son tour, ne faisant aucun signe, avançant jusque sur le ring.

Le combat commença, l'autre avait un Nen de la matérialisation. Il matérialisait des épées, ça ne va rien faire à Hisoka s'il s'en sert comme un pied, ce qu'il fait actuellement.

Je savais mieux manier l'épée après une semaine d'apprentissage ! À force de voir Feitan manier l'arme et l'avoir appris moi-même, je vois toutes les failles que peut avoir un manieur et là il n'est pas du tout au point.

Je l'avais dit à Ar', il se doutait bien, dès qu'il l'avait vu entrer, que le membre de la brigade n'en ferait qu'une boucher. Ce qui se passa peu après, je me demande même s'il n'est pas mort l'autre ? Surement.

On était déçu du combat, trop rapide et trop prévisible. Je sortis de la salle, je devais me rendre à mon tour en bas pour mon combat contre la toupie humaine. Laissant mon ami seul dans les gradins.

Arriver en bas, je sentis une aura sur moi et me retournai rapidement, sortant mes piques de Nen et un de mes couteaux.

Oh, doucement, sort pas les griffes. Fit la voix amuser du Joker venant de se battre. Je fis disparaitre mes piques et remit mon couteau dans sa place, à l'intérieur de ma veste longue.

Ce n'est que toi. Dis-je soulager. T'es pas encore partis ?

Mmh, non, je vous ai vu dans les gradins et je veux voir ton combat. Me répondit-il avec son sourire habituel.

Ça va aller vite. Je le connais, dans l'animé on le voit en combat. Lui dis-je en avançant un peu vers l'entrée attendant que l'on appelle mon prénom.

C'est vrai que vous avez un avantage. Le commentateur parla de je ne sais quoi, je n'écoutais pas vraiment, me remémorant le combat de Gon. Je suis pressé de votre combat. Dit Hisoka qui s'était rapproché, de moi, de trop même, je virais au rouge sans le vouloir. Il ricana. Je te fais donc de l'effet ? Il avait un sourire narquois sur les lèvres, se rapprochant toujours plus de moi, alors que j'étais figé sous la surprise avant de faire un mur de Nen entre nous deux. Pas très gentil tout ça. Mon nom fut enfin appelé, et je rentrai dans l'arène sans un mot de plus pour le clown, calmant mes joues rouges.

C'était assez impressionnant d'être sur le ring, entourer de tous ces gens qui ont les yeux sur moi. Je ne me sens vraiment pas à l'aise et j'ai la traque maintenant, comme si je devais faire un oral devant une classe de 30 personnes.

Guido arriva sur le ring à son tour et l'arbitre descendit pour que les toupies ne l'atteignent pas. Il me semble que Gon avait utilisé le Zetsu pour ressentir les toupies. Mais comme il n'était pas assez expérimenté, il ne pouvait pas se protéger avec le Ten. Mais je ne vais pas utiliser le Zetsu, je pourrais les voir qu'importe leur vitesse de déplacement.

L'arbitre siffla pour signaler de début du combat et l'homme au pied de toupie m'envoya ses toupies. Comme prévu, je pouvais voir leur mouvement de rotation, mes yeux étant habitué aux mouvements rapides de Feitan.

Je pus les éviter facilement et pour ceux qui me touchent, le Ten réduira les dégâts. Bon, je les évite, mais il m'empêche d'avancer quand même. Moi qui voulais me servir le moins possible de mon Nen pour apprendre à ne pas trop me reposer dessus, c'est raté.

J'utilisai les particules pour créer une boule autour de moi, puis avançai vers Guido qui venait de commencer à tourner comme une toupie, je sais comment le battre. Casser ce qui lui sert de pied.

Je courut rapidement en sautant partout autour de lui, passant aux dessus, sur le côté, au travers de ses toupies qui me visaient et finissaient par viser l'homme en rouge. Il ne savait plus où donner de la tête. Je fis disparaitre mon bouclier de Nen juste avant de taper aussi fort que je le pouvais dans son pied.

Il vola hors du ring, tapant le mur et le fissurant en même temps. Son pied était cassé et lui il était assommé parterre, sa tête tombant devant.

Malia a vaincu Guido qui s'est retrouvé à en castrer dans le mur ! Elle a un sacré coup de pied ! Annonça la femme commentatrice. J'étais toute contente de moi, une première victoire !

Je sortis du stade presque en sautillant de ma victoire, je n'ai à peine utilisé mon Nen en fin de compte et même pas besoin de mes couteaux.

J'étais dans le couloir où m'attendait mon meilleur ami. En compagnie d'Hisoka ? J'avançai vers eux et Ar' me remarqua et me lança un regard du style. Viens me sauver s'il te plaît ! Je rigolais en m'avançant, Hisoka se tourna vers moi et me sourit avec un signe de la main.

Tu as été fantastique Malia. Me dit-il.

Merci. Le remerciai-je en lui rendant son sourire, étant tout de même mal à l'aise d'avoir le numéro quatre de la brigade devant moi, qui me souriait comme dans l'anime.

J'avoue t'as été bonne sur ce coup-ci ! Bon moins que quand on s'est affronté quand même. Vu que tu connaissais ton adversaire pour l'avoir vu combattre, ça a été rapide ! Me dit mon meilleur ami.

Ouais, je n'ai même pas eu à utiliser mes couteaux et j'ai seulement utilisé une barrière de Nen.

Je continuai à parler avec Ar' du combat et de son futur combat avec face d'Halloween. Hisoka nous avais laissé, disant qu'il avait des choses à faire, malheureusement. J'aurais dû le prendre une photo ! Une photo qu'aucune fan girls n'a c'est inestimable ! Je lui demanderai le prochain coup ou j'en prendrai en scred.

On a visité la ville le lendemain, on a aussi parlé du combat d'Ar'. On ne connaît pas ce type, à part qu'il a une sorte de bras de Nen invisible et qu'il peut en exercer une étreinte puissante avec. En utilisant le Gyo, il devrait s'en sortir facilement.

On a fait une stratégie porter sur ses ombres, pas sur ses piques, mais sur une sorte de prison faite d'ombre. La salle est pleine de lumière des projecteurs, il aura assez d'ombre pour faire ça.

Ça va être du gâteau de gagner contre face d'Halloween.

Hisoka s'était tranquillement installé à côté de moi sans me demander l'autorisation. J'étais du coup mal à l'aise qu'il soit à côté de moi, ce qu'il m'a fait remarquer en ricanant de son sourire signature.

Ne sois pas tendus comme ça. ~ Je pensais que j'étais un de tes personnages préférer ? Me dit-il, je me tendis et sentis mes joues chauffer un peu de gêne.

Fermes-là. Il ricana. J'avais que ça à sortir, ma répartit c'est fait la malle en vacances à Okinawa sans moi.

Comme la stratégie que nous avions imaginée hier, dès que le combat à commencer, Ar' à faire une prison d'ombre autour de lui avant même qu'il puisse faire un seul pas. Il fit ensuite pousser des poings à l'intérieur de la prison pour le frapper diverses fois sans qu'il ne puisse rien faire à part recevoir des coups de poing d'ombre.

Il finit par faire disparaitre sa prison d'ombre, pour voir face d'Halloween tomber parterre totalement inconscient et blesser de partout. Il est mort ? Aucune idée mais il bouge plus.

Sadaso est KO en même pas deux minutes ! Rapide rapide ! C'est donc Arun qui gagne ce combat ! Cria la commentatrice. Ar sourit, tout content et ressorti de l'arène.

C'était sûr. Dis-je en me levant, le joker était déjà debout et semblait m'attendre.

Vous le connaissiez aussi ?

Non, on n'avait qu'une seule info sur lui. Une des deux perso principales lui a mis une pression de malade avec une menace de mort et il a fini par partir avant le combat. Donc on savait seulement qu'il avait une sorte de bras de Nen. Lui expliquai-je en commençant à monter les marches.

Mmh, je vois, il l'a donc neutralisé avant d'effectuer un seul mouvement. Conclut-il, je confirmai ses dires. C'était le but, le neutraliser avant quoi que ce soit. C'est une bonne stratégie lorsque l'on ne connaît pas les capacités de son adversaire.

Ouais, on y réfléchissait et on a pensé à ça.

On marchait dans les couloirs jusqu'à tomber sur Ar' qui avait le sourire, comme moi quand j'ai gagné mon combat. Je me pressait de le félicité pour sa victoire rapide et fut contente que la stratégie ait marcher. Hisoka la félicité aussi, toujours avec son sourire signature.

Vous n'êtes pas tout à fait mûr, mais vous avez du potentiel. Nous dit l'homme aux cheveux rouges-rose.

Ah, donc on est des fruits pas mûr encore. Riais-je sarcastiquement.

C'est ça. ~ J'ai beau adorer ce personnage et être une fan girls avec plein de photo de lui dans mon tel. Être à côté de lui quand il nous regarde comme ça avec son sourire, ça me rend mal à l'aise. Bon, je vais vous laisser là. À plus tard. Nous dit-il en s'éloignant de nous après nous avoir fait un signe de la main.

Ah ! J'ai oublié de le prendre en photo ! M'exclamai-je d'un coup.

Hein ?! Tu voulais vraiment le voir en photo ?! Me dit Ar', ou plutôt le criant dans mes oreilles.

Bah oui pourquoi ? Lui dis-je, comprenant pas sa réaction.

Pas de problème dans ce cas. ~ Nous fit la voix d'Hisoka, on sursautait tous les deux en se tournant vers le joker.

Il sortit son téléphone et m'attrapa l'épaule pour me coller presque à lui. J'étais aussi rouge qu'une tomate. Il mit le téléphone devant nous et me dit de sourire. Je souris quand même en étant rouge comme une tomate. Il prit la photo et s'éloigna de moi.

Je t'enverrais la photo. ~

Hein, mais t'as même pas mon numéro. Il me sourit en tournant la tête vers moi.

Ne t'inquiète pas pour ça, je l'ai déjà. ~ Me dit-il en recommençant à marcher et à s'éloigner de nous.

Flippant. Me dit Ar' en frissonnant, je rigolai, puis on repartait jusqu'à nos chambres en parlant de tout et de rien et se disputant comme toujours.