Chapitre 41 :

Nos deux héros avaient passé moins de deux mois dans la tour céleste, ils avaient fini par en avoir marre. Faire des combats, les gagner puis perdre et refaire des combats. Cela leur avait permis de s'améliorer au niveau de leur Nen et de leur condition physique. Ils s'étaient donc dit de visiter la ville au lieu de combattre.

Arun pouvait contrôler à peu près ses lames de vent et ses bourrasques et ses ombres pouvaient aller plus loin et plus rapide. Ses lames de vent prenaient maintenant deux formes différentes, des grands cercles coupants pouvant couper des arbres ou de la chair facilement.

Malia avait plus de contrôles sur ses particules de Nen, pouvant en faire des armes et se porter avec dans les airs. Ses marques aussi avaient été améliorer, ouvrant maintenant garder des marques actives tout le temps sans qu'elle ne disparaisse au bout d'un moment. Elle avait pensé à se téléporter, mais avec les films et séries sur la téléportation qu'elle avait vus, elle ne testerait pas tout de suite, ou pas sur elle.

Ils avaient reçu une mission de Kuroro, voler des bijoux de valeurs chez des riches. Ils seraient tout seuls pour cette mission, Malia stressait un peu qu'ils ne soient que tous les deux, les amateurs. Alors qu'Arun était content et tentait de la rassurer. Même si elle était plus forte, elle stressait toujours autant pour des choses comme ça.

Ils étaient donc parti de la ville de la tour céleste en direction d'une autre ville à une journée de marche et plusieurs heures de train. Il avait pris la marche, pouvant s'entrainer en même temps. Les deux amis avaient volé de la nourriture pour le chemin et étaient parti.

Arun espérait tomber sur des voleurs pour tester ses nouvelles capacités alors que Malia voulait juste faire un voyage tranquillement sans encombres.

Calmes-toi Ar' ! T'es trop surexcité là ! Fini par lui crier son amie en le claquant derrière la tête.

On va en mission tout seuls ! Et en voyage dans le monde des Hunters ! On va surement rencontrer des voleurs qu'on va bien envoyer valser comme il faut ! Continua le rouge. Malia finit par soupirer et de claquer des doigts, Arun ne bougeait plus d'un coup. Eh. Mal' ? Demanda-t-il en étant coincé dans une position d'attaque, le pied lancer en avant, tenant sur une jambe et ses bras en garde.

Quoi ? Dit-elle en continuant d'avancer.

Tu peux me décoincer s'te plaît ? Je crois que je vais tomber en tenant que sur une jambe. Dit-il, Malia continua d'avancer alors que lui tituba un peu avec le vent comme un piquet mal planter avant de s'échouer sur la terre en lâchant un gémissement de douleur. Malia Miyarata est demandée à l'accueil immédiatement ! Cria-t-il, son amie lui fit un signe de la main sans se retourner.

Pas envie. Dit-elle simplement.

Feitan a trop déteint sur toi ! Reviens ! Il essaya de se défaire et trembla un peu sans résultat jusqu'à ce que la blanche débloque la marque et qu'il puisse se relever et courir vers elle. Tu vas le regretter Mal'. Il prépara une boule de vent, mais se prit comme un mur de pleine face. Aïe ! Pleurnicha-t-il en tenant son nez rouge avec l'impact.

Eh ! Mon mur de particules marche de mieux en mieux et plus rapidement, c'est trop cool ! Fit-elle avec un grand sourire, toute contente que son mur marche mieux qu'avant.

J'vais, te découper. Lui fit-il avec un regard noir.

Mais oui mais oui. Répondit Malia avec un sourire narquois en continuant d'avancer.

Ils arrivèrent à la ville de leur mission, c'était une ville asser grande où plusieurs grades-ciel peuplaient le ciel, tous lumineux et éclairaient la nuit qui commençait à tomber. Ils prirent une chambre d'hôtel, qu'ils ne payèrent pas, il était dans la chambre en étant passé par la fenêtre.

Ils étaient juste avant passés à la superette pour y voler de la nourriture et des boissons.

Sérieux ? T'as vraiment pris des bières ? Demanda Arun en regardant sa meilleure amie mettre les bières au frigo.

Ouais, j'ai personne pour m'en empêcher et dans ce monde, je suis majeur. Répondit-elle en refermant le frigo, jetant le carton derrière elle qui atterrit contre le mur.

Ouais pas faux, passes-en une.

Elles sont pas fraiches. Prévint-elle.

Pas grave. Malia haussa les épaules et en prit une avant de la lancer vers Arun qui écarquilla les yeux et la rattrapa avec son vent. Eh, la balance pas ! Elle va dégueuler quand je vais ouvrir ! Cria-t-il.

Roo ça va, tu l'ouvres doucement. Rétorqua-t-elle en levant les yeux au ciel. Elle sortit son téléphone et s'installa sur le canapé à côté d'Arun.

C'est quand qu'on y va ? Demanda le rouge en ouvrant tout doucement sa bière qui commençait à faire du bruit, signe que les bulles montaient. Malia se tourna vers lui, interloquer.

Hein ? Bah je t'attendais moi. Dit-elle, Arun bloqua.

Putain, c'est moi qui t'attendais. Dit-il en ouvrant la bière d'un coup, la mousse dégueulant de la bouteille en verre. Malia rigola.

Bon, je prends une bière avec toi et on y va. Dit-elle en se levant, posant son téléphone sur la table.

Les deux bières vidées et la porte bloquée par une arquent de Malia pour qu'on ne puisse pas l'ouvrir. Ils sortir de l'hôtel par la porte d'accueil normal. Malia regarda l'adresse envoyer pour le vol et Arun la tapait dans le GPS avant de se mettre en route tranquillement sans se presser.

Ils regardèrent un peu les magasins autour et Malia repérèrent une librairie dans une rue tranquille avec un café dans la même rue. Ils parlèrent tous en suivant les indications de la voix féminine sortant du cellulaire du rouge.

En arrivant devant le grande ciel qui abritait d'innombrables appartements., ils firent un plan rapide pour déjà trouver l'emplacement des bijoux. Elle se trouvait dans la chambre d'un couple de riches, ça c'était sûr, mais reste à savoir où se trouve la chambre. Ils entrèrent dans le bâtiment par la porte principale et regardèrent sur les boîtes aux lettres, le nom du couple.

Y a trop de boîte aux lettres. Firent les deux en soupirant devant le nombre de petites cases en métal.

Tu sais quoi. Commença-t-elle alors que Arun commençait à regarder le nom. Feitan seraiT là il nous aurait dit de juste faire irruption dans un appart et d'interroger les gens quitte à les torturer. Dit-elle. Arun leva un sourcil et se tourna vers elle.

Sérieux, même quand il est pas là ? Dit-il.

Bah quoi ? J'essaie de penser comme un membre de la brigade dans ce genre de situation. Répondit la blanche en haussant les épaules.

T'as déjà torturé au moins ? Demanda-t-il.

Non, je sais pas si je pourrais. Tuer je commence à m'y habituer, mais alors torturer, je sais pas du tout. Dit Malia, ses yeux se mirent à briller un peu. Mais j'avoue que je kifferais essayer. Image, faire un jeu de torture comme dans Saw. Dit-elle, Arun fit une grimace et retourna aux cases de métal.

Aiko à raison d'avoir peur de toi. T'es une vraie psychopathe toi. Dit-il en plissant les yeux sur les noms parfois écrits tout petit. Raaa, ils peuvent pas écrire plus gros ! Grogna-t-il.

Tout de suite je suis psychopathe. Dit-elle en agitant la main. Tu veux des lunettes peut-être ?

Tant est un peu une quand même. T'es bien la seule à rire devant Saw alors que les mecs se font exploser sérieux. Et non je veux pas de lunettes. Gronda-t-il. Tu veux pas m'aider ?!

Oui oui, grogne pas louveteau.

Elle se mit à chercher avec lui, plissant les yeux et gronda aussi que les noms étaient parfois trop petits. Son ami lui répondit la même chose qu'elle, le « tu veux des lunettes peut-être ? ». Elle leva les yeux au ciel.

Ils finirent par enfin la trouver. Chambre 203 étage 13. Ils prirent l'ascenseur qu'ils durent attendre vu qu'il était à l'étage 16.

On pourrait juste prendre les escaliers. Proposa Arun.

Flemme. Répondit Malia.

Ouais, j'avoue moi aussi.

Les deux amis restèrent donc devant l'ascenseur à attendre que celui-ci arrive. Il arriva après une attente interminable pour les deux. Ils montèrent dedans et appuyèrent sur le bon étage, une musique que les deux trouvèrent terriblement chiante se lança. Ils attendirent encore un moment dans l'ascenseur. Arun s'était assis par terre et Malia appuyer contre le mur, jouant tous les deux sur leur téléphone en attendant.

L'étage atteint, le rouge se leva et la porte s'ouvrir et les deux soupirèrent d'aise de sortir de cet espace avec une musique horrible.

Bon, chambre 203.

Ils cherchèrent ce coup-ci la chambre, ce qui fut plus facile vu le nombre réduit. Arun arriva devant le premier et fit sortir une ombre qui bidouilla dans la carrure qui fit un clic, signifiant qu'elle était ouverte. La rouge ouvrit la porte sans faire attention au bruit qu'il faisait.

Malia le suivit de près, en entrant dans l'appartement dont Arun fit la remarque qu'il faisait trois fois la taille du sien, des bruits de pas furent entendus et un homme baraqué arriva, il n'avait aucune barbe et des cheveux en calvitie.

Eh, vous êtes qui vous ?! Demanda-t-il en voyant les deux regarder partout dans l'appartement.

Oh, bonjour. Fit Arun sans pression.

La vache, rien que cette pièce doit faire deux fois ma chambre. Dit Malia en regardant la pièce qui devait être le salon vu le canapé et la télé.

Dégager ! C'est une violation de domicile sales gosses ! Cria l'homme dans son pyjama.

Chérie, que ce passe-t-il ? Demanda une femme qui arriva dans le salon à son tour, elle portait une chemisette rouge asser révélatrice.

Elle avait des cheveux châtains ramenés en chignon, des petits yeux verts et quelques rides aux coins de ces derniers ainsi qu'au coin de la bouche.

Des gamins se sont introduits chez nous ! Répondit l'homme qui paraissait plus vieux que la femme.

Ça va on vous veut pas de mal. Dit Arun, il prit soudain un air sombre. Sauf si vous résistez. Malia leva un sourcil et lui frappa la tête.

Tu fait quoi là à faire ton mec sombre ? Demanda-t-elle.

Quoi ? J'essaie de penser comme la brigade ! Malia pouffa.

Ils ont pas besoin de faire ça, tu vois rien que Phinks tu sais déjà que t'es dans la merde. Dit-elle en ricanant.

Feitan il fait ce genre de sourire aussi ! Se défendit le rouge.

Lui c'est naturel et ça lui va bien. Répondit-elle. Toi t'as juste l'air d'un crétin. Une flèche invisible se planta dans la tête du rouge.

Tellement cruel. Je suis descendu en dessous de ce sale nain. Fit-il en boudant.

Le couple les regardait sans trop comprendre, mais le mari en eut marre et sortit une batte de base ball de derrière le meuble et voulut l'abattre sur Malia qui le vit venir. Elle fit un bouclier de particules et la batte se percuta au bouclier. La jeune femme repoussa le bouclier, repoussant le mari en même temps.

Au fait, vous êtes bien Monsieur et Madame Gritsch ? Demanda Malia en faisant disparaitre son bouclier, la femme regarda son mari qui avait été projeter sur une étagère qui s'était brisée. Elle acquiesça qu'elle portait bien ce nom. Parfait ! Ar', c'est bien eux. Dit-elle à son ami qui se releva mais boudait toujours. Fait pas ton gamin. Dit-elle en levant les yeux au ciel.

Mmh. Fit-il. Arun s'approcha de la femme et lui montra une photo, plusieurs bijoux y étaient présents. C'est vous qui les avez non ? Demanda-t-il.

O-o-oui. Dit-elle en tremblant un peu. I-ils s-s-sont d-dans le coffre s-sous notre lit, en d-d-d-dessous du parquet. Répondit-elle en bégayant et pointant la porte du doigt.

Bande de petits enculés. Fit l'homme qui se releva.

Il n'eut pas le temps de faire un geste, Malia avait rapidement posé des marques sur eux, les bloquant en même temps. Leur disant que le blocage s'estompera dans quelque temps

Ils arrivèrent à la chambre et Arun souleva le lit avec ses ombres avant de soulever les parquets où ils y avaient effectivement une boîte en métal avec un coffre.

Merde, on l'ouvre comment ? Se demanda Arun.

Avec un code. Lui dis-Malia, il la regarda l'air de dire non mais je sais merci.

Bon, va demander le code à la femme.

Pas besoin, je veux tester un truc, bouge. Dit-elle en s'accroupissant à la hauteur du coffre, Arun se décala.

Malia posa sa main sur la porte du coffre et sa marque apparue. Elle se décala un peu, disant à Arun de se décaler aussi et ferma les yeux, se concentrant. La marque se mit à briller et exploser d'un coup, éjectant la porte vers l'extérieur.

Yes, ça à marcher ! Fit-elle en s'approchant à nouveau du coffre.

C'est les marques explosives dont tu m'as parlé ? Demanda-t-il.

Non non c'est des marques liquéfiantes. Dit-elle sarcastiquement.

Nia nia nia. Rétorqua le rouge en mimant une bouche avec sa main.

Malia sortit du coffre un sac plastique avec plein de bijoux dedans. Malia les prit et fit signe à Arun que c'était bon et qu'ils pouvaient y aller. Il hocha la tête et ils partirent de la chambre, passant devant le couple paralyser. L'homme à la calvitie criait après eux, les insultant de toutes celles qu'il connaissait.

Ta marque elle les fait pas taire ?

Non, mais je vais y penser, il me casse les oreilles.

Les deux sortirent par une fenêtre, l'un porter par le vent, l'autre par ses particules. Par flemme de descendre les escaliers et ne voulant pas reprendre l'ascenseur, trop long, et ils allaient finir par péter le tableau de bord pour tenter d'arrêter cette musique horriblement chiante.

Ils se posèrent sur un toit pas loin, avant de sauter de joie, heureux de la réussite de leur première victoire seulement tous les deux. Ils se félicitèrent en se tapant dans les mains, faisant un tchek beaucoup trop rapide. Malia disait à quel point elle avait été stressé malgré son air sûr d'elle et Arun disait que lui aussi avait été un peu stresser mais surtout exciter de faire leur première mission seuls.

Les deux marchèrent sur les toits en parlant de leur mission quand Arun remarqua quelque chose du coin de l'œil qui disparut rapidement de son champ de vision.

Euh… Un survêt vert ? Murmura-t-il, regardant vers le bâtiment dans lequel avait disparut ce qu'il pensait avoir vu.

Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Malia.

J'ai cru avoir vu un survêtement vert. Lui répondit-il en pointant le bâtiment.

Un survêt vert ? Tu crois que c'est Mister no Sourcils ? Demanda-t-elle en regardant vers le bâtiment.

Je sais pas justement. Viens on va voir. Dit-il en sautant du toit, Malia le suivit.

Dans la boutique qui était une épicerie, le survêt vert qui n'était autre que Phinks, bien entendu, fouillait dans les rayons pour trouver son bonheur. Un blond à la bouille enfantine fouillait lui aussi dans les rayons. Quand les deux se firent pousser vers la porte arrière.

Eh, qu'est-ce que tu fous ? Demanda Phinks.

J'ai pas fini de fouiller dans les rayons ! Ajouta Sharnalk qui tenait ses biens.

Pas le temps, on est repéré, on y va. Fit la voix d'un nain aux cheveux noirs et raides mi-long.

C'est toi qui as voulu venir, Feitan ! Accusa le blond.

Tais-toi un peu ! Gronda le nain. Si t'avais pas absolument voulut venir dans cette épicerie pour manger ils nous auraient pas vu. Dit-il, toujours en les poussant vers la porte.

Si t'aurais pas voulu venir pour surveiller Malia ils ne nous auraient pas vu du tout ! Accusa à son tour Phinks. Ils arrivèrent dehors, les bras charger pour deux d'entre eux.

C'est toi qui as émis l'idée en premier. Rétorqua Feitan.

C'était pour rire andouille et toi tu m'as trainé après avoir demandé à Kuroro où ils allaient, ou plutôt le harceler ! Répondit Phinks au noiraud, le pointant du doigt. Feitan avait les mains dans les poches de son vêtement, jaugeant son collègue du regard.

Euh… Juste, t'as été plus con qu'eux. Fit Sharnalk en pointant les deux qui arrivaient par le toit.

Sérieux c'est bien lui. Dit Arun.

Oh, Sharnalk. Salut Malia avec un signe.

Et nous on put ? Marmonna Feitan dans sa barbe.

Coucou. Fit le blond en saluant aussi avec son sourire enfantin.

Qu'est-ce que vous faites là ? Demanda Arun en atterrissant près d'eux suivit de la blanche.

Ah, bah on visite un peu, cette ville est superbe. Dit Phinks en montrant tous ses snacks voler plus tôt. Feitan était à deux doigts de se frapper le front pour une excuse aussi bidon.

C'est vrai qu'elle est super grande et y a plein de trucs à faire. Répondit Malia, Arun semblait aussi le croire. Nan, sérieux, ils sont aussi naïfs que ça ? Se demanda Feitan en les regardant, exaspéré.

Non pas du tout, enfaite ils s'inquiétaient pour leurs élèves et ils sont venus vous espionner, ils m'ont embarqués. Fit Sharnalk en les pointant du doigt. Le tortionnaire se retint de le frapper.

Hein ? Firent les deux en même temps. Feitan, se décala un peu derrière Phinks, ce dernier le pointa du doigt.

C'était son idée. Accusa-t-il. Le nain lui lança son meilleur regard noir.

La tienne au départ. Les deux semblaient se lancer des éclairs.

C'est toi qui chouchoutes trop ta petite- Il se fit couper par un sabre sorti et pointé vers lui.

C'était TON idée. Dit Feitan.

D'accord, bon, en bref vous vouliez savoir si on effectuait correctement notre mission ? Demanda Malia. Les deux araignées tournèrent leur tête vers eux.

Oui c'est ça. Répondit Phinks.

Eh bien on l'a réussi ! Malia à les bijoux dans son sac.

Oui on sait, on vous suit depuis le début. Dit le playmobile.

Bande de stalker. Dirent Malia et Arun en même temps.

D'ailleurs, je suis d'accord avec la gamine, vous auriez juste dû entrer dans un appart et demander aux gens quitte à les torturer. Et tuer le couple par la même occasion. Leur dit Feitan, rangeant son sabre. J'aurais dû t'apprendre à torturer aussi. Ajouta-t-il, Arun se plaça devant sa meilleure amie.

Ah non, t'as déjà asser déteint sur elle comme ça ! Fit-il en le pointant du doigt.

J'ai pas déteint je l'ai endurcie.

C'est pareil !

Il continuait de dire que le noiraud avait déteint sur sa meilleure amie et Feitan n'en avait que faire. Malia parlait avec Sharnalk et Phinks qui la félicitèrent pour la réussite de la mission. Quelques rougeurs apparurent sur ses joues, pas habituer au compliment et son habitude à rougir revint au galop. Feitan la regarda en fronçant les sourcils. Dépassant le rouge en lui faisant un crocher pied avec son parapluie, suivant les trois qui les avaient totalement laissés derrière.