Chapitre 43 :
Toujours dans les bras de Feitan qui ne l'avait pas lâché de la nuit, les bras entourant sa taille, la gardant coller à lui et la tête au niveau de la nuque de la blanche qui dormait à poing fermé. Arun déjà réveiller, n'avait pas manqué de prendre une ou quatre photos d'eux, laissant sa meilleure amie dans les bras du noiraud, sachant qu'il ne lui ferait pas de mal.
Il était juste en train de déjeuner devant la télé sans vraiment la regarder, occuper à scroller sur son téléphone et à envoyer une photo de Feitan et Malia à Machi qui répondit que si Feitan voyait ça, il serait mort rapidement la tête couper. Il se mit donc à parler un peu avec Machi tout en déjeunant les gâteaux et son cappuccino.
Feitan lui se réveilla doucement, chatouiller par les cheveux blancs de Malia, il grogna un peu avant de resserrer son étreinte et de passer sa jambe au-dessus de celle de notre héroïne qui ne bougea pas d'un poil, dormant toujours. Il ouvrit doucement les yeux, ces derniers vit le cou de Malia en premier, cou un peu dégager, ses cheveux tombant sur le côté. Venant de se réveiller, il se rappela qu'hier il avait eu le caprice de la garder avec lui. Oui, un caprice, ça lui avait pris d'un coup.
En voyant le cou de la jeune femme en face de lui, il fit un sourire sadique et eu la bonne idée de croquer dans la peau blanche de Malia qui gémit un peu de douleur dans son sommeil. Il s'éloigna puis recommença à un autre endroit, mordant la peau blanche. Malia commença à gigoter, sentant les morsures dans son cou, Feitan ne faisait pas non plus des petites morsures. Elle se réveilla à son tour à cause des morsures faite par Feitan, qui s'en amusait.
P-pourquoi tu me mo-mord ? Demanda-t-elle, virant au rouge, bien réveiller.
J'avais envie. Répondit Feitan en remordant dans son cou, la faisait gémir de douleur. Et tes réactions sont marrantes. Malia frissonna quand le noiraud passa sa langue sur une morsure qu'il venait de faire.
A-arrête. Dit-elle en voulant se redresser, elle ne gagna qu'à ce qu'il la retourna face à lui, son visage tout près d'elle. S'il te plaît ? Tenta-t-elle en reculant sa tête.
Feitan sourit, montrant ses dents, ce que Malia vit comme une mauvaise chose. Avant qu'elle ne puisse faire un mouvement ou une parole, le noiraud se redressa et s'assit à califourchon sur elle comme hier soir. Elle lui redemanda de descendre et mit ses bras devant elle comme si cela allait les séparer et qu'il ne pourrait rien faire, mais il attrapa ses deux poignets avec sa main gauche pour les plaquer au-dessus de sa tête.
Malia était rouge tomate, aucun mot ne sortant de sa bouche et elle respirait un peu plus fort. Feitan au-dessus d'elle comme ça avec un sourire qui ne lui disait rien de bon. Elle se demandait se qu'il pouvait bien lui arriver, pourquoi il réagissait comme ça, surtout quand elle sait qu'il ne lui avait pas adressé un regard en partant la dernière fois qu'ils s'étaient vus. Il mit son autre main sur la taille de Malia et se pencha près de son oreille.
Tu as le corps tout chaud d'un coup. Murmura-t-il d'une voix taquine, Malia remua les jambes vainement.
Feitan descendit vers son cou et mordit une nouvelle fois dans son cou avant de lécher la morsure qui fit de nouveau frissonner la blanche. Avec le pull, il n'avait pas beaucoup d'accès, alors il suçota son cou et descendit un peu plus bas. Malia, coincé, ne pouvait pas faire grand-chose, respirant plus fort et serrant les dents, pas qu'elle n'aimait pas, au contraire. Elle se retenait juste de gémir, ce que Feitan cherchait à lui faire faire. Sa main droite passa sur sa taille sous le pull, touchant le corps chaud de Malia.
Tu n'essaies même pas de te libérer. Lui susurra-t-il à l'oreille.
Elle ne répondit rien, il s'y attendait et continua juste de mordre, lécher et suçoter son cou. Sa main tenant toujours ses poignets et l'autre sur sa taille qui remonta doucement, arrivant à son soutif. Il avait raison sur le fait qu'elle n'essayait pas de se libérer, elle avait même arrêté de remuer les jambes dans l'espoir de réussir à bouger.
Malia était gêné, c'était sûr. Comment ne pas l'être dans cette situation ? Certain ne le serait pas. Elle n'oserait même pas le regarder dans les yeux après ça. Se demandant même si ça allait aller plus loin ou pas. Et si oui, accepterait-elle ? Elle-même n'était pas sûre, quelques choses de tout nouveau. Avec Feitan, dans un autre monde, de fiction censée exister seulement en manga et animé, avec un homme tout aussi fictif que l'univers d'où il venait et plus âgé normalement de bien plus de dix ans.
Malia n'eut pas à réfléchir longtemps, les deux furent coupé par Phinks qui rentra en faisant claquer la porte au passage, sortant la blanche de son état second, respirant toujours aussi fort. Le blond se figea en voyant Feitan au-assis à califourchon sur Malia rouge tomate, lui tenant les poignets d'une main, l'autre étant sous son pull un peu relever, laissant voir un peu sa taille, la tête dans son cou parsemé de morsures et de suçons.
Raa, fermez la porte à clé au moins ! Râla-t-il en refermant la porte tout aussi sèche qu'il l'avait ouverte.
Tsk, on peut même pas tirer un coup tranquille avec eux dans les parages. Dit Feitan en claquant sa langue, la tête tourner vers la porte avant de se tourner à nouveau vers Malia qui fuyait le regarde de Feitan. Vraiment une tomate perverse. Dit-il avant de lâcher les poignets de Malia et de retirer sa main de sous son pull et de descendre de sur elle et du lit, allant ensuite vers la porte pour l'ouvrir et sortir de la pièce sans un autre regard pour Malia qui resta comme en transe, les images tournant dans sa tête.
Elle analysa les images passées. Amenant sa main à son cou, touchant les morsures et les suçons, encore un peu humide, réalisant que Feitan venait de lui faire des suçons et des morsures. Elle avait encore la sensation de sa main sur sa taille qui remontait tout doucement vers sa poitrine. Voulait-il vraiment faire ce qu'elle pensait ? Si Phinks n'avait pas interrompu, il l'aurait vraiment baisé. Rien qu'à cette pensée, Malia surchauffait déjà et elle dut avouer que son entre-jambe aussi.
Il faut que je prenne une douche. Dit-elle en sortant du lit, allant à sa valise pour en sortir un short en jean bleu clair et un chemisier rouge sans manches, le col en strass noir. Elle alla vers la porte pour aller dans la salle de bain, mais elle se stoppa. Oh non, je ne peux pas. Elle se ravisa, ne voulant affronter ni Feitan avec qui elle avait, supposément, failli coucher, ni Phinks qui les avait prit sur le fait.
Elle s'habilla donc en vitesse, jetant son vêtement de nuit négligemment sur le lit sans faire attention au jogging tombant de celui-ci. Coiffa ses cheveux en une queue haute, sans chaussures, rester dans l'entrée, elle les téléporta à elle tout simplement et les enfila avant de choper son téléphone et d'envoyer un message à son meilleur ami, lui disant qu'elle devait racheter du matériel de dessin avant de repartir et de le prévenir quand les araignées seraient parties, sans leur dire qu'elle avait demandé ça.
Elle prit son sac, ses couteaux, téléphone en poche et ouvrit la fenêtre pour s'accroupir au bord du vide et de sauter dans le vide sans grande hésitation. Des particules bleues se formèrent autour de ses jambes et sa chute fut ralenti grâce à son contrôle sur ses particules. Malia atterrit en douceur sur le sol. Le centre assez blindé à presque midi de la journée.
Quand Arun reçu le message de Malia, il haussa un sourcil. S'il se souvenait bien, elle avait fait le plein de matériel dans la ville juste avant. Il se demandait bien ce qui lui prenait, enfin, il en avait une idée. Quand il avait entendu Phinks râler qu'ils devraient au moins fermer la porte. Il avait compris, Malia n'osait juste affronter personne après ça et avait fui. Il répondit qu'il ne dirait rien et la préviendrait avant de regarder à nouveau la télé. Feitan étant à la douche, il comprenait maintenant pourquoi il avait été à la douche directement en sortant de la chambre. Le nain était en rut et avait voulu baiser Malia. Il souriait, amuser et reverrouilla son téléphone, content quand même que son amie reste pure un moment.
Cette même amie qui ne savait pas quoi faire en ville, soupirant, son sac sur le dos, elle n'arrivait pas à se sortir l'image de Feitan assis sur elle à suçoter son cou. Elle avait de nouveau chaud, elle n'avait pas osé sortir pour aller à la salle de bain et sa marque avait disparu depuis hier. Elle se demandait si elle n'allait pas aller aux sources chaudes, espérant pouvoir prendre une douche froide. Malia soupira et regarda autour d'elle et vit un bar pas loin. Elle révisa les actions qu'elle avait et en conclues que c'était le meilleur moyen de se calmer.
La blanche s'engagea dans le bar assez fréquenter à cette heure-là, des gens buvait où manger ou encore faisait les deux. Elle vit trois places vides au bar, elle s'installe à celle au milieu, la séparant de la femme buvant son café à sa droite et des jeunes à sa gauche. Accrochant son sac à sa chaise et gardant son téléphone dans ses mains. Le barman d'un certain âge lui demanda ce qu'elle voulait prendre. Elle allait répondre un café ou une bière, mais elle se ravisa après avoir regardé la carte.
Une sangria blanche. Dit-elle en posant un billet sur le comptoir. Je paie pour quatre d'avance. Le barman prit l'argent et commença à préparer sa boisson.
Elle s'était dite qu'elle en avait besoin. Elle n'avait bu que des bières depuis qu'elle était arrivé ici. Personne n'était là pour lui interdire de prendre un alcool plus fort, alors elle ne se priverait pas. Sa boisson arriva devant elle, n'ayant jamais gouté, elle trempa les lèvres dedans avant de prendre une bonne gorgée. Elle l'aimait bien cette boisson, tellement que le premier fut fini rapidement.
Tirer son coup, rien d'autre. Murmura-t-elle en faisant tourner les glaçons dans son verre vide de boisson jaune, les fruits rester au fond.
Malia était toujours sur ce qu'il s'était passé avec Feitan un peu plus tôt. Elle retenait qu'il avait dit qu'il ne pouvait pas tirer son coup tranquille et comment il était parti sans un autre regard ou mot que tomate perverse. Elle demanda un nouveau verre de Sangria. Notre héroïne savait que s'il avait voulu la sauter, possiblement, c'était parce qu'il n'avait surement pas d'autre fille plus proche et qu'il aimait la tourmenter. Rien d'autre.
Qu'est-ce qu'elle imaginait ? C'était Feitan Portor et elle Malia de rien du tout, à peine assez doué pour savoir communiquer avec sa famille et que ça se passe bien avec son beau-père. A peine capable de ne causée aucun problème à sa mère. Finalement, elle se dit qu'elle était bien ici, sa mère n'aurait plus à s'occuper d'elle, elle n'ouvrirait pas sa bouche et crée des tensions dans sa famille.
Bref, elle n'embêterait personne, ici, elle pouvait faire ce qu'elle voulait et tuer qui elle voulait. Ouais, Malia se disait qu'elle devrait rester ici. Quatrième verre dans l'estomac, elle hésitait à en reprendre, manger, ou bien rentrer. Notre héroïne supprima sa dernière idée, aucune envie pour l'instant. Elle n'eut pas à réfléchir longtemps, elle sentit une présence derrière elle, téléportant un couteau et mis rapidement le couteau sous la gorge du pickpocket voulant voler son sac.
Je te préviens, je suis de mauvaise humeur. Dit-elle d'une voix froide sans même regarder le jeune adolescent qui fut pris de panique.
Euh… Dé-désoler ! Dit-il totalement pétrifier, les mains en l'air.
Dégage merdeux. Dit-elle en lui lançant un regard en biais. Il ne se fit pas prier pour déguerpir de là en vitesse. Elle renvoya son couteau dans son sac et soupira.
Et bien, d'humeur tigresse. ~ Malia tourna la tête vers la voix lui ayant parlé et vers la personne s'installant à sa gauche.
Hisoka, quel plaisir de te voir. Dit-elle au jeune homme habiller en clown qui s'accoudait au bar.
Le plaisir est grandement partagé. ~ Répondit Hisoka avec son sourire signature, croisant le regard océans de Malia. Tu as de beaux yeux tu sais ? ~ Demanda-t-il, faisant lever les yeux aux ciels de la blanche et voulu amener son verre à ses lèvres, mais il était vide, elle soupira et allait en redemander un autre et à lever la main, mais Hisoka retenue sa main. Tu tu tu, je vais t'en offrir un. Lui dit-il avant d'appeler le barman qui le remarqua et arriva près de lui.
Une sangria espagnole. Dit-elle au clown qui lui prit seulement un whisky, le barman acquiesça et Hisoka posa de l'argent sur le comptoir. Je me demande bien pourquoi toi tu m'offres un verre, le clown. Dit-elle en retournant son regard vers le barman qui préparait sa boisson.
J'avais envie. Ça faisait longtemps que l'on ne s'était pas vu. ~ Fit Hisoka qui balada son regard sur le corps de Malia, son soutif qu'on pouvait voir un peu grâce au chemisier sans manches et ne rata pas les marques de suçon et morsure sur son cou. Belle marque. Feitan ? Demanda le jeune homme, Malia ouvrit un peu les yeux avant de rougir et de pose sa main gauche sur son cou. J'ai deviné juste. ~ Il ricana de sa réaction, il se doutait bien que c'était Feitan et pas son ami aux cheveux rouges.
La ferme. Fit-elle. Son verre arriva, une boisson rouge cette fois-ci, elle but une bonne gorgée.
J'en couclus que ça ne sait pas bien passer. ~ Fit-il. Malia se fit une réflexion intérieurement, Y'a rien eut du tout même ! Elle repassa les images encore et eu de nouveau chaud, l'alcool n'arrangea rien, une lueur passa dans ses yeux qui n'échappa pas à l'homme habiller en clown.
Tais-toi, fini ton verre et casse-toi. Dit-elle en buvant une nouvelle gorgée.
Sortant son téléphone, Arun lui avait envoyé un message, il y a dix minutes qu'elle n'avait pas vues, lui disant qu'elle était quand même lente pour acheter du matériel de dessin et que Sharnalk voulait sa revanche. Malia soupira, elle n'allait pas débarquer comme ça avec cinq cocktails d'alcool dans le sang, bien qu'elle pût encore réfléchir, la blanche ne voulait encore moins rentrer. La jeune femme rangea son téléphone dans sa poche pour prendre de nouveau son verre en main.
Qu'est-ce que tu fais là toi d'ailleurs ? Fini par demander Malia, posant sa tête sur son bras, poser sur le comptoir.
Je me baladais. ~ Répondit-il en souriant.
Tu cherchais d'autres jouets ? Le sourire d'Hisoka s'agrandit.
Oui, exact. J'oublie que tu viens d'un monde chez qui nous sommes que des personnages fictifs. Dit-il, se rappelant très bien de ça. J'ai d'ailleurs trouvé mon jouet. Malia jeta un œil à Hisoka qui souriait toujours, se demandant s'il n'avait pas mal aux joues à force de sourire.
Alors va casser ton jouet. Elle agita sa main comme pour lui dire de dégager. Hisoka fini son whisky en même temps que Malia. Moi, j'y vais. Malia posa son verre et se leva de son tabouret haut et attrapa son sac et commença à sortir du bar en faisant un simple signe à Hisoka.
Elle se sentait de nouveau fatiguée, surement l'alcool. Elle ne savait pas où aller en attendant que l'alcool redescende un peu. Malia n'était pas très éméché, mais assez pour que quand elle bouge la tête, la tête tourner et les yeux et le cerveau après, comme si ça tournait un peu. La blanche s'engagea dans la rue, mais grogna en s'arrêtant et tourant la tête pour voir Hisoka la suivre.
Arrête de me suivre ! Grogna Malia au clown en reprenant sa marche.
Tu ne sais pas où aller non ? Demanda-t-il en arrivant à sa hauteur, posant sa main sur sa hanche droite.
Retire ta main de ma han- ! Elle rougit et s'arrêta en sentant sa main sur sa fesse et tapa dedans pour le faire lâcher.
Tu avais l'air d'en avoir besoin tout à l'heure. Dit-il en remettant sa main sur sa hanche et tourna brusquement dans une rue pas loin.
Eh ! S'exclamât-elle, un peu dans le gaz. Son dos rencontra un mur et son sac tomba au sol. Hisoka la surplomba de toute sa hauteur. Tu n'as pas mieux à faire que de m'emmerder ? Demanda-t-elle en regardant le clown dans les yeux qui lui semblait amuser.
Tu m'as dit d'aller casser mon jouet, c'est ce que je vais faire. ~ Il démontra sa phrase en attrapant les fesses de Malia et mordit dans son cou, où Feitan avait déjà mordu avant.
Arrête, Hisoka ! Dit-elle en voulant se dégager de son emprise.
Comme je l'ai dit, tu en as l'air d'en avoir besoin. ~ Dit-il en continuant et suçotant sa peau. Il n'a pas dû finir. ~ Devina-t-il au vu de la vitesse à laquelle Malia s'était réchauffé rapidement en plus de l'alcool.
(LEMON)
Il retira ses mains de ses fesses et tourna Malia pour qu'elle soit face au mur. Avant qu'elle ne dise un mot, il attrapa ses mains pour le plaquer sur le mur au-dessus d'elle et de coller ses mains au mur avec son bungee gum. Malia ne pouvait pas tirer, elle n'arrivait pas à s'en défaire et l'esprit dans le brouillard, se téléporter elle ou ses couteaux, impossible.
Hisoka la regarda tenter de se défaire, se dandinant pour essayer de s'en défaire. Le clown ricana au spectacle et se colla à elle, son érection coller au cul de Malia qui rougit encore en sentant la bosse contre ses fesses, la chauffant un peu plus encore.
L'homme aux cheveux roses retira le chemisier rentré dans le short de Malia et passa sa main gauche en dessous et la fit remonter jusqu'à passer sous son soutif pour attraper son sein directement et commencer à le malaxer. Malia se retenait de gémir quand il pinça son téton entre ses doigts et qu'il suçotait et mordait son cou.
Sa main droite, elle, déboutonna le short de la blanche pour passer la main entre le short et sa culotte, faisant glisser sa main jusqu'à sa partie intime, la touchant à travers le tissu. Malia laissa échapper un soupir à ça.
Tu es déjà mouillé. ~ Comme je le pensais, il n'a pas fini le travail. ~ Fit-il avant d'amener sa bouche à son oreille, caressant son intimité à travers le tissu et stimulant son clitoris. Je vais me faire un plaisir de finir. ~ Murmura Hisoka d'une voix suave alors que Malia gémit doucement sous les caresses faites à son clitoris et l'autre main du clown malaxant son sein.
Elle ne pouvait rien, faire les mains coller au mur, elle-même coller à Hisoka et à sa bosse contre ses fesses. Il continuait de stimuler son clitoris en glissant ses doigts sur sa chatte humide par moment, toujours sans passer le tissu qui faisait barrière à plus de plaisir pour Malia qui ne réfléchissait plus très clairement, l'alcool étant descendu et remplacé par le plaisir.
Ce n'est pas le bon endroit pour continuer. ~ Lui murmura Hisoka en retirant sa main de son short et de son chemisier, Malia allait presque lâcher un râle de mécontentement qu'elle retint. Allons autre part. ~ Il sourit puis désactiva son bungee gum et jeta presque Malia sur son épaule sans que son sourire ne le quittait et sauta sur un toit puis un autre.
Il arriva dans un hôtel, ironiquement, le même où elle séjournait avec Arun. Ça chambre étant un étage plus bas. Hisoka rentra dedans avec une carte, signe que c'était la sienne. Toujours Malia sur l'épaule, il avait continué à caresser un peu son intimité par-dessus le short pour la garder chaude comme il lui avait dit sur le chemin. Jetant le sac de la blanche, qu'il avait quand même prit, et fit descendre la jeune femme de son épaule et ne lui laissant pas le temps de parler qu'il posa ses lèvres sur les siennes et attrapa ses fesses pour la porter.
Elle lâcha un gémissement de surprise et il en profita pour passer la langue dans la bouche de Malia, jouant avec sa jumelle sans même le consentement de notre héroïne, même trop occuper à sentir la bosse du sexe gonfler d'Hisoka contre le sien. Jouant avec la langue de Malia qui avait par réfléxe passer ses jambes autour de la taille d'Hisoka, lui laissant le champ libre pour passer ses mains sous son hait pour commencer à le faire passer par-dessus la tête de la blanche rapidement qui se retrouva en soutif en tissu et dentelle noir et violet.
Très joli, j'ai hâte de voir le bas. ~ Dit-il en regardant la poitrine de Malia qui se cacha par réflexe. Non, non, non, ne cache pas ça. ~ Lui dit-il en la faisant basculer sur le lit de la chambre.
Le peu que Malia pu penser, c'est qu'elle n'avait même pas donné son accord pour qu'Hisoka la touche comme ça ou l'emmène ici. Pas une fois, mais quand elle pensait au plaisir qu'elle ressentait là et comment Feitan l'avait laissé en plan après que Phinks soit rentrer dans la chambre et que lui allait bien lentement comme le tortionnaire qu'il était, elle se disait que ce n'était finalement vraiment pas si mal.
Hisoka avait retiré son soutif en l'arrachant d'un coup sans même dégrafer et prit son sin droit en bouche tandis que son autre main descendit à son short pour retourner stimuler son clitoris par-dessus sa culotte humide de sa cyprine. Malia gémit et attrapa les draps par réflexe, faisant sourire l'homme habiller en clown.
Il retira le short en jean qu'il jeta parterre et laissa Malia en culotte, une culotte de la même couleur que le soutif.
Je passe en dessous ? ~ Demanda-t-il d'une voix taquine. Il se redressa, voyant Malia rouge et respirant à grande bouffer, elle était trop gênée pour sortir la moindre parole. Mmmh ? ça veut dire que j'arrête là ? Fit-il avec une moue. Malia le regarda enfin dans les yeux et fit un timide non de la tête. Pardon, je n'ai pas compris. Fit Hisoka en commençant à retirer sa main de sur la culotte de la blanche.
N-non. Dit-elle doucement.Hisoka tendit l'oreille en souriant, signe qu'il voulait en entendre plus. Malia se fit violence. S's'il te p'plaît. Fit-elle.
S'il te plaît quoi ? Hisoka voulait entendre lui demander entièrement. Elle grogna et gémit quand il stimula son clitoris.
S'il tt'te plaît, c-con-continue, p-plus. Malia était affreusement gênée en prononçant cette phrase qui n'en n'était pas trop une, mais cela suffit à Hisoka qui sourit avant de commencer à retirer la culotte de la blanche.
Complétement nue devant lui et énormément gênée de cette situation, Hisoka ricana avant de lui coller les mains aux matelas au-dessus de sa tête, glissant sa main au clitoris de Malia, désormais plus du tout recouvert. Il stimulait d'abord son clitoris qui fit venir une vague de plaisir à Malia qui gémit, Hisoka en profita pour passer sa langue dans sa bouche et jouer avec sa jumelle, Malia répondit au baiser cette fois-ci, faisant sourire le clown qui passa deux de ses doigts entre les fentes de la partie intime de Malia et d'y enfoncer deux de ses doigts, notre héroïne gémit profondément contre la bouche d'Hisoka.
Il fit des mouvements de ciseau et des va-et-vient qui fit jouir Malia une fois, essouffler, il recommença juste après, stimulant en même temps son clitoris avec son pouce.
Il avait retiré son haut, laissant une belle vue à la jeune femme sous lui. Il commença ensuite à retirer son bas en même temps que son caleçon qui devenait un peu étroit pour son engin qui se dressa fièrement, faisant un peu écarquiller les yeux de Malia, le mâle ricana à sa réaction et commença à caresser le bout de son sexe et à se branler avant de sortir un préservatif de son pantalon juste à coter, il n'était pas non plus prêt à mettre quelqu'un enceinte. Il le mit sur son sexe avant de se placer à l'entrée humide de la jeune femme qui appréhendait un peu. Hisoka frotta le gland de son pénis à l'entrée, faisant languir Malia exprès. Elle savait qu'il attendait qu'elle lui demande.
P-pas en-encore ? Fit-elle entre deux respirations.
Oh, moi je peux être patient, c'est toi qui ne peux pas. Ricana Hisoka, sachant que c'était surement sa première fois, qu'elle ne pouvait pas trop attendre. Enfin, il n'attendrait pas toute la journée, non plus. Malia respira fort, sentant le bout du pénis de l'homme aux cheveux roses n'attendant que qu'elle le supplie. Lui aussi devait être un tortionnaire.
S'il te plaît… Commença Malia, cherchant ses mots. Baise-moi… Finit-elle après un peu de réflexion, c'était la seule chose qu'elle avait trouvée en si peu de temps. Il n'en fallu pas plus à Hisoka pour rentrer.
Malia gémit un peu de douleur au début, bien que son vagin soit bien humide, elle eut un peu mal quand Hisoka commença à bouger à l'intérieur d'elle. Il s'était penché vers ses seins pour les titiller en mordre ses tétons, pendant que Malia se faisait à la sensation et que la douleur se transformait en plaisir et qu'il accélérait la cadence ou ralentissait en donnant des coups de butoir dans le fond de son vagin sans ménagement.
Ses boules tapaient contre les fesses de Malia et ses seins rebondissaient à chaque coup de rein de l'homme au-dessus d'elle. Elle gémissait en essayant quand même de se retenir de gémir trop fort, ne pouvant même pas mettre sa main sur sa bouche étant collé au matelas avec le bungee gum.
La vue plaisait à Hisoka, baiser l'élève de Feitan, la voir comme ça, soumise à lui. Cela allait-il l'énerver ? Il l'espérait enfaite. Ici depuis un moment, il les avait vus passer et vu Feitan dévisager les jeunes hommes qui fixait Malia un peu trop fixement. Il l'avait vu boire dans le bar et c'était joint à elle dans l'espoir de rien que ça, énerver le nain et l'affronter. Et qu'elle fut sa jubilation, quand il avait vu ses suçons, devinant qu'ils avaient été faits par Feitan et qu'à son regard, il l'avait chauffé sans finir le travail.
Quelle idée géniale que de s'amuser en pouvant en même temps pouvoir énerver le numéro deux de la brigade quand il l'apprendra. Non seulement lui prenait du plaisir sexuellement et en combattant Feitan après ! Il fallait juste trouver le bon moment pour l'annoncer maintenant.
Malia finit par jouir deux fois avant d'avoir un orgasme, ses jambes étaient tremblantes alors qu'Hisoka la pilonnait encore de coup de rein, n'aillant lui pas fini. Malia continuait de gémir sous lui, pleine de sueur et essouffler de tout ce sport. Elle allait avoir droit à une bonne douche après ça.
Hisoka finit par jouir dans le préservatif peu après, lui aussi essoufflé, satisfait de l'état dans lequel était Malia et de toutes les nouvelles, morsures et suçons faits, il ricana en se retirant d'elle et retira le préservatif plein de son sperme et de le jeter sur le côté. Il désactiva son bungee gum, laissant Malia retrouver la liberté de ses mains. Il prit un de ses avant-bras pour la tirer vers lui.
Vu dans l'état, où tu es, je suppose que cela t'a plu ? ~ Demanda Hisoka d'un ton et avec un sourire taquin. Malia, qui analysait la situation un peu plus sérieusement, hocha seulement la tête timidement en signe d'affirmation. Je veux l'entendre. Ça t'a plu ? ~ Il fit glisser Malia qui était bien petite comparer à lui, sur ses genoux.
O-oui, ça ma p-plu. Répondit-elle, retrouvant peu à peu une respiration normale. Hisoka sourit et tapota sa tête.
Gentille fille. ~ Fit-il toujours en souriant et tapotant sa tête comme à une enfant.
Voyant qu'elle était fatiguée, il lui dit de dormir, que la chambre était payée jusqu'à demain matin et qu'il lui laissait se qu'il y avait dans le frigo. Nue et fatigué, Malia lui lâcha un faible remerciement avant de s'endormir rapidement dans le grand lit deux places. Hisoka se rhabilla de ses vêtements de clown rassasié de sa partie de jambe en l'air, sans oublier de prendre une photo souvenir, pour surement le montrer à Feitan comme preuve plus tard pour l'énerver un peu plus et pour lui aussi tant qu'à faire.
Il remit ses chaussures avant de ressortir de la chambre, se disant que c'était une bonne pêche au jouet, laissant Malia dans cette dernière, dormir dans le lit, ses vêtements éparpillés partout.
Arun lui regardait son téléphone, se demandant si ça lui prenait vraiment autant de temps pour acheter du matériel de dessin, surtout qu'elle en avait encore plein. Il vérifia une nouvelle fois, toujours rien. Il soupira, elle avait dû se mettre dans un coin et dessinait sans faire gaffe à son téléphone et aux trente messages envoyer.
Un petit nain s'inquiétait quand même aussi, se demandant s'il avait été trop loin cette fois-ci pour ne pas la voir revenir. Elle n'était plus dans la chambre et était passé par la fenêtre. Assis dans son fauteuil et rester sur la même page de son livre depuis un moment.
Il voulait la taquiner et l'idée d'aller plus loin lui avait traversé l'esprit, mais Phinks entrant dans la chambre lui avait rappelé qu'ils y avaient d'autres garçons à coter et était allée se calmer dans la douche, tout seul. Ne se doutant pas que Malia, était allée se calmer avec quelqu'un d'autre, qui n'était pas prévu au départ.
