Hey !
Et voilà le dernier jour ! Wow, c'est passé tellement vite, je suis sur le cul. Et en même temps, je suis content d'avoir terminé cette histoire dans les temps. C'était grave chouette à faire, je me suis éclaté.
Merci à Lae pour sa review sous le chapitre précédent !
Bonne lecture !
Le final
.
– Arrête, je ressemble à un pingouin dans ce truc.
– Un très joli pingouin.
Neku pouffe. Sérieusement… Il ne peut même pas mettre ça sur le compte de l'alcool, Joshua n'a pas assez bu pour ça. Lui non plus, d'ailleurs. Le whisky lui fait tourner la tête, mais il a surtout envie de rire. Il espère que le liquide n'a pas imprégné son haleine. Si jamais les pions leur tombent dessus, ils sont mal.
– Dis pas de conneries.
– Oh, mais je suis tout à fait sérieux. Tu as un physique très appréciable. Si tu t'appliquais un peu plus, en matière de vêtements…
– C'est bon, Shiki est déjà passée avant toi.
Merde. Maintenant que ces deux-là vont communiquer dans son dos, ils vont se liguer contre lui. Il aurait peut-être dû réfléchir, avant de les laisser coexister dans la même pièce plus de cinq minutes. Il n'a pas envie de retrouver Joshua en train de faire du tri dans son placard. Enfin, pour ça, il faudrait déjà qu'il l'invite chez lui. Et pour qu'il l'invite chez lui, il faudrait qu'il explique à ses parents qu'il a un petit ami. Si tant est que ce soit vraiment son petit ami. Il n'a toujours pas élucidé la question.
Assis dans la cage d'escalier, derrière les marches qui mènent à leur chambre, les deux garçons prolongent la nuit. D'ici, ils entendent encore la musique qui parcourt le couloir. Les amis de Neku sont toujours dans la salle. Lui, il a préféré s'éloigner. Le bruit l'irrite, et Joshua n'a pas l'air de mieux le supporter. Enfin un point commun qui l'arrange.
– Dis.
La tête pleine de floue, il allonge ses gambettes le long de la marche. Le regard de Joshua lui tombe dessus.
– Ça va tes jambes, là ?
Ils n'ont pas tant que ça bougé, et Joshua a passé la majeure partie de la soirée son cul posé sur ses délicates cuisses pour s'éviter un sol crade, mais quand même. Est-ce que l'alcool a un effet sur sa maladie ? Neku réalise qu'il ne sait même pas ce qu'il a. C'est indiscret de lui poser la question, maintenant qu'ils sont en situation de se choper ? Il n'a pas encore assez bu pour franchir le pas.
– Parfaitement bien.
– Cool.
Il penche la tête sur le côté.
– Mais tu me dis si ça va pas, hein ?
– Je ne vais pas m'effondrer après trois malheureux pas, Neku.
– J'sais, mais…
La gêne lui monte aux joues en une jolie fleur rouge.
– J'veux pas que t'ailles mal.
D'accord, il a envie de se cacher. Est-ce qu'il peut mettre ça sur le compte du whisky ?
Près de lui, Joshua échange un air surpris contre un sourire indéchiffrable. Le genre d'expression qui ne laisse rien savoir de ce qui se passe dans son cerveau, là. Neku voudrait pouvoir y fouiller. Et en même temps, ça fait cogner son coeur, de sentir qu'il le regarde.
– Il y a des jours où c'est inévitable, tu sais ?
Ce n'est pas la réponse qu'il voulait. L'image de Joshua tordu de douleur dans son lit lui noue les boyaux, Mais le pire, c'est d'avoir conscience qu'il ne pourra sans doute rien faire contre ça. Joshua ira mal, parfois. Il faudra faire avec, et accepter l'absence de solutions. C'est pourri.
– Et tu peux pas… soigner ça ?
– Aucune idée.
Le petit prince hausse les épaules. Ça fait trembler les bretelles de son drôle de débardeur, et Neku se demande s'il n'a pas froid, comme ça. Il devrait peut-être lui faire une place contre lui. Il pourrait passer sa main dans ses cheveux, coller son petit nez contre sa nuque et tâtonner jusqu'à ses mains.
– Genre ?
– Il va falloir préciser ta question.
– Y a bien des médecins qui peuvent faire quelque chose pour ça, nan ?
– Les médecins ne savent pas ce que j'ai.
Neku cligne des yeux. Il a bien entendu ?
– Ils savent pas ?
– C'est ça.
– Mais genre, comment c'est possible ?
– Ça fait des années qu'on me traîne de spécialiste en spécialiste, et pour l'instant, personne n'a trouvé d'explications concluantes.
Mais ce sont des médecins. Ils sont censés savoir, non ? C'est leur métier. Ils ont fait des études pour ça. Ça ne peut pas être à ce point compliqué de trouver d'où vient le problème de Joshua, non ? Ils ne peuvent pas, genre lui faire passer des tests dans de grosses machines ?
– C'est nul.
– Ça me semble être un bon résumé de la situation.
– Mais t'as pas de traitement, du coup ?
– Juste des anti-douleurs.
Bon, c'est toujours ça de pris que Neku pourra aller lui chercher si le besoin s'en fait sentir. Mais quand même, de vrais soins pour prévenir les crises de douleur, ce ne serait pas du luxe.
Remarque, il y a d'autres solutions pour lui éviter ces désagréments.
– Et y a pas moyen que tu puisses avoir des béquilles ou un fauteuil ?
– Sans doute. Mais les béquilles finissent toujours par me faire mal aux poignets.
Ah, parce que ça touche aussi les poignets. Super. Est-ce que ce serait exagéré, de lui proposer de lui prendre ses cours ? Ce serait ça de gagné pour lui, mais Neku ne veut pas l'étouffer.
Il faudra vraiment qu'il aille demander conseil à Shiki.
– Et pour le fauteuil, les prix montent vite.
Ça, il veut bien le croire Celui d'Eri se chiffre en millier d'euro, Neku n'en revient toujours pas. Néamoins…
– Mais t'es riche, non ?
Joshua pouffe. Il appuie mollement sa main devant son visage, ses doigts glissés sous son petit nez.
– Oh, toi aussi tu vas t'y mettre ?
Pardon ?
– J'aimerais bien savoir d'où vient cette rumeur.
– Je sais pas, rappelle qui a parlé de caviar tout à l'heure ?
– C'était une blague !
– Et tu portes des fringues de riches !
– Oh, je t'en prie Neku, nous savons tous les deux que tu ne t'y connais pas en mode. Tu ne saurais même pas différencier une robe Chanel d'un vulgaire tailleur de chez CA.
Oui, sans doute. Pour lui, Chanel, ça se rapporte à Disney. Mais clairement, les fringues que Joshua portent maintenant n'ont pas l'air de sortir du fin fond de la poubelle d'un immeuble de banlieue.
– Je sais m'habiller, c'est un fait, mais ça ne veut pas dire que mes vêtements coûtent cher.
– Arrêtent, j'suis sur que les trucs que t'as sur toi coûtent un rein.
– Compte tenu du fait qu'un rein peut se vendre plus d'une centaine de milliers d'euros dans certains pays, j'adorerais. Mais non, j'ai trouvé ces vêtements dans des boutiques tout à fait abordables. J'ai juste retouché le haut, la forme ne me convenait pas.
Neku hausse un sourcil.
– Sérieux ?
– C'est si dur à croire ?
– Ouais.
Clairement. Entre le maquillage, l'air distingué et ses petits gestes nobles qu'il a… Et puis cette manière de parler, et ce vocabulaire qu'il utilise. Il a beau dire qu'il blague, Neku cherche le mensonge. Joshua a vraiment une dégaine de riche, ça transpire jusqu'au bout de ses doigts.
– Et la bagnole de ton père ?
– Elle n'est pas donnée, j'en conviens. Et je ne vais pas non plus prétendre que je vis dans le dénuement le plus strict.
Il passe ses doigts dans ses jolies bouclettes, dodeline de la tête au rythme de la musique qui arrive depuis le couloir, lointaine.
– Disons que mon père a tendance à vivre au-delà de ses moyens.
Ouais, enfin ça sous-entend qu'il les a quand même, les moyens. Parce que ce n'est pas tout le monde qui peut se payer un véhicule du genre, même d'occasion. Et Joshua n'a pas l'air peu fier, quand il pousse la porte avant de trottiner jusqu'au lycée.
– Genre il peut se payer une caisse comme ça, mais un fauteuil c'est trop demander ?
– C'est précisément parce qu'il a acheté une voiture hors de prix qu'il ne peut pas payer le reste.
Un trait sombre glisse sur son visage. Comme un voile jeté que Joshua vient dissimuler derrière sa main repliée. Neku baisse les yeux. Oh. Dit comme ça, ça fait mal au cœur. Il a l'impression d'avoir frappé trop fort droit dans une corde sensible. C'est désagréable.
– Déso.
– Ce n'est rien. Je ne vais pas me plaindre, j'ai des anti-douleurs efficaces. Je suppose que c'est déjà bien.
Mais ça ne fait pas tout. Neku n'est pas con, il se doute bien qu'à choisir, Joshua préfèrerait se ménager plutôt que de se tordre entre deux cachets de codéine. Il aimerait sans doute pouvoir se balader autant qu'il le veut, sans craindre de passer la soirée roulé en boule dans un coin, une horrible grimace au coin de la face.
Faute de trouver les mots, le rouquin attrape la petite main blanche face à la sienne. Les doigts froids se lovent contre sa paume.
– Pourquoi tu démens pas, quand les gens te traitent de bourge ?
– Ça ne serait d'aucune utilité. Quand les gens ont décidé de quelque chose, ils n'en démordent pas, peu importe les preuves que tu avances. Et je n'ai sincèrement pas envie de perdre mon énergie avec ce genre d'idiots.
Encore une fois, il lui prouve qu'il vaut mieux que lui. Josh ne se soucie définitivement pas des bruits qui courent dans son dos. Neku l'avoue, il trouve ça impressionnant. Et face à lui, il se sent minuscule. Un brin ridicule. Il voudrait avoir son détachement.
– Et puis, ça vaut toujours mieux que de passer pour une plébéiens.
Mais.
Sérieusement ? Le grand blessé souffle. Il ne peut pas s'en empêcher, hein ?
– La plèbe t'emmerde, Josh.
– A choisir, je préférerais le terme qui implique quelque chose de beaucoup plus agréable. Surtout si tu représentes la plèbe.
– Va te faire.
– C'est justement ce que j'étais en train de proposer. C'est fou qu'on soit à ce point sur la même longueur d'onde, tu ne trouves pas ?
Neku se redresse, pour mieux lui mettre une pichenette sur la joue. Le glapissement outré de Joshua a quelque chose de satisfaisant.
– Mais quelle violence !
– Arrête avec tes conneries.
– Je suis tout à fait sérieux, Neku.
– Et tu veux faire ça avec quoi, le beurre de la cantine ?
Une moue dégoûtée étire le joli visage de Joshua. Pour la peine, il rit.
– Mais quel rustre !
Et il croise les bras comme un gamin puni. Oh vraiment, ce type n'est pas croyable.
Et il sort avec. Presque. Peut-être.
Tout plein de joie qu'il soit, Neku n'en ressent pas moins une peur brusque. Il devrait parler de ça, là. Non ? C'est quand même important. De mettre des mots sur leur… truc. Enfin, leur relation. Il est nul pour parler de ça, et il n'a même pas d'expérience en la matière, mais… Oh, merde, pourquoi est-ce que c'est si compliqué ?
Ils n'ont même pas échangé leur numéro. Il faudra impérativement qu'il y pense avant qu'ils ne montent dans le bus.
– Tu ne m'as même pas invité à danser, Joshua ajouté, mécontent.
Cette bouille déçue. Oh, mais celui-là… Vraiment, il est irrécupérable.
– Je sais pas danser, Josh.
– C'est aussi le cas des gens qui s'agitent autour du buffet, et ça ne les empêche pas de gigoter dans tous les gens.
Neku lui ferait bien remarquer que ces mêmes gens se frottent les uns aux autres dans un grand mélange de fatigue et de sueur, mais ça le conforterait dans ses plans peu catholiques, alors autant éviter. Il le laisse quand même serrer sa main.
– Et puis, danser, ça s'apprend.
– J'ai aucune coordination.
Et c'est vrai. Suffit-il de voir comme il s'est rétamé sur les pistes, en deux pauvres après-midi de ski.
– On peut partir sur une base simple.
Neku soupire. Bon, si ça lui tient à ce point à coeur… Il n'y a personne pour les voir, de toute façon.
– T'es chiant.
– Ça veut dire oui ?
– Lève ton cul avant que je change d'avis.
Et voilà, il se redresse tout joyeux, le regard pétillant comme une nébuleuse. Il en faut peu pour le rendre heureux, le Joshua. Remarque, ça vaut sans doute mieux pour lui s'il peut faire son bonheur avec une danse plutôt qu'avec un smoking de pingouin et des cadeaux hors de prix.
D'ailleurs, ça lui a coûté combien cette tenue, à monsieur Je ne suis pas si friqué ?
– Tu es un garçon merveilleux.
– Ouais ouais.
L'angelot fouille sur son téléphone, il lance une musique que Neku ne connaît pas, mais qui ressemble à du classique. Ah ! Il a quand même des goûts de riche ! Il n'avait pas complètement tort ! Il y a bien quelques grands compositeurs sur son téléphone, entre deux chansons de Lady Gaga.
– Et on fait quoi avec ça ? il demande en se levant.
– La danse la plus appropriée sur cet air, c'est la valse.
Ok, Neku n'a pas la moindre idée de comment on danse ça.
– Tu préfères pas genre, faire un slow ou un truc du genre ?
– J'ai déjà fait mon choix.
Il sent le petit corps fin de Joshua se presser contre le sien, au pied des escaliers. Sa main qui vient trouver sa hanche , et l'autre qui cherche le long de son bras.
– J'ai toujours une atèle.
– Pose ta main sur ma taille, ça suffira.
– Vraiment, les slows c'est-
– Neku.
Oh, cette voix. Et ces yeux qu'il plante dans les siens, là. Ça tambourine dans son torse. Oh, merde. S'il lui parle comme ça souvent, il ne va jamais réussir à lui refuser quoi que ce soit. Joshua ne doit surtout pas réaliser l'effet qu'il lui fait.
– Laisse-moi te guider, d'accord ? C'est facile, tu verras.
Il n'est pas sévère, ni autoritaire, au contraire. Ses doigts raffermissent leur prise, et le rouquin inspire un grand coup.
– J'suis vraiment pas doué pour ça.
– Je n'attends pas de toi que tu sois doué. J'ai juste envie de danser avec toi. Ce n'est pas si compliqué à comprendre, non ?
Non.
– Rassure-moi, tu n'es pas ce genre de garçon à la virilité mal placée qui ne supporte pas de laisser quelqu'un d'autre mener?
– Nan.
– Parfait.
Il a juste peur de se casser la gueule. Et franchement, vu comme Joshua a l'air frêle… Mais ok. Il lui fait confiance. Et tant pis si c'est un désastre, personne n'est là pour voir ça. Alors il le laisse faire les premiers pas qui ouvrent la danse et il essaie de suivre, à son rythme. A l'aveuglette, guidée par les quelques instructions que Joshua lui laisse. La musique les dépasse, ils sont trop lents pour le rythme. Mais ça avance doucement, et quand Joshua se redresse pour lui dire quoi faire il frissonne de sentir sa voix si près de son oreille, et quand il sent son nez contre sa peau il manque de lui marcher sur les pieds, et ça le faire rire, et ça réveille des tremblements de terre à l'intérieur de lui.
– Neku ?
– J'ai pas fait gaffe.
– J'espère bien. Je t'en voudrais, si tu tentais volontairement de m'écraser les pieds.
C'est là contre sa peau, tout près. Joshua n'est pas si grand d'habitude, ses cheveux ne le chatouillent pas comme ça, et…
– Je ne vais pas tenir longtemps sur la pointe des pieds, tu sais ?
– Ah.
Son ventre se serre. Sa tête, si proche, se tourne à peine. Il sent son sourire d'ici.
– Si jamais c'était trop subtile pour toi, je ne me suis pas mis à ta hauteur pour le plaisir de contempler tes adorables rougeurs. Quoi que la vue soit très agréable.
Oh. Oui, oui. Non. Il ne sait pas quoi faire. Il devrait répliquer quelque chose, là, mais il a envie de se cacher sous terre. Et en même temps, il est bien. Genre, très bien.
– J'sais.
Non, absolument pas. Mais il essaye de garder la face. De ne pas trop rougir en tournant la tête, de ne pas appuyer ses lèvres au mauvais endroit. Mais c'est bien celles de Joshua qu'il sent, là, toutes chaudes sous les siennes. Sa petite bouche qui a le goût acide et sucré des tartelettes au citron qu'il a dévorées devant le buffet.
Il n'ose pas faire grand chose. A peine le baiser échangé, il se recule et prie pour que l'ombre de la pièce dissimule sa gêne. Il s'emmêle encore alors que la danse reprend, raffermit sa prise sur la taille de Joshua. Mais le chaton s'arrête de lui-même. Il lâche sa main pour la passer derrière sa nuque et, cette fois, c'est lui qui l'embrasse. A pleine bouche.
Wow. ok. Là, Neku ne peut plus douter. S'ils font ça, c'est qu'ils sortent clairement ensemble. Donc, Joshua est son petit ami, et…
– Seigneur, j'ai cru que tu n'allais jamais te décider !
Et il l'entendre rire, lové contre son torse alors que l'échange se termine. Tout pressé contre lui.
– J'ai pas l'habitude, il marmonne.
– J'en déduis que je suis ta première expérience en la matière ?
– Mm.
– C'est un honneur. J'ai tout un tas de choses à te faire découvrir.
Neku pouffe.
– T'es pas croyable.
Il le serre contre lui. La gêne ne s'est pas calmée, mais il est heureux de le sentir contre lui, là. D'avoir dissipé le peu de doute qu'il lui restait. Il caresse ses cheveux, profite de ce souffle qu'il sent, comme l'autre respire au creu de son cou dans le noir de la pièce.
Il ferme les yeux.
Derrière, la musique cogne le long des murs. Des bruits qui leur parviennent de loin, et ricochent contre leur bulle. Là-bas, il y a Beat et Shiki, Eri, Shoka. Il y a toute une bande de crétins qui l'angoissent, et tellement de gens. Mais il est là, lui, avec cette insupportable petite diva qui est à deux doigts de lui ronronner dans les bras.
Pour cette nuit, il n'y a pas de meilleure place sur terre que celle-là.
Et voilà. Bon bon.
En vrai, je ferai peut-être quelques bonus pour cette histoire, parce que j'aimerais bien ajouter une ou deux scenes cool mais sans grand rapport avec l'intrigue. A voir, donc ? Mais voilà, c'est fini.
(et ça fait une fanfic longue sur le fandom francais de Twewy, ce qui est quand même cool)
Un gros merci à Lae pour toutes ses reviews ( tu gères !) et à Snow in Universe pour les siennes ! Et merci à tous les gens qui ont suivi, et/ou qui liront après. N'hésitez pas à laisser une petite Review en passant, ou à fav si ça vous a plu !
Sur ce, passez de bonnes fêtes !
