Toujours Florinoir pour Pleurer à l'Intérieur, j'utilise des persos et le monde de Gundam Wings, donc ils ne sont pas à moi pour la plupart!
/Heero/...Tu m'as transformé en gosse traumatisé...
TU es un gosse traumatisé...
/Heero/Ouais mais là...
Rôôôôh hein! J'écris, j'fais c'que j'veux!
Bon, le genre: Angst, OOC, ...
Notes et RARs: Tout d'abord: (se met à genoux) : Paaardooooooon! Je vous jure que j'avais plus d'inspiration! Désoléééée pour ce retard infââââââââmeee! Beuwaaaaaah!
/Heero/ Urusei!
Hem, ok... J'ai pas assuré mais bon, voilà la suite! Et j'essaierais de faire plus vite, la prochaine fois... V'là quoi...
Bon, maintenant, je répond aux commentaires!
Kaorulabelle: Merci! J'espère que tu aimera autant cette suite!
lihiel: Heu...Bah c'était pas bientôt mais...Le voilà quoi...Désolée d'avoir autant tardé et merci pour ta review!
Syt the devil angel: Tu le trouve mignon! C'est un bloc de glace!
/Duo/ Mais chou comme touuuuut!
/Heero/ Duo... Si tu veux pas mourir dans des douleurs innomables, me traîte plus jamais de chou!
Heeey, branche pô Hee-chan, c'est mon mien!
/Heero/ Et depuis quand!
Matrioshki?
/Heero/ Nan, ça marche plus! De toute façon je vais souffrir quoi que je dise! JE SUIS PAS A TOI!
/Wufei/D'abord!
Pis bon, perso, c'est pas moi qui essaierai de tromper un démon...Super puissant... Qui maîtrise les techniques infernales... M'enfin c'est toi qui voit, lol!
Merci! J'espère que tu aimera la suite!
Nicole Pavlovna: Oui, je sais, c'est plus ça ton pseudo...
Ma fic ne contient pas plus d'actes immoraux que les autres, d'abord, non mais!
/Wufei/ Même, c'est gentillet...
/Heero/ Tu déconne Chang! C'est moi qui prend!
/Duo/ Mouais, comme à chaque fois avec Flo, chouchou...
/Heero/ Je vous haaaaaais!
Merci, j'espère que tu aimera ce chapître!
Yuya chan: Merci beaucoup de tant aimer! Désolée pour l'attente, mais voilà! En espérant que ça te plaise toujours!
Merci à toutes et à ceux qui lisent, bonne lecture!
Tomber. Encore. Douleur diffuse. Sang dans les yeux, le nez, la bouche.
- Relève toi.
Se relever. Tenir sur ses jambes. Elles sont douloureuses, sans doute, l'une d'elles est brisée. Coups de matraques. De poings. De pieds chaussés de bottes cloûtés.
S'écrouler.
- Relève toi!
Prendre appui. Se redresser. Souffrir. Mais...
- RELEVE TOI!
Sang qui sourde des oreilles. Ventre ouvert. Tête qui tourne, regard trouble. Hurlements intérieurs. tenir debout.
...Mordre la poussière...
Tourner ses yeux douloureux mais secs vers les autres. Les autres qui ne se relèvent plus. Les autres qui pleurent, qui gémissent.
Les autres qui le supplient de rester à terre.
"Reste à terre et ce sera fini... S'il te plaît..."
Mais...
Mettre les mains paumes contre le sol. Appuyer. Retenir le jet de bile et de sang qui envahit la bouche tuméfiée. Serrer les dents. très fort. Ignorer les prières. La douleur qui éclate dans la jambe brisée, il en est sûr. Occulter le bruit des chairs de son ventre qui se déchirent. Tenter de résister aux vertiges qui le font dangereusement tanguer. Rester droit, ne pas montrer qu'on hurle à l'intérieur.
Qu'on pleure à l'intérieur.
Rester impassible.
Être debout.
S'être relevé.
Tout ce qui compte, c'est s'être relevé, prouver qu'on résiste. Qu'on est fort.
"Vous ne m'aurez pas... Vous ne me détruirez pas...Vous ne gagnerez pas..."
Voir malgrès les vertiges l'air satisfait du chef.
L'entendre ordonner.
- Eliminez ceux qui ne se sont pas relevés.
Ignorer les cris. Les tirs. Les corps inertes. Rester debout.
Ne pas s'effondrer, ne pas pleurer.
Ne pas être faible, jamais.
Ne pas s'être relevé pour rien.
Non.
Quatre ouvrit les yeux, haletant. Des larmes dévalaient ses joues, il avait déchiré son oreiller en le serrant dans ses poings.
Il se releva et sortit de sa chambre pour aller dans celle que Wufei partageait avec le petit Heero.
Il ne fut pas surprit de voir que deux yeux marines le fixaient, luisant dans la pénombre. Le Chinois devait être en train de boire un énième café en lisant dans la cuisine.
- ... Heero...
- 04.
- Relève toi...
Le garçon eut un léger sursault.
- Ton empathie.
- Oui. Heero, tu...
- Il n'y a rien à dire. Ton problème est que tu me juges sur mon apparence. Je ne suis pas un enfant. Je suis un soldat. Ce genre de choses fait partie de mon entraînement. je suis une arme, et une arme doit être testée avant utilisation.
- ... Tu te mens.
- ... Peut- être bien. Mais si je ne m'en convinc pas... Je... J'aurais mal.
- Mais tu as mal!
- Pas avant. Mon entraînement me permettait de contenir ces pensées parasites. J'étais opérationnel! Maintenant... Je suis presque inapte! Bon à jeter!
- Heero!
L'enfant se frottait la tempe de plus en plus fort.
- Je ne suis pas celui que vous appelez Heero. Je suis Zero Un! Ce n'est pas moi que tu tente de sauver, mais l'adolescent de quinze ans qui apprenait à redevenir humain! Pas le soldat de neuf ans...
- Quoique tu dises, vous êtes une seule et unique personne... Tellement semblables... Toi et celui que tu deviendra n'êtes que des enfants, des enfants qui n'ont pas vécus comme tel! Tu n'es pas une machine!
Le métis crispa la main sur sa tête, et un rictus de douleur apparut briévemment sur ses traîts. Il ne pourrait pas longtemps s'empêcher de trembler.
- Arrête 04!
L'empathe sentit la tension envahir le garçon. Il n'insista pas, craignant une crise et sortit de la chambre sans plus ajouter un mot. Mais il était hors de question qu'il le laisse ainsi.
Le lendemain, il fut convenu que Wufei accompagnerait Heero au parc situé en face de la maison de leur cible. Les autres iraient en mission pendant ce temps.
Quatre et Duo avaient tout tenté pour faire sincèrement jouer l'enfant.
Sans succés.
En désespoir de cause, ils lui avaient dit de faire comme les autres enfants, de les imiter.
Heero avait hoché la tête, son petit visage trop impassible, trop sérieux montrant qu'il accomplirai sa mission, puis il avait tourné les talons, laissant les deux adolescents découragé de mettre un soupçon de fantaisie dans la tête du garçon.
Les deux pilotes marchèrent un moment ensembles, en silence. La voiture qu'ils avaient prise était garée plus loin, mesure de prudence. Lorsqu'ils arrivèrent en vue du parc, Wufei s'accroupit devant Heero, tel un grand frère donnant des recommandations devant son cadet.
- Tu n'es pas obligé de te méler aux autres, mais fais comme eux. Choisis un jeu calme, essaie de faire passer ta présence comme naturelle, de sorte qu'on oublie que tu es là. La résidence de la cible se voit très bien à partir du bac à sable... Tu sais ce que tu as à faire. Je serais sur le banc, un peu à l'écart, là-bas, dit-il en faisant un geste discret vers celui-ci, dès que tu le vois sortir, tu signale. Nous observerons d'abord ses habitudes avant de tenter quoi que ce soit.
- Bien.
- Je viendrai te chercher dès que nous devrons revenir faire notre rapport.
L'enfant fit un signe de tête et partit vers le bac à sable.
Wufei l'observa un instant. Heero se mit à l'écart des autres, décourageant toute tentative d'approche des autre gamins, ne serait-ce que par son attitude rigide. Le Chinois grommella et alla à son banc.
Une semaine d'observation passa et les habitudes de l'homme commencèrent à être bien définies par les terroristes.
Lianel Joclart(mais où j'trouve ces noms mwa!) sortait de chez lui à huit heure trente-cinq. Il revenait chez lui à onze heure et repartait à quinze heure. Puis il rentrait le soir, à huit heure quarante. Les lumières s'éteignaient de façon générale vers vingt-deux heure, sauf dans le petit bureau dont la fenêtre opaque laissait filtrer un rayon lumineux jusqu'à une heure du matin. La petite caméra qu'Heero avair réussi à installer en allant chercher une balle lancée providentiellement par un gosse contre le mur de la demeure les avaient beaucoup aidé à établir l'emploie du temps de Joclart. Selon les résistants, l'homme avait une femme et une fille actuellement en voyage pour le mois. Elles étaient parties il y a deux semaines.
Les résistants étaient en train d'accumuler beaucoup de preuves contre l'homme, il était quasiment certain qu'il était l'un des fournisseurs de l'Alliance en matière d'armes de poings, nottament de prototypes de sa conception. Les documents que Wufei avait subtilisé dans le bureau de Joclart étaient en cours de décryptage(Oui, ça peut être sa liste pour le magasin porno de la ville d'à côt... AIEUH/Heero/... /Flo/Ok... Pf..moi,c'que j'en dis...), la mission avançait dans les délais...
Tout allait bien...
Sauf Heero.
Le garçon était actuellement en train de manger avec Duo et Wufei.
Posément, impassiblement, il portait méthodiquement les aliments à sa bouche, sans émettre un son.
- Et là, l'abruti d'Ozzi s'lève... "Qui c'est qu'est là!" Et moi, j'lui sort: "Ton pire cauchemard...",avec la voix de Muchu, et couic!
- Maxwell, nous sommes actuellement en train de manger, épargne donc les détails et par Nataku, qui est Muchu!
- Fifyyyyyyyy, my friend, ton manque de culture générale me sidèrera toujours...
Sans prendre garde à l'étouffement du Chinois face au surnom et à sa dernière remarque, l'Américain expliqua, doctoral:
- Muchu est le petit dragon rouge qui accompagna Mulan dans son périple contre les Huns...
Wufei devint rouge, puis bleu, enfin vert et arriva à reprendre son souffle...
- MAXWEEEEELL! Je considère comme un affront que tu te permette de critiquer ma culture! Que les milles supplices s'abbatent sur ta détestable personne!
- ... A la place de son vieux père malade, au mépris de toute conventions, la jeune fille part, se bat, se fait passer pour un garçon!
- Sale vermine occidentale, vas-tu écouter quand je te maudis!
- ...Il y a, à ses côtés, le cricket sans veine, le cheval plus communément surnommé vache par ce cher Muchu ainsi que...
- MAXWEEEEEEEEEEEEEEEELLL!
Et sur ce rugissement, Wufei bondit, sabre en main, bien déterminé à découper en lamelle un Duo qui tout en évitant les coups, continuait à décrire le dessin-animé AC, Mulan...
Heero termina de manger et monta silencieusement les marches conduisant aux chambres, sans prendre garde au boucan que faisait ses coéquipiers.
En apparence...
Le garçon ferma la porte de la chambre.
Doucement.
L'enfant s'allongea sur son lit. Ses yeux marines fixés au plafond, bien droit, il semblait tel un petit androïde. Pas un sentiment ne transparaissait sur son visage.
Sa main tremblait.
De plus en plus fort.
"- Tu es un soldat. Tu es né dans le but de te battre. Tu vois Zero Un. Tu leur ressemble. Mais vous n'avez rien en commun."
Non. rien en commun avec ces enfants dans ce parc, rien. Rien...
"- On devrais pas lui donner un truc pour qu'il s'amuse! L'est tout seul la dedans...
- Crétin, t'as pas entendu, c'est pas un gosse, c'est un monstre! Il est juste né pour tuer, pour obeir! L'a rien a foutre de jouets!"
Alors pourquoi?
"- Zero Un, éprouve tu une quelqonque distraction à prendre soin de ton arme?
- Il est nécessaire de la nettoyer.
-...Bien. Parfait."
Pourquoi!
Pourquoi éprouver cette sensation! Pourquoi son lui adolescent aimait-il ça! pourquoi sentait-il que l'autre lui aurait aimé se méler à ces civils! Rire comme eux! Crier comme eux!
Pourquoi n'arrivait-il plus à se contrôler!
Pourquoi avait-il eu si mal à tenter de ne pas s'interresser aux bétises indignes de soldats de ses coéquipiers!
Son rythme cardiaque s'emballa, sa respiration se fit saccadée et son corps se crispa.
"- faiblesse. faibessefaibelesfaiblesfaiblesfaibles..."
- Non...
Une voix hachée, dure, furieusement déterminé à ne pas craquer, ne pas craquer, ne pas s'ête relevé pour craquer, pour céder, pour...
"- Juchtggre... Che laissgrer allgrer..."(Juste se laisser aller; vous comprendrez plus tard qui parle et pourquoi ainsi)
Timmy...
- Non...
Non. Parce qu'il était un monstre. Ils le disaient, ils étaient plus grand, plus intelligents. Ils le savaient mieux que lui. Odin le considérait comme un humain. Odin avait tord.
Mais même un monstre avait une certaine fierté. Une fierté que même eux n'avaient pu lui enlever.
Il était resté debout.
Et même si ils les avaient servis, il était resté debout, en lui.
Alors... Ne pas perdre le contrôle.
Par un effort surhumain, l'enfant s'arrêta de trembler. Il alla à la salle de bain se rincer la bouche. Elle avait saigné quand il avait serré les dents. Puis il tenta de faire le vide dans sa tête.
Ne pas penser aux enfants, à celui qu'il n'avait jamais été, qu'il ne deviendra jamais. Ne pas penser à la complicité entre ses coéquipiers. Ne pas penser à son autre lui qui tentait de le détourner de sa voie.
Ne pas penser à...
Juste... Sombrer dans un néant.
Le néant ne lui apporterait pas de paix intérieure.
Mais il ne lui apporterait pas de tourments en plus.
Wufei s'assura qu'Heero dormait avant de rentrer dans la chambre. Il était en colère.
Une semaine que Yuy refoulait ses crises.
Une semaine qu'il tentait de cacher qu'il allait de plus en plus mal.
Wufei comprenait Heero, dans une cetaine mesure. Lui-même avait du brider au possible ses émotions dans son clan. Réfréner sa colère, sa révolte, son désir de hurler, de clamer sa liberté.
Même si c'était de la rage, même si c'était des pleurs, des cris de fureur, il avait tellement eu envie de les laisser sortir!
Heero...Réfrénait même son désir de le vouloir!
Non.
Les onixs du Chinois se fixèrent sur la petite silhouette.
Un fin rayon de lumière filtrait à travers la porte entrouverte, montrant le visage sévère, voire crispé de l'enfant.
Quoi que Yuy puisse se dire, ses crises qu'il stoppait tant bien que mal l'affaiblissait. Considérablement. Il ne se réveillait plus au moindre bruit, perdu dans un simulacre de sommeil nullement réparateur.
Ca ne pouvait pas durer.
Il fallait qu'Heero craque vraiment une bonne fois, qu'il se lâche.
Et après tout ce temps d'observation, Wufei savait comment faire.
TBC...
/Wufei/ ONNAAAAAAAA! Pourquoi je n'arrive pas à echarper Maxwell!
Un jour, tu y arrivera...
/Duo/ Lointain le jour...
/Wufei/ Arrrrrrrrrrrrg!
/Heero/ Dites les mecs, loin de moi l'idée de minimiser vos problèmes mais... NAN MAIS VOUS AVEZ VU CE QUE CETTE CINGLEE ME FAIT!
/Quatre/ Oui Heero, nous compatissons... Une tasse de thé?
(Heero la prend, découragé)
/Trowa/..., ...!...,...,...! ( Pauvre vieux, je te plains! Mais bon, toi on te voit, au moins!)
/Heero/ Tu veux ma place?
/Trowa/...,...! ( Woooooow, Trop bonnes ces tomates! ndl'a: cherchez pas, délire perso en lisant Nana...)
Hee-chou, moumour parfumé à l'eau de cologne, ne t'en fais pas... Tout le monde aime que tu souffre!
/Heero/ ET JE DEVRAI PAS M'EN INQUIETER!
Si vous voulez commenter, pas de refus! Au prochain chapître pour ceux qui veulent!
