Note du Jour : Dumby s'en prend plein aujourd'hui, gentillesse de notre chère Hinanoyuki. Merci pour ce défi =D

Et c'est parti pour ce 60ème texte !

Début T3 UA

Gage – 60

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Harry avait toujours détesté les bonbons au citron. C'était tout simplement terrible ! Dire que Dumbledore l'avait forcé à en prendre un en première année. Le goût lui était resté en bouche pendant toute la journée ! Et aujourd'hui, il était décidé à se venger. Les jumeaux avaient mis au point enchantements et potions sur ces abominations qui trônaient à la table des professeurs, ceux-ci grimaçant de dégoût. Harry commença à compter les secondes avec Fred et George lorsque vieil homme suçota une de ses fameuses gouttes de citron qu'il traînait partout avec lui. 3... 2... 1... 0.

Un ''POUF !'' plus tard, quelques cris résonnèrent à la table d'honneur alors que le directeur disparaissait dans un panache de fumée. Tous les élèves attendirent dans l'expectative avant de ricaner tout en grimaçant de dégoût. Devant eux, là où se tenait précédemment le directeur ( habillé avec un goût atroce ) dans son trône trop bling bling, se tenait à présent une énorme... larve !

Harry cligna des yeux une fois, deux fois, trois fois. Pourquoi tout le monde les fixait-il - lui et les jumeaux_, avec un mélange de crainte et d'adoration ? Et pourquoi la larve de directeur les regardait-elle avec un regard et bien.. haineux ?

Harry et les jumeaux échangèrent un regard inquiet puis se détendirent :

« Nous plaidons non-coupable et vous n'avez aucune preuve contre nous. » déclamèrent-il en chœur.

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Le directeur resta dans cet état durant une semaine. Une semaine où il se terra dans son bureau parce que chaque élève qu'il croisait pouffait de rire. Même les enseignants riaient dans son dos ! Et le pire de tout était que sous cette forme, il ne pouvait même plus gober de bonbons au citron sans manquer de s'étouffer !

Comme l'avaient dit le trio d'or cependant, on ne trouva jamais aucune preuve pour les incriminer et ils s'en tirèrent à très bon compte. Les professeurs Flitwick et Snape leur accordèrent même quelques points en toutes discrétions pour les merveilleuses prouesses magiques dans leurs matières.