Harry Potter et la cité perdue.

Chapitre 3 : Escapade au chemin de traverse.

Harry et Dudley commencèrent à avoir faim, il était tout de même près de midi, ils se dirigèrent vers le Chaudron Baveur pour se restaurer. Dudley n'arrivait toujours pas à se remettre de la visite de Gringotts. Jamais il n'avait vu de créature aussi étrange. Il demanda à Harry se qu'il comptait faire dans l'après-midi. Le dernier des Potter lui répondit qu'il allait faire les boutiques et que normalement, il n'aurait pas à rencontrer de nouvelles créatures magiques. Une fois arriver à l'auberge, ils prirent une table pour deux personnes et commandèrent leurs repas (je ne vais pas dire ce qu'ils vont prendre, parce que j'en sais rien du tout, sans doute des truc bien gras pour Dudley et Harry un truc bien constant). Harry commanda deux bièraubeurre pour aller avec le repas. Dudley demanda à son cousin :

Harry, les cinq dernier fantômes, c'étaient qui ?

Il y avait Merlin, et puis les quatre fondateurs de Poudlard, Godric Gryffondor, Salazar Serpentard, Rowena Serdaigle et Helga Poufsouffle, mais pourquoi, sa t'intéresse tant que ça ? demanda Harry très surpris.

Eh bien en fait, c'est mes parents qui veulent savoir ce que tu as fait aujourd'hui, en plus ma mère soupçonnait que tu es beaucoup d'argent, donc elle m'a demander de lui faire un petit compte rendu, mais je ne crois pas que je sache la fortune que tu as. C'est dingue tous ce que tes parents on pu amasser dans leur vie, dis Dudley.

Non, l'argent amasser comme tu dis, ça c'est fait sur des centaines d'années. Mais dis-moi, comment trouves-tu mon monde, pour ce que tu as pu en voir.

C'est assez impressionnant, mais ça fait peur, parce que les créatures sont effrayantes.

Il est vrai que les gobelins sont terrifiant, mais il n'y a pas meilleur qu'eux pour garder une banque. On dit que la banque est gardée aussi par des dragons. Mais personnes ne le sait vraiment, bon, il va être temps d'y aller, j'ai encore beaucoup de courses à faire. L'oncle Vernon doit venir nous chercher à quelle heure, à peu près ? demanda le jeune sorcier.

Vers 17 Heures 15, et puis on rentre directement.

Bon, alors, pour commencer on va aller chez Mme Guipure, pour refaire ma garde robe, en vêtements moldus et sorciers, ensuite on passera au magasin de sport. Et on verra après.

Il se dirigèrent donc vers le magasin de prêt-à-porter, une fois rendu là-bas, une jeune femme très séduisante les pris en charge, ils se dirigèrent donc vers la section homme et elle demanda à Harry se qu'il désirait, celui-ci lui répondit, qu'il aurait besoin de refaire le plein de vêtements des deux mondes. La jeune femme lui dit :

Pouvez-vous être un peut plus précis, s'il vous plaît ?

Bien sur, il me faudrait quatre noirs pour Poudlard à l'effigie de Gryffondor, ensuite deux robes de bal, une rouge et or avec un emblème de griffon, et l'autre verte et argent avec un emblème de basilic. Puis une robe de potion bleue, une robe de combat au couleur des fondateurs de Poudlard avec du bleu et ce sceau (en lui montrant sa chevalière), et enfin un ensemble en peau de dragon magyar à pointes de préférences.

Très bien, mais nous n'avons pas de tenue de combats, aller au magasin combats et duels au bout de la rue, vous trouverez se que vous cherchez. En attendant, je vais faire votre commande, désirez-vous autre chose ? demanda le jeune vendeuse.

Oui, en effet, j'aimerais dix jeans, bleus et noirs, vingt t-shirts, rouge, blanc, bleu, or et noir. Ensuite cinq pull ou gilets, qu'importe la couleur mais pas trop voyant, et enfin des chaussettes et boxers, environ une trentaine de chaque.

Très bien, votre commande sera prête dans deux heures, dit celle-ci tout en notant les besoins de Harry sur un morceau de parchemin.

Ah et quinze chemises en soie de la même couleur que les t-shirts, rajouta le jeune sorcier.

D'accord, repasser à seize heure, ça devrait être prêt.

Merci madame, à tout à l'heure. Tu viens Dudley, on continue.

Ils sortirent tous les deux et se dirigèrent vers le magasin de quidditch. Celui-ci n'était pas très bondé, ils y entrèrent donc, et Harry se dirigea automatiquement vers les balais pour voir si il y avait des nouveautés. Le meilleur balai sur le marché restait toujours cette année l'éclair de feu. Il alla regarder les livres de quidditch pour voir ce qu'il y avait comme sujet, il trouva un livre qui l'intéressa « comment réaliser votre propre balai ». Harry décida de le prendre et demanda au vendeur les meilleurs bois pour faire un balai avec les brindilles. Le vendeur lui donna ce qu'il demandait et paya le livre avec les ingrédients. Ils sortirent du magasin et se dirigèrent vers la boutique que la jeune vendeuse de vêtements lui avait conseillée. Ils arrivèrent devant le magasin, la devanture était délabrée, l'emblème de la boutique était une baguette et une épée croisée. Ils entrèrent à l'intérieur et trouvèrent un endroit chaleureux, on pouvait voir différents types de vêtements dans les meilleures matières du monde magique. Différentes armes blanches étaient disposés un peu partout. Un homme d'un âge assez avancé arriva et demanda à Harry ce qu'il voulait :

Bonjour, j'aimerai une tenue de combat dans la matière la plus résistante qui soit au couleur des fondateurs de Poudlard plus du blanc et avec ce sceau (en lui montrant comme à la vendeuse), demanda Harry, ensuite une tenue d'entraînement et une de duel dans la même matière que la tenue de combats.

Je ne peux vous vendre de telle chose, à moins d'avoir une bonne raison, jeune homme.

Si je vous dit mon nom, se sera bon, ou je dois vous dire les raisons pour lesquels je veux acheter cela.

Les deux, serais parfait, dit le vendeur.

Je m'appel Harry Potter, dit-il en montrant sa cicatrice. Et j'en ai besoin pour affronter mon ennemi de toujours Lord Voldemort et ainsi laver l'affront fait à ma famille. Acceptez-vous de me vendre se que je vous est demandé, où dois-je allé ailleurs, voir les faire moi-même.

Monsieur Potter, je vous demande pardon, je ne vous avez pas reconnu, il est vrai que se que vous me demandez est assez conséquent, surtout en sachant le prix de la peau de basilic, vu que c'est un animal très dur à tuer, cependant j'ai ce qu'il vous faut, suivez-moi, je vais vous montrer les différentes épées qui pourrait vous intéressez.

Ils se dirigèrent donc vers le font du magasin. Le vendeur lui proposa une épée fine et longue en argent, enchanté pour être à double tranchant, incassable et empêcher les blessures d'être guéri par magie causer par celle-ci de se refermer. La garde était faite d'or et sertie d'émeraude. Harry n'eu pas besoin d'en savoir plus. C'est celle-ci qui lui fallait. Il demanda aussi pour des dagues, avec des fourreaux qui s'accrochent aux avant-bras et aux chevilles. Il en demanda un aussi pour son épée qui s'accroche à la taille. Harry demanda aussi si il avait en avait pour les baguettes. Le vendeur dit que oui, et qu'il était enchanté pour ne pas être affecté par les sortilèges d'attraction. Harry demanda quand les vêtements pourraient être prêt. Le vieil homme lui dit que se serait prêt le lendemain vers 8 Heures. Harry le remercia et paya ses différentes courses après avoir mis deux dagues aux chevilles et une dernière à l'avant-bras gauche. Il mis sa baguette dans le porte baguette accroché à son avant-bras droit. Ils sortirent ensuite du magasin en saluant le vendeur. Harry demanda l'heure à son cousin, celui-ci lui dit qu'il était 15 heures. Ils purent donc reprendre leur route vers le magasin de montre, le jeune sorcier en avait besoin d'une nouvelle, puisque la dernière n'avait pas survécu à la deuxième tâche du tournoi des trois sorciers. Une fois devant le vendeur de montre, ils entrèrent dedans et Harry demanda directement à un vendeur la montre qu'il désirait acquérir.

Bonjour monsieur, auriez-vous une montre qui fait carte en 3D avec le noms des personnes, en les dissociant alliés et ennemis, qui fait aussi horloge de grand-mère et donne l'heure.

Bonjour, nous avons bien se style de montre, mais elle sont normalement réservé aux aurors, et non à la clientèle, sauf exception. Elle coûtent très cher vous savez.

Combien environ, s'il vous plaît, c'est très important pour moi, ses différents modes peuvent me permettre de surveiller ceux qui veulent me tuer, dit Harry en montrant sa cicatrice pour être sûr d'être compris.

Je vois se que vous voulez dire, je vais vous faire une ristourne de 10 , comme pour les aurors. En tous cas sachez que c'est un honneur de vous rencontrer, puis-je vous serrez la main.

Bien sur, et merci pour la montre.

Quand soudain, des détraqueurs apparurent sur le chemin de traverse. Il y en avait environ une centaine. Harry dit à Dudley de rester ici et d'écouter attentivement le cas où il devrait fuir. Il sorti ensuite dehors pour combattre ses ennemis. Dès qu'il vit les premiers détraqueurs, il lança son patronus, mais celui-ci était différent des autres fois. En effet, le cerf était monté par une jeune femme, sa mère, à ses côtés un basilic, un griffon et un aigle avec un blaireau attendaient les ordres pour passer à l'attaque. Lorsqu'il dit « à l'attaque », les détraqueurs les chargèrent pour les expulser loin du chemin de traverse. Le patronus se battait avec hargne et défendait tout le monde. Une petite fille avait faillit perdre son âme, mais le griffon était venu la sauver. En moins de cinq minutes, il ne restait plus de détraqueurs. Personnes sauf Harry ne s'était défendu, personne n'avait osé protéger leurs semblables. Rien que pour ça il était furieux.

Harry se dirigea vers la petite fille qui avait été sauvé par ses compagnons. Elle ne devait avoir que 5 ans, elle était en état de choque, elle pleurait et criait, mais personne ne se déplaçait pour la prendre. Il la prit dans ses bras et commença à la bercée, elle se calma au bout de plusieurs secondes. Puis, d'un coup, une véritable ovation fut faite à Harry, mais celui-ci n'apprécia pas trop, il se leva et dit :

Pourquoi me faîtes-vous une telle ovation, mais dites-moi, est-ce que l'un d'entre vous connaît le patronus et sait le lancer, personne. C'est lamentable, regarder, cette petite fille aurait pu avoir un jolie baiser que cela ne vous aurait pas inquiétez. Nous ne pourrons vraiment vaincre Voldemort et ses sbires, lorsque Harry vit tout le monde trembler de peur à l'évocation du nom il dit, Oh, et arrêter de trembler comme des poules prêt à aller à l'abattoir, vous êtes lâche, nous ne pourrons les battre que quand nous nous soulèverons tous ensemble contre l'oppression. Je vais vous dire, se qui se serait passé si je n'avait pas été là, vous sauriez pour une grande majorité d'entre vous sans âme. Voilà, maintenant j'aimerais savoir où est la maman de cette jeune fille.

Cette fois il n'y eut aucune parole, mais on pouvait voir qu'il réfléchissait à ses paroles, mais lorsqu'il se retourna il vit qu'une personne n'avait pas échappé au baiser du détraqueur, il fut en peiné, mais encore plus quand la petite dit « maman ». Il la regarda et lui dit que malheureusement son patronus n'avait pu la sauver. Les aurors arrivèrent seulement à ce moment là, et lorsqu'ils virent qu'ils n'y avaient plus de danger, ils se dirigèrent vers les gens et leurs demandèrent se qu'il s'était passé. Ceux-ci leur répondirent et leur dirent que le survivant les avait tous sauvé. Un auror se dirigea vers lui et il demanda qui était la petite fille, Harry lui répondit que sa mère était le seule victime de cette attaque. Par ailleurs, Harry lui demanda pourquoi ils avaient mis autant de temps pour arrivé, car il y aurait pu y avoir encore plus de victimes. Harry voulut lui confier la jeune fille, mais l'auror lui dit que maintenant la responsabilité de la petite lui revenait, puisque personne d'autre de sa famille ne vivait encore. Il rétorqua qu'il n'avait que 15 ans et qu'il ne pouvait pas prendre une petite fille avec lui, sinon sa famille n'apprécierait pas, et puis il devait faire son entraînement, d'ailleurs, l'auror ne lui avait toujours pas donné de réponses quant à leur retard, mais celui-ci était déjà parti. Malheureusement l'auror ne voulut rien savoir. Harry se dit qu'il demanderait à Dumbledore si il pouvait gardé la petite pendant les vacances, sinon, elle subirait aussi les effet du temps avec lui, puisqu'elle ne pourrait pas grandir pendant la distorsion temporelle.

La jeune s'accrochait fort à Harry, elle avait peur de le perdre lui aussi, celui qui l'avait sauver de se monstre, elle ne voulait plus le quitter, il serait maintenant son grand frère à défaut d'avoir un père et une mère. Lorsque « son grand frère » lui demanda comment elle s'appelait, elle répondit Sabine.

Harry était heureux, il s'arrangerait pour que Sabine ne manque de rien, qu'elle ait une enfance heureuse, et qu'elle se souvienne de sa mère comme d'une femme courageuse. Il se dirigea de nouveau vers le magasin de montre. Lorsqu'il entra dans le magasin, tout le monde le regarda comme un héro. Dudley se rendit près de lui et le regarda étrangement, un regard mêlé de terreur et d'admiration. Harry paya sa montre et sorti avec sa nouvelle fille adoptive et son cousin. Il leurs dit qu'il avait besoin de se reposer et de prendre un bon morceau de chocolat pour reprendre des forces, il ne l'avait dit à personne mais se nouveau patronus l'avait épuisé, et puis Sabine faisait son poids. Il retournerait acheter de nouveaux vêtements pour elle quand il irait chercher ses habits. Mais pour l'heure, ils avancèrent vers Florian Fortarôme, Harry trouva une table et commanda une bièraubeurre et un gros morceau de chocolat de chez Honeydukes, il demanda à Sabine ce qu'elle voulait, elle lui répondit un chocolat chaud et un pain au chocolat, Dudley prit la même chose que Harry. Ils se restaurèrent pendant 15 minutes, puis Harry estimant qu'il avait repris assez de forces, paya et ils partirent pour le magasin d'opticiens magiques, où il pourrait se procurer des lentilles lui permettant de voir à travers murs et les capes d'invisibilité et même déceler quelqu'un qui aurait prit du polynectar et qui s'adapte à sa vue, il en avait marre de casser ses lunettes à chacune de ses aventures. La jeune vendeuse lui donna la paire de lentilles demander, il paya et sorti. Il était temps d'aller chercher ses affaires chez le prêt-à-porter, il demanderait en même temps pour Sabine des vêtements. En passant devant la librairie il vit un livre qui attira son attention « La vie du Survivant », Par curiosité il acheta le livre pour voir ce qui était écrit, il remarqua à la fin du livre une petit écriteau qui disait que le livre se mettait à jour automatiquement, il l'acheta juste pour voir. Puis une fois qu'il fut chez Mme Guipure, il prit sa commande et paya, mai il demanda à la même jeune femme du début de l'après-midi, un ensemble complet de vêtements, allant des culottes aux jupes, puis en passant par les pantalons, t-shirts et chaussettes, il demanda aussi deux pyjamas. Il dit à la vendeuse qu'il repasserait reprendre le tout dans une heure. Ils avaient donc encore une heure à flâner, Harry se dirigea vers le magasin de baguette magique, il voulait savoir si on pouvait en avoir deux. Ollivander le reconnaissant lui dit bonjour et lui demanda ce qu'il pouvait faire pour lui :

J'aimerais faire vérifier l'état de ma baguette et savoir si un deuxième pouvait me correspondre, vu que la mienne est la même que celle de Voldemort et donc qu'elle ne peuvent s'affronter entre elle. Ce qui en soit est très gênant, répondit Harry.

Je comprends votre problème, mais la vente de deux baguettes est interdite, seul les aurors et ceux autoriser le peuvent, mais je peux faire quelque chose pour vous en vous vendant ce lire qui explique comment faire une baguette soit même, mais attention, elle doit être répertorier ensuite par le ministère de la magie.

Très bien, je vous remercie, vous m'aidez beaucoup, je vous dois combien ?

30 Galions, Mr Potter.

Harry paya et ils sortirent de chez le vendeur de baguette. Harry devait aussi passer chez l'apothicaire pour prendre de nouveau ingrédients de potions. Une fois rendu là-bas, Harry acheta tous les ingrédients en grande quantité, et plusieurs chaudrons différents. Il paya et sorti rejoindre les autres qui attendait dehors. Puis il demanda à Dudley :

Dudley, peux-tu garder Sabine pendant un quart d'heure, il faut que j'aille acheter la même chose ailleurs, mais là, vous ne pouvez pas m'accompagner, désolé.

Pourquoi on peux pas venir avec toi ? demanda le gros cousin.

Parce que ce n'est pas un endroit pour les jeunes filles, et que toi tu peux la garder pendant que je vais acheter ce dont j'ai besoin, je vais te donner de l'argent, vous allez m'attendre la où on a pris un chocolat, je n'en es pas pour longtemps, mais je te préviens que si tu l'as maltraitée, tu auras des problèmes.

Ensuite il enfila une cape à capuche et se dirigea vers l'allée des embrumes. Il alla directement chez l'apothicaire pour acheter des ingrédients de magie noire. Une fois rendu, il fit le même manège qu'au chemin de traverse. Il paya et retourna auprès de sa fille sur le chemin de traverse qui lui dit que Dudley avait été correct. Il était donc 17 Heures, il était temps d'aller récupérer les affaires de Sabine. Une fois rendu chez Mme Guipure, Harry prit les affaires de la jeune fille et paya pour ses affaires en même temps. Il paya la modique somme de 2000 Gallions.

Ensuite ils n'eurent plus cas se rendre sur le lieu de rendez-vous pour rentrer chez eux. L'oncle Vernon était déjà là. Quand il vit la petite fille, il poussa un grand coup de guelante, mais Dudley lui dit de se calmer et qu'il lui expliquerait dans la voiture, puisque les gens commençaient à les observer. Ils montèrent donc tous les quatre dans le véhicule. Puis Vernon demanda à Dudley des explications, celui-ci répondit donc :

Tout à l'heure, quand on faisait des courses, il y a eu des créatures qui nous ont attaqués, Harry est donc sorti pour défendre tout le monde, et cette petite n'à plus de mère, elle a été tuée…

Non Dudley, elle n'est pas morte, elle est pire que morte, son âme lui a été enlevé, C'est encore pire, on vit, mais on a plus de raison de vivre, tu comprends, j'ai faillit un jour la perdre, corrigea Harry.

Bref, voilà ce qui c'est passé, mais l'un des hommes a dit à Harry que maintenant, c'est lui qui à sa responsabilité, termina Dudley.

Génial, maintenant, on va avoir deux monstres au lieu de un.

Ne t'inquiète pas, elle restera avec moi, affirma Harry.

J'espère bien, sinon, elle va direct l'orphelinat

Ils arrivèrent en vu de Privet Drive, Harry monta donc dans sa chambre avec Sabine, et rangea toute les affaires, il se dit qu'il allait commencer l'entraînement après avoir envoyé une lettre à Dumbledore et reçu sa réponse, mais il lirait en attendant un livre sur la cuisine magique. Il prit donc une plume et écrivit sur un parchemin :

Cher professeur Dumbledore,

Je vous demande pardon de vous déranger pendant vos vacances, mais j'ai besoin de votre aide, voyez-vous, sur le chemin de traverse, juste après l'attaque, un auror m'a confié la garde d'une jeune fille qui s'appelle Sabine, mais le problème, c'est que je comptait m'entraîner, je ne pourrais donc prendre soin d'elle. Je me demandais si par conséquent, il vous était possible de prendre avec vous Sabine jusque la rentrée. Je vous donnerais l'argent nécessaire.

Je vous prie d'agréer, monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

Harry Potter.

Il relut sa lettre et l'envoya par Hedwige. Il prit ensuite un livre qui avait été mis de côté dans le coffre de ses parents sur la cuisine. Au bout d'une heure, il comprit que pour faire de la nourriture, il suffisait de penser à ce que l'on veut et de dire APPERICIUM. Il essaya donc et y arriva dés le premier essaye.

Soudain un phénix apparut de nulle part et se posa sur l'épaule de Harry, il reconnut Fumseck. Harry détacha la lettre et la lut :

Bonjour Harry,

La lettre que j'ai reçue de ta part, ma fortement intriguée, si cela ne te dérange pas je vais passer pour voir Sabine et l'interroger au véritasérum, car ça me paraît louche. Sinon, si l'interrogatoire se passe sans soucis, j'accepte de la prendre avec moi, tu n'auras pas à me donner de l'argent. Je serais là dans 10 minutes, préviens ta famille que je passe chez toi.

Albus Dumbledore.

Harry était intrigué, mais il prévint tout de même sa famille de la venue de son directeur.

FIN

Suite au prochain chapitre.

Réponse aux reviews :

666Naku : Salut, merci pou ton commentaire, à l'origine j'avoue j'avait oublié Sirius, mais sa m'a donné une idée, donc tu le verra au prochain chap, maintenant tu sais pourquoi les Dusley voulait que leur fils aille avec Harry, ça t'a plut comme raison, l'argent, quelle chose fascinante et terrible. Tu veeras sinon, comment Harry vas faire pour apprendre les livres. A+.

Sinon je remercie tout le monde pour les commentaires continuer comme ça et vive Harry Potter.