Grey!Harry, Fred, George, Zacharias + OMCs
Bashing!Dumbledore, Molly, Mione, Ron, Gin'
Il y a un très léger Harem ( masculin bien sûr ) autour de Harry.
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Mots : 5954
Gage -
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Chatterton
ou
Jour du Jugement
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Harry étira un sourire narquois lorsqu'il vit Hermione se casser la figure dans l'entrée de la Grande Salle sous les rires, et passa devant elle sans lui adresser un regard. D'autres étudiants arrivèrent entre temps pour déjeuner. Lorsque le reste des Gryffondors arrivèrent cependant, Ron et Ginnevra glissèrent au même endroit, trébuchèrent et finirent les quatre fers en l'air. Évidemment, le fait que seuls ces trois-là trouvent le moyen de glisser ( sur rien d'ailleurs ) sur deux cents élèves ( en comptant les délégations de Durmstrang et Beaux-Bâtons ), et une cinquantaine d'adultes ( en comptant les invités ), rendit certains suspects et d'autres se tournèrent vers Harry, lequel arborait un petit sourire psycho qui firent se dresser leurs cheveux sur leurs têtes. Harry se permit un sourire satisfait en les voyant se détourner immédiatement. Voilà une bonne chose de faite. Quand des fleurs fanées fleurirent sur les trois adolescents cités plus hauts, Harry ne fit que sourire légèrement en observant son chef-d'œuvre celui qu'il avait réalisé tout seul. Comme un grand. Sans l'aide de personne. Quand plus de personnes se tournèrent vers lui, il fit mine de les ignorer. Pourtant bientôt, Granger et Weasley n°6 & 7 hurlaient des insultes, se noyant ( à lire : obligés d'embrasser le sol ) sous le poids des fleurs. Weasley n° 4&5 – les jumeaux Fred et George, renommés Tic & Tac_, leur marchèrent presque dessus en entrant dans la Grande Salle.
Personne ne les soupçonna. Ça n'était pas leur genre : les jumeaux ne se servaient jamais de la nature pour faire des blagues. Harry, lui, oui. Mais lui non plus ne se faisait jamais prendre. Donc personne n'avait jamais pu prouver sa responsabilité. Pas que les blagues aient été cruelles ou dangereuses, non, jamais. En fait, c'était la première fois qu'il s'en prenait à des personnes spécifiques. Alors, quelques deux cents visages tournés vers lui, remplis de suspicion et d'admiration n'allaient pas changer la décision des professeurs. Il n'y avait aucune preuve mise à part l'idée absurde ( mais vraie ) que cela puisse avoir affaire avec leur dispute. Et bien, ils méritaient bien pire que cela en fait, la seule raison pour laquelle il ne faisait rien de plus drastique ( comme les défenestrer ) est parce qu'il était étudiant dans la même école qu'eux et qu'il serait obligé de montrer un visage compatissant et au moins un peu triste pendant la période de deuil dans laquelle serait plongée l'école. Perdre un ( ou plusieurs ) élève, même mal-aimé, mettait toujours un coup au moral de l'école. Ce serait agaçant, pour ne pas dire déprimant.
Harry prit sa fourchette et piqua dans sa salade. Il était tenté d'aller s'asseoir à la table des Serpentards uniquement dans le but de parler avec certains étudiants sympas de Durmstrang. Il ne le fit pas. Il ne voulait pas tomber dans une nouvelle dispute avec Malfoy et attaquer le rejeton devant le père. Vraiment, cela pourrait être drôle mais le timing était juste tellement mauvais.. Par contre, attaquer ses anciens amis alors même que ceux-ci étaient déjà à terre ne lui posait en revanche aucun problème. Harry accorda aux trois au sol un regard vicieux avant de se lever avec élégance et de marcher jusqu'aux trois sorciers. Il ignora les regards jetés sur lui et avança, s'approchant toujours plus. Les regards devinrent plus scrutateurs et le brun s'obligea à ne pas régler son rythme pour avancer plus vite. Arrivé à une dizaine de mètres des trois zigotos, Harry prit le temps de saluer les jumeaux avec de grands sourires avant de tourner un regard terne et sans vie vers ses traîtres d'amis qui hurlaient toujours des insultes à qui voulait ( ou non ) l'entendre. Il s'accroupit face à eux :
_ Bonjour Hermione, Ron, Ginnevra.
Cela les fit taire quelques instants mais ils ne prirent pas la peine de le saluer en retour avant de lui ordonner de les libérer. Avait-il déjà dit qu'il détestait recevoir des ordres ? Harry leur offrit le sourire le plus faux qu'il avait en stock avant de se relever, ignorant leurs cris, pour avancer dans l'allée. Draco fut tenté de leur lancer un silencio, tout comme son père assis à ses côtés en comapgnie de ses collègues, mais Grigori, un étudiant en huitième année à Durmstrang ( Durmstrang commençait en fait à partir de 10 ans ) l'en empêcha en posant sa puissante main sur le bras qui s'apprêtait à dégainer.
« Regarde. Du grrand arrt. »
Draco haussa un sourcil, mais les élèves de Durmstrang ne firent qu'approuver d'un signe de tête.
Et, en effet, ils virent Potter s'arrêter près de Finnigan à la table des lions et lui taper doucement sur l'épaule. Finnigan se leva et les deux parlèrent, chuchotant entre eux. Potter déposa un petit sachet dans la paume de l'irlandais et celui-ci lui tendit une fiole avant de se rasseoir. Harry attrapa ensuite un rouleau de chatterton dans son sac puis revint devant les trois en silence. Et leur sourit. Il leur sourit ! Puis montra le rouleau de Chatterton dans sa main.
_ Je pense que tout le monde ici est d'accord pour dire que vous faîtes un peu trop de bruit. IL faut vous faire taire ou vous allez donner à tout le monde une méga migraine, vous ne pensez pas ? Je pense que vous feriez une faveur à tout le monde.
Sa voie était douce et amicale, presque enfantine, mais son ton avait un certain avertissement dans la voix et, tandis qu'il souriait, il arracha un morceau de scotch qu'il présenta à Ronald.
« Allez Ron-Ron ~ surtout, évite de crier, tu risque de baver partout comme un petit bébé. »
Fred et George ricanèrent sauvagement, de même que Zacharias et quelques personnes gloussèrent. Hermione, à côté de Ron, commença à se démener contre les fleurs et plantes grimpantes qui la retenaient à terre mais, tout comme le filet du diable, plus elle bougea, plus les liens se resserrèrent. Elles ne la laissèrent cependant pas filer lorsqu'elle cessa de s'agiter. Ginny ne tenta rien. Harry l'avait sauvé il y a deux ans il n'allait rien lui faire, pas vrai ? . . . Pas vrai ? Harry ne montra aucun remord à bâillonner Hermione, laquelle se préparait à crier. Enfin, il passa à la cadette Weasley.
_ Ginny, fais un beau sourire.
Ginny obtempéra docilement et fut récompensée par un morceau de chatterton sur sa bouche. Les Serpentards le regardèrent faire avec un mélange de curiosité et d'amusement. Potter montait dans leur estime ( même s'il faisait cela très publiquement et risquait une sévère punition ). Une fois ligotés et bâillonnées, Harry s'agenouilla face à eux, les mains sagement posées sur ses genoux.
_ Okay, vous savez pourquoi vous êtes dans cet état ?
Les trois adolescents secouèrent la tête et Harry poussa un soupir théâtral avant de tourner la tête vers la table des Poufsouffles.
_ Zach, tu as vu ? Ils disent qu'ils ne savent pas !
Zach se leva de sa place et approcha lentement, l'air faussement déçu.
_ Quelle insolence de leur part, Red. Nous devons leur faire payer.
Zacharias Smith avait toujours semblé irritant et arrogant. Mais il n'avait jamais semblé aussi dangereux et fou que maintenant. Potter aussi en fait. Mais Potter avait toujours été un garçon étrange et à part donc bon..
_ Calme, Zach, ronronna Harry. Une dernière chance pour vous, fit-il en pivotant vers les trois adolescents. Votre amitié est-elle réelle ?
On le regarda sans comprendre, mais le regard sérieux d'Harry était rivé sur les Gryffondors et personne ne parvint à capter le sien, pas même ceux qui étaient face à lui, à l'entrée de la Grande Salle. Quand les trois lions hochèrent frénétiquement la tête, Harry secoua la sienne, amer :
« Vous n'êtes même pas foutus de faire face à la vérité. »
Il se leva soudainement, tournoyant sur lui-même et pointa un doigt vers la table des Serpentards :
« Niko', Greg, vous voulez venir ? »
Nikolaï et Grigori se levèrent avec enthousiasme et allèrent à sa rencontre. Harry les rejoignit à mi-parcours, allant même un peu plus loin pour attraper Marcus Flint par le bras. Marcus Flint était le préfet de Serpentard de Sixième année ( les rumeurs disaient qu'il avait intentionnellement échoué à ses examens pour gagner un pari ) et il était excellent en potions et en sortilèges. Il était le candidat parfait.
_ On a besoin de vous, préfet Flint.
Flint grogna mais ne dit rien et se laissa entraîner par le petit Gryffondor.
Ils gagnèrent l'entrée et partirent comme si de rien n'était Fred et George haussèrent les épaules et firent léviter le trio derrière eux. Harry, Fred et George s'étaient mis d'accord pour faire tout oublier à Ginny après cela elle était trop jeune, elle avait droit d'être une enfant. Elle oublierait tout, même la mission confiée par Molly et Dumbledore s'ils avaient correctement réussi la potion. Mais les autres. . . Les autres paieraient plein pot. Ils en avaient décidé ainsi. Harry enfila ce qu'il aimait appeler une ''robe de Mage Noir'', de même que Fred, George et Zach tandis que les deux russes levaient les yeux au ciel. Flint ricana mais se posa sur une table abandonnée dans la salle désaffectée dans laquelle ils venaient d'arriver. Harry s'assit sur la table devant Marcus et se pencha en avant pour chuchoter quelque chose à l'oreille du Serpentard. Celui-ci ricana, se demandant intérieurement si Potter n'avait pas supplier le Choixpeau de l'envoyer à Gryffondor parce qu'il ferait un parfait Serpentard.
Et... comment diable savait-il qu'il gérait la contrebande de potions dans l'école quand même les jumeaux l'ignoraient et faisaient les gros yeux en apprenant la nouvelle. Ils n'avaient pas su qui avait repris les rennes de ''l'entreprise'' de Jacob Wings, ex-Serdaigle diplômé l'année d'avant.
« Je ne savais pas que tu avais ça en toi, Potter.
_ Il y a beaucoup de choses que les gens ne savent pas à propos de moi, rit Harry.
_ On atteste. » confirmèrent les jumeaux.
Marcus hocha la tête en sortant de la poche intérieure élargie de sa robe, une petite fiole presque transparente qu'il tendit à Harry.
« Tiens. Pas plus de trois gouttes. »
Le petit brun acquiesça et picora la joue du Serpentard en remerciement puis se retourna vers leurs captifs, ne remarquant jamais le léger rosissement du Serpentard. Les jumeaux ricanèrent Harry avait cet effet-là sur tout le monde. Marcus répondit en leur jetant un regard noir mais il manquait de verve, ressemblant davantage à une moue et les jumeaux manquèrent bientôt d'air tant ils riaient.
Dès que Harry eut forcé le liquide dans les voies de leurs trois prisonniers de gue – euh prisonniers, il pivota vers Ron et pointa un doigt vers lui :
« Toi, quel est ton nom complet ? »
Les yeux vitreux, la voix terne, le rouquin répondit, prouvant qu'il était sous l'emprise du veritaserum et n'avait reçu aucune formation pour en contrer les effets :
« Ronald Bilius Weasley.
_ Toi, fit Harry, sachant qu'Hermione était la plus intelligente et la plus susceptible d('essayer de ) se rebeller. Quel âge as-tu ?
_ Quinze ans.
Flint fronça les sourcils mais Harry ne sourcilla même pas. Hermione avait un an de plus que lui, elle le leur avait dit en seconde année lorsque Harry lui avait demandé sa date d'anniversaire. C'était avant qu'il ne découvre leur 'trahison'.
_ Quand avez-vous commencé à être payés pour être amis avec moi ?
Le seul Serpentard de la pièce s'étrangla en entendant cela bien que ça n'aurait pas dû l'étonner, après tout ce qu'il avait vu depuis le début de l'année. Potter était vraiment un vile petit serpent. Nikolaï et Grigori à ses côtés, ricanaient joyeusement en se moquant du regard terrorisé du garçon et des yeux larmoyants de la cadette Weasley. Ça n'était pas gentil de rire de leur mésaventure, mais les deux russes n'avaient jamais insinué qu'ils étaient gentils. De plus, ils n'avaient que ce qu'ils méritaient selon eux : on récolte ce que l'on sème. Ils faisaient partis de ceux qui avaient blessé et/ou trahi leur petit kit. Ils le paieraient. Mais ils laisseraient au petit Kit son plaisir.
_ Octobre 1991.
Harry prit une brusque inspiration et ses yeux s'humidifièrent, commençant à le picoter. Fred et George, qui avaient amené une plume enchantée – bien loin des vulgaires plumes à papote de Skeeter_, encadrèrent le petit Kit pour lui apporter du réconfort. Le petit brun, qui avait reçu son héritage magique en avance au début de l'été à cause de l'oncle Vernon_, savait que ses deux amis étaient des traîtres et que Ginnevra avait reçu l'ordre de se rapprocher de lui et de gagner sa confiance, mais il n'avait jamais pensé que toute leur amitié était truquée depuis le début. Il pensait – Harry croyait qu'il y avait tout de même un soupçon de vérité derrière leur amitié, qu'ils avaient 'trébuché' et s'étaient laissé emportés par la convoitise à un certain moment, pas qu'ils étaient devenus amis avec lui pour cela, dès le début.
. . Il aurait dû s'en douter. Sa magie bourdonnait en lui, tentant de lui apporter du réconfort et il se détendit progressivement.
« Que vous a-t-il promis ?
_ Il m'a dit que contrairement à la majorité des nés-moldus, je pourrais obtenir un emploi haut-placé au Ministère, une fois mon diplôme en poche, répondit Granger avant de placer une main devant sa bouche, horrifiée par ce qu'elle venait tout juste de lâcher.
Harry laissa échapper un rire amer et dénudé de bonne humeur. Bien sûr qu'elle ferait n'importe quoi pour une telle opportunité..
_ Ronald, Ginnevra ?
Les deux Gryffondors grimacèrent en entendant leurs noms complets, semblant au moins conscients de cela.
_ En étant ami avec le Survivant, je sortirai enfin de l'ombre de mes frères.
Fred et George, qui écoutaient avec attention, se tendirent et secouèrent la tête avec tristesse. Sans une aide appropriée, ils ne pourraient rien faire pour lui. Ron était sous l'influence de Dumbledore depuis beaucoup trop longtemps. Soyons honnête, Fred et George ne s'entendaient pas avec leurs deux plus jeunes frère et sœur mais ils étaient liés par le sang, ils ne pouvaient pas totalement les laisser tomber sans même essayer une dernière fois. Harry leur prit la main et utilisa ses pouvoirs pour leur envoyer une vague de calme qui les apaisa.
_ Il nous payait même. Tout ce qu'on avait à faire, c'était lui rapporter ce que tu faisais et avec et si tu te faisais de nouveaux amis. Continuait inconsciemment Ron.
_ Maman m'a dit que nous étions fait pour être ensemble. Comme tes parents.
Les jumeaux se figèrent en entendant parler de leur mère : ils ignoraient que leur mère était liée à tout cela. Ils pensaient juste que Molly avait été inconsciente durant tout ceci. Nikolaï et Grigori prirent place à côté des jumeaux et d'Harry. Ils savaient que Kit avait prévu d'oublietter la rousse mais avec la mention de ses parents. . . Harry était un enfant fragile. Peu importe la façade qu'il montrait aux autres, Harry était tout frêle et fragile. Il était né pour être chéri et protégé, et à la place, il avait û se battre pour sa vie et celle des traîtres.
_ Maman et le professeur disent toujours que je ressemble de plus en plus à Lily Potter, gloussa la jeune fille.
Harry serra les dents et les tables de la pièce commencèrent à trembler. Marcus sursauta quand la table sous lui trembla et il sauta pour se tenir debout.
_ Dumbledore vous a-t-il fait faire d'autres choses que m'espionner ?
_ Il ne nous donne jamais de détention. Il ne m'a pas fait perdre de points quand il a trouvé le rapeltout dans mes affaires et il a mis en retenue les Serpentards quand ils m'ont coincé pour avoir frappé un première année.
_ Quel était le nom du première année ? Interrompit brutalement Harry alors qu'Hermione s'apprêtait à prendre la parole, se faisant une note mentale pour parler à Neville plus tard.
Peut-être n'était-il pas si tête en l'air que ça finalement.
_ Wayn Lechevalier.
Harry hocha la tête. Il avait une vague idée de qui il s'agissait. C'était un serpentard assez discret en fait. Il parlait peu, donc Harry en savait assez peu sur lui, mais il gardait un œil sur tous les premières années au cas où ils auraient des problèmes chez eux.
Le jeune homme jeta un coup d'œil à la plume enchantée, vérifiant qu'elle prenait toujours des notes de l'interrogatoire. Il y avait un certain nombre de choses à faire dans le futur. Le petit Kit soupira, déjà épuisé à la perspective de toutes ces choses et de toutes ces explications qu'il faudrait fournir. Il savait d'ores et déjà qu'ils finiraient probablement par donner ces preuves aux personnes adéquates. Heureusement, le monde sorcier était assez différent du monde moldu. Ici, peu importait que les preuves n'aient pas été fournies en suivant un certains protocole, tant qu'elles étaient là, elles étaient considérées comme recevables. Même si Harry et les jumeaux avaient dû 'kidnapper' leurs camarades pour cela. Même si lesdits camarades n'étaient pas volontaires pour prendre du veritaserum. Les preuves étaient là et c'était tout ce qui comptait. Bon à savoir si jamais ils devaient réellement s'en servir plus tard.
« Pourquoi l'avais-tu attaqué ?
_ Il me regardait, ça m'énervait.
_ Il te. . . okay. . . Okay. »
Le ton incrédule était presque retranscriptible sur le parchemin.
_ Il y a une chose que je ne comprends pas. Pourquoi m'avoir abandonné quand mon nom est sorti si vous travaillez pour Dumbles ? Hermione, réponds à cette question d'abord.
Hermione était la seule des trois à être assez consciente de la potion et à essayer de lutter ( vainement ) contre ses effets.
_ Le professeur Dumbledore Harry, la corrigea-t-elle.
' Comment elle réussit à nous faire la morale sous verita' est un mystère. ' songèrent les autres sorciers présents dans la pièce.
_ Pourquoi, Hermione ?
_ Il nous a dit que ce serait mieux si tu te retrouvais seul pendant un certain temps. Fit-elle, l'air d'y croire sincèrement.
_ Comme ça, je n'aurai plus à faire semblant, répondit à son tour Ron. Et puis, il était évident que tu ne supporterais pas notre éloignement. Le professeur Dumbledore a dit que tu viendrais t'excuser auprès de nous quand tu l'aurais réalisé. C'était pour le plus grand bien.
Une coche apparut sur le front d'Harry à l'entente de ce slogan. Putain, il détestait cette phrase. C'était pour le plus grand bien qu'il avait dû rester chez les Dursley pendant tout ce temps ( pas qu'il y retournerait un jour après ce qui s'était passé au cours de l'été. Avec un peu de chance, Dursley était déjà en prison ). C'était pour le Plus Grand Bien qu'il avait été mis en danger chaque année et qu'on avait contrôlé sa vie et ses relations. . . Il détestait ce soit-disant 'Plus grand Bien'.
_ Pensais-tu réellement que j'avais mis mon nom ?
_ Bien sûr. Tu es Harry Potter. Le célèbre Harry Potter.
Harry secoua la tête, exaspéré. Dire qu'il ne pensait pas que cela pourrait tomber plus bas. . Il s'était visiblement trompé. Et bien trompé.
_ Hermione ?
_ Professeur Dumbledore m'avait prévenu que quelqu'un essaierait forcément quelque chose comme ça après l'attaque de la Coupe du Monde de Quidditch.
Harry serra les dents. Putain d'bâtard. Ça l'aurait tué peut-être, de le prévenir ? Ses doigts frêles vinrent frotter l'arrête de son nez et il jura faiblement. Ce putain de bâtard. Il allait payer. Harry allait anéantir sa réputation. Harry fit signe à Zach, qui depuis le début s'était fait discret_, d'administrer l'antidote à leurs captifs. Dès que ce fut fait, Ron voulut crier au meurtre et Hermione commença à murmurer des excuses, seulement pour se taire devant le regard froid du dernier Potter.
_ Je vais être clair avec vous. À partir de maintenant, vous cessez de me harceler, les jumeaux et moi. Je ne veux plus vous voir en dehors de cette proximité forcée par Poudlard et encore moins vous parler. Vous ne vous rendez évidemment pas bien compte de la gravité de vos actes.
_ Harry, tu ne peux pas -
_ Je peux et je vais le faire, Granger ! Claqua le plus jeune. Si toi ou les deux autres m'approchez à nouveau en dehors du cadre scolaire – c'est-à-dire au cas où vous ne comprendriez pas, à moins de m'approcher pour une situation en rapport avec les cours ou les leçons, je ne veux pas que vous me parliez. Si vous le faîtes, je n'hésiterais pas à briser chaque os de votre corps.
Okay ~ Flint ne s'attendait pas à cela. Pas à ce genre de révélations, pas à ce genre de comportement, pas à ce genre de menaces. C'était un Potter tout-à-fait différent de ce à quoi il s'était attendu en les suivant. Tout à fait différent de ce à quoi il s'attendait suite aux multiples rencontres lors des matchs de Quidditch Gryffondor-Serpentard ou tout simplement à la suite de ce qu'il entendait de ses cadets Serpentards. Enfin, il savait parfaitement que la plupart des racontars étaient des rumeurs infondées basées sur un soupçon de vérité mais... il ne s'était pas attendu à ce que la vérité soit aussi éloignée du reste.
Il sortit de ses pensées lorsque les hanches d'Harry se cognèrent contre ses genoux. Potter avait reculé pour être hors de portée du trio de traîtres. Marcus, qui s'était rassis sur la table abandonnée, ne fit rien pour faire bouger Potter. Ce dernier était toujours à lui mais ses mains étaient posées sur chaque genou du vert et argent. Ça n'était pas mauvais comme position. Potter avait une température corporelle supérieure à la moyenne.
Un vrai radiateur vivant.
Harry soupira. Avec un peu de chance, ce serait un avertissement suffisant pour qu'ils ne s'approchent plus.
Il aurait dû savoir. Vraiment. Certaines personnes étaient juste trop stupides pour apprendre un jour. Ça n'était pas arrivé tout de suite. Le lendemain de la ''mise en garde'', Harry et les jumeaux étaient entrés dans la Grande Salle sous les regards encore curieux ( après tout, on avait retrouvé Granger et les deux plus jeunes Weasley ligotés et bâillonnés devant l'infirmerie avec un mot que l'infirmière avait refusé de lire en présence de premiers années ) et se dirigèrent immédiatement vers la table des vert et argent. Flint aussi était resté étonnamment silencieux sur ce qui s'était passé la veille. Personne n'avait pu le convaincre de parler et la seule chose qu'il avait dit les avait laissé davantage curieux.
« Ne le provoquez pas. Quoi qu'il arrive, ne provoquez pas Potter. Il est bien plus Serpentard qu'il ne le laisse paraître. »
Oui, ça ne les avait certainement pas satisfait. Et maintenant, les voilà qui s'arrêtaient devant la table de la maison la plus détestée de Poudlard. Les délégations invitées les regardaient avec curiosité, mais ça n'était rien par rapport aux verts et argents et au reste des étudiants. Harry posa sa main droite sur son cœur et s'inclina poliment, ignorant les regards éberlués.
« Au nom de la maison Gryffondor, nous nous excusons sincèrement pour les dommages causés par plusieurs de nos.. camarades. »
Les Serpentards étaient... ahuris. Les anciens Serpentards ( à comprendre : les hauts-placés ), encore plus. Jamais cela ne s'était produit. Du moins pas durant leurs années en tant qu'étudiants. Avant que quiconque n'ait pu même se pincer pour prévenir une hallucination collective, Harry bougea à nouveau et se retrouva devant un petit garçon aux cheveux châtains et aux traits aristocratiques.
« Wayn Lechevalier ? »
Le garçon leva les yeux vers lui, stupéfait, puis acquiesça.
_ Nous tenons à nous excusez pour les actions de Ronald Weasley à votre égard. Soyez assuré qu'il s'excusera lui-même lorsqu'il sera en mesure de le faire.
Harry jeta un coup d'œil par dessus son épaule pour voir les jumeaux hocher la tête face à question muette.
_ Après avoir appris ce qu'il s'était passé il y a quelques semaines, les aînés de Gryffondors ont procédé à un vote et ont décidé qu'ils vous laissaient carte blanche quant à la punition du Gryffondor Ronald Weasley tant que cela ne dépasse pas certaines.. mesures.
Il y eut un silence après l'annonce de Potter. Clairement, personne ne s'attendait à cela. Et cette façon de parler... est-ce que Potter connaissait l'étiquette sorcière depuis longtemps ? Ou l'avait-il appris seulement pour cette occasion ? C'était un peu bizarre si c'était la seconde hypothèse mais quelque chose disait à Marcus que Potter avait des manières depuis bien plus longtemps, mais qu'il se cachait.
Le petit Wayn, à court de mots, avala sa salive et ne put que hocher la tête. Harry laissa échapper un souffle et opina.
_ Ronald est actuellement escorté par nos aînés. Il ne devrait plus tarder à venir. Je pense que vous saurez décider de la punition adéquate.
Wayn n'était pas certain que ce soit une question, mais il hocha tout de même la tête quand Cassius Warrington lui pinça discrètement les côtes. Harry haussa un sourcil en l'entendant couiner mais ne dit rien. Il ne fit que hocher la tête en retour, souriant légèrement au rougissement gêné du première année et se détourna, aussitôt suivis par les jumeaux Weasley.
« Potter ? »
Harry s'arrêta et se retourna pour faire face à Marcus Flint, un sourcil levé.
_ Qu'en est-il de la Weaslette et de Granger ?
Le jeune lion haussa les épaules.
_ Je n'en ai pas la moindre idée. Je suis allé dormir dès que le résultat du vote concernant Ronald a été rendu. Tu auras plus de chances si tu demandes aux aînés.
Ce fut au tour de Flint de hausser un sourcil.
_ Tu n'as pas demandé ?
_ Pourquoi aurai-je fait cela ? Tu étais là, non ? Je ne veux plus rien avoir à faire avec eux. S'ils insistent, je n'hésiterais pas à mettre ma menace à exécution.
Attendez. . . . . . Potter avait menacé quelqu'un ? Ses 'amis' de surcroît ? . . Ne répondez pas à cette question, ils n'étaient plus amis après tout. Mais ça n'était pas le genre de Potter, songèrent les Serpentards. Potter ne menaçait pas.
Alexandre Clearwater se redressa à cela.
_ Monsieur Potter, peut-être devriez-vous vous abstenir ce genre de propos en public ? Il ne serait pas bon pour vous si l'on savait que vous avez menacer des cama -
L'éclat de rire d'Harry fit taire l'homme.
_ Pardonnez mon interruption Mr Clearwater mais j'ai lu mes droits sorciers. En tant que membre de la Chambre des Lords ( [Magique] / il y eut des halètements ), et selon les dégâts qu'ont causé mes... prétendus camarades, je ne peux être tenu pour responsable de ce qui leur arriverait si je devais sévir.
Silence. Doux, joyeux, silence choqué. Puis Augustus Rockwood prit doucement la parole, comme incertain.
_ J'ignorais que vous étiez membre de la Chambre, Mr Potter.
_ C'est drôle ! S'exclama Harry, un sourire incroyablement faux aux lèvres et un brin hystérique. Moi aussi ! Et pourtant, reprit-il, l'air un peu plus... lugubre. J'aurai dû en être informé il y a des années.
On ne comprit pas dans un premier temps, puis les hauts placés étrécirent les yeux. Quelqu'un avait merdé. Quelqu'un, plus que probablement Dumbledore, avait vraiment merdé.
_ La Maison Potter fait en fait partie des Huit Sacrés de France(1). . . probablement pour cette raison que le Seigneur de la lignée Potter y a un siège dans la Chambre.
Lord Malfoy pâlit en entendant cela. Oui, il savait que les Potier faisaient partis des Huit Sacrés, mais il ignorait que ces Potier en question étaient les Potter d'ici ! Oh Merlin, il ne pouvait pas s'en faire un ennemi, la lignée Malfoy n'y survivrait pas ! Tout du moins, si elle survivait, ça ne serait pas sans damages. Gros damages. Alors qu'en Angleterre il y avait 28 Familles Sacrées, la France était plus... sélective. À vrai dire, les Malfoy n'entraient pas dans ce classement bien que leur famille soit très âgée. Les Malfoy étaient originaires de France mais ils étaient bien moins 'âgés' que les Familles Sacrées de France. Les Douviers étaient considérés comme la huitième famille sacrée. Ils étaient apparemment apparus vers 1110 tandis que les Carvos(1) et Le marchand et Casadesus figuraient dans les Familles Sacrées. Du moins... si Lucius ne se trompait pas. Les Potter.. ou Potier, étaient en fait apparus peu après les Carvos et les Casadesus, qui étaient essentiellement les premières Familles Sacrées de France. Huh, tout ce morceau d'histoire était loin pour lui. Son père, Abraxas, lui avait à peine fait apprendre l'histoire de sa lignée de France alors celle des autres... Cela remontait après tout à très loin et ça n'était pas comme si les Malfoy avaient encore des liens avec la France, à présent. 'Oh mon dieu' songea Lucius en voyant le sourire vicieux que Potter lui adressa. ' Nous sommes tellement morts.' Adieu puissante famille Malfoy. Bonjour servitude aux Potter. Bonjour Humiliation. Adieu Richesse et Fierté(3).
Harry admirait les diverses émotions qui s'affichait sur le visage malheureux et désespéré du Patriarche Malfoy. Lucius Malfoy ne le connaissait pas si bien s'il pensait que Harry allait les traîner dans la boue à cause d'un gosse Malfoy intraitable et de quelques petits accidents. Harry n'était pas comme ça. Mais il ne lui dirait pas. C'était très amusant de voir un Malfoy dans un tel état de trouble et de désespoir.
« Tout cela pour dire que je connais mes droits. » conclut Harry avant de s'asseoir pour prendre son repas.
Les jumeaux et Mme Pomfrey étaient déjà assez sur son dos, il n'allait pas en rajouter en sautant des repas. Même si, de toute façon, il ne mangerait pas beaucoup à cause du régime alimentaire qu'il avait chez les Dursley.
Personne ne trouva rien à redire là-dessus.
Bien sûr, Harry avait une façon bien particulière de se venger. La menace de briser chaque os du corps humain était réelle, mais il doutait qu'il ait besoin d'en venir à là pour qu'ils le laissent tranquille. En revanche, les cibler exclusivement pour ses farces était agréable. Les rumeurs allaient bon train depuis que Potter était arrivé en retard au dîner de la veille, avec un bras en attelle. On avait appris qu'il s'était fait agressé dans un couloir et, bizarrement il ne guérissait pas par potion. Harry n'avait pas vu qui l'avait agressé mais tout le monde savait qui étaient les responsables. Alors, bien sûr, quand les blagues redoublèrent, personne ne s'étonna.
« Pourquoi Granger ressemble-t-elle à un poussin ? » demanda Draco lorsqu'il s'assit à la table des Serpents, un matin.
Ce fut Grigori, l'étudiant de Durmstrang, qui répondit à la question :
« C'est 'Aarrry. S'il s'attaquait physiquement à Granger, tout le monde saurrait que c'est lui à cause de sa menace et de toute façon, avec son brras en attelle, ce serait trrop difficile pour lui de l'attaquer avec seulement un bras de libre. Possible, surtout qu'il ne risquerait pas grrand chose en rraison de son statut, mais trrop embêtant.
_ . . . Pourquoi un poussin ?
_ Elle déteste les plumes. »
C'était seulement l'une des petites blagues que Harry avait fait, mais déjà, Granger craquait et hurlait pour que ça cesse. Ça n'était même pas des choses méchantes et c'était bien loin de ce qu'il était censé faire du fait de ce que eux lui avaient fait tout au long de ces années.
Quelques jours plus tard, alors que Harry avait encore un bras en écharpe et que les potions curatives commençaient tout juste à faire effet, on le retrouva assis à la table des Serpentards – pour une quelconque raison, occupé à faire du coloriage, tant bien que mal puisqu'il avait toujours un bras invalide, aidé par Nott qui maintenait la feuille avec l'une de ses mains. Certains aînés de Serpentards avaient penché la tête sur le côté tout en l'observant tandis que d'autres cachaient leur amusement, lorsque les jumeaux Weasley l'approchèrent.
« Harry -
_ Chaton -
_ On peut parler -
_ Cinq minutes ? »
Malfoy – Junior et Senior_, s'étouffèrent devant le surnom affectueux et certains sourcillèrent mais Harry ne fit que lever les yeux vers les deux copies rousses et les fixer d'un air innocent.
_ Bien sûr.
Les jumeaux s'assirent.
_ Que faisons-nous pour Granger et les deux clowns ?
Fred attrapa une pomme dans la corbeille à fruits et la regarda comme si elle contenait un mets des plus délicieux.
_ J'avais espéré qu'ils connaîtraient les limites à ne pas dépasser mais je me suis trompé. Même dans avec les conditions... particulières, ils auraient dû savoir que certaines choses étaient impardonnables.
_ Fred – commença Harry.
_ Non, Ry. On les a prévenu. Je veux bien croire qu'ils ont été influencés mais ils ont aussi des responsabilités et ce qu'ils ont fait est impardonnable. On peut très bien placer le blâme sur le vieux, mais ils ne sont pas innocents. Ron a été le plus influencé, Ginny. . . on a mieux veillé sur elle après avoir vu Ron changer, mais tu vois.. malgré notre surveillance, elle est devenue... elle n'est pus la petite sœur avec laquelle on a joué étant enfants. Elle se comporte en petite peste avec ses camarades et annonce à qui veut l'entendre qu'elle va t'épouser.
Harry frissonna d'effroi à cette pensée.
« Oui, oui, fit George. Je sais que tu es traumatisé par les femmes.
_ Il faut qu'on fasse quelque chose.
_ Je peux toujours briser chaque os de leurs corps. Proposa innocemment Harry en continuant son coloriage, Theodore Nott junior regardant à côté de lui. Je les avais prévenu.
_ Euh... »
Les jumeaux échangèrent un coup d'œil. Ça n'est pas que ça leur paraissait extrême, après tout, les gobelins avaient proposé à Harry de leurs laisser les voleurs. Et Merlin sait que les gobelins étaient n'avaient aucun scrupules quand il s'agissait de voleurs. Harry n'avait pas prévu de confier des enfants, des mineurs, aux bons soins des gobelins, mais il n'avait pas les mêmes réserves avec le Directeur. Si le vieil homme s'obstinait à agir comme un roi avec ses pions, ils n'hésiteraient pas à le donner aux gobelins. Un fou furieux en moins après tout.
« Vous savez quoi, chaque chose en son temps. Pour l'instant, Ronald doit encore s'excuser auprès de Wayn Lechevalier puisqu'il a refusé de le faire l'autre jour. Nous nous soucierons du reste plus tard. »
C'est ainsi que Ronald fut amené par deux Gryffondors de septième année, et posé devant le petit première année de Serpentard, un morceau de.. chatterton sur la bouche. Harry arracha le morceau d'un geste vif, arrachant un couinement de douleur au rouquin, et l'enjoignit à s'excuser. Ce que l'autre fit de mauvaise grâce.
Déjà une bonne chose de fait. Il verrait bien la suite plus tard.
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Voilà, ça n'est pas destiné à une suite, c'est à vous d'imaginer ce qu'il pourrait leur arriver à tous. Chacun à son idée là-dessus après tout. ^^
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1/ Et bien, il y a les Vingt-huit familles sacrées de Grande-Bretagne, pourquoi pas les Huit Sacrés de France ?
2/ Vous savez, c'est difficile de trouver des noms, ça se voit pas comme ça, mais c'est dur, ça demande des recherches. ^^
3/ Err c'est difficile de tisser un fond qui puisse être plus ou moins lié à l'histoire d'origine. Je m'y perds peut-être un peu dans l'explication mais je n'étais même pas sûr moi-même de ce que j'étais en train d'inventer.
Luna Park : Yep tout-à-fait. Qu'est-ce qui te fait penser ça ? Certes, les trois zigotos n'ont pas été arrêtés et je me suis dit qu'il n'existait pas de centre de redressements pour jeunes dans le monde sorcier anglais ( trop en retard sur le monde moldu ). Je pense qu'ils sont quand même pas mal punis à l'école déjà : ils ont perdu les privilèges ( comme les sorties à pré-au-lard et/ou la possibilité de jouer au Quidditch ) et ils sont vus comme des parias par les autres élèves à cause de ce qu'ils ont fait. De plus, ils servent des détentions – pas à cause des vols financiers puisque ça n'a aucun rapport avec l'école, mais à cause des bêtises qu'ils ont fait en cours ou des agressions qu'ils ont encouragé et/ou orchestré.
Shishi-sama76 : Yey de rien =)
Dark and Blue : Hi hi hi merci.
Soln96 : Voouuii je vois. Ké ké ké mercii ~ je vois ça.
AnnaMerteuil : Ah ah je comprends. Et bien, peut-être que tu devrais le proposer comme nouvel arôme.
Lilas Chupa : Vouip ~ Les traîtres paient tôt ou tard.
Publié le : 19.02.2017
Corrigé le : 25.02.2017
