Légère Divergence dans le canon

Conditionné!Ronald – Fragile!Harry

Bashing!Dumblewhore

T4


Gage -

.

Agression

.

Sa tête tapa contre le sol dallé et sa conscience se perdit loin.

« Harry ! » s'écrièrent les jumeaux en bousculant leur jeune frère pour rejoindre le petit brun, pâlissant lorsqu'une tâche de sang se forma au sol, là où sa tête avait cogné. Les jumeaux levèrent des yeux emplis d'effroi vers les adultes encore figés.

_ ON A BESOIN D'AIDE !

Et dire que la journée n'avait pas si mal commencé.


~ FLASH BACK#

Petit Harry se dirigea vers la Grande Salle se matin-là en compagnie des jumeaux Weasley. Il avait pris sur lui d'éviter Ronald autant que possible depuis que celui-ci était revenu à lui après l'avoir évité pendant une dizaine de jour. Au bout de neuf jours à être évité/rabaissé/humilié par le reste de l'école, Harry avait craqué et avait trouvé le moyen de se sortir de cela : un serment magique. Et il 'avait fait dans la Grande Salle après avoir demandé ( sur conseil de Fred et George ) la présence de Ms Amélia Bones. Le directeur n'avait pas semblé très heureux lorsque Harry parvint à se sortir du Tournois et qu'une enquête fut ouverte, d'où la présence d'aurors et de langues-de-plomb dans le château. Pour en revenir à Ron, celui-ci ne s'était même pas excusé. Pas qu'il lui aurait pardonné s'il l'avait fait. Harry en avait assez d'être trahi. Trop, c'était trop. Mais le fait est qu'il ne s'était pas excusé. Il avait juste sorti une blague sur sa participation forcée et lui avait reparlé ( essayé tout du moins ) comme si de rien n'était.

Malheureusement, toute bonne chose à une fin et Harry l'apprit plutôt brutalement presque une semaine plus tard lorsque Ron le coinça alors qu'il s'apprêtait à s'asseoir à la table des blaireaux, en pleine discussion animée avec Zacharias Smith. Le rouquin l'interpella, l'air aigri. Quand Harry l'ignora, Ron rougit de colère et attrapa le petit brun par le col de sa chemise, l'arrachant hors du banc sous le cri indigné de Zach. Harry se figea en reconnaissant son agresseur et prit un air résigné lorsqu'il vit que les jumeaux étaient nul part en vue : ils lui avaient dit plutôt qu'ils cherchaient Lee.

Avec un soupir las, Harry leva la tête pour regarder son ex meilleur-ami qui le tenait toujours par le col, sa douce voix planant dans la Grande Salle désormais silencieuse.

« Que me veux-tu, Ron ?

_ Tu m'ignores. Je n'aime pas ça. Tu m'as évité toute la semaine ! » gronda le Weasley.

Les yeux d'Harry s'étrécirent et il prit une goulée d'air. Ron le maintenait sur la pointe des pieds et sa respiration en était peinée. Du coin de l'œil il vit Zabini et Flint faire taire un Draco Malfoy qui s'apprêtait à faire entendre sa voix de gosse de riche arrogant, et les remercia mentalement. Au moins un problème de moins à régler.

Les yeux avada prirent une teinte mortelle et la température chuta un peu, faisant bouger inconfortablement ses occupants.

« Tu te poses sérieusement la question ?

_ Oui !

_ Ron. . . tu es censé être celui qui me connais le mieux, outre les jumeaux_, et tu m'as laissé tomber quand mon nom est sorti. J'avais besoin de toi mais tu m'as lâché. Tu n'as pas pensé un seul instant que j'étais innocent.

_ Dean et Seam -

_ Dean et Seamus n'ont pas passé autant de temps avec moi et Seamus a lui-même dit qu'il avait pratiquement été gavé d'histoires dignes de contes de fées sur le Garçon-Qui-A-Survécu ( quelques personnes sursautèrent en entendant le venin avec lequel le jeune homme prononça son titre mais d'autres étaient en pleine réflexion ) ! Pensais-tu réellement que j'étais responsable d'une façon ou d'une autre de ma participation au Tournois ? »

Devant le manque de réponse, Harry éclata d'une petit rire froid, détournant la tête pour que Ron ne voit pas la douleur dans son regard. Il ne le méritait pas.

_ C'est bien ce qui me semblait.

_ Tu n'as pas le droit de briser notre amitié comme ça ! S'emporta Ron.

_ La briser ? Ron, notre amitié est brisée depuis longtemps. Cette année était juste la goutte de trop.

''Qu'est-ce qu'une goutte à a voir avec ça ?'' marmonna quelqu'un et Harry secoua la tête. Les héritiers de sang-purs devraient vraiment songer à prendre Études des moldus s'ils ne voulaient pas se retrouver à la ramasse face à un né-moldu qui aurait baigné toute sa vie dans ce genre d'expression.

_ L'année dernière, quand tu étais à l'infirmerie, commença Harry. Tu as mal pris le fait qu'on y soit allé sans toi. Pas un seul instant tu ne nous a demandé si on allait bien après avoir été attaqué par un loup-garou transformé et une centaine de détraqueurs ( Harry décida d'ignorer les halètement qui résultèrent de cela. Visiblement, le directeur s'était abstenu de dire certaines choses. ). Tout ce que tu as fait, c'est nous faire la tête et faire pleurer Hermione. Encore.

_ Et bien, j'étais en droit -

_ Et en seconde année, quand j'ai été mordu par un putain de basilic parce que tu m'as forcé la main et m'as abandonné en chemin, c'était aussi normal peut-être ? Cingla Harry.

Il y eut un silence choqué : ils n'étaient pas au courant de cela. Ils savaient que Potter et Weasley étaient liés à cela puisque le directeur l'avait mentionné un soir au dîner, quand Potter était encore à l'infirmerie, mais il n'avait pas dit que le Gryffondor avait affronté un basilic ! D'ailleurs, comment pouvait-il être en vie s'il avait été mordu ? Pas qu'ils n'en étaient pas heureux mais c'était impossible, pas vrai ?

Les élèves de Dumrstrang et Beaux-Bâtons écarquillèrent les yeux en entendant cela et échangèrent des regards inquiets. Était-ce réellement une école avec des bestioles pareilles se promenant dans les couloirs ? Et, pourquoi diable était-ce un petit garçon qui devait se charger de ces choses-là ? Okay, c'était le Survivant, mais ça n'était qu'un gosse. Un frêle, fragile, gamin. Rajoutèrent mentalement les garçons de Durmstrang.

_ Ma sœur allait mourir !

_ Justement, rétorqua calmement Harry, bien que l'on sentit qu'il était tendu.

Le jeune homme profita de la surprise de Ron pour se dégager de sa prise, reculer de quelques pas et reprendre la parole avant que l'autre n'ait pu lui hurler dessus :

« On aurait pu demander de l'aide auprès des autres professeurs après que Lokchart nous ait menacé dans son bureau et que tu l'aies assommé ( des murmures surpris s'élevèrent mais Harry feignit l'ignorance. Ça n'était pas ça le plus important ). On leur aurait montré l'entrée de la Chambre et je leur aurai ouvert la porte. C'était aux adultes de se charger de ça. Pas à nous. »

Les paroles résonnèrent dans la Salle. C'était vrai. On n'était pas dans une saga littéraire. Ça n'était pas un film. Il n'y avait aucune garantie de finir avec un happy-end. Ça aurait dû être aux adultes de se charger de cela.

Harry reprit calmement même si sa voix tremblait un peu alors qu'il essayait de garder son regard dans celui de Ron :

« Tu te souviens ? C'est toi qui as dit qu'on avait pas le temps de chercher d'autres professeurs, que ta sœur allait mourir si on attendait.

_ Je suis venu avec toi.

_ Parce que tu te sentais obligé. Mais quand t'as jeté ton sortilège et que l'effondrement de la grotte nous a séparé, tu n'as pas cherché d'autres solutions. Tu as dit que tu attendrais que je revienne avec ta sœur. »

Harry ravala la boule dans sa gorge et se força à calmer sa magie.

_ Au lieu de ça je me suis retrouvé seul, perdu, sans aucun moyen de retourner en arrière. Puis quand j'ai finalement trouvé la Chambre, j'ai appris par le Baron Sanglant qu'une Ginny bien vivante, et en parfaite santé était actuellement dans la Grande Salle en train de prendre le petit déjeuner après s'être égarée dans les couloirs du troisième étage.

Ginny, qui venait d'entrer d'un pas guilleret dans la Grande Salle, bien décidée à aller aborder Harry, se figea et toutes les couleurs drainèrent son visage. Elle n'avait jamais entendu parler de cela. Bien sûr, elle avait fini par être découverte vis-à-vis du journal, mais elle n'était pas fautive. On lui avait dit qu'elle avait été possédée. Elle ignorait cependant que Harry avait appris au tout début qu'elle était en parfaite santé. Le professeur Dumbledore avait dit qu'il avait caché une illusion pour que Harry la croit présente sur les lieux. Ginny avait été déçue de ne pas être 'vraiment' sauvée par Harry mais elle comprenait les choix du directeur : avec Molly comme mère, il ne souhaitait pas mettre sa petite princesse en danger. Ginny n'avait pas été inquiète pour Harry. C'était Harry Potter ! Le Survivant ! Jamais il ne pourrait perdre, après tout, il avait vaincu le plus grand Mage Noir de tous les Temps à seulement quinze mois.

Les réactions dans la salle étaient mitigée. La plupart ignoraient que Potter n'avait pas été volontaire pour l'aventure – peu importe ce dont il s'était agit_, et étaient donc assez surpris de comprendre que, oui, Potter était un garçon qui avait assez de bon sens et d'instinct de survie pour essayer d'éviter les situations mortelles. Que non, il ne cherchait pas vraiment l'attention mais qu'il l'obtenait tout de même malgré tout. Et que, visiblement, quelqu'un l'avait mis sciemment en danger, un an et demi plus tôt. Les yeux de l'enfant Potter étaient rivés sur son ancien ami. Visiblement, les choses n'allaient vraiment pas s'arranger entre les membres du Trio d'Or. Et bien, ça n'était pas plus mal, vraiment.

_ Mais t'es Harry Potter ! T'es un héros !

Le regard de Potter fut empli de douleur et ses épaules s'affaissèrent un instant avant d'adresser au Weasley un regard incrédule, le semblant de calme qui l'habitait disparaissant dans un pop.

« Un héros ? Ron, je suis un enfant ( ce mot résonna dans la Grande Salle silencieuse ) ! Je sais pas si tu t'en rends compte. Le seul sort puissant que je sache réaliser est le Patronus ( il y eut des bruits de surprise et Harry se retint de rouler des yeux. Il avait oublié que peu de personnes étaient capables de le réaliser ) et il ne fonctionne que sur les détraqueurs. N'attends pas de moi que je fasse quelque chose qu'on ne te forcera jamais à faire. »

Harry prit un souffle alors que plusieurs méditaient ses paroles.

_ C'est stupide Harry. Tu es le Garçon-Qui-A-Survécu. Le professeur Dumbledore l'a dit.

_ Le profe – Attends, quoi ?

_ Tu es le Garçon-Qui-A-Survécu, c'est ton travail ! Peut-être que je devrais utiliser la méthode de ton cousin pour faire passer le message.

Le sursaut d'Harry et son recul ne passèrent pas inaperçus.

Zacharias se leva, incertain. Il savait où tout cela allait mener et il n'était franchement pas sûr d'aimer la suite.

_ Weasley, tu devrais -

_ Quoi tu n'es pas d'accord avec moi ?

Le ton du jeune Weasley était un peu effrayant. Il paraissait totalement déconnecté de la réalité. Il avait entendu des cas comme ça des personnes droguées et gardées sous potions, qui finissaient par péter un câble. Mais Weasley n'était pas drogué. Il le savait, parce que lui et les jumeaux avaient vérifié avec plusieurs sortilèges de diagnostic spécialisés dans les sorts et potions. Les jumeaux avaient même été plus loin en vérifiant les sortilèges dits 'noirs'. Rien. Ronald avait tout simplement été conditionné. Et cela avait suffit à le rendre cinglé. Putain de Dumbledore.

_ D'abord il m'ignore, puis il décide qu'il ne veut pas jouer son rôle, lâcha Ron en s'approchant d'Harry alors que les jumeaux entaient ans la salle en compagnie de Lee et se figeaient en voyant le spectacle. Tu crois que tu peux faire ce que tu veux Harry ? À ton avis, comment réagira ton oncle si le professeur Dumbledore lui écrit ? Tu m'as bien dit qu'il détestait tout ce qui est lié à la magie, non ?

_ Ron ! S'écria Fred, voulant l'arrêter.

Harry secoua la tête, effrayé et sursauta quand Ron l'attrapa et commença à le secoua.

_ Hein, tu crois que tu peux faire ce que tu veux ?

_ Ron lâche-moi !

Ron le repoussa violemment et Harry trébucha en arrière. Dans sa chute, sa tête tapa violemment contre le col en dallage. son corps heurta le sol dans un bruit sourd et la douleur se répandit dans tout son corps. Douleur pure. Et violente.

Ron ne semblait pas conscient de ce qu'il venait de faire puisqu'il se retourna pour partir lorsqu'il fut touché par un petrificus totalus de Zach. Les twins se précipitèrent sur Harry, pâlissant lorsqu'ils virent le sang.


~ Fin du Flash Back#

Fred posa la tête d'Harry sur ses genoux et tressaillit lorsqu'il regarda ses mains ensanglantées. Quelqu'un posa sa main sur son épaule et quand le rouquin leva les yeux, il fut surpris de ne pas voir son jumeaux mais un grand homme assez jeune et attrayant, au sourire et au regard inquiet.

« Laisse la place, kiddo, je vais m'en occuper. »

La voix de l'homme était rassurante et Fred se surprit à vouloir lui faire confiance. C'était peut-être dans ses yeux bleus brillant d'une confiance tranquille en ses propres capacités ou le regard inquiet qu'il posait sur le petit corps inconscient.

Les yeux de Fred s'humidifièrent alors que George, accroupis à côté de lui, lui tenait la main.

_ S'il vous plaît. Murmura-t-il en reculant pour lui laisser de la place.

Le guérisseur acquiesça et vint se poster devant la frêle silhouette du Survivant, jetant un sortilège de diagnostic minime et fronçant les sourcils lorsqu'en plus du de l'hémorragie et de la fracture du crâne, il trouva une fracture du bras. George, ayant vu cela, se chargea de l'informer :

« Harry a une faible résistance aux coups à cause de.. bref. Son corps est plus faible que la moyenne et c'est généralement sa magie qui se charge de le guérir.

Le Guérisseur Druel écoutait attentivement alors qu'il s'affairait autour de son patient agitant sa baguette et promenant ses doigts au dessus de sa malle remplie de potions curatives, Mme Pomfrey l'assistant. Rien n'existait autour de lui. Rien hormis le petit garçon pâle et blessé juste devant lui. Le silence dans la salle ne le gênait nullement, au contraire, il le préférait aux murmures incessants auquel il avait eu à faire face depuis son arrivée ici. Sebastian ''Seb'' Druel, lança un historique des blessures et pâlit un peu. Il avait déjà eu à faire à des cas de maltraitance mais le jeune Potter avait non seulement été blessé plus ou moins gravement chez lui depuis près de dix ans mais il y avait aussi des blessures inquiétantes ayant eu lieu ici, à Poudlard ! L'école censé être l'endroit le plus sûr au monde à part Gringotts !

« Pourquoi Mr Potter a-t-il des larmes de Phoenix dans le sang ? »

On se redressa à cela : des larmes de Phoenix ? Ce fut l'un des jumeaux qui répondit.

_ C'est ce qui a guérit la morsure de Basilic. Le phœnix de Poudlard a pleuré sur sa blessure.

_ Hum. . . C'est ce qui a permis d'accélérer son processus de guérison l'année dernière..

Enfin, il s'arrêta et se redressa.

_ Il devrait se réveiller dans quelques jours, fit le guérisseur en s'essuyant le front. Je vais devoir envoyer un rapport auprès du Service de l'Enfance Magique, vous savez ? Les avertit-il.

Il ne pouvait pas laisser passer cela. Il avait la preuve claire d'un abus assez inquiétant, pour une fois qu'ils avaient de telles preuves, il ne pouvait pas laisser cela continuer.

« Dans ce cas vous devriez peut-être y aller avant que le directeur ne vous trouve -

_ Si vous ne voulez pas être victime d'un oubliette ! »

Le guérisseur fronça les sourcils devant l'accusation mais hocha la tête : connaissant le vieux, il en était tout-à-fait capable. Avec un signe de la main, il laissa Petit Harry, aux mains très capables de l'infirmière de Poudlard, avec des consignes très strictes de ne pas laisser le directeur parler ou voir Harry_, puis quitta le château pour s'entretenir avec la chef du Département de la Justice Magique et le chef du Service de l'Enfance. Il y avait du ménage à faire.


BONUS :

Fred se retourna d'un bond vers Ronald, lequel était toujours prisonnier du sortilège de Zacharias Smith.

« Tu as dépassé les limites, Ron ! » Cingla-t-il.

Le concerné aurait bien croisé les bras mais il était toujours coincé.

_ Oh ? Je n'ai rien fait de mal, c'est pas ma faute si Harry est si faible !

Il y eut des remous parmi les tables et des regards noirs de quelques personnes.

_ Tu peux rire Ronnie, on verra bien comment réagira la tante Muriel quand nous lui aurons écrit sur ton comportement.

C'était.. flagrant. La 'menace' des jumeaux Weasley sembla avoir beaucoup d'effet sur leur petit frère. Celui-ci avait pâli et ne riait plus.

_ Elle ne vous croira pas.

_ Elle le fera. Nous avons toujours été ses préférés. Elle nous fait confiance. Surtout que.. tu es stupide si tu penses qu'une agression envers un autre étudiant va être étouffée alors que des hommes du ministère sont présents. Quand le directeur était encore l'homme le plus influent de l'école, ça aurait pu fonctionner, mais plus maintenant. Expliqua l'un des jumeaux, un sourire victorieux aux lèvres.

Bien sûr, lorsque Ronald pâlit un peu plus avant de se dégonfler et de s'effondrer, et le sourire des jumeaux s'agrandit. La menace de la tante Muriel avait toujours été le plus efficace.


Luna Park : Hey, je me suis rendue compte que j'ai oublié de répondre à ta question au chapitre précédent, donc je le fais maintenant ( ch162 ) ~ Oui, Harry est une créature. C'est un Kitsune.

Hai hai, et Ron-Ron qui en prend encore plein dans la figure dans ce texte-ci xp Et bien, j'adore quand Harry est sur protecteur envers Luna. Malheureusement, je trouve qu'il y a encore peu de longue fic avec une telle relation. Bien sûr il y en a, mais elles n'apparaissent pas souvent dans la fic en général.

Yamaiestjulie : Hé hé hé, ravie de voir que ça t'as plu ^^

History : Chu ~ Yup, une réaction drôle et très exagérée mais je me sentais d'humeur taquine avec ces pauvres Serdaigles.

Shishi-sama76 : Et bien en théorie non. Enfin, je la trouve plutôt complète, non ? Je ne vois pas trop ce que je pourrais faire d'autres. J'avais imaginé peut-être publier une série de bonus concernant certains chapitres déjà en ligne mais sinon, pas une suite suite. Vouip, elle est parfait notre petite lune !

La nuit est mon choix : Si si, je l'avais lu dans une fic anglaise je crois et j'avais été voir sur internet. Au début, j'étais très gênée puis je me suis dit, hey, pourquoi pas ? Tu sais, je suis en train de réfléchir au défi que tu m'as donné. Vraiment. Je crois que j'ai peut-être une idée. Yup, ces deux-là ensemble pourraient faire exploser l'école.

Soln96 : Ah ah, je crois que tu ne serais pas la seule à finir à l'asile si les parents internaient leurs enfants pour ''si peu'' lol. Je te comprends parfaitement. Mon père continue de me regarder étrangement à chaque fois que je ris en regardant mon écran.

AnnaMerteuil :Oui. Enfin ça allait, il n'y avait pas beaucoup de monde dans le rayon où je passais et comme j'avais mon casque audio au pire.. Ils auraient pu songé que c'était la musique qui me faisait rire ou.. que sais-je. C'est ta faute tu sais. Mais elles étaient mignonnes ! Elles étaient toutes petites.

Lilas Chupa : Je l'adore aussi, elle est adorable. Je ne comprendrais jamais comment les autres ont pu loupé la génialité de cette blondinette.

Dark and Blue : Yuup totalement d'accord avec toi ! Oi, j'aurais pu simplement regardé ton commentaire pour trouver le terme que je cherchais depuis plusieurs minutes. Comment je fais pour oublié des mots aussi simples, je ne le saurais jamais. Mordred ! Je deviens sénile avant l'âge !


Publié le : 27.02.2017