Note : Beaucoup m'ont posé la question alors voilà, la partie III de Harry & Wayne à Serpentard est officiellement en ligne.
Pairing : LV/BCJr mentionné – Voldemort/Barty Crouch Jr; très léger OMC/Harry
→ One side : Cedric/Harry ( sentiments non retournés par Harry )
Mots : ~ 5 932 ( sans compter RAR )
Animagus!Harry
Gage -
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Comment un chaton effraya un dragon
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Harry renifla quand il sortit de la tente réservée aux champions. Les élèves de Poudlard applaudissaient et criaient leur support et Harry ne pouvait s'empêcher de penser qu'ils représentaient-là une belle ribambelle d'hypocrites. Ils l'ignoraient tous – tous !-, depuis que son nom était sorti de la Coupe et il avait eu beau dire qu'il n'était en rien responsable de cela, personne n'avait pris la peine de l'écouter. Pas même les enseignants. Surtout pas les enseignants. Harry avait atteint un point de non-retour. Après des recherches approfondies avec son parrain, il avait été décidé que Harry quitterait Poudlard après la première tâche et ne regarderait pas en arrière, peu importe ce que pourrait dire le directeur. Cela faisait déjà assez longtemps que lui, Padfoot et Moony se préparaient à cela et bloquaient le directeur par tous les moyens possibles et imaginables. Heureusement, les gobelins semblaient particulièrement détester le chef du Wizengamot. Harry ne pouvait s'empêcher de s'interroger sur ce qu'avait pu faire le directeur pour s'attirer leur haine. Bien sûr, cela pouvait être tout simplement parce qu'il avait essayé de s'introduire dans des voûtes qui ne lui appartenaient pas. Pour en revenir aux faits, Harry s'était retrouvé complètement isolé des autres étudiants de Poudlard depuis le choix des Champions. Seul Neville lui parlait de temps en temps et parfois Ginny, mais le premier était trop effrayé d'aller à l'encontre de ses camarades et la seconde... et bien, selon lui, Ginny était trop tactile avec lui. Il n'aimait pas ça. Avec d'autres personnes en qui il avait une totale confiance, comme Sirius ou Remus, cela irait, mais pas avec elle. Pas avec eux. Ils étaient horribles. Harry les détestait.
Il y avait bien deux ou trois étudiants de Durmstrang qui n'étaient pas méchants mais Harry était trop timide et réservé pour aller leur parler. Il avait été... incroyablement déçu et blessé quand même Hermione l'avait abandonné. Ça ne l'étonnait pas de Ron, le rouquin avait toujours été un peu... jaloux et colérique, mais il se serait attendu à plus de loyauté et de confiance venant d'Hermione.
Quand Harry vit le gigantesque dragon qui se dressait à une cinquantaine de mètres de lui, il ne put qu'ouvrir un peu la bouche et :
« Et merde... »
Cela attira l'attention du dragon cependant et Harry dut faire un bond en avant et rouler – douloureusement d'ailleurs, derrière un rocher, ses mains et ses genoux s'écorchant contre les cailloux et rochers plus petits. Harry jura sous son souffle. Ça commençait mal. Il avait plusieurs plans de secours / Inutile de dire, notre Ryry national ne s'attendait pas du tout à avoir recours à de l'improvisation totale /. Harry se projeta sur le côté et formula un bouclier de feu, lequel bloqua efficacement les flammes du dragon. Il ignora aisément Bagman, lequel commentait sa performance en terme de charmes. Les encouragements des étudiants de Poudlard étaient toujours aussi bruyants et Harry résista à l'envie de se frotter l'arrête du nez. Il jeta un bref coup d'œil vers la tribune des hauts-placés et se mordit la lèvre inférieure. Hey, ça n'était pas parce qu'il n'aimait pas l'attention qu'il avait et qu'il ne voulait pas être dans ce tournois qu'il n'allait pas faire en sorte d'impressionner les sorciers. Après tout, il devait faire une grande impression s'il voulait pouvoir se faire des contacts. Il lui fallut recours à trois sortilèges différents pour détourner suffisamment longtemps l'attention du Magyar et, alors même qu'il n'était qu'à quelques mètres du nid, le dragon se détourna subitement pour se concentrer sur lui et rugir de colère. Et Harry commença à en avoir assez.
« Oh joli ! C'était bien parti ! Dommage que le Magyar se soit vite repris. »
Les gens changeaient d'avis trop facilement. Un coup il était détesté, un autre il était adoré. C'était dégoûtant. Et ce maudit dragon en rajoutait une couche ! Harry n'avait pas voulu être ici ! Le dragon ne devrait pas être là à le prendre ainsi d'assaut. Pourquoi ne s'en prenait-il pas aux autres ? Il n'y était pour rien !
C'était totalement imprévu. L'adrénaline qui courait dans son système. Sa brusque colère. Sa rage presque incontrôlable. Harry reconnut les symptômes avant même que cela n'arrive. Son corps commença à chauffer et fut parcourut par d'agréables frissons. Bizarrement, le Magyar s'arrêta aussi, observant curieusement le petit brun, semblant sentir la magie qui enveloppait à présent le corps d'Harry. 'Oh non. Pas maintenant.' gémit-il intérieurement. Il ne fallut que quelques secondes de plus avant que son corps ne commence à se métamorphoser.
« Qu'est-ce que – est-ce que .. ? »
La question incomplète de Bagman resta sans réponse et, bien assez tôt, là où se trouvait auparavant Harry, trônait à présent un... adorable petit chaton noir aux grandes perles émeraudes.
Des mâchoires se décrochèrent et vinrent se fracasser au sol devant ce spectacle. Tout d'abord, il y avait les rationnels.
« Un animagus ? À cet âge-là ? Merlin ! »
Puis les adorateurs de choses mignonnes.
« Oh mon dieu il est trop chou ! » ''Tu crois que je pourrais le caresser ?''.
Puis.. les abrutis ( ceux-ci étaient assez peu tout de même ).
« Tss regardez ça. Potter est un chaton, ah ah ah. »
Malheureusement pour Malfoy, ses camarades ne semblaient pas d'humeur à rire avec lui.
D'un seul coup, la chose les frappa.
« Cher Merlin, à quoi pense-t-il ? Faire face à un dragon de trente mètres dans ces conditions ? »
Assurément, personne ne s'attendait à ce qui suivit ensuite. Personne n'était tout à fait certain que les deux se comprennent entre eux mais il était assez sûr de dire que le minuscule, adorable chaton Potter était en train de procéder à une intimidation en règle face au Magyar. Y avait qu'à voir la scène :
Le chaton de.. quoi... trente – quarante ?-, centimètres se tenait sur ses quatre pattes face au gigantesque dragon noir. Entre eux, le nid. Ils l'entendirent alors... le grondement qui remontait dans la gorge du chaton. C'était étonnamment intimidant pour une créature de sa stature.
Au début, le dragon ne fit pas attention aux miaulements agressifs du chaton, et continua à rugir doucement bien qu'il ait cessé d'avancer. Puis 'Kitten-Harry' vociféra et tout son pelage se hérissa. Vraiment, ils auraient trouvé cela adorable si l'animagus n'était pas à ce moment-même face à une dragonne adulte. Le dragon s'arrêta et inclina la tête en avant, considérant la minuscule créature face à lui. Un autre grondement remonta dans la gorge du chaton et, c'est dingue, mais il avait presque l'air intimidant pour le coup. Un lent miaulement s'échappa, comme une simple menace puis le dragon prit deux pas en arrière, l'air méfiant.
« Mien. » miaula le chaton, à deux pas du nid.
Le dragon rugit de plus bel avant de voir le que le chaton ne regardait pas le nid mais seulement un... œuf en or ? Que diable faisait cette chose à côté de ses petits ?! La dragonne rugit furieusement. Était-il possible que cette menace ait été là tout le temps ? Était-il possible que cette... minuscule chose ait essayé de la prévenir ? Ou peut-être que ces horrible humains lui avaient volé son petit et l'avaient posé ici ? Elle était une mère, elle pouvait comprendre l'instinct de protection de cette créature et... et bien, elle n'était pas certaine de vouloir savoir comment cet œuf pouvait provenir de la créature alors qu'il était plus grand qu'elle mais elle ne se posa pas plus la question et attrapa précautionneusement ( aussi précautionneusement qu'elle le pouvait ) l'œuf en or avant de le laisser rouler jusqu'au chaton. Puis elle poussa doucement son nid plus près d'elle avant de s'étendre à côté, une patte enroulée autour de son nid pour protéger ses petits. Juste au cas où.
Kitten-Harry miaula de contentement et se servit de sa frimousse et de son museau pour faire rouler l'œuf après s'être légèrement incliner face à la dragonne en remerciement. Quand il fut suffisamment loin, bien que toujours dans l'arène, il se (re) métamorphosa. Il avait initialement voulu juré contre sa malchance dès qu'il serait sous format humain parce que, après tout, être le survivant et avoir comme forme animal un chaton ( pas même un chat adulte ! ) ça n'était pas vraiment... imposant. Finalement, il se trouva que cela lui avait sauvé la vie. Il ne se plaindrait plus jamais de sa forme animale. Il laisserait même Padfoot le taquiner là-dessus. Padfoot ne le loupait jamais après tout. Il se demanda un instant si, par hasard, la dragonne l'avait pris pour une mère. Maintenant cependant, il pourrait lui fermer le clapet. Il sursauta presque quand l'arène explosa en applaudissements. Il faut dire qu'il les avait oublié cela. Cette belle bande d'hypocrites. Non, Harry ne pensait pas qu'il les considérerait à nouveau autrement. Il savait de toute façon que personne ne s'excuserait de ne pas l'avoir cru. Non, il savait que même s'ils revenaient lui parler comme si de rien n'était, ils le penseraient toujours coupable d'avoir mis son nom. Et bien, ils étaient partis pour une belle et longue chute. Pour lui, ils ne faisaient plus partis de son environnement. Après cette journée, il quitterait la Grande-Bretagne avec sa véritable famille.
Pas même deux minutes plus tard, alors que Harry regardait les dresseurs de dragons s'occuper de la femelle Magyar et que les juges discutaient entre eux des performances de chaque champions, le petit brun sentit une main se posa sur son épaule et il sursauta avant de se calmer en reconnaissant Leopold Gruchetski, son avocat, engagé par Sirius et Remus. Bien évidemment, Leopold était déjà au courant de l'innocence de Sirius et bossait sur ce cas avec l'ambassadeur de Russie ( une longue histoire, apparemment Sirius avait de bons contacts là-bas ).
« Beau travail, Harry. »
Après le temps qu'ils avaient passé ensemble à démêler tout le bordel qu'était la vie d'Harry, il avait été décidé qu'ils passeraient sur une base plus familière et s'appelaient à présent par leurs prénoms.
Harry prit la main tendue avec soulagement.
_ Merci Leo.
Gruchetski n'avait jamais apprécié son prénom. Sa mère ne lui avait jamais accordé beaucoup d'importance mais l'une de ses lubies était de nommer chacun de ses enfants par un prénom étranger. Elle était dans sa période française lorsqu'elle avait accouchée et lui avait de ce fait attribué un prénom bien français (Leopold n'était même pas français-français, c'était un nom d'origine germanique). Ça n'était pas qu'il n'aimait pas la France. Il n'aimait juste pas son prénom. Ça avait été un enfer quand il était plus jeune, à l'école dans son pays natal. Même maintenant, il préférait passer par un diminutif ou simplement par son nom de famille. Peu de personnes l'appelaient par son prénom complet, et encore moins Leo, mais il devait admettre que Harry était un enfant incroyablement doux et que la vie n'avait pas épargnée alors, juste pour le relaxer, il lui avait permis de l'appeler Leo.
« Tu penses que tu vas pouvoir subir l'attention du public encore quelques minutes ? L'interrogea doucement le russe, ne le quittant pas du regard.
_ Je... »
Harry prit une profonde inspiration et acquiesça, un timide sourire aux lèvres.
_ Je l'ai subit pendant quatre ans. Je pense que je peux survivre quelques minutes de plus.
L'avocat s'apprêtait à lui dire quelque chose lorsque la voix amplifiée de Bagman prononça son nom et qu'ils revinrent 'dans le monde réel'.
« Pour la performance de notre plus jeune Champions : Harry Potter. »
Harry leva menton, le visage neutre. Il était hors de question qu'il laisse filtrer quoi que ce soit à travers son masque.
Il regarda le Grand Albus Dumbledore lui accorder un neuf alors même que Mme Maxime, Crouch et Bagman lui accordaient un dix sans ciller. Même Karkaroff, qui avait donné un trois à Diggory et un quatre à Delacour, lui offrit un six. Apparemment, réussir la prouesse de devenir animagus à l'âge de quatorze ans pouvait changer la donne.
« Cela nous fait donc un total de quarante cinq point et classe notre jeune Champion à la tête du Tournois. »
Harry renifla en entendant les applaudissements. Leo raffermit sa prise sur l'épaule du jeune homme pour lui montrer son appui et, au vu de l'ombre du sourire sur les lèvres du jeune sorcier, c'était tout ce qu'il lui fallait.
Juste alors, ils entendirent Bagman, demander depuis sa place devant le micro, ce qu'ils faisaient encore dans l'arène. Un sourire narquois étira les lèvres d'Harry et Leo se pencha en avant pour faire correspondre son sourire à celui d'Harry.
_ J'imagine qu'un dernier show ne peut pas faire de mal. Dit-il avant de se lancer à lui-même un sonorus.
Harry étouffa un ricanement devant les sourcils froncés du directeur et il croisa les bras, l'air impassible.
« Messieurs, je suis navré d'interrompre vos célébrations mais je suis venu représenter mon client, dit-il en désignant Harry, qui se tenait juste à sa gauche. Je pense que vous êtes au courant mais un rappel semble être important à ce stade. Vous savez ce que vous risquez à forcer un mineur à concourir ? »
Cette fois-ci, personne ne loupa le sourire narquois qui barra le visage du jeune Gryffondor ( ex-Gryffondor ? ). Dans les tribunes ministérielles, les invités commençaient à s'agiter. Que diable se passait-il par Merlin ?
Harry ricana presque lorsqu'il entendit les chuchotement se proliférer dans toutes les tribunes.
_ Monsieur...
_ Gruchetski. Répondit le russe d'une voix neutre, son lourd accent résonnant dans l'arène.
Quelques personnes déglutirent dans la tribune des invités. Gruchetski... Leopold Armand Gruchetski était un avocat de renommée mondiale. Et il n'était pas le meilleur pour rien. Comment Potter avait-il fait pour se le procurer, là était la question. Les russes et bulgares de Durmstrang étaient impressionnés, curieux aussi. Ils n'avaient pas pensé que le gosse réagirait après avoir subi les brimades de ses camarades pendant plus d'un mois sans rien faire pour les faire cesser.
_ Monsieur Gruchetski, fit Bagman après avoir échangé un regard avec Crouch et Dumbledore. Le nom de Mr Potter est sorti et -
_ Et j'ai ici un contrat magique signé par mon client, stipulant qu'il n'est en rien lié avec son inscription ou sa participation forcée au Tournois et qu'en tant que tel, il refusait d'aller plus loin. Le fait qu'il se tienne devant vous aujourd'hui, en forme et étant toujours un sorcier prouve qu'il n'a pas menti. De plus, il y a une loi très ancienne liée à ce tournois inculquant que, si pour une raison quelconque, un Champion était entré dans le Tournois sans son consentement, il était en droit d'exiger le retrait de sa participation après la première tâche. S'il était encore en vie pour le faire, bien entendu.
Dès le début de sa tirade, Leo avait sorti de son attaché-case le document écrit qu'était le contrat magique signé par Harry, dans le sang et la magie, en avait fait faire plusieurs copies qu'il avait envoyé à plusieurs personnes différentes dans les tribunes et à la table des juges. Harry était bien trop occupé à rire de la tête de Dumbledore et de Bagman pour le remarquer, aussi ne vit-il jamais les sourires appréciateurs que lui lancèrent les élèves de Dumrstrang, Serpentard ou encore Serdaigle. Il vit à peine les expressions honteuses que portaient les élèves de Poudlard, principalement Gryffondors et Poufsouffles, mais les ignora aisément, tout comme ils l'avaient ignoré...
Un sourire cynique lui barra le visage quand il avisa l'air défait du directeur de Poudlard. Pourtant, ce ne fut pas le vieil homme qui commit la première erreur cela dit.
« Pourquoi abandonner maintenant, Mr Potter ? Résonna la voix amplifiée de Bagman. Vous êtes à la tête du classement. »
Harry renifla, dévisageant l'homme avec dédain. C'était une chose nouvelle pour les autres car ils n'avaient jamais vu Harry porter une telle expression. À part peut-être face à Malfoy. Et encore, c'était plus de l'ennui, voir de temps à autre de la colère. Jamais du dédain.
_ Oh, je suis tellement désolé Mr Bagman, s'exclama dramatiquement Harry, de craindre pour ma vie. Je ne tiens pas à entretenir le divertissement de la population en risquant ma vie, vous voyez ?
Et puis, juste comme ça, l'une de ses mains atteignit la poche de son pantalon et en sortit une sucette de sang qu'il entreprit de déballer. Hey, ça n'était pas parce qu'il était humain qu'il n'avait pas le droit de manger ça. C'était en fait particulièrement appétissant. Plus que les autres confiseries sorcières en tout cas. Presque autant que les chocogrenouilles. Presque, hein. Rien n'atteignait le niveau des chocogrenouilles. Harry avait un truc pour le chocolat au lait.
Leo secoua la tête, un franc sourire étirant les traits de son visage lorsqu'il avisa Harry, lequel semblait totalement absorbé par sa confiserie. Il savait que le gamin avait une addiction à ces sucettes de sang. Rien de dangereux cependant. En fait, c'était presque mignon.
Leo se reprit et s'éclaircit la gorge :
« Comme vous pouvez le constater, tout est en ordre. Mon client a souhaité se retirer, en tant que tel, il ne fait plus parti du Tournois. »
Et, ainsi donc, le nom d'Harry, affiché face à ceux des autres champions, de même que son score, s'effaça tout simplement. Un sourire vindicatif trôna sur les lèvres mutines du petit brun alors qu'il se détendait visiblement à côté de son avocat.
« Bien, je pense que tout est dit. Si vous voulez bien nous excusez, nous devons être à un rendez-vous important dans moins de deux heures.
_ Mr Potter ne peut pas partir. » Intervint Dumbledore.
'Mr Potter' haussa un sourcil, pas du tout impressionné et se tourna vers Gruchetski.
_ Je ne peux pas partir ?
Leopold décida de jouer le jeu, amusé par l'air théâtral de son client et ami.
_ Tout est en ordre, Harry. Tu es libre de partir. Nous devrions nous presser d'ailleurs. Tu dois être sur place demain pour tes examens de niveau.
_ Enfin – les interrompit à nouveau le directeur. Il y a les cours.
Quand Harry se tourna à nouveau vers la tribune des juges, un immense sourire ( un brin psychotique ) aux lèvres, on sut qu'il s'apprêtait à lâcher une bombe.
_ Navré directeur mais le Conseil des Gouverneurs a d'ores et déjà accepté ma lettre de résignation.
Il y eut un bref silence. Les membres du Conseil des Gouverneurs échangèrent un regard : après les preuves que leur avaient montré l'héritier Potter et son avocat, il était évident qu'ils ne pouvaient refuser. De toute façon, même s'il avait simplement voulu partir ils n'auraient pas pu intervenir et refuser. Les étudiants et/ou leurs gardiens étaient les seuls responsables de leurs choix d'éducation. Si le gamin pensait que Poudlard n'était pas un lieu adéquate pour lui ( et Merlin ! Cela ne semblait vraiment pas être le cas. ), ils ne pouvaient rien faire d'autre qu'accepter et, bien sûr, songer à une inspection surprise le plus tôt possible. Un ou deux proches de Dumbledore qui étaient sur le Conseil des Gouverneurs s'étouffèrent avec leur salive en entendant cela. Attendez ils n'étaient pas au cour – ah ! Était-ce l'un de ces papiers qu'ils avaient signé sans regardé de plus près ? Il faut dire qu'ils avaient raté une réunion du Conseil pour assister à une petite sauterie avec Albus. Oh ils le blâmeraient pour cela si jamais le vieux barbu osait réagir contre eux.
_ Tu ne peux pas partir sans l'accord de ta tante, Harry. Insista Dumbledore.
On s'agita dans les rangs. Surtout lorsque le sourire de Leopold Gruchetski se durcit et devint un peu plus sanguinaire.
« Cela aurait été vrai si vous ne l'aviez pas forcé à concourir dans ce tournois. Cependant vous l'avez fait et, en tant que tel, l'avez déclaré légalement adulte. Expliqua l'avocat russe avant de reprendre, coupant la phrase non-formulée du directeur de Poudlard. Cependant, pour couper court à toute insistance de votre part, directeur, nous avons également un exemplaire signé par Petunia Evans, laquelle accepte l'émancipation moldue et magique de mon client. »
Un nouveau murmure parcourut l'assemblée. Harry retira la sucette de sa bouche et observa un instant la petit boule rouge avant d'enrouler sa langue autour d'elle. Quelques regards restèrent fixés sur lui après cela.
_ Petunia -
_ A préféré éviter un scandale. C'était cela ou la prison. Qu'en auraient pensé les voisins ? Demanda-t-il en imitant aisément la tante de Harry. Le deal ne concernait cependant pas son époux et celui-ci est actuellement en attente d'un procès. Je vous conseille de ne pas vous en mêler directeur. Je crois que vous aurez suffisamment à faire avec vos propres problèmes. Continua-t-il d'un ton désintéressé, le regard froid. Harry, es-tu prêt ?
_ Yup.
Harry retira un instant la sucette de la bouche et observa l'assemblée de personnes bouche bée.
_ Ciao les gens. Je dirais bien que c'était un plaisir mais ce serait extrêmement hypocrite de ma part donc... laissons cela pour un autre jour. Oh, au fait directeur ! Reprit Harry, prêt à lancer une dernière bombe.
Quand il vit qu'il avait l'attention de toute l'arène, même des dresseurs, il lança un sourire rayonnant à son désormais ex directeur.
_ Si jamais vous souhaitiez contester mon émancipation magique, je tenais à vous dire que mon parrain magique me soutiens de tout cœur et m'a adopté par le sang il y a deux jours.
Et, sans plus de cérémonie, les deux sorciers disparurent. Quelques seconde plus tard, le chaos résonnait dans les tribunes et l'arène.
Non loin de là, Harry et Leo rencontrèrent Dobby puis tous trois disparurent en direction du Ministère, prêts à prendre un portoloin international. Quand ils arrivèrent à Moscou, Harry fut pris dans une double étreinte et éclata d'un doux rire libéré. Il était enfin à la maison.
Le lendemain matin, c'était encore le chaos à Poudlard et, plus généralement dans la Grande-Bretagne sorcière et le reste du monde magique. Les journaux étaient déjà en train d'imprimer la vérité sur le Tournois et l'innocence du Quatrième champion ainsi que son départ de Poudlard et le fait que, apparemment, il n'ait aucune confiance en son (ancien) directeur. Les articles devraient paraître le lendemain dans le monde entier. Pourtant, ce ne fut pas le premier choc qu'eut la Grande-Bretagne magique ( et moldue aussi, dans une moindre mesure ). Non, mais c'était aussi vaguement lié au Survivant.
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« Black Innocent : interrogé sous véritaserum lors de son procès à Moscou »
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Albus ne découvrit pas la nouvelle par le biais de la Gazette quoique cela aurait sans doute été préférable. Non, il la découvrit par les innombrables beuglantes qu'il reçut ainsi que la visite d'un Ministre assez furieux d'avoir perdu leur tête d'affiche. Son visage fut drainé de toute couleur quand il apprit que non seulement, son pantin désarticulé avait brisé ses liens mais qu'en plus de cela Sirius avait -
« C'est une situation incroyable à laquelle nous avons eu affaire ici, à Moscou. Très tôt ce matin, lors d'une conférence de presse, le dirigeant de la Russie Magique, Andrei Gorbatchev nous a annoncé que le présumé meurtrier de masse Sirius Black s'était rendu à la politsiya afin de demander asile ainsi qu'un procès équitable – procès qui, nous nous devons de le rappeler-, ne lui a jamais été accordée durant les douze années qu'il a passé à Azkaban, la tristement célèbre prison pour sorciers de Grande-Bretagne. ''Son accompagnateur, le jeune orphelin et lord anglais Harry James Potter est la seule raison pour laquelle la politsiya n'a pas achevé Black quand ils l'ont reconnu'', nous explique Aleksey Bartov, commandant des forces de la Politsiya. ''Les hauts dirigeant de notre pays ont accepté de donner le statut de réfugié politique à Sirius Black et ses deux compagnons s'il se révélait innocent.'' nous dit Natasha Azarov, du Département de la Sécurité Magique.
''Il s'avère que Black a toujours été innocent. Nous avons tenu un procès ouvert au public durant lequel nous l'avons interrogé sous véritasérum. Les deux témoins de Black, Harry Potter et Remus Lupin, ont accepté de soumettre leurs souvenirs d'un événement ayant eu lieu en 1993 et nous l'avons visionné avec le rétroprojecteur [ NdR : une pensive publique si cela ne vous est pas familier ]. Comme vous le savez sans doute, un puissant sortilège a été placé il y a près de huit siècles à la Cour Blanche – le tribunal magique de Russie-, pour empêcher tout témoins, accusé ou victime, de mentir durant toute la durée du procès.'' nous explique Penelope Greenberg. Pour nos lecteur qui ne seraient pas au courant, Sirius Black a été arrêté le 1er novembre 1981 pour avoir trahi James et Lily Potter en donnant le secret de leur résidence lorsque leur location était sous le charme du Fidelius. Il s'avère que ça n'était pas le cas, Black avait échangé avec Peter Pettigrew peu de temps avant l'attaque de Voldemort contre les Potter mais Pettigrew était apparemment devenu mangemorts peu avant cela, du moins c'est ce qu'aurait dit le traître durant leur confrontation sur les terres de Poudlard en février 1993, durant laquelle Sirius Black, Remus Lupin, Harry Potter ainsi que deux autres étudiants, se sont retrouvés face à un Peter Pettigrew très vivant ( rappelons bien que le premier ministre anglais Cornelius Fudge a donné un Ordre de Merlin première classe à Pettigrew, peu après sa nomination en tant que ministre ).
Après avoir été relâché par la Cour Blanche, le nouvellement Lord Black a été rejoint par son compagnon et son filleul. D'après les rumeurs, ils auraient ensuite rejoint leur avocat, Leopold Gruchetski et seraient allés finalisé le rituel d'adoption du sang.
Gaïania Dobryakova
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Pour en savoir plus sur la véritable histoire du 31 octobre 1981... p2
Pour plus d'information sur les Nobles et Anciennes familles des Black et Potter ..…... p4
Des nouvelles sur sur les anciens tuteurs du Survivant …...…... p7
Événements inhabituels & dangers mortels ayant eu lieu à Poudlard …... p9
Voldemort, mangemorts et Peter Pettigrew …... p12
Académie Lomonossov... p15
Le statut de réfugié politique en Russie... p17
Un directeur trop touche à tout... p18
Édition du 3 décembre 1994 »
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Albus ferma les yeux. Il n'aimait pas cela. Et il n'était certainement pas content. Pas content du tout. Il était tellement énervé qu'il ne regarda pas les autres articles. En fait, il ne vit même pas que la dernière rubrique le concernait. Ce fut sans doute pour cela qu'il fut on ne peut plus choqué quand, à l'heure du déjeuner – dans la Grande Salle en compagnie d'élèves et d'invités qui discutaient avec animation de ce qu'il s'était passé la veille ou de l'édition internationale du journal russe-, Amelia Bones entra brusquement, accompagnée par sept aurors et ordonna son arrestation tout en lui listant ses droits. Devant tout le monde en plus de cela. Quelle humiliation !
Voldemort était fou furieux après que Barty lui ait lu l'édition qui lui avait été délivrée le matin-même. Parce que Dumbledore n'était pas foutu de garder gros nez penché en dehors de ses affaires, Potter s'était tiré et, avec sa fuite, son plan de résurrection avait été anéanti. Barty tremblait d'effroi après la lecture du journal, mais son seigneur ne lui fit rien; il l'envoya simplement se reposer dans sa chambre ( la chambre du maître ) et Barty, trop content de ne pas être puni pour les retombées de la première tâche, remercia son maître avant de se diriger vers les appartements privés de celui-ci. Ce ne fut que quand il fut assis sur le lit qu'il réalisa qu'il s'agissait bel et bien de la chambre de son seigneur.
Voldemort pendant ce temps, ruminait sa colère. Potter parti, il allait lui falloir trouver un nouveau moyen pour retrouver son corps. Et un bon corps. Il y avait des choses qu'il voulait faire à son plus fidèle mangemort.
Au cours des semaines qui suivirent, les habitants de Poudlard apprirent la disparition de Moody, avant que les aurors ne leur apprennent qu'il s'agissait en fait d'un imposteur et que le réel Moody avait été retrouvé enfermé dans sa malle. Le fait qu'un mangemort leur ait enseigné pendant des semaines sans que personne ne se pose des questions choqua les élèves bien qu'il fallut que des étudiants de Durmstrang et Beaux-Bâtons s'y mettent pour que le choc se fasse sentir.
D'un autre côté, Granger et Weasley n°6 étaient devenus des sortes de parias. Bien sûr, tout le monde savait qu'ils étaient tous un peu responsables du départ du Survivant. Cependant, le fait que ses deux meilleurs amis l'ait également abandonné semblait avoir donné l'excuse parfaite aux étudiants pour jouer l'autruche un peu plus longtemps. Les deux étudiants en question n'étaient pas très heureux. Bien sûr, Hermione s'en voulait d'avoir lâché Harry – surtout après avoir appris qu'il était réellement innocent, mais elle n'avait pas voulu que Ron lui en veuille et puis, le professeur Dumbledore l'avait également convaincu. Elle s'était alors dit que Harry viendrait à eux pour s'excuser de leur avoir menti. Le fait qu'il soit réellement innocent avait été un choc puissant chez Hermione. Ron cependant, ne semblait pas dépassé par cela. En fait, il semblait amer et furieux que son camarade soit parti. Juste comme ça. Ils auraient pu redevenir ami, mais non, Harry avait préféré quitté le pays. S'il était honnête envers lui-même, Ron savait qu'il était en [grande] parti fautif dans le départ de son camarade, mais il ne souhaitait pas s'embêter avec cela maintenant.
Ginny prenait mal le départ de son héros. Petite, elle avait adoré écouté des histoires sur la vie d'Harry Potter. Après avoir dévoré l'édition spéciale, elle savait à présent que la majorité de ces histoires n'étaient que mensonges. Harry n'avait pas eu une vie de petit prince aimé et chéri. Elle le savait déjà, d'une certaine façon, mais elle avait refusé de le voir. Et puis, comment pourrait-elle devenir sa princesse s'il partait ? Et bien, vu sous cet angle, elle pourrait devenir une véritable femme et, quand Harry reviendrait, elle serait prête pour lui. Il ne pourra pas résister à son charme. Après tout, elle avait du sang de Prewett dans les veines et on dit que les femmes Prewett avaient été sulfureuses.
Les étudiants de Poufsouffles n'étaient pas non plus très bien vus en ce moment. Après tout, ils avaient été les premiers à éviter Potter et même à l'attaquer dans les couloirs. Le pire était sans doute que Cédric ne leur parlait plus. Ils avaient fait cela par loyauté ! Ils avaient cela pour montrer leur soutien à Diggory. Potter n'avait pas le droit de s'accaparer l'attention de la communauté sorcière quand Poufsouffle était pour une fois mise à l'honneur. Certes, maintenant ils savaient que Potter n'était en rien responsable et que c'était la faute d'un mangemort mais ils ne comprenaient pas pourquoi Cedric ne leur parlait plus. Ça n'était pas non plus comme s'ils avaient fait fuir son crush !
Cedric lui, broyait du noir. Il n'était pas heureux avec ses camarades de maison. Ils avaient fait fuir la personne à qui il s'intéressait depuis quelques temps. Il n'irait pas dire qu'il était gay, non. Il avait déjà été sexuellement attiré par des filles et n'avait jamais réellement remarqué de garçons avant Potter mais... et bien... Potter était différent. Et plus jeune aussi. Le septième année avait été soufflé par la performance du Gryffondor durant la première tâche. Le plus jeune avait montré des sortilèges d'un niveau supérieur à celui d'un quatrième année et sa transformation animagus dépassait celle d'un étudiant. À votre avis, pourquoi ne pouvait-on s'enregistrer au Ministère, sur la liste animagus qu'à partir de 19 ans ? Parce qu'ils ne pensaient pas possible d'achever la transformation avant cela ( même s'il était fait mention de quelques personnes ayant effectivement réussi cela ). Et puis, pourquoi dix-neuf ans d'ailleurs ? Pourquoi pas dix-huit ? Ou vingt ? … Non, pas vingt. Vingt c'était trop. Pourquoi pas dix-huit ? Ou dix-sept, la majorité sorcière anglaise ? Bref, Cedric Diggory, 17 ans, Poufsouffle, Champion de Poudlard, n'était pas un homme heureux. Et pas un homme à énerver si on voulait s'en sortir en un seul morceau.
Les Serpentards n'étaient pas heureux non plus. Après tout, qui allaient-ils harasser maintenant que le petit Survivant s'était fait la malle ? Quoi c'est vrai ! Ils appréciaient les petites querelles entre le Gryffondors et les Serpentards de quatrièmes année. Les aînés devaient avouer qu'ils avaient été mi-gênés, mi amusés par les disputes Malfoy/Potter – et dans cet ordre-là puisqu'ils avaient remarqué que c'était toujours Malfoy ( ou Weasley ) qui démarrait les disputes. En y repensant, dans les dernières semaines, Potter avait semblé davantage fatigué et ennuyé par les tirades du jeune Malfoy. Jamais cependant ils n'auraient deviné le plan de Potter. Jamais ils n'avaient pensé que le jeune Gryffondor avait effectivement un plan. Jamais ils n'auraient pensé qu'il réussirait à prouver son innocence (même certains d'entre eux le pensaient coupable ) et à échapper au reste du tournois. C'était assez énervant, de savoir que l'un des seuls qui ne les insultait pas à chaque fois qu'il les croisait était à présent hors du continent et ne comptait apparemment pas revenir à Poudlard. Non, Dumbledore et Voldemort allaient payer d'avoir fait fuir le seul Gryffondor qui ne les traitait pas comme du fumet.
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Harry savait que ça n'était pas la meilleure période pour débarquer en Russie avec tout ce qui se passait dans la partie moldue du pays à cette époque. Cependant, la Russie Magique était un peu plus calme et Sirius disait toujours que le pays finirait par se remettre. De plus, les dirigeants de la Russie haïssaient ( vraiment ) Albus Dumbledore. Jusqu'ici, leur emménagement s'était très bien passé. Leo passait presque tous les jours pour voir comment avançait les choses et leur apporter les nouvelles de Grande-Bretagne. Harry refusait de se l'avouer, même à lui-même mais il commençait à avoir un crush. Il ne se doutait pas que, quelques années plus tard, quand il aurait atteint la majorité russe – seize ans, il serait courtisé par ce même homme qu'il avait appris à apprécié. Il faut dire aussi, Gruchetski était un homme attentionné. Il veillait toujours à ce que Harry ne se blesse pas ou n'en fasse pas trop, lorsqu'il venait aider dans la nouvelle demeure Black-Lupin. Il s'agissait en fait d'une vieille maison de vacances des Black, laquelle n'avait pas été visitée ni entretenue depuis plus de vingt-cinq ans. Kreattur hésitait encore à venir ou à rester s'occuper du portrait de Lady Black à Square Grimmaud et Dobby faisait déjà tant, mais ils tenaient aussi à emménager un peu par eux-même, aussi Leo s'était proposé pour aider. Quelque part, Sirius savait que l'autre homme le faisait surtout pour Harry et, en voyant Harry rosir alors que l'avocat russe le rattrapait et l'empêchait de tomber, un élan de protection le prit. Cet homme ne lui prendrait pas Harry avant que son chiot ait atteint la majorité. Foi de Black.
RAR :
AnnaMerteuil : Ah ah merci bien. Hum oui, il faudrait que je réécrive sur ce pairing pendant les chaleurs d'Harry ( il faudra que je m'en souvienne ).
DidiineOokami : Ouais, à chaque fois les profs dans HP ils réagissent pas. Ils ont pas réagi plus que ça quand Ombrage a pris le pouvoir même si on voyait que Snape n'était pas heureux et que McGo a quand même un peu provoqué Umbitch. J'veux des profs qui voient au delà de ça. Et qui réagissent pour Ryry. En plus, les relation Prof/élèves sont un fantasme intemporel. ;)
Melodie Zik Spirit : Thanks ! Oui, je pense aussi shi shi shi ~
Luna Park : Ooh je vais aller voir ça, j'aime bien les fics qui comprennent la dynamique A/B/O. Non non, il y a d'autres personnes, elles ne sont juste pas mentionné. D'ailleurs, les oméga auront tendance à vouloir garder cela silencieux parce qu'ils sont rares. Même si, bon, si un Alpha ou un Beta éveillé croise un Oméga, il le sentira tout de suite. Ça ne sera pas le cas des 'endormis'.
Dark and Blue : Oui, paillettes ! Partout ! Je n'm'en remets pas non plus.
theblackgirl : Ké ké ké merci bien !
StarkSnowRyen : Thank you. Oui, je réécrirais sur ce pairing. J'aimerai que d'autres écrivent sur ce pairing mais je n'en ai pas trouvé pour l'instant. Tant pis.
Soln96 : Ké ké ké merci =)
Yukii27 : Waoo merci, contente de voir que tu as aimé ! Hé hé hé merci. Ouais, je vais faire ça alors. Enfin, quand j'aurai le temps et l'inspiration. J'ai encore un examen à passer donc ce ne sera pas pour tout de suite.
Les 2 Slythandors : Probablement, mais pas tout de suite. Plus tard dans le recueil. Ça pourra être vu comme une suite ou lu à part je pense. On m'a demandé d'écrire pendant les chaleurs d'Harry.
V. M. Desgrec : Thanks, j'ai commencé le défi sur la banane ^^
PS : Costume de danseuse étoile. Oh mon dieu, oui c'est possible.
Yukii27 : Hey merci. Ouais je sais mais la vérité est que je n'ai pour l'instant pas encore fait assez de recherches sur les relations alpha/beta/omega et que je préfère me rapprocher au maximum des faits ( avec un peu d'imagination et de créativité tout de même ) avant de faire dans les détails.
MGR : Il y aura un autre texte dans ce genre-là, mais pas tout de suite.
Lesaccrosdelamerceri : Huu merci. Et bien, il y en aura une... enfin, un truc dans le genre. Pas exactement une suite. Et pas tout de suite en fait. Mais il y aura un texte sur le même 'univers' avec le même pairing.
Publié le : 30.06.2017
