Elle aimait parcourir son coprs musclé. Goûter à cette peau exquise, dessiner le contour des muscles du bout de la langue. L'entendre soupirer de plaisir, voire gémir.Dessiner du bout desdoigts, le faire frissonner.
Et lui, il adorait ça aussi. Son sang bouillonnait dans ses veines à chaque caresse, chaque baiser. Dieu qu'elle le rendait fou ! Il s'étonnait chaque fois de l'effet que Samantha pouvait produire sur lui. Pour autant qu'il se souvienne, Jean n'avait jamais ressenti un tel désir envers une femme. Et sa Samantha savait le susciter à volonté. Parfois, pour ne pas dire souvent, sans le vouloir. Il suffisait qu'il l'a voit après un entraînement, en nage mais si sauvage. Où encore quand il la croisait au moment où elle sortait de la douche, tout juste enveloppée d'une serviette.
Chaque fois son rythme cardiaque s'accélérait. Il y avait les fois où une envie de grand nettoyage la prenait. Jean la trouvait alors au milieu de ses affaires, les cheveux relevés sur la nuque, quelques mèches rebelles balayant son visage. Elle se penchait pour ramasser quelque chose, lui offrant une belle vue sur son arrière-train. Ou qu'elle se penchait en avant alors qu'elle portait un débardeur.
Quelque fois elle déambulait chez lui vêtue uniquement d'une de ses chemises, qui cachait à peine ses formes.
Dans les moments où ce désir menaçait d'eplxoser, même ses fidèles cigarettes ne suffisaient pas à le calmer.
