A la demande générale de mes 4 revieweuses, que je remerice au passage, voilà la suite. J'utilise deux persos qui EUX m'appartiennent pour cette fic. Alors, on joue ?

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Le réveil tira Samantha de son sommeil. Elle pensa un instant à écraser l'engin, mais se rappelant qu'elle en avait besoin elle se contenta d'appuyer aussi gentiment que possible sur le bouton d'arrêt. La brune s'étira, et entreprit de sortir de son lit. Sauf que quelque chose, ou plutôt quelqu'un, semblait déterminé à ce qu'elle n'en sorte pas. Son fiancé Jean la maintenait contre lui d'une poigne de fer. Samantha tira autant qu'elle put, en vain.

" Jean ! Mais lâche-moi bondidiou ! " dit-elle amusée.

( Ndla : avé Ayma ! celle qui reprends ton mot te salue ! XD )

" Hmmm ! Nan reste là !" marmonna Havoc.

" J'adorerais rester dans tes bras mon amour, mais il faut que j'aille bosser."

Jean la lâcha à contre coeur, et elle put sortir du lit.

" Pour une fois que j'avais un jour de congé ! " gémit-il en roulant sur le dos.

" Comme tu dis. Seulement je t'avais dit hier que moi pas."

Samantha se rendit dans la cuisine pour préparer son petit-déjeuner. Ensuite, elle revint dans la chambre prendre ses habits, et fila se changer dans la salle de bain. Quand elle fut prête à partir, son fiancé vint la voir pour lui dire au revoir.

" Je me lasserais jamais de ce genre de spectacle : un militaire blond bien musclé avec juste un caleçon, ça vous mets de bonne humeur pour la journée !" sourit-elle.

( Ndla : oh yeah ! en effet ! ) Jean lui rendit son sourire et se pencha pour l'embrasser. Samantha se rendit ensuite au musée où elle travaillait, et fila dans le bureau du conservateur.

" Salut ! Du boulot pour moi ?" demanda-t-elle en entrant.

" Evidemment. J'ai reçu des informations sur un jeu âgé d'une centaine d'années, une pièce unique. Et par chance, il est dans le pays." annonça Dooley.

" Eh ben ! Pour une fois ! Et où exactement ?" répondit Samantha.

" Vraiment pas loin, une trentaine ou une quarantaine de kilomètres. Voilà le livre qui en parle." répondit son employeur en lui tendant le volume.

Samantha lut le paragraphe qui en parlait.

" Ca a l'air dangereux comme relique, vous êtes sûr de la vouloir ? " dit-elle sans lever les yeux.

" Bof ! Je sais bien qu'il y a des trucs bizarres dans ce bas monde, mais à l'époque les gens étaient si supertitieux ..."

Samantha le regarda un instant. S'il avait vu ce qu'elle avait expérimenté avec certaines reliques, il serait plus sélectif dans ses choix. Enfin, puisqu'il la voulait, elle la lui apporterait.

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Q.G de Central.

Breda entra en chantonnant dans le bureau, à la surprise de ses colllègues.

" Eh ben ! C'est la première fois que je t'entends chanter !" fit Kain.

" Doit-on comprendre que ton rendez-vous avec Luan s'est bien passé ?" ajouta Roy.

" Ouais, à merveille ! Je crois qu'on est fait pour s'entendre !" répondit Breda.

Falman entra à son tour, tout d'aussi bonne humeur.

" Ca été avec Mina ?" demanda le rouquin.

" Impec ! Et toi ?"

" Au poil !" sourit Haymans.

" Ils en sont déjà aux poils ? C'est des rapides !" fit Riza discrètement.

" Riza !" s'exclama Roy étonné par sa remarque pour le moins crue.

Kain éclata de rire. Roy se disait que sa fiancée se dévergondait un peu trop depuis qu'elle était avec lui. Ce n'est pas que ça lui déplaisait, tant que les autres n'en savaient rien.

" On dirait qu'on est tous casés maintenant." fit Kain en croisant les bras.

" Hé ho tout doux ! J'en suis encore qu'au premier rendez-vous moi !" intervint Breda.

" Moi itou."

" Pfou, au rythme où ça a l'air d'aller je ne me fais pas de soucis pour eux." reprit le lieutenant en apportant ses dossiers à son fiancé.

" Mais t'as fini avec tes insinuations toi ?" fit Roy amusé.

" Bah quoi ?"

Riza retourna à sa place, suivie par un Fuery hilare. Les soldats se mirent au travail, enviant leur collègue Jean de pouvoir rester chez lui.

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Havoc vit revenir sa fiancée, non sans joie.

" Alors ma puce, tu reste là ou tu t'en va ?" demanda-t-il.

" Je m'en va. Mais je serais pas loin, trente kilomètres." répondit-elle en attrapant sa valise.

" Un kilomètre c'est déjà trop chez moi." reprit Jean.

Samantha sourit, et commença à remplir son bagage. Le blond s'approcha, et afficha une mine de chien battu qui ne manqua pas de la faire pouffer de rire.

" Si tu te voyais ! On dirait un bébé boudeur !" dit-elle.

" Voui je boude paske tu me laisse tout seul. Pô juste." gémit Jean en accentuant sa mine.

Samantha sourit avec tendresse, et vint l'enlacer.

" Je n'en aurais pas pour longtemps, amour de ma vie. Et puis je te rapelle que quand toi tu pars en mission, je me retrouve seule moi aussi." dit-elle doucement.

" Moui mais bon ..."

" Pas de mais mon trésor, c'est la même chose."

Samantha l'embrassa, et retourna à la préparation de son voyage. La jeune femme décida de partir le lendemain, et profita de sa journée avec Jean. Vu que ce n'était pas bien loin, Samantha se rendit au village en voiture. C'était un petit coin tranquille, accueillant. La brunette alla dans un petit hôtel réserver une chambre.

" Vous ?" fit un vieil homme en la croisant.

" Pardon ?" s'étonna Samantha.

" Euh ... excusez-moi, je vous ai pris pour quelqu'un que je connaissais."

" Ce n'est rien."

Samantha continua son chemin, et demanda une chambre. Ensuite, elle alla visiter le village. Elle trouva une petite bibliothèque.

" Je trouverais sûrement de quoi compléter mes recherches. Le livre que m'a donné Dooley mentionne juste l'endroit où se trouve cette relique et qu'elle est supposée être maudite." pensa la chasseuse de trésor.

Elle entra dans la petite bibliothèque, et chercha le rayon consacré à l'histoire. Puis elle attrapa un livre consacré à celle du village en lui-même. Puis elle s'installa à une table pour commencer sa lecture. La jeune femme chercha l'époque correspondant avec celle du fameux jeu.

" Pratiquement aucun livre d'histoire n'a gardé une trace d'un évènement particulièrement étrange et horrible qui est arrivé vers la fin de ce siècle au village. Pourtant, il aurait mérité de figurer dans leurs pages. Un jour, un alchimiste rongé par la rancoeur a créé un jeu très spécial grâce à son alchimie. Ce jeu était ainsi devenu vivant, et attirait ses futures victimes grâce à sa pierre, qui envoûte et force à jouer. Plusieurs personnes sont ainsi mortes mystérieusement, et le village plongea dans la terreur. Personne ne semblait à l'abri. Cela a duré jusquà l'arrivée d'une jeune femme égalment alchimiste. Elle a compris ce qui provoquait ces disparitions, et est parvenue à transmuter des cartes pour vaincre l'alchimiste, avant de l'enfermer dans son jeu. Ce dernier a ensuite été caché, nul ne sait où." lut-elle.

Si personne ne savait où, Sam se demandait si elle parviendrait à le savoir.

" Bon résumons : elle s'est battue contre l'alchimiste créateur de ce jeu. Le combat a dû l'affaiblir. Si elle était pressée d'en finir avec cette affaire, elle a dû cacher le jeu pas bien loin . Donc autour du village. Ca pourrait être un bon moyen de le garder à l'oeil." réfléchit-elle.

Autrement dit, il ne lui restait plus qu'à examiner les environs. Samantha pensa aussitôt à la forêt environnante. Une très bonne cachette en soi. Elle résolut d'y aller sur-le-champ. Samantha marcha durant des heures, cherchant une possible cachette. Elle s'était munie d'une carte du siècle dernier et de maintenant. Tout à coup, elle s'arrêta et regarda sur sa droite.

" Y' avait une grotte ici autrefois. Elle est encore mentionnée sur celle de nos jours, mais je n'en vois pas l'entrée. Et d'après le livre d'histoire, y'a eu aucun travaux dans ce coin." dit-elle à haute voix.

Samantha se dit qu'elle devait avoir trouvée la cachette du jeu. Elle s'approcha de la paroi, y colla l'oreille et frappa. Ca sonnait creux, preuve qu'il y avait bien quelque chose derrière. La chasseuse de relique saisit son piolet, et entreprit de frapper sur le mur. Au bout de trois bons quarts d'heures d'effort intense, un trou apparut. Samantha souffla cinq minutes, avant d'agrandir son ouverture. Se munissant d'une lampe-torche, elle entra dans la grotte.

" Où te cache-tu petite relique ?"

Samantha progressa quelques instants, avant de découvrir une motte de terre. Elle s'en approcha, posa sa lampe et sortit une petite pelle avec laquelle elle creuse doucement. Un bruit lui indiqua qu'elle venait de toucher un objet. Samantha dégagea la terre alentour, pour découvrir une boîte rectangulaire. Elle l'éclaira, et à sa vue Sam ressentit une curieuse sensation. Comme une impression de déjà-vu. Elle secoua la tête, et sortit la boîte de sa cachette de terre. Elle enleva un reste de terre, puis sortit à la lumière du jour.

" On fait pas plus banal comme relique ! C'est à ce demander si c'en est une. Enfin, puisque Dooley la veut ..." dit-elle en regardant la boîte du jeu.

Samantha regagna le village, et s'apprêta à partir. Rares étaient les fois où une de ses expéditions duraient aussi peu de temps. La jeune femme fut donc de retour à Central le lendemain. Dooley prit sa découverte et la remercia. Sam pour sa part, rédigea un rapport sur son expédition, qu'elle classa avec les autres.

Ceci fait, elle se rendit au Q.G à la pause déjeuner, après avoir prit une douche. Comme elle avait revêtu une jupe, les soldats ne manquèrent pas de lui faire part de leur admiration. Mais la brunette avait son sempiternel fouet accroché à la ceinture, prêt à enseigner les bonnes manières aux malotrus.

Sam toqua au bureau de Mustang, et entra. Jean l'accueillit avec un grand sourire, de même que son petit frère Kain.

" Je venais savoir si vous étiez libres pour déjeuner." annonça-t-elle.

" Moi oui." répondit aussitôt Jean.

" Bah, je vais vous laisser en amoureux." fit Kain.

" Oh tu peux venir ça me dérange pas." reprit Havoc.

" Je peux la voir plus tard, je suis pas pressé. Du moment qu'elle m'oublie pas."

" Euh ... tu peux me rappeler ton prénom ?" demanda Sam.

" File d'ici avant que je m'énerve !" répondit Kain.

Samantha prit la main de son fiancé, et ils sortirent du bureau. Jean lançait des regards incendiaires à ceux qui osaient mater sa Samantha avec des mines gourmandes.

" Tu sais mon coeur, j'apprécie que tu porte des jupes, mais pas quand c'est pour venir me chercher." dit-il.

" Ah bon ? C'est pas un peu illogique ?" remarqua la brunette.

" Non. Parce que les autres ont tendance à vouloir marcher sur mes plates-bandes."

Samantha éclata de rire. Jean était d'un naturel très jaloux depuis qu'il sortait avec elle. Leurs fiançailles n'avaient pas l'air de l'avoir calmé. Donc, il avait peur que les soldats essaient de la lui prendre. La perdre était son pire cauchemar. Le couple arriva à un petit restaurant. Ils passèrent commande, et discutèrent un peu.

" Je suis très content que tu sois revenue si vite." dit Jean en lui prenant la main.

" Et moi donc ! T'as intérêt à être dispo !"

Jean sourit, et le serveur apporta leur commande. Au cours du repas, le militaire remarqua que sa fiancée était perdue dans ses pensées.

" Chérie !" appela-t-il.

" Hm ? Tu disais ?" répondit-elle.

" Ca fait trois fois que je t'appelle. Tu as l'air ailleurs, un souci ?"

" Non non. Juste un truc bizarre. J'essaie de me rappeler quelque chose, mais ça ne vient pas." expliqua-t-elle.

Sam repartit à nouveau dans les méandres de ses pensées. Elle avait l'impression que quelque chose de très important lui échappait, mais impossible de savoir quoi. Cela la chiffona toute la journée. C'est donc une Samantha un brin agacée que Jean retrouva le soir.

" Ca m'énerve de ne pas savoir ce qui me préoccupe de la sorte !" s'exclama-t-elle quand il demanda ce qui clochait.

Elle se leva du fauteil du salon, et se mit à faire les cents pas en long, en large, en travers et soyons fous en zigzag. Non je plaisante. Jean la regarda faire trente secondes, avant d'opérer un repli vers leur chambre. Il se changea et revint la voir.

" Tu va finir par couper le tapis à force de marcher comme ça." dit-il.

" Grblmgrmbl." fut la seule réponse qu'il obtint.

Jean haussa un sourcil, et s'avança pour la prendre dans ses bras. Il lui passa une main sur la joue.

" Inutile de te prendre la tête comme ça, mon bébé. Ca va bien te revenir. Et puis plus tu insiste moins ça vient." dit-il doucement.

" Marrant comme tes propos ont un autre sens quand on est pas couchés." fit-elle remarquer.

Jean ouvrit de grands yeux, avant de partir d'un grand éclat de rire.

" Toi au moins tu sais garder ton sens de l'humour !" s'exclama-t-il entre deux rires.

" C'est surtout que je te connais. Plus chaud lapin que ça tu meurs." ironisa-t-elle.

" Ose me dire que ça te déplaît." répliqua Jean en frottant son nez contre le sien.

Samantha sourit, avant de l'embrasser. Ensuite, tous deux se rendirent dans la cuisine pour dîner. La nuit venue, la brunette fit des cauchemars. Elle rêvait de monstres, de cadavres, et d'alchimie aussi. Samantha se réveilla en hurlant.

" Qu'est-ce qu'il y a mon amour ?" fit Jean en allumant la lumière.

Il vit alors que sa fiancée était toute pâle et tremblait.

" Samantha ? Qu'est-ce que tu as ?" reprit-il en s'asseyant.

" Je ... je viens de faire ... le pire des cauchemars." répondit-elle la voix chevrotante.

" Vu le cri que tu as poussé je veux bien te croire. Viens par là et raconte-moi tout."

Il la fit se rallonger, et elle posa sa tête contre son épaule. Elle lui raconta alors son rêve, qui en plus d'intriguer son fiancé l'effraya quelque peu. Où avait-elle bien pu voir des horreurs pareilles ? Jean la rassura en la serrant contre lui et en passant une main dans les cheveux noirs. Samantha fini par se rendormir, rassurée par sa présence. Le lendemain, une mauvaise surprise l'attendait sur son lieu de travail.

" C'est quoi tout ce monde ? Pourquoi la police ?" demanda-t-elle.

" Vous ne devinerez jamais ! Il y a eu un meurte ! Ici au musée !" répondit Dooley.

" QUOI ?"

" Voyez-vous même. Trois de nos gardiens tués on ne sait comment."

Samantha tourna la tête, pour découvrir les trois draps blancs. Des images de son cauchemar lui revinrent instantanément. D'autant plus qu'elle avait vu les cadavres se relever dans son rêve. Samantha sentit le monde tourner autour d'elle, et s'évanouit. Dooley eut le réflexe de la rattraper. Il la prit dans ses bras, et l'emena dans le bureau qu'elle occupait de temps à autre. Il y avait un petit divan sur lequel il la déposa. Ensuite, il jugea bon de prévenir le fiancé et le petit frère de la brune.

Ces derniers arrivèrent ventre à terre, juste au moment où elle reprenait conscience.

" Onee-chan ? Tout va bien ?" demanda Kain penché sur elle.

" Kain ? C'que tu fais là ?" répondit Samantha.

" C'est moi qui les ait prévenus." répondit Dooley.

Samantha se redressa et découvrit aussi Jean à côté.

" Me suis évanouie c'est ça ?" dit-elle.

" Tout juste ma biche. Tu dois couver quelque chose." dit Jean en lui caressant la tête.

" Non, ça rien à voir. Je ne comprends pas. Je ne suis jamais tombée dans les pommes, et pourtant ce ne sont pas les premiers cadavres que je vois." reprit-elle.

" Frais si. D'ordinaire vous avez affaire à des momies." fit Dooley.

" Je peux vous assurer qu'un corps décomposé est bien plus effrayant qu'un encore tiède." répliqua la brune.

Samantha se releva et sortit du bureau d'un pas vif.

" Mais où tu vas ?" lança Kain en se précipitant à sa suite.

" Savoir pourquoi j'ai perdu connaissance." répondit sa soeur.

Elle retourna à l'endroit où se trouvaient les corps, évacués à présent. Samantha commença à examiner les lieux, autant que possible vu que les policiers étaient là. En fait, elle vérifia que rien n'avait été volé. Mais toutes les vitrines étaient intactes. Samantha soupira.

" Ce n'est pas possible. On ne les a quand même pas tués juste pour le plaisir." dit-elle.

" Espérons. Quoi que ce soit, j'espère qu'on l'arrêtera vite." fit Dooley en la rejoignant.

" Tu es sûre que ça va aller ?" demanda Kain en lui prenant le bras, comme à chaque fois qu'il était inquiet.

Une habitude gardée depuis leur plus tendre enfance.

" Mais oui Kainou. Tu peux retourner au travail, je gère la situation." répondit-elle d'un ton apaisant.

Kain lui sourit, et la relâcha. Jean l'embrassa, en lui demandant de la retrouver pour le déjeuner. Puis les soldats partirent. Au bureau, Riza leur demanda comment allait Sam.

" Bien. Par contre, y'a eu des meurtres à son musée." répondit Jean.

" T'es sérieux ?" fit Roy.

" J'ai l'air de rigoler ?"

" En tout cas c'est bizarre. Il n'y a absolument aucune trace, et rien n'a été volé. En plus, tout était fermé, et les portes n'ont pas été fracturées, même les fenêtres sont intactes. Comme si le ou les tueurs avait brusquement jaillis du néant." rapporta Kain.

" Un meutre dans un musée c'est pas courant." intervint Falman.

" En effet. Elle ne risque rien au moins ?" reprit Roy.

" Vu les circonstances le musée va fermer pour un temps. Elle sera donc en congé. Et je ne la lâcherais pas d'une semelle, autant que possible." répondit Jean.

Roy soupira légèrement pensif. Quelque chose lui disait qu'ils allaient se retrouver mêlés à tout ça.