Ami du jour, bonjour, amis du soir, bonsoir, amis Followeurs, … euh… Amis Followeurs, j'ai quelques mots pour vous.
J'ai regardé les statistiques de ma fic et j'ai eut une très grande déception. J'ai 27 followers (c'est cool ) et 14 favorites ( c'est super ) et que 14 reviews : C'EST NAZISSIME !
Parce que il vous faut savoir que au total, seuls SEPT personnes se sont données la peine de laisser un commentaire !
Je me doute que mon histoire vous plaît, ou du moins a piqué votre intérêt parce que sinon, vous n'auriez pas mis les follows, mais zut (pour rester polie), à la fin !
J'ai l'impression de parler dans le vide et c'est très très pénible ! Je sais même pas pourquoi vous m'avez mis en follower ! Parce que l'idée de faire de Draco et Harry des jumeaux vous plaît, parce que c'est un UA, parce que Les jumeaux peuvent tout faire changer grace à leur souvenirs, parce que Pétunia vous a fait marrer, parce que Voldy mange de la tarte à la fraise , parce que …
Je ne sais pas si vous écrivez, mais c'est assez frustrant pour l'auteur de savoir qu'on a des gens qui nous suivent sans jamais savoir ce qu'ils pensent. Personnellement j'écris pour le plaisir et aussi en fonction des réactions du lectorat. Or quand le lectorat a autant de réactivité qu'un poisson mort, ca devient lassant !
Actuellement j'écris pour Nahel, EldaThen, TeZuKa j, keloush, brigitte26, Etrelly et serusia, les seul(e)s a m'avoir laissé un commentaire même si c'était seulement pour dire que c'était « très étrange ». Je demande pas un pavé mais juste une réaction !
Mes revieuweurs/revieuweuses, je vous adore, MERCI !
Normalement j'ai fini de râlé et j'espère que les poissons morts reviendront à la vie…
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Blablabla : paroles télépathiques entre les jumeaux
Blablabla : Lettres
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Chapitre 5 : Mise à plat
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- Potter ?
-…
- Oh ! Potter !
-…
- Bordel, Harry tu vas me répondre à la fin !?
- Qu'est-ce tu veux Malfoy ? grogna Harry.
Draco soupira. Son « frère » se décidait enfin à sortir de son mutisme. Depuis quatre jours, depuis l'attaque de Face-de-Serpent, Harry avait refusé à chaque fois de répondre à ses appels mentaux.
- Il faut qu'on parle de ce qui s'est passé cette nuit là.
- Y a rien a dire.
Draco soupira longuement. Il devait rester calme. Zen.
- Bon sang, Potter, je te rappelles que tu es adulte ! Agit en tant que tel ! Nos parents sont morts ! Réagit !
- C'est « nos » parents maintenant ? Fit sarcastiquement Harry.
Draco grogna. Si le sorcier qui partageait son nouveau patrimoine génétique commençait à faire sa foutue tête de mule, il n'était pas sortie de l'auberge. Néanmoins, il soulevait une question intéressante. Depuis quant les Potter étaient « ses » parents ? Bonne question. Cela s'était juste fait. Il n'y avait pas vraiment de réponse. Enfin bref.
- Potter, tu me gonfles. Nos parents sont MORTS, tués par Face de Serpent. Et nous, il a échoué. Tu me dois des explications parce que putain Potter, on a survécu à l'AVADA !
Oui, il était un peu hystérique. Un peu. Mais zut quoi, ce n'est pas tout les jours ça arrive. Nom de Merlin, il avait survécu au sort de la mort. Et puis l'autre guignol de balafré avait dit vouloir changer les choses. Il l'avait même privé de sa mort pour son « Grraaaand Projet ». Mais, là, c'était vraiment mal barré.
Harry soupira avant de prendre la parole.
- Oui. Oui on a survécu et oui je te doit quelques explications.
- Je suis tout ouïe.
- Un Malfoy qui fait des blagues, j'aurais tout vu.
- Par un étrange concourt de circonstances dont tu es l'investigateur, je ne suis plus un Malfoy. J'attends tes explications maintenant. Répondit hautainement Draco tout en souriant.
- C'est compliqué. J'ai fait une connerie.
- Pour changer.
- Les Norns m'ont expliqué qu'il y avait des règles à respecter pour faire ce que je leur ai demandé. Tu as sacrifié un sens, mais j'ai également payé. Dix événements clés. Dix événements inchangés et inchangeables. Et comme un con, j'ai dit oui, sans même savoir quels seraient les événements en questions.
- Je suppose que l'attaque de Voldy et que la mort de nos parents étaient des événements clés.
- Tu as raison. Mais ce n'est pas le seul événement clé de cette soirée. Qu'est-ce que tu sais sur les capacités de Voldemort.
- Fou, puissant, avide de contrôle, versé dans les arts sombres, très puissant, paranoïaque, fourchelangue et taré.
- Pas mal. Mais tu oublies obnubilé par l'immortalité. C'était sa quête principale, avant même le pouvoir. Et pour atteindre cet objectif, il a créé des Horcruxes. Tu sais ce que c'est ?
- Évidement Potter. Je suis un Mal… Attends « DES » ?
- Oui. « DES ».
- Mais il est complètement taré ! Combien ?!
- Lors de la bataille de Poudlard en 1997, il en avait créé sept. Mais je crois qu'a cette époque, il n'en a que six.
- Couper son âme en huit, ou en sept, faut être complètement malade. Pas étonnant qu'il soit totalement fou.
- Et tu ne sais pas le pire. J'étais devenu un Horcruxe dans l'autre coté. Et ici aussi.
- Oh par le string de Morgane…
- T'en fait pas, je ne le suis plus. Être un Maître de la Mort a des avantages.
- Tu as détruit l'Horcruxe ?
- Ben…
- P.O.T.T.E.R… fit menaçant Léo.
- Je n'ai plus de morceau d'âme et toi non plus.
- QUOI !
Léo commença à hyperventiler. Il était, avait été un… un… un réceptacle pour un bout de Voldemort. C'était dégueulasse !
- J'ai envoyé les Horcruxes à la Mort. Mais je crois que ça aura quelques répercussions. Il se pourrait qu'on ai récupéré quelques talents de Tom.
- Le fourchelangue ?
- Possible. Faudra faire des tests.
Léo réfléchit. Finalement, ils s'en sortaient pas trop mal. Harry avait mis en lumière les événements du trente et un. Maintenant il fallait qu'il lui en dise plus sur les personnes chez qui ils avaient été déposés. D'ailleurs à ce propos, il était indigné. Ils avaient été laissé sur un paillasson. Un paillasson ! S'il savait qui était l'abruti qui avait laissé deux petits enfants dans une telle situation, il…
- C'est Dumbledore.
- Arrête de lire mes pensées, c'est malpoli. Dis-moi plutôt ce que tu sais sur les gents chez qui nous sommes.
- Sur ce point là, je ne serais pas d'une grande aide. Les Tisseuses ont bousculé cet événement. La femme est ma tante. Pétunia. Mais de l'autre coté, elle vivait dans une maison, dans le Surrey avec son époux, Vernon Dursley.
- Sauf qu'on est dans un appartement.
- Et que l'homme qu'on a vu n'est pas Vernon. Et que le peu qu'on ai côtoyé Pétunia, elle a été… gentille.
- En même temps, on est là depuis deux jours.
- Merci de ton soutient Léo. Merci, vraiment.
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Pétunia regarda ses deux neveux dormir. Ils étaient adorables. Et ils n'étaient pas pénibles. Ils faisaient leurs nuits. Contrairement à Hermione et Dudley au même age.
Les deux enfants avaient été envoyé chez leur grand-parents paternels quelques jours, le temps que leurs parents gèrent l'arrivée des jumeaux. Pétunia était allée à Gringotts la veille et aujourd'hui elle s'occupait des funérailles de sa sœur et de son mari.
Grâce aux Gobelins, les corps avaient été transférés au la morgue de l'Hôpital Saint Bart. Pétunia avait contacté les Pompes funèbres qui s'étaient déjà occupées de ses parents. C'était une petite entreprise pas très chère mais leurs services étaient de qualité.
L'enterrement aurait lieu dans quatre jours. Lily et James Potter seraient enterrés aux cotés de Edgard et Margaret Evans. La cérémonie se ferait en petit comité, il y aurait ses beau-parents et peut-être Severus. Et c'est tout. Les autres sorciers pouvaient aller se faire cuire un œuf.
Elle allait aussi devoir jeter un coup d'œil au relevé bancaire du compte des petiots. Heureusement qu'avec son travail au pub, elle avait déjà dut faire des comptes. C'était pénible au possible, mais obligatoire.
Ensuite, une fois que Marc serait rentré du travail, il faudrait allé cherché les enfants et leur expliquer que désormais ils avaient deux petits frères. Pétunia redoutait un peu ce moment. Mione et Dud avaient une relation très fusionnelle. Ils risquaient de mal prendre l'arrivée de Léo et Harry… Ba, avec Marc, ils géreraient au fur et à mesure.
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Finalement, la rencontre entre tous les enfants s'était très bien passé. Dudley avait été ravi de pouvoir être un « grand frère » et Hermione, après avoir boudé qu'elle aurait préféré une sœur, avait demandé à sa mère si elle pouvait habiller les jumeaux avec ses habits de poupée.
Marc avait dit non mais, dans son dos, Pétunia avait fait un clin d'œil à sa fille. Si elle était sage, peut être qu'elle l'aiderai à déguiser ses cousins. De toute façon, Hermione le ferait, autant qu'elle surveille pour éviter une catastrophe.
Marc avait trouvé un lit parapluie où dormiraient les jumeaux en attendant qu'ils déménagent. Parce évidement, dans leur petit appartement, ils ne tenaient pas à six. Franchement mais à quoi pensait Dumblegum ?
Question idiote. C'était un sorcier. Donc il était con. Et il ne pensait pas à la charge que représentait deux enfants en bas age. Crétin.
Bon, d'accord, Marc et elle songeait sérieusement à déménager depuis un petit moment. Ils avaient même sélectionné leur futur domicile, un grand duplex situé juste en face de son Pub.
Ils attendraient un peu pour le déménagement. Attendre que les choses se soient un peu tassées, que l'enterrement soit passé ainsi que la lecture du testament de Lily. Attendre le crédit de la banque et la signature du contrat. Ils tiendraient bien encore quelques mois à six dans leur petit appartement.
Aujourd'hui ils enterraient Lily et James. Le cimetière était au Nord de Londres. Grand et ombragé par les arbres. La tombe était en granit noir et fleurit de lys, de marguerites et de roses. Il y avait une simple inscription « A ma sœur et mon beau-frère, partis trop tôt pour protéger les leurs. » gravée dans la pierre.
Pétunia n'avait pas vu Snape mais elle savait qu'il était là, quelque part dans le cimetière. Pour Lily. Elle savait qu'il était là car elle n'avait pas commandé d'orchidées blanches. Snape si. Pour Lily.
Les jumeaux étaient sages, trop sages, comme s'il savaient que c'étaient leur parents qu'on mettait en terre. Léo et Harry, respectivement dans les bras que Marc et Pétunia, fixaient la tombe fraîchement scellée avec des yeux tristes. Ces gosses n'étaient pas normaux. Trop sages, trop… matures. Des enfants de dix-huit mois ne devraient pas être capables de comprendre ce qui se passaient ici !
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Severus regarda une énième fois la lettre. La minuscule chevêche qu'il avait offert à Pétunia lui avait apporté sa première lettre. Le sorcier avait été surprit de voir arriver la chouette avec du courrier mais il avait été encore plus surprit en lisant la lettre.
« Bonjour Snape.
Franchement j'ai de gros doute sur ton moyen de distribution de courrier mais bon… Le piaf a été nommé Mentos, comme la marque de chewing-gum. C'est ma fille qui a trouvé le nom donc tu n'as pas le droit de faire un seul commentaire. Mais ça, ça n'a pas d'importance.
Le 7 novembre aura lieu la lecture du testament de James et Lily Potter. J'espère que tu recevras la lettre à temps même si j'ai de gros doutes. J'aimerais que tu viennes à la lecture.
Cordialement,
Pétunia Grangers »
Severus avait ricané en lisant la lettre. La moldue grandement sous estimé la vitesse des chouettes postales. Elle s'y était prit plusieurs jours en avance. Severus avait donc reçut la lettre largement avant la date de la lecture du testament.
Celle-ci ayant lieu un samedi, il pourrait y aller sans que son patron râle. Le vieux cornichon d'apothicaire était insupportable. Peut-être qu'il accepterait l'offre d'emploi de Dumbledore comme professeur de potion pour la prochaine rentrée. A voir.
A Gringotts Severus avait retrouvé Pétunia. Comment la moldue avait réussi à aller sur le Chemin de Traverse, c'était un mystère. Et elle n'avait rien dit, affichant son petit sourire suffisant pour seule réponse.
Ils avaient rejoints le bureau de l'exécutant testamentaire des Potter. C'était un vieux sorcier tout rabougrit qui travaillait avec les Gobelins depuis plusieurs décennies.
Le vieil homme observa Pétunia avec dédain mais les présences de Severus et de Gornuk le banquier de la Tutrice des Héritiers Potter l'empêchèrent de dire à voix haute ce qu'il pensait tout bas. Il se contenta donc de grommeler dans sa barbe qu'il était inacceptable qu'une « sale moldue » soit ici. Severus se contint pour ne pas lui lancer un sort de son cru mais se promis d'envoyer anonymement une bouteille de vin empoisonné au gêneur une fois la lecture finie.
Le couple Potter laissait des lettres à Sirius Black, à Alice et Franck Longdubat, et à divers autres sorciers et sorcières. A Rémus Lupin, les Potter laissaient la somme de 1000 galions ainsi qu'une longue lettre, très longue lettre. De son coté, Lily laissait à Severus une lettre toute aussi longue que celle de Lupin, toutes ses notes de potion ainsi qu'une bourse de 500 galions pour continuer ses recherches.
Le reste de la très grande fortune des Potter allait aux jumeaux. Le couple souhaitait que les jumeaux soient élevés par leurs parrains, ou si ceux-ci étaient dans l'incapacité de le faire, qu'ils soient mis sous la garde de Pétunia Evans.
- Les lettres seront envoyés à leur destinataire déclara Gornuk avant de guider ses clients vers la sortie.
Pétunia hocha la tête. Elle ne connaissait aucunes des personnes nommées par sa sœur excepté Snape. Elle ne tenait pas particulièrement à les connaître. Que Maître Gornuk s'occupe de tout, c'était parfait.
En sortant elle écrasa malencontreusement les pieds du stupide sorcier qui l'avait insultée. Quel dommage qu'elle ai mis ses talons aiguilles ce jour précis...
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-Granger !? GRANGER !
- J'ai entendu Léo ! Pas la peine de gueuler !
- Nan mais GRANGER quoi ! tempéra Draco.
- Je suis sous le choc moi aussi, pas la peine d'en remettre une couche !
- Je te hais, je te hais, je te hais ! De tous les coups foireux que tu pouvais me faire, il a fallut que ce soit ca ! Frère adoptif de la Miss-Je-Sais-Tout !
- Tu crois qu c'était prémédité !? S'exclama Harry en comprenant les sous-entendus de son « frère ».
- Oui. confirma d'un bloc l'ancien blondinet.
- Et ben non figure toi ! Normalement Hermione et mon cousin Dudley ont notre âge. Tout a changé !
- C'est ce que tu voulais je te rappelle !
- Oui ! Mais j'avoue que je ne m'attendais pas du tout à ça… Je suis plus très sur de moi sur ce coup…avoua Harry à voix basse.
- Pour changer ! Bah, fais pas la tronche Potter, tu as un super soutient en ma parfaite présence.
- Tu te fous de moi Léo ?
- A peine.
- Je te hais.
- Niark. Niark.
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Blabla de fin de chapitre.
Les reviews sont le carburant des auteurs, surtout quand ceux-ci ont d'autres fics en cours qui demandent leur attention et que leurs autres lecteurs sont très réactifs...
Je finirai l'histoire dans tout les cas, ca risque juste d'etre... plus lent.