Droit d'auteur : Harry Potter est une suite romanesque fantastique comprenant sept romans, écrits par J. K. Rowling et parus entre 1997 et 2007. Donc ce n'est pas à moi, je ne gagne pas d'argent, et bla, et bla, et bla.
.
Deux chapitres en deux jours… Bande de petits veinards ! Profitez en, ca ne durera pas :)
.
Bonne lecture !
.
Chapitre 34 : Bonus Norberta et Alice
.
.
Norberta, son acclimatation, ses amies, le vol, sa mère
Norberta renifla avec suspicion. Depuis que la pièce avait cessé de bouger et de balancer l'air n'avait plus l'odeur du Jouet. Elle ne sentait pas non plus sa Maman, les Piailleuses ou le Protecteur.
Elle éternua lorsqu'une poussière lui chatouilla les narines. Brusquement la pièce où elle était enfermée s'ouvrit et la petite dragonne marcha de façon pataude vers la sortie. Elle cligna des paupières, surprise par la luminosité hors de la pièce. L'air sentait les arbres acides, la terre humide et le feu. Ce n'était pas normal !
Où était Maman, le Protecteur, le Jouet et les Piailleuses ? Norberta avança hors de la pièce et regarda avec crainte autour d'elle. Il y avait du vert, du vert, du vert et encore du vert ! Il y avait plus le chaleureux brun du bois et gris de la pierre. Et il n'y avait pas Maman !
Apeurée, Norberta recula en vitesse dans la pièce. Elle connaissait la pièce. La pièce était petite et chaude. Il y avait le doudou de Jouet et le cadeau de Maman. Elle ne voulait pas sortir… Elle voulait Maman…
oOo
Mutharg échangea un regard surprit avec Charlie. Le comportement du Norvégien à Crète n'était pas normal. Le dragonneau aurait dut sortit de la caisse de bois où il avait fait le trajet jusqu'à la réserve et partir explorer son nouvel enclos. Il n'aurait pas dut se terrer dans sa caisse et gémir de cette façon… Quelque chose clochait.
- On fait quoi ?
- On en parle au chef répondit Charlie, aussi perdu que son collègue.
oOo
Norberta grogna. Les deux-pattes embêtants étaient revenus. Ils étaient stupides. Ils ne comprenaient pas qu'elle ne voulait pas sortir de la pièce. Pourtant le message aurait dut passer lorsqu'elle en avait mordu un ! Elle lui avait même injecté du venin pour qu'il ai mal !
S'ils continuaient, elle les brûlerait ! Et après elle irait à la recherche de Maman. Les Deux-pattes avaient dut lui faire du mal pour l'empêcher de venir la chercher. Si Maman avait mal, elle punirait tous les Deux-Pattes. Elle leur ferait mal ! Et le Protecteur l'aiderait. Parce qu'il protégeait Maman lui aussi.
oOo
Melda regarda l'autre dragonne avec intérêt. Elle s'approcha doucement du dragonneau gris argent qui s'était roulé en boule dans un coin de l'enclos.
Les Deux-Pattes avaient amené l'autre lorsque la Blanche était haute et que le Feu dormait. Depuis le Feu s'était réveillé et pourtant l'autre n'avait pas bougé.
Melda leva la patte et appuya sur le crane de l'autre avant de reculer prestement. L'autre avait relever la tête et l'observait avec méfiance, tristesse et peur. Melda s'assit et gazouilla à l'autre.
Avait-elle faim ? Les Grands avaient ramené à manger et c'était encore chaud.
L'autre ne répondit pas et se roula à nouveau en boule. Melda secoua la tête en sifflant avant d'aller chercher de la viande. Elle mangea sa part puis arracha un morceau qu'elle posa à coté de l'autre avant de se rouler en boule à coté.
Elle voulait vraiment que l'autre ne soit plus triste et vienne jouer avec elle. Elle était la plus petite et les Grands ne voulaient pas jouer avec elle. Il n'y avait que Celui-Qui-Sait qui parfois acceptait qu'elle s'amuse avec lui, mais c'était toujours trop court…
oOo
Harold regarda les deux jeunes dragons qui jouaient dans l'enclos de la couveuse. Ils avaient vraiment faillit perdre le petit Norvégien à Crète. Le dragonneau s'était laissé mourir à son arrivée à la Réserve, refusant de s'alimenter et attaquant quiconque passait à sa porté.
Les dragonniers avaient dut le droguer afin de le transférer dans l'enclos de Melda, le petit Suédois à museau court. Les deux dragonneaux avaient sensiblement le même age et le premier avait été sortit de sa spirale destructrice par le second.
Les deux créatures qui avaient désormais la taille d'un gros Leonberger se poursuivaient joyeusement. Les dragons n'étaient pas encore suffisamment grands pour voler mais crachaient déjà du feu, les rendant déjà extrêmement dangereux pour leurs soigneurs.
oOo
Norberta regarda la grande Blanche. Les deux-pattes les avaient changé d'endroit quelques temps de Feu avant. Désormais Melda et elle avaient une grande zone avec des arbres et une caverne. Elles avaient enflammé un arbre par erreur lors de leur première sortie. Cela avait beaucoup fait rire Celui-Qui-Sait lorsqu'il l'avait apprit. Depuis elles s'entraînaient à grimper aux arbres restant pour se lancer dans le vide et planer.
Bientôt elle et Melda sauraient voler.
Elle se fit la promesse que lorsqu'elle serait plus grande et plus forte, lorsque ses griffes seraient plus dures et aiguës, lorsque ces crocs seraient plus pointues et plus acérées, lorsque sa cuirasse serait impénétrable et sa flamme plus brûlante que le Feu du ciel, elle se vengerait.
Elle détruirait les Deux-Pattes, les déchiquetterait, les anéantirait…
Ils mourront dans les flammes. Elle se jura qu'elle prendrait sa revanche sur les Deux-Pattes qui l'avaient séparé de Maman et elle réunirait sa famille.
.
.
Alice
Alice sortit du Ministère Danois de la Magie et marcha lentement dans la rue. Elle longea le canal, observant avec un certain amusement les façades très flashies des maisons. Dans le porte-bébé, Neville babilla en agitant les mains en direction d'un petit bateau de plaisance qui passait.
La jeune amnésique blonde s'assit sur un banc face à l'eau. Elle était partie sur un coup de tête sur la Terre de ses Ancêtres après que le médicomage moldu de l'esprit lui ai dit qu'il y avait une possibilité (mince) qu'elle retrouve des souvenirs en étant confrontée à des lieux familiers. Elle avait prit Neville, quelques affaires, de l'argent et avait filé au Danemark. C'était certainement pas la meilleure réaction à avoir vu sa situation, mais elle n'avait pas vraiment réfléchit. Elle avait juste pensé à ce foutu mur blanc qui squattait sa mémoire et qu'elle voulait faire sauter !
Alice soupira. Elle devait trouver un logement pour la nuit. L'employé chargé des portoloins internationaux lui avait aimablement indiqué comment rejoindre le « Kvarter Havfrue », la zone sorcière de Copenhague. Une fois à l'hotel, elle planifierait la suite de son voyage.
La jeune maman attrapa son sac de voyage et se leva du banc. Elle se retourna et hurla de peur.
Augusta Longdubas, la femme qui était la mère de feu le mari d'Alice observait sa bru, les bras croisés et le visage fermé en frappant du pied. Elle n'avait pas l'air contente du tout.
Alice remarqua stupidement que la Matriarche Longdubas n'avait pas son éternel chapeau-vautour et que son grand sac rouge était étrangement bombé.
- Pourrais-je savoir jeune fille ce qui t'as pris de partir comme ca ?
La blonde déglutit devant le regard et le ton polaire de l'aïeule.
- Heu…
oOo
Augusta prit Neville dans ses bras avant de pousser doucement mais fermement Alice vers la porte de la petite maison de pierre. La Matriarche rebroussa ensuite chemin, laissant sa belle-fille seule devant la porte. C'était à Alice d'agir. C'était sa décision à elle et à elle seule.
Une fois sortie du petit jardinet, la mère de Franck s'assit sur une grosse pierre, son petit-fils endormi dans les bras. Lorsqu'un mois plutôt, elle se précipitait en catastrophe à la suite d'Alice et Neville, elle n'avait pas prévu de rester aussi longtemps hors d'Angleterre.
Augusta avait passé un savon à Alice pour être parti comme une sauvage. La jeune femme était amnésique et elle partait la bouche en cœur dans un pays étranger avec son fils, qu'elle venait de redécouvrir, sous le bras. Pas très responsable comme attitude.
La plus âgée après avoir remis les pendules à l'heure avait annoncé qu'elle accompagnait Alice dans sa quête. Augusta appréciait énormément la femme de son fils. La petite blonde qui était, mine de rien, en couple avec Franck depuis leurs seize ans avait depuis longtemps creusé son trou chez les Longdubas. Alice et Augusta avaient été amies et complices.
Aujourd'hui il n'y avait plus que l'aînée qui se souvenait de leur lien. Ce voyage au milieu de la campagne et des montagnes Danoises loin de la Folie des Hommes permettait aux deux femmes de retrouver un calme et une sérénité qui leur manquaient depuis le réveil de la plus jeune et la mort de Franck. L'isolement du trio tandis que les sorciers ralliaient les différents points de la carte avait permis le renouveau de l'amitié entre Alice et Augusta.
Les choses ne seraient plus jamais comme avant. Elles le savaient toutes les deux, mais cela ne les gênaient pas. Elles étaient différentes. Le coma, la souffrance, le deuil les avaient marqué.
La Matriarche Longdubas, Alice et Neville avaient passé un long moment à Copenhague à fouiller les Archives à la recherche d'informations sur la famille d'Alice, les Grimwalis. Leurs recherches les avaient orientées vers un petit village sorcier du Nord Est du pays où apparemment Alice avait vécu jusqu'à ses six ans et le déménagement de ses parents en Grande-Bretagne.
Alice avait retrouvé sa maison d'enfance. Elle l'avait rapidement visité avec l'accord des nouveaux propriétaires, mais rien n'avait éveillé de souvenirs. Apparemment la maison avait subit de nombreux changement depuis le départ des Grimwalis.
En discutant avec les villageois, les deux sorcières avaient apprit que Valendria, la mère d'Alice rendait souvent visite à une vieille ermite qui vivait bien plus au nord, dans la campagne. La femme avait une très mauvaise réputation au village et on conseilla à Alice et Augusta de ne surtout pas aller voir la vieille Aaricia.
Un gamin qui n'avait pas froid aux yeux leur expliqua que l'ermite était une harpie et que c'était pour cela que les gens la craignait autant et qu'ils la fréquentait la moins possible. Augusta renifla avec dédain. La cohabitation inter-espèce n'était pas encore très au point. Le racisme et la crainte restait trop présente chez les sorciers pour que toute cette histoire ne finisse pas par dégénérer.
Augusta, bien que considérée comme une sang-pure avait un quart de sang de Banshee qui coulait dans ses veines. Il n'avait rien chez la vieille femme qui pouvait trahir cet héritage. Elle n'avait prit aucunes des caractéristiques de son aïeule. Cependant son métissage lui laissait une grande sensibilité sur la question de l'intégration des créatures magiques dans la Société Sorcière.
oOo
Aaricia, à travers les fins rideaux de sa cuisine regarda la jeune Alice Grimwalis rejoindre la Crone qui l'attendait assise sur une pierre.
La vieille harpie avait été étonnée de rencontrer cette petite humaine qui recherchait ses souvenirs. Alice Longdubas née Grimwalis, sorcière au visage arrondit encadré par un carré plongeant de cheveux blonds et raides.
Aaricia s'était depuis longtemps spécialisée dans les soins mais malgré son savoir, elle n'avait rien pu faire pour briser le mur qui séparait Alice de ses souvenirs. Elle n'avait que pu lui offrir une amulette tressée qui lui porterait chance dans sa quête.
Les yeux bleus de la Harpie brillèrent de nostalgie. Alice ressemblait tellement à Odrin…
Lorsque les derniers Grimwalis avaient quitté le Danemark pour l'Angleterre, Aaricia avait songé à quitter la vie et à se fondre dans la Magie comme ses sœurs avant elle. Mais Azraelle lui avait rappelé la Balance. La mission d'Aaricia n'était pas terminée, pas temps que des Grimwalis respireraient.
Elle devait veiller sur ses descendants, tel était son destin. La fille des Airs observa Alice, son fils et sa belle-mère transplaner. Elle savait que son arrière-petite-fille reviendrait la voir. Ses Enfants revenaient toujours même s'ils ignoraient qui elle était.
Aaricia Rosinski, dernière princesse du Nord et Héritière du désormais disparu Royaume des Harpies.
oOo
Alice rit de bon cœur en voyant les enfants trempés de la tête aux pieds. Neville et Dudley qui s'étaient mis en tête de faire un barrage sur le mince cours d'eau avaient abandonné leur projet au profit d'une bataille d'eau.
Les deux petits démons divers récipients pleins d'eau dans les mains s'approchaient doucement de Severus qui leur tournait le dos. Le Potionniste arrosé courut à la poursuite des enfants qui s'éparpillèrent en courant dans une volée de piaillement heureux.
La sorcière sortit la salade de riz de son panier tandis que Pétunia, elle aussi installée sur la grande nappe de pique-nique tartinait des rillettes sur du pain. C'était l'été et les Granger avaient invité Alice et Neville à pique-niquer avec eux.
C'était à cette occasion qu'Alice avait fait la rencontre de Severus Snape. Elle avait déjà entendu parlé du Tuteur Magique de Harry et Léo, mais elle ne l'avait jamais vu. Où du moins elle ne s'en souvenait plus.
Apparemment Severus avait été à l'Ecole en même temps qu'elle. Étant à Serpentard et elle à Poufsouffle, ils n'avaient jamais vraiment communiqué et ne se connaissaient que de vue.
Le jeune Professeur de Potion avait ramené les rares photos de promotion qu'il avait et les avait prêtées à Alice afin qu'elle voit si cela réveillait des souvenirs enfouis. Malheureusement, comme ses visites avec Augusta et les photos des Longdubas, rien n'apparut dans la mémoire de la jeune femme. Le mur restait désespérément vide.
Cela faisait plus de deux ans qu'elle s'était réveillée et Alice s'était fait une raison. Elle ne se souviendrait certainement jamais, mais rien ne l'empêchait de se créer de nouveaux souvenirs.
Un « Maman ! Au secourt » à moitié noyé sous les rires fit lever les yeux de la sorcière. Severus, le T-shirt et les cheveux dégoulinant d'eau revenait vers la nappe où s'étaient installées les deux femmes avec un enfant sous chaque bras. Neville et Dudley s'étaient finalement fait rattrapés.
Marc et Hermione, remballèrent leur cerf-volant tandis que les Jumeaux, Natrix enroulée sur les épaules de Léo rejoignirent la nappe de pique-nique. Ils avaient faim !
oOo
Neville revint dans le salon avec un grand sourire heureux. Il aimait beaucoup leur nouvel appartement de sa mère et lui. Il serra sa mère dans ses bras avant de repartir en courant à son exploration.
Alice sourit devant l'exubérance de son petit bonhomme de cinq ans. Elle avait enfin franchit le cap. Elle avait quitté le Manoir Longdubas où Augusta l'hébergeait et avait acheté un petit appartement proche du Chemin de Traverse mais dans le Londres Moldu.
Cela faisait déjà un an qu'elle s'était remise à travailler ne souhaitant plus vivre aux crochets de sa belle-mère même si Augusta lui disait que cela ne posait pas le moindre problème. Alice s'était fait engagée comme vendeuse chez un Apothicaire de l'Allée des Embrumes.
C'était Severus qui lui avait parlé du vieil homme acariâtre qui cachait un cœur d'or sous des couches et des couches de sarcasmes et de remarques méchantes. Le Potionniste l'avait bien aidée sur ce coups là… Il l'avait bien aidée tout court.
Le professeur de Potion lui avait fait visité Poudlard et lui avait fait rencontré leurs anciens enseignants. Le mur n'avait pas bronché en présence des Professeurs Macgonagall, Flitwick, Brulopot ou Chourave, par contre il s'était fissuré légèrement lorsque Severus l'avait accompagnée dans un tour du Lac. Elle s'était vue embrassé un garçon qu'elle avait reconnu comme Franck d'après les photos montrées par Augusta sous un grand saule pleureur.
Son premier souvenir ! Elle en avait pleuré de joie.
Depuis aucuns souvenirs visuels n'étaient revenus. Par contre, elle ressentait désormais les émotions associées à des personnes ou des lieux. Elle se souvenait de la joie et de la paix de Poudlard, de la crainte respectueuse inspirée par le Directeur, de l'excitation des match de Quidditch… C'était flou mais présent. Grâce à Severus et sa visite de Poudlard.
oOo
Alice sauta dans les bras de Severus avant de l'embrasser avec fougue. Évidement qu'elle acceptait de l'épouser !
Serrée dans les bras de l'homme qu'elle aimait, Alice repensa au passé. Neuf ans plus tôt, elle sortait du coma, veuve et amnésique. Elle avait passé deux ans à parcourir le Danemark et l'Angleterre avec Augusta à la poursuite de sa mémoire. Elle avait rencontré une Harpie aussi bonne guérisseuse que misanthrope, un sorcier danois chef étoilé dans un restaurant moldu, des vampires chanteurs de hard rock, une sirène philosophe, un satyre break-danseur et bien d'autres encore.
Sept ans plutôt, elle avait fait le rencontre de Severus Snape, ami des Grangers, Tuteur magique de Léo et Harry. Avec le potionniste, elle avait visité Poudlard retrouvant son premier souvenir. Avec l'aide de Severus, elle avait trouvé un travail et un logement.
Il était devenu un ami. Elle savait qu'elle pouvait compter sur lui si elle avait un problème, s'il fallait garder Neville et qu'Augusta ne pouvait pas, si sa chaudière décidait de faire des siennes ou s'il lui manquait des œufs et que c'était dimanche.
De fils en aiguilles, ils s'étaient rapprochés. Alice savait parfaitement que les habitués du Black Bee qu'elle connaissait bien à force d'y traîner, tenaient des paris sur son mariage avec Severus. Les moldus n'avaient peut-être pas de magie, ils n'étaient ni aveugles, ni stupides. Pétunia avait compris bien avant Alice que la sorcière en pinçait pour le brun.
La transition entre amitié et amour s'était faite doucement sans qu'ils s'en rendent compte. La première fois qu'ils s'étaient embrassés, cela leur avait paru si naturel, si simple. Ils étaient ensemble et c'était tout.
Cela faisait un peu plus de deux ans qu'ils étaient en couple. Neville n'était pas au courant. Du moins, Alice et son fils n'en avait jamais parlé. Si le Griffondor savait que sa mère avait de nouveau quelqu'un dans sa vie, il ne l'avait jamais dit et n'avait fait aucun commentaire…
Il allait falloir qu'elle en parle avec Neville. Qu'elle lui dise qu'elle allait se remarier… Et il faudrait aussi qu'elle informe Augusta qu'elle avait suivit son conseil, qu'elle refaisait sa vie.
.
.
.
Blabla de fin de chapitre :
Juste pour précision, Severus fait sa demande lors de l'Halloween 1991, c'est pour ca qu'il n'était pas à l'Ecole lors de l'épisode du troll !
.
Un peu de vocabulaire « dragonnien » :
Deux-Pattes : humains
Arbres acides : conifères
la Blanche : la Lune
le Feu : le Soleil
les Grands : dragons adultes
Celui-Qui-Sait : Dragon le plus agé de la Réserve.
Temps de Feu : jours
Pour le Jouet, les Piailleuses et le Protecteur, essayez de veiner, que je rigole un peu :)
.
Yzeute
Merci !
