Auteur : Meï

Genre : Général

Rating : K+

Disclamer : Tous les personnages de cette fiction m'appartiennent même si certains noms ressemblent à des personnages connus.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------

CHAPITRE IX) Passé douloureux

Je suis monté dans ma chambre pour m'allonger. Les filles étaient aux petits soins avec moi, Caroline m'a ramené une quantité impassable de coussin, Yukari m'a apporté des médicaments, Aïri une soupe chaude et Tomoé des clopes et des bières.

Caroline : Tu vas allez mieux hein ?

Riku : Mais oui Je vais déjà beaucoup mieux et je n'ai presque plus de fièvre.

Je ne sais pas pourquoi mais elle avait l'air au bord des larmes.

Tomoé : A au faite, y a plus de bières…

Yukari : Line, tu peux t'en occuper ?

Caroline : Okay Je reviens vite.

Aïri : Profite en pour t'acheter des jus de fruits et des bonbons…

Il y eu un silence pesant après que Caroline eu quitté la maison.

Riku : Euh…

Aïri : Caroline déteste quand quelqu'un à de la fièvre…

Riku : Qu'est ce… Que ce qu'il s'est passé ?

Tomoé : Tu veux vraiment savoir ? Je te préviens que tu ne pourras plus regarder Caroline comme avant.

J'ai réfléchis un peu et…

Riku : Oui.

Les filles se sont assises sur mon lit.

Tomoé : Toutes les quatre étions voisines depuis notre naissance et nos parents étaient amis. Tout le monde était tranquille mais un jour la mère de Caroline est tombée gravement malade. Et elle a souffert terriblement, elle avait toujours de la fièvre et Caroline pleuré beaucoup.

Yukari : Un jour son père est tombé lui aussi malade. Leur fièvre ne baissait pas. Quelques temps plus tard la mère de Caroline est morte à cause de cette fièvre. Et son père avait promis à Caroline de toujours rester prés d'elle. Mais il à pété les plombs et s'est mit à hurler sur Caroline que elle aussi aurait du tombée malade, qu'elle aurais du mourir aussi.

Aïri : On pense qu'il savait qu'il allait mourir aussi et qu'il voulait que sa fille le déteste pour ne pas qu'elle sois triste mais la fièvre la complètement rendu fou, et il s'est mit à vraiment penser ce qu'il disait alors il à acheter une arme et en rentrant de l'école il lui a tiré dessus. Il lui a seulement éraflé la cuisse car il a repris la raison juste à temps.

Tomoé : Mais pour lui, le mal était fait. Nos parents nous ont interdit d'aller voir mais eux y sont allés. On a entendu un deuxième coup de feu et un peu après Caroline est sortit en courant de la maison. Son père s'était tiré une balle dans la tête et elle avait tout vu. A cause d'une fièvre tenace elle a perdu sa mère et son père c'est tuer après avoir tenté de l'assassiner.

Yukari : Nos parents ce sont battus pour ne pas qu'elle soit envoyer dans un foyer pour enfant et qu'elle reste prés de nous car ils savaient qu'elle n'avait plus d'autre famille que nous, ses amies.

Aïri : C'est une cousine éloignée qui est venue s'occuper d'elle mais elle a était obligée de vivre dans la maison où ses parents sont morts alors qu'elle n'avait que cinq ans. Elle sourit tout le temps maintenant et ne le fait peut être pas exprès mais rien ne lui fait plus peur qu'une personne fiévreuse.

Tomoé avait eu raison de m'avertir, maintenant que je savais, je ne savais plus si j'aurais préféré ne pas savoir. Je réfléchissais à toute cette histoire en fumant.

Caroline est revenue et les filles sont descendues quand elle est entrée dans ma chambre.

Caroline : Tu veux un jus de fruits ?

Riku : Non merci.

Elle souriait, comment pouvait elle sourire après ce qu'il s'est passé dans sa jeunesse ? Si elle pouvait sourire s'était forcément qu'elle avait surmonté sa douleur. Mais comment ?

Caroline : Elles t'ont raconté c'est ça ?

Riku : Quoi ?

Caroline : Mon passé, elles t'ont raconté ce qu'il c'est passé ?

Riku : …

Caroline : Ne t'en fait pas, je vais beaucoup mieux C'est grâce à elles. Je suis encore triste et parfois je me dis que j'aurais pu faire quelque chose mais les filles m'aident. Bien plus qu'elles ne le pense, et je leur dois beaucoup…

Je l'ai serrais dans mais bras. Pourquoi ? Je ne le sais pas moi-même. Mais je l'enviais car moi je suis encore si mal quand je pense à ma mère. Je lui en veux mais je voudrais qu'elle revienne…

Aïri et remonté.

Aïri : Riku, tu as de la visite.

Cloud est apparu derrière elle et Aïri et Caroline sont descendu. Cloud s'est approché de moi.

Cloud : Alors tu vas mieux ?

Riku : Oui merci.

Il m'a fait un grand sourire en penchant un peu la tête sur le côté et j'ai rougit comme une tomate.