Auteur : Meï
Genre : Général
Rating : K+
Disclamer : Tous les personnages de cette fiction m'appartiennent même si certains noms ressemblent à des personnages connus.
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CHAPITRE XV) Dans la nuit
Le proprio de l'engins : EY ARRETER !
Et il se pris lui aussi une balle dans le genou. Le reste du groupe arriva.
Jack : Ca va bientôt être au tour des nôtres !
Math : Il faut faire quelque chose !
Lucas : Les filles, vous savez conduire ?
Toutes : Oui !
Lucas : On va distraire les flics pendant que vous vous éloignerais avec les motos en silence et quand vous serez assez loin vous irez nous attendre à la sortit de la ville pour qu'on puisse allez les cacher.
Yukari : Et si vous vous faite tirer dessus ?
Zack : On est des dure à cuire mais faite bien gaffe à vous.
Cloud : Si l'un des flics vous voit et pointe son arme vers vous, vous lâchez les bécanes et vous vous cassez !
Chaque filles à embrassé son gars et on est partit. Les mecs se sont planqué dans un fossé et ont lançaient des pierres sur les policiers. On a emmené les motos assez loin et on est monté dessus pour les emmener à la sortit de la ville. On a attendus au moins une demi heure avant que les garçons nous rejoigne. Ils avaient l'air mal en poins.
Riku : Vous allez bien ?
Zack : Ouais…
Zack se tenait le poignet et il avait une coupure sur la joue, Math avait un gros bleu sur l'épaule, Lucas boité, Jack se tenait le coude et Cloud se tenait le ventre.
Aïri : Il faut qu'on se barre, ils arrivent !
Cloud : Aucun de nous n'est vraiment en état de conduire !
Caroline : Et bien on va le faire !
On est tous monté a nouveau sur les motos et on s'est éloigné d'au moins un kilomètre de la ville où les garçons nous on montre le chemin vers un hangar abandonné. On les a cacher sous des bâches est on est rentré à pieds. On devait s'arrêter souvent pour Jack car sa jambe le faisait souffrir. Les garçons faisaient de leurs mieux pour cacher leurs bleus qui grossissaient de plus en plus.
J'ai essayé de faire enlever sa main à Cloud pour qu'il me montre mais il n'a pas voulu.
Riku : Pourquoi tu ne veux pas me montrer ? Ta main ne suffit même plus à tout cacher !
Cloud : Parce que ! Je n'ai pas envie que tu t'inquiètes !
Riku : Depuis quand tu as peur de me montrer tes bleus ? Avant c'était moi qui te les faisais !
Il rougit et détourna le regard toujours en gardant sa main sur son bleu. Alors je me suis servit de son point faible : il craignait les chatouilles. Il a tout de suite essayé de m'en empêcher en m'attrapant les poignets alors je me suis mise sur lui pour l'immobiliser.
Riku : Uo ! Ils ne t'ont pas loupé !
J'ai effleurais la tache sombre qui grandissait mais il fit une grimace.
Riku : Désolé…
Il m'a tiré vers lui pour m'embrasser.
Cloud : C'est pas grave
Un « hum hum » s'éleva derrière nous. Les autres nous attendaient alors j'ai aidé Cloud à se lever et on est repartit.
Caroline : Pourquoi les policiers ont-ils tiré ?
Lucas : On en sait rien ! Au début on leur lancé des pierres sans l'intention de les toucher mais l'un d'eux ma touché à la joue, alors on leur a lancé les pierres en visant bien mais…
Zack : Elles rebondissaient sur eux sans rien leur faire et en produisant un bruit métallique…
Yukari : Un bruit métallique ?
Math : Ouais ! Mais après ils nous ont canardé alors on à du partir.
On est arrivé à une centaine de mettre de l'entrée de la ville.
Riku : Je crois qu'il y a des gardes.
Aïri : Je vais voir. Ne bougez pas de la.
Avant qu'elle se mette a courir vers le mur qui entouré la ville et monter dessus, il m'a semblais voir ses yeux briller comme ceux d'un chat. Elle revint aussi vite qu'elle était partit.
Aïri : C'est bon, il n'y a que le garde à l'entrée mais il dort. On peut passer.
On est passé devant la cabine du garde silencieusement. La ville était calme. Etrangement calme. Mais personne ne s'en souciait pour le moment. On était trop occuper à rentrer chez nous. On a fait venir les garçons chez nous pour les soigner, tel qu'on les connaissait ils allaient partir se coucher en se disant qu'il le feraient le lendemain mais ils oublieraient. Heureusement qu'on avait des glaçons. Bien sur, en toute chochotte qu'ils sont, ils n'arrêtaient pas de se plaindre. Mai nous en toute sadique que nous sommes, on en profité.
